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EN DIRECT - France - Nouvelle-Zélande U20 : les Bleuets défient les Baby Blacks pour une place en finale de Coupe du monde

EN DIRECT - France - Nouvelle-Zélande U20 : les Bleuets défient les Baby Blacks pour une place en finale de Coupe du monde

Le Figaroa day ago
17:24
Le XV de départ des Bleuets avec Brau-Boirie !
Quatre changements opérés chez les titulaires par rapport à la victoire face à l'Argentine (52-26), mercredi dernier. Derrière, le Bayonnais Xan Mousques remplace Nolann Donguy, tandis que Fabien Brau-Boirie (grande révélation de la saison de Top 14 avec Pau) est titularisé en premier centre au profit du Vannetais Robin Taccola. La charnière Daroque-Keletaona, très intéressante lors du troisième match de la phase de poules, est reconduite.
Devant, Mezou remplace Sanson (blessé face aux Pumitas) et est nommé capitaine, quand Samuel Jean-Christophe tiendra le poste de pilier droit. Également sorti sur blessure contre les Argentins, Akrab est finalement bien présent.
Le XV de départ des Bleuets : Echegaray ; Mousques, Gourgues, Brau-Boirie, Lévêque ; Keletaona, Daroque ; Deliance, Ibsaeine, Britz ; Mezou (cap), Kante-Samba ; Megherbi, Akrab, Jean-Christophe.
Remplaçants : Garault, Jabea Njocke, Alifanety, Lanen, Bissu, Tilloles, Jurd, Daunivucu.
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La Coupe des champions et la Challenge Cup ont partagé le calendrier des rencontres de phases de groupes pour la saison 2025-2026. Les premiers matches auront lieu le vendredi 5 décembre. En France, l'Aviron Bayonnais et le Racing 92 lanceront les hostilités. L'EPCR (European Professional Club Rugby) a dévoilé le calendrier complet des rencontres des phases de poules de l'Investec Coupe des champions et de l'EPCR Challenge Cup pour la saison 2025-2026. Ces deux compétitions commenceront le week-end des 5, 6 et 7 décembre et se termineront à Bilbao, lors des finales au stade San Mamés, les vendredi 22 et samedi 23 mai 2026. La première journée de Coupe des champions, réunissant 24 équipes dont 10 précédents vainqueurs qui cumulent 25 titres, sera lancée le vendredi soir par une rencontre opposant les Sale Sharks et les Glasgow Warriors au Salford Community Stadium. Dans le même temps, avec un coup d'envoi une heure plus tard (21h, diffusé sur beIN Sports), un match inédit opposera l'Aviron Bayonnais et les DHL Stormers (Afrique du Sud) au Stade Jean-Dauger. Un déplacement en Afrique du Sud d'entrée pour l'UBB Le lendemain, les champions en titre, l'Union Bordeaux-Bègles, entameront la défense de leur sacre par un déplacement en Afrique du Sud chez les Vodacom Bulls, au Loftus Versfeld. Leur campagne se poursuivra avec des matches à domicile contre les Scarlets et un remake de la finale de la saison dernière face aux Northampton Saints, battus 28-20 le 24 mai dernier, lors de la troisième journée au Stade Chaban-Delmas. Leur dernier match de la phase de poules sera contre les Bristol Bears à l'Ashton Gate. Le Stade Toulousain, sextuple vainqueur de l'épreuve et récemment sacré en Top 14, accueillera lors de la première journée les Hollywoodbets Sharks d'Afrique du Sud au Stade Ernest Wallon le dimanche 7 décembre (16h15, diffusé sur France Télévisions et beIN Sports). La campagne des Toulousains en phase de poules comprend également des matches contre les Glasgow Warriors, les Saracens et les Sale Sharks.

