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Les parties retournent à la table de négociations

Les parties retournent à la table de négociations

La Pressea day ago
Après plus d'un an et demi de négociations, les deux parties ont rencontré des médiateurs fédéraux mardi et d'autres rondes de négociations sont prévues vendredi et lundi.
Les parties retournent à la table de négociations
(Ottawa) Postes Canada et le syndicat représentant 55 000 travailleurs et travailleuses des postes retournent vendredi à la table de négociations.
Craig Lord
La Presse Canadienne
Cela fait deux semaines que les membres du Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) ont rejeté les dernières offres de l'employeur par un vote majoritaire.
Après plus d'un an et demi de négociations, les deux parties ont rencontré des médiateurs fédéraux mardi et d'autres rondes de négociations sont prévues vendredi et lundi.
Les plus récentes offres de la société d'État, datant de la fin mai, comprenaient des augmentations salariales d'environ 13 % sur quatre ans et une restructuration visant à embaucher des travailleurs à temps partiel.
Postes Canada dit attendre avec impatience de recevoir une réponse complète du syndicat qui répond aux défis importants et croissants auxquels le service postal est confronté.
Entre-temps, le syndicat maintient son interdiction nationale des heures supplémentaires.
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De la fumée près de à Terre-Neuve (St. John's) Les trois incendies de forêt incontrôlables à Terre-Neuve sont restés stables pendant la nuit, alors qu'une période de températures caniculaires et de conditions proches de la sécheresse prenait fin. La Presse Canadienne Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador affirme qu'une modification des vents permettra aux équipes au sol d'attaquer la limite nord de l'incendie qui a détruit une centaine de maisons près de Kingston, à Terre-Neuve-et-Labrador. La police et les administrations locales évaluent encore les dégâts dans la région. Le tableau de bord provincial des incendies de forêt indique que l'incendie couvre environ 98 kilomètres carrés le long de la rive nord-ouest de la baie de la Conception. Dans le nord du Nouveau-Brunswick, un incendie de forêt au nord de Miramichi a poussé les autorités à demander vendredi soir aux résidents de Lavillette d'être prêt à évacuer à tout moment. Le gouvernement provincial indique qu'il y a 30 incendies actifs au Nouveau-Brunswick, dont six sont incontrôlables.

