
Cavapapa : Un restaurant et bar à vins tenu par un sommelier-cuisinier passionné !
C'est dans une ancienne épicerie du début du XXe siècle que Laurent Tisserand a ouvert Cavapapa il y a quelques mois. Avec ses vieilles étagères en bois et ses barres dorées en laiton, le lieu est un voyage dans le temps et le patrimoine. Des objets de récupération en lien avec l'univers du vin complètent cette décoration d'antan. Le fruit d'une longue histoire pour cet ancien ingénieur devenu sommelier : «J'avais envie de changer de vie. Ouvrir un bar a toujours été un rêve pour moi. Il y a 8 ans, un caviste s'est installé en bas de chez moi et c'est la rencontre la plus importante de ma vie. Il m'a donné le goût du vin et est devenu mon mentor. C'est grâce à ses conseils que je suis devenu sommelier».
La carte change très souvent, au fil des arrivages et des envies de Laurent Tisserand.
Comenrégions
1200 bouteilles
Depuis, après diverses expériences dans la restauration et un diplôme de sommelier-conseil de l'Université du vin, Laurent parle longuement de sa passion qu'il transmet aux clients, table par table. Sur demande, il propose aussi des cours d'œnologie en groupe : «J'aime transmettre, ça me tient à cœur. Le vin, c'est un patrimoine français. Il est donc important pour moi que les gens ressortent en ayant appris quelque chose». Les clients adorent et ont le choix parmi les 180 références proposées, soit 1200 bouteilles majoritairement françaises et soigneusement sélectionnées. «J'ai une gamme au verre quasiment illimitée. J'ouvre en fonction des goûts de chacun et des accords possibles.»
La «Panna cotta comme au cinéma» servie avec une montagne de pop-corn.
Comenrégions
Équilibré et goûtu
En cuisine, il travaille selon les produits de saison des producteurs. S'inspire de souvenirs d'enfance, cherche des associations, laisse parler son imagination, expérimente : «C'est simple mais avec du goût. Le plus important pour moi, c'est que ce soit équilibré et goûtu». La carte change très souvent, au fil des arrivages, de ses envies et de ses humeurs. L'été, son entrée signature, «La Tomate endiablée», qui associe la tomate au piment, ne laisse pas indifférent !
Ce joli restaurant invite à un voyage dans le temps et le patrimoine mais aussi à danser lors de soirées musicales improvisées.
Comenrégions
Soirées festives
On apprécie aussi son agneau confit, son fish and chips fumé et ses tagliatelles printanières. En dessert, sa «Panna cotta comme au cinéma» est servie avec une montagne de pop-corn ! Des mets que l'on savoure dans une ambiance conviviale et amicale, notamment lors de soirées musicales improvisées. «On pousse les tables et les gens dansent ! C'est festif comme j'aime. Je suis un grand enfant : je joue, je rigole, je fais des blagues ! Je suis joyeux mais sérieux…». Tout est dit !
Ouvert de 12h à 15h les vendredis et samedis, et de 19h à 1h du mardi au samedi. De 15h à 22h le dimanche.
Infos :
4, rue d'Alleray, 75015 Paris
Tél. : 01-48-42-48-30
Mail : contact@cavapapa.fr
Instagram : