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« Il a fait un geste que je n'oublierai jamais » : Luis Diaz confie sa douleur après la mort de Diogo Jota

« Il a fait un geste que je n'oublierai jamais » : Luis Diaz confie sa douleur après la mort de Diogo Jota

L'Équipe7 days ago
Partenaire de Diogo Jota à Liverpool, Luis Diaz a raconté la douloureuse période qu'il traverse depuis la mort du Portugais, avec qui il entretenait « une grande amitié » et « une rivalité saine ». Sans s'exprimer sur son absence aux obsèques, qui a fait parler.
Les mots forts de Luis Diaz pour son équipier décédé. Le Colombien de 28 ans s'est exprimé sur la chaîne de télévision colombienne Win Sports TV quelques jours après la mort du Portugais et de son frère dans un accident de la circulation, jeudi dernier. L'ailier de Liverpool a confié traverser une période difficile depuis qu'il a appris la tragédie au réveil. « Ça fait très mal, a-t-il confirmé. J'ai fondu en larmes. »
Le Red a ressenti une « immense douleur ». « C'est très difficile d'apprendre des nouvelles comme celle-là, très triste. Personne n'est préparé à ça. Il a été un partenaire important lors de mon arrivée à Liverpool. Sa famille m'a accueilli chaleureusement et nous avons noué une grande amitié. On entretenait une rivalité saine. »
Une relation telle que Jota avait brandi un maillot de Luis Diaz, le numéro 7 des Scousers, après un but alors que son père avait été enlevé en Colombie, en octobre dernier. « Un geste que je n'oublierai jamais », a souligné le Colombien. S'il lui avait rendu hommage dès jeudi sur Instagram, il ne s'était pas rendu aux obsèques, ce qui lui a été reproché sur les réseaux sociaux.
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Double vainqueur de la Grande Boucle, Jonas Vingegaard axe son entraînement en fonction du parcours. Il a fait le match sur les étapes explosives, son point faible, et retrouve à partir de ce lundi un enchaînement de difficultés qui lui convient. Le parcours du Tour est-il taillé pour Jonas Vingegaard ? La question se pose à chaque mois d'octobre, quand les organisateurs présentent le parcours de l'édition à venir, et les projections vont bon train, à estimer que telle journée est sans doute idéale, quand une autre convient davantage à son rival Tadej Pogacar. C'est le jeu, mais les coaches de Visma-Lease a bike en ont un autre : comment modeler leur leader (28 ans), double vainqueur de l'épreuve (2022, 2023), pour qu'il se conforme au parcours du prochain Tour ? Adapté aux Grands Tours Car le Danois « est vraiment adapté aux Grands Tours », commence Grischa Niermann, directeur sportif en chef de l'équipe néerlandaise et ancien coureur. Peut-être même « le meilleur pour les Grands Tours », expliquait Mathieu Heijboer, directeur de la performance, avant la chute du coureur au Tour du Pays basque, en avril 2024, et donc la reprise de pouvoir de Pogacar lors de l'été suivant. Le Slovène est le meilleur coureur du monde, partout, et ces propos sont donc à nuancer depuis, mais Vingegaard aussi paraît extrêmement complet sur une course de trois semaines. « Avant le Tour, on regarde quelles sont les étapes les plus importantes pour lui, celles où il ne doit pas dépenser d'énergie ou celles où il peut attaquer, celles qui sont un peu plus risquées ou celles qui sont plutôt des opportunités, poursuit Heijboer. À partir de là, si ce sont des bosses qui représentent vingt ou trente minutes d'efforts, eh bien on va travailler sur ça. On commence dès décembre et les premiers stages pour préparer le Tour. Le staff a alors déjà analysé tout le parcours et il est déjà assez clair pour l'équipe de performance qu'on doit travailler plutôt tel ou tel aspect, car il y en a besoin pour le Tour. » Ce fameux plan, que les Néerlandais répètent à longueur de journée comme un mantra sur la Grande Boucle, est ainsi présenté aux coureurs dès l'hiver. « Il y a des discussions, évidemment, mais c'est nous, la cellule performance, qui préparons le plan. Et les coureurs comprennent pourquoi on les entraîne comme ça », explique le directeur de la performance, diplômé de l'université de Maastricht en Sciences du mouvement humain. L'explosivité pour lutter avec Pogacar La première semaine de l'édition 2025 a vite allumé certaines alertes. Boulogne-sur-Mer (2e étape), Rouen (4e), Vire (6e), Mûr-de-Bretagne (7e) : autant d'arrivées pour puncheurs. Donc pour Pogacar. Alors Vingegaard a travaillé son explosivité, pas une qualité naturelle