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Il y a 25 ans, le premier ministre fédéral Jean Chrétien recevait une tarte en plein visage alors qu'il faisait campagne à l'Île-du-Prince-Édouard. (Ottawa) Il y a 25 ans, le premier ministre fédéral Jean Chrétien recevait une tarte en plein visage alors qu'il faisait campagne à l'Île-du-Prince-Édouard. Catherine Morrison La Presse Canadienne Un quart de siècle plus tard, la donne a considérablement changé en matière de protection des personnalités politiques. Les menaces contre des élus sont aujourd'hui devenues plus monnaie courante. « Plusieurs pensent qu'on est une cible juste si l'on est un politicien, déplore Catherine McKenna qui a fait l'objet de plusieurs menaces quand elle était ministre fédérale. On a besoin de gens qui s'impliquent en politique sans se sentir menacés. C'est une question de santé démocratique, sinon ceux qui pourraient s'impliquer ne l'accepteront pas, les familles ne l'accepteront pas non plus. » Des documents publiés par le Bureau du conseil privé indiquent que le nombre de menaces contre le premier ministre et les ministres a bondi au cours des dernières années. Un tableau mentionne que 40 menaces contre le premier ministre et les membres du conseil des ministres ont été enregistrées en 2021. Ce nombre a grimpé en flèche au cours des années subséquentes, passant de 91 en 2022 à 311 en 2024. Onze de ces menaces visaient Justin Trudeau en 1991. Le chiffre s'élevait à 212 en 2024. De 2021 au 17 juillet 2024, le document du Bureau du conseil privé indique que M. Trudeau a fait l'objet de 90 menaces de mort. Mme McKenna se rappelle que la majorité des menaces contre elle ont été proférées sur l'internet. Elle a souvent été agressée verbalement quand elle était ministre de 2015 à 2021. « Cela arrive tout le temps à l'échelle nationale, provinciale ou locale. Je ne rencontre jamais un politicien, particulièrement des personnes racialisées, des Autochtones ou des membres de la communauté LGBTQ qui ne m'en parlent pas. On ne sait jamais. 99 % des menaces sont probablement fausses, mais une seule suffit. On ne peut pas rigoler avec ça. » Une tarte au visage Le 16 août 2000, l'incident s'était déroulé au moment où M. Chrétien visitait une foire agricole à Charlottetown. Le premier ministre est entré dans un édifice et a commencé à serrer des mains. Un homme est alors sorti de la foule et lui a jeté une tarte en plein visage. La GRC avait alors reconnu qu'un tel incident n'aurait jamais dû se produire. Toutefois, ce n'était pas la première fois que l'on constatait des failles dans la protection du premier ministre. En 1996, M. Chrétien avait empoigné au cou un manifestant lors d'un rassemblement prévu pour fêter le drapeau canadien, à Hull. PHOTO JUSTIN TANG, LA PRESSE CANADIENNE Jean Chrétien L'année précédente, sa femme Aline s'était retrouvée face à face avec un intrus armé d'un couteau qui était entré dans la résidence officielle du premier ministre. Chris Mathers, un agent de la GRC à retraite et président d'une firme de consultants, dit que l'incident de 2000 démontrait que M. Chrétien demeurait rarement dans « sa boîte de protection » Justin Trudeau, lui, restait dans le périmètre du service de protection, sans doute parce qu'il était fils d'un premier ministre. Il était bien au courant des menaces contre les politiciens. « Si l'on reste dans le périmètre, on court moins de risque d'être confronté par quelqu'un armé d'une tarte, d'un couteau, d'un fusil ou d'une bombe », dit M. Mathers. La commissaire adjointe de la GRC, Michèle Paradis, directrice générale de la Police de protection, dit que les forces de l'ordre doivent garder « un équilibre précaire » entre la protection des élus et l'accessibilité des citoyens. « Si les députés ou les ministres ne vont plus rencontrer leurs électeurs, cela entraînera des conséquences sur la démocratie, reconnaît-elle. Mon rôle est d'assurer que nos agents soient bien équipés pour arrêter une menace et aient la présence d'esprit de la repérer. Elle rappelle qu'en 2019, les agents avaient rapidement neutralisé une personne qui s'était trop approchée de M. Trudeau lors d'un défilé à Montréal. Mme McKenna préférait la création d'un service de protection indépendant dont le rôle serait de protéger uniquement le premier ministre et les ministres fédéraux. Elle souhaite que la Chambre des communes adopte le projet de loi sur les préjudices en ligne et tient les réseaux sociaux responsables des menaces affichées sur leur plateforme. Elle espère que les politiciens cesseront de se lancer des attaques personnelles entre eux dans le seul but de mousser leur popularité sur les réseaux sociaux. « Ces attaques personnelles aident les gens à déshumaniser les uns et les autres. Si c'est correct de dire des choses horribles sur des gens, alors c'est correct de crier après eux dans la rue et de les menacer. »