Embiid aux JO avec les Bleus : «Ça venait de plus haut», Collet admet la pression politique
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L'ancien sélectionneur des Bleus, Vincent Collet, ne regrette pas que le pivot Joel Embiid, MVP en NBA, ne soit pas allé au bout de son idée de représenter l'équipe de France aux Jeux olympiques. Joel Embiid n'a pas joué pour l'équipe de France, et c'est tant mieux aux yeux de Vincent Collet. L'ancien sélectionneur des Bleus (2009-2024) est revenu sur ce dossier qui avait agité le basket tricolore en amont des Jeux olympiques de Paris. À l'été 2022, le pivot camerounais, né à Yaoundé, avait obtenu un passeport français. Il avait toutefois obtenu un troisième passeport, américain cette fois, quelques mois plus tard, et a finalement choisi de représenter les États-Unis aux JO. «J'étais heureux qu'Embiid ne soit pas venu l'an dernier», a confié Collet à BasketNews . Et ce même si le joueur de Philadelphie, élu MVP de NBA en 2023, était alors l'un des meilleurs basketteurs au monde. Publicité Naturaliser des joueurs, «ce n'est pas juste» Collet, 62 ans, ne cache pas son aversion quant à l'idée de naturaliser des joueurs sans véritable lien avec le pays en question, comme de nombreuses nations européennes, dont l'Espagne, ont pris l'habitude de faire. «Pour moi, ce n'est pas juste», tranche Collet, qui révèle avoir ressenti une certaine pression politique. «Ça venait de plus haut (que moi), du ministère. C'était vraiment gros. Ils pensaient que c'était, pour nous, une garantie d'être plus forts. Mais ce n'était pas si évident pour moi», explique-t-il. «Nous avions de très bons intérieurs» en équipe de France, rappelle Collet, citant Victor Wembanyama, Rudy Gobert, Vincent Poirier et Moustapha Fall. «Ça aurait bouleversé l'équipe. Embiid est un joueur fantastique, mais au niveau de l'esprit d'équipe...», synthétise l'homme qui a guidé les Bleus vers leur unique titre de champion d'Europe (2013). Embiid, auteur d'un tournoi olympique correct à Paris, avait décroché la médaille d'or avec les États-Unis en battant la France en finale (98-87), dans un scénario similaire à la finale des Jeux de Tokyo, en 2021. Frédéric Fauthoux a succédé à Vincent Collet au poste de sélectionneur à l'issue des JO de Paris.

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Double champion du monde avec les All Blacks, ex-star du XIII, le néo-zélandais Sonny Bill Williams n'a plus rien à prouver côté sport. Pourtant, il semble en avoir encore à prouver à lui-même : à bientôt 40 ans, il disputera un 11e combat de boxe pro, mercredi à Sydney. Il y a presque dix ans, en octobre 2015, Sonny Bill Williams remportait sa deuxième Coupe du monde consécutive de rugby avec la Nouvelle-Zélande. Dès le match d'ouverture face à l'Argentine, il était entré à la 46e minute et avait effectué pas moins de 11 passes après contact en 34 minutes. Preuve de son brio. Ce joueur né à Auckland, doté d'un beau gabarit (1,91 m pour 110 kg), a su imposer son style en rugby : attaquer la ligne, mobiliser l'attention des défenseurs puis étendre ses longs bras pour assurer la passe à un coéquipier venu à sa hauteur. À Twickenham, en 2015, durant le tour d'honneur des All Blacks, un môme qui était entré sur le terrain pour le saluer s'était fait plaquer par un stadier. Sonny Bill Williams l'avait pris dans ses bras puis lui avait offert sa médaille. « Le coach m'a dit après coup qu'elle était en or véritable, confessait SBW. Bof, tant pis... La médaille ne fait pas tout. J'étais fier d'avoir gagné, je me suis dit : "Pourquoi ne pas faire la soirée de ce petit gars ?" Il pourra raconter l'histoire à ses enfants. C'est mieux que de la laisser prendre la poussière suspendue à un mur. » Inconnu en France, star en Australie Détaché des apparats et de ce titre de champion du monde d'un sport qu'il avait découvert sept ans auparavant au RC Toulon. C'est Mourad Boudjellal qui avait fait venir SBW en 2008, il était inconnu en France, mais une star du rugby à XIII en Australie. Un centre alliant puissance brute, agilité et intelligence de jeu, devenu l'attraction de la National Rugby League (NRL) australienne. Entre rugby à XV et XIII, Sonny Bill Williams a multiplié les aller-retours, comme s'il refusait de se laisser enfermer. Il a remporté le Super Rugby en 2012 avec les Chiefs et un titre de NRL avec les Sydney Roosters en 2013, cumulé 58 sélections avec les All Blacks, mais aussi 12 sélections avec les Kiwis, l'équipe nationale de XIII, avec laquelle il a disputé la finale de la Coupe du monde en 2013. Insatiable et soucieux de marquer le sport néo-zélandais de son empreinte, Sonny Bill Williams a aussi tenté l'expérience du rugby à 7, accumulant 12 sélections au sein des All Blacks Sevens, au point d'être sélectionné lors des Jeux olympiques de Rio en 2016. Mais dès le premier match face au Japon, il se rompt le tendon d'Achille et doit abandonner la compétition. Boulimique d'efforts, animé d'un grand besoin de reconnaissance, ce fils d'une Néo-Zélandaise et d'un Samoan avait, en parallèle, entamé une carrière en boxe professionnelle, catégorie poids lourds, dès mai 2009. Il y compte aujourd'hui dix combats (9 victoires, 1 défaite) face à des adversaires modestes, hormis le Sud-Africain Frans Botha (ancien adversaire de Mike Tyson), qu'il avait battu en dix rounds en février 2013 à Brisbane. Ou encore face à Mark Hunt, star néo-zélandaise de la boxe pied-poings, face auquel il a subi un K.O., d'une droite à la pointe du menton, en novembre 2022 à Sydney. Nouvelle-Zélande contre Australie Sonny Bill Williams n'a plus combattu depuis. Il aura 40 ans le 3 août prochain, mais s'apprête à remonter sur un ring mercredi soir à la Qudos Arena de Sydney, une arène de près de 20 000 places. En tête d'affiche. Et en pay-per-view. Il a été pesé hier soir à 106 kilos contre 105 pour son adversaire Paul Gallen. Au plan pugilistique, ce combat n'a pas grand intérêt. Malgré tous ses efforts, SBW n'est jamais parvenu à convertir l'agilité, l'explosivité et le coup d'oeil dont il faisait preuve sur le terrain entre les cordes d'un ring. Mais ce combat intrigue et fascine l'Australie, la Nouvelle-Zélande et toute l'Océanie par son storytelling : la rivalité et l'animosité avec son opposant australien, lui aussi ancienne figure du XIII. En 2013, Sonny Bill jouait pour les Bulldogs et les Roosters ; Paul Gallen, lui, était une icône des Cronulla Sharks, avec lesquels il a remporté le titre NRL en 2016. La comparaison permanente de leurs performances et de leur aura a fait naître un antagonisme d'autant plus fort que Gallen, lui aussi, s'est aventuré sur les rings, où il compte 18 combats (15 victoires, 2 défaites, 1 nul). Face à des adversaires indigents, hormis Mark Hunt _ encore lui _ qu'il a battu aux points en six rounds en décembre 2020. « Je veux boxer Sonny, mais il ne répond jamais », martelait Gallen en 2013. Diplomate, Williams répondait alors : « Je respecte Paul en tant qu'athlète, mais je choisis mes combats en fonction de ma progression. » Nouvelle punchline de Gallen en 2015 : « Sonny parle beaucoup de foi et d'honneur, mais il fuit le ring. » « Je n'ai jamais esquivé un combat. Je veux juste que ce soit le bon moment » Sonny Bill Williams Et il est revenu à la charge en 2019, conscient qu'il y a une bonne bourse à prendre vu l'enjeu médiatique : « Sonny est un bon athlète, mais pas un vrai boxeur. Il choisit des adversaires faibles. Il n'osera jamais m'affronter. Trop d'ego, trop d'image à protéger. » SBW était alors sorti de son mutisme, sur un ton plutôt défensif : « Je n'ai jamais esquivé un combat. Je veux juste que ce soit le bon moment. » En mai dernier, le combat a été signé. Donc, ces dernières semaines, Gallen a poursuivi son travail de sape mental : « Sonny parle de droiture, mais il a admis avoir pris de la drogue pour gérer le stress. » Virées de défonce prolongée Une allusion aux confessions de SBW dans sa biographie You Can't Stop the Sun from Shining, parue en 2021. Williams y confesse avoir pris des somnifères, bu de l'alcool, consommé de la cocaïne et des antidouleurs. Être aussi parfois parti en « bender », ces virées de défonce prolongée, « du vendredi soir au lundi matin ». Cette période l'a mené à un profond sentiment de vide intérieur qui explique sa quête spirituelle et sa conversion à l'islam. « T'es une ordure, t'es une merde ! » Paul Gallen au sujet de Sonny Bill Williams Comme un hacker mental et à l'aise dans le rôle du « bad guy » Gallen a porté d'autres piques lundi en accusant Sonny Bill Williams de vanter ses actions communautaires tout en profitant des petites entreprises. « Tu gagnes des centaines de milliers de dollars, t'es millionnaire - et tu fais payer les gens pour faire des critiques culinaires sur les réseaux sociaux ? Tu vas dans des petits commerces, tu es censé les aider, mais de ce qu'on m'a dit, tu les factures entre 2 000 et 3 000 dollars. T'es une ordure, t'es une merde ! » Williams est resté impassible. « Pour moi, tout se jouera mercredi sur le ring. La boxe n'est pas ma vie, le rugby non plus. Je suis moi-même, un homme libre et en quête de progrès. Ce n'est pas naturel pour moi de dénigrer quelqu'un. 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