chez lui, plus léger et moins musclé du bassin que son rival. D'autant plus qu'il avait perdu beaucoup de muscles à la suite de sa chute au Pays basque et qu'il avait donc pris part au Tour 2024 en sachant qu'il serait moins fort sur ce point. Cet hiver, il a ainsi passé beaucoup de temps en salle de sport, afin de regagner de la masse musculaire. « Et il est plus ou moins de retour à son corps d'avant la chute, donc nous en sommes très heureux, disait en mai son directeur sportif. On espère qu'il sera à nouveau plus explosif cette année. » Il l'a été, toujours dans la roue du champion du monde sur ces étapes cochées. Le même raisonnement s'était appliqué en 2023 : Vingegaard avait beaucoup travaillé son punch à l'hiver, « il avait fait son meilleur effort sur dix minutes en avril lors du Tour du Pays basque, et il a ensuite "emporté" ça au Tour sans qu'on ait à le retravailler spécifiquement », rembobine le directeur de la performance. L'obligation d'être complet Sans le retravailler ensuite, « car si on se concentre un point, on va devoir délaisser autre chose », prévient Heijboer. Or, le Tour est un condensé de tous les profils, et quand on a interrogé Niermann sur ce que priorisait son leader, en mai, en camp d'altitude en Sierra Nevada (Espagne), la réponse de l'Allemand a fusé : « En gros, tout. Ce Tour propose une première semaine avec beaucoup d'étapes piégeuses, aux montées raides. Puis vous avez de très longues ascensions, des journées à plus de 5000 mètres. Un contre-la-montre tout plat, un autre en montée... Il faut être très polyvalent pour remporter ce Tour. Donc on travaille tout, car on ne peut pas ''modifier'' un coureur pendant la course, le vouloir punchy en première semaine puis plus grimpeur les deux autres. Pendant une saison, oui, comme avec Matteo Jorgenson (actuel 5e du général), d'abord concentré sur les classiques puis en mesure d'être bon pour le Tour l'été. 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Le choc est général. Le Paris Saint-Germain a lourdement chuté (3-0) face à Chelsea en finale de la Coupe du monde des clubs, dimanche soir. Et si la presse anglaise savoure évidemment le sacre londonien, elle ne l'érige pas encore en triomphe total. Cette discrétion en dit long : la compétition créée par Gianni Infantino reste à la recherche de légitimité sur le vieux continent. Ainsi, The Guardian met davantage l'accent sur la victoire de Jannik Sinner à Wimbledon et la qualification de l'équipe d'Angleterre pour les quarts de l'Euro féminin. Il faut creuser un peu pour lire que « Chelsea est au sommet du monde », notamment grâce à un Cole Palmer étincelant, auteur de « deux buts presque jumeaux, inscrits avec une facilité déroutante ». The Sun, lui, ne se prive pas de célébrer : les Blues sont « CHAMPIONS DU MONDE », titre le tabloïd, qui décrit Palmer comme un « don » pour le football anglais. Sky Sports, de son côté, évoque une « victoire éclatante », soulignant l'incapacité du PSG à contenir « l'intensité infernale » imprimée par les hommes d'Enzo Maresca. En Espagne, la défaite parisienne est largement couverte, surtout sous l'angle des tensions d'après-match. Marca évoque une « surprise planétaire », mais retient surtout la question qui agite les observateurs : « Qu'est-il arrivé à Lucho ? » , en référence à l'altercation entre Luis Enrique et Joao Pedro . Sport, de son côté, déplore que « la fête footballistique s'est terminée de la pire des manières » pointant des joueurs parisiens « désespérés et déstabilisés par l'humiliation footballistique subie. » Même ton alarmé en Allemagne, où Kicker constate que « Paris est passé à côté de son sujet » et qualifie la performance des Parisiens de « très en dessous de leur niveau ». Bild fustige également « des scènes scandaleuses », en écho aux incidents ayant éclaté au coup de sifflet final. En Italie, l'attention médiatique est largement monopolisée par la victoire historique de Jannik Sinner à Wimbledon contre Carlos Alcaraz. Mais quelques lignes sont tout de même consacrées à la démonstration de Cole Palmer, surnommé « Super Palmer » dans certaines colonnes. La Gazzetta dello Sport revient aussi sur la tension survenue à la fin du match, évoquant un « chaos final » où Luis Enrique aurait « perdu son sang-froid », une analyse partagée par Tuttosport. Enfin, Sport et Marca s'accordent sur le fait que cette lourde défaite, bien qu'inattendue, laissera des traces.

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