La souveraineté n'est pas une « baguette magique », clame Pablo Rodriguez
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(Québec) À un peu plus d'un an des prochaines élections, on voit déjà se dessiner à l'horizon un affrontement entre le Parti québécois (PQ) et le Parti libéral du Québec (PLQ), où la souveraineté sera au cœur des débats. Le chef libéral Pablo Rodriguez veut d'ailleurs s'attaquer à l'indépendantisme qui est en montée chez les jeunes. Thomas Laberge La Presse Canadienne « Le PQ présente souvent la souveraineté comme si c'était une baguette magique, comme une solution à tout », lance le chef libéral en entrevue avec La Presse Canadienne. Mais ce n'est pas en se séparant qu'on va régler la pénurie de logements. Ce n'est pas en se séparant que nos jeunes vont avoir accès plus facilement à une première maison. Ce n'est pas en faisant la souveraineté que Donald Trump ou que l'inflation va disparaître et qu'on ne sentira pas les effets des changements climatiques Pablo Rodriguez Le chef libéral tenait à faire une sortie publique après la publication d'un article dans La Presse indiquant une montée du souverainisme chez les jeunes. Les données provenant d'un sondage CROP, et dont La Presse Canadienne a obtenu copie, montrent que 56 % des 18-34 ans sont favorables à la souveraineté du Québec. Toutefois, le même coup de sonde indique que seuls 47 % des jeunes voteraient Oui lors d'un référendum. L'enquête a été menée en juillet et en août auprès de 1000 répondants. François Legault « l'allié objectif du PQ » Mais comment freiner cette montée ? Les Québécois doivent tout d'abord congédier le gouvernement caquiste, clame le chef fédéraliste. « François Legault est un peu l'allié objectif du PQ en blâmant toujours le Canada et en passant son temps à démoniser le Canada plutôt que de trouver des solutions », affirme-t-il. Pablo Rodriguez évite toutefois de blâmer le Parti libéral fédéral – son ancienne formation politique – pour la montée de l'indépendantisme même si ce dernier est vertement critiqué par le PQ et la CAQ pour sa centralisation, ses politiques empiétant sur les champs de compétence des provinces et le fait qu'il n'en fait pas suffisamment dans le dossier de l'immigration. « Le fait qu'on ait cessé d'être un leader au sein du Canada est un problème parce que, à mes yeux, le Québec ressort toujours gagnant lorsqu'il assume un rôle de leader au sein du Canada plutôt que de suivre la parade et c'est pas ça qu'on a vu, sous le gouvernement de la CAQ », dit l'ancien ministre fédéral sous Justin Trudeau. Outre rappeler sa proposition de la chefferie de doubler le crédit d'impôt pour l'achat d'une première maison, Pablo Rodriguez avait peu d'idées tangibles à mettre de l'avant lors de l'entrevue pour séduire les jeunes et contrer la montée de l'indépendantisme. « Il y a une série de mesures qu'on va proposer », a-t-il assuré. « Le téléphone sonne » Le prochain rendez-vous électoral aura lieu en octobre 2026. Le PQ se maintient en tête des sondages depuis la fin de 2023, mais on a vu une remontée des libéraux depuis l'élection de Pablo Rodriguez en juin dernier. Le gouvernement Legault, pour sa part, a considérablement baissé dans les intentions de vote. L'agrégateur de sondages Qc125 indique même que la CAQ pourrait se retrouver sans aucun siège. « Je pense qu'on se dirige vers une élection plus traditionnelle entre fédéralistes et souverainistes ; entre le Parti québécois et le Parti libéral du Québec », soutient Pablo Rodriguez. La situation du PQ va favoriser le recrutement de candidats. L'ex-candidate vedette de Québec solidaire, la Dre Mélissa Généreux, par exemple, a indiqué à La Presse Canadienne qu'elle était déjà en discussion avec le parti en vue d'une éventuelle candidature. Qu'en est-il pour le PLQ ? « Le téléphone sonne », assure Pablo Rodriguez, reprenant une expression popularisée par son prédécesseur Marc Tanguay. « On a énormément de noms connus et moins connus dont vous allez entendre parler […] Je ne serai pas souvent à la maison ces temps-ci parce que j'ai beaucoup de soupers et de lunchs avec des gens qui sont intéressés à faire partie de l'équipe », dit-il. Le chef libéral rencontre les jeunes militants de son parti lors du congrès de la Commission-Jeunesse qui se tient en fin de semaine à Gatineau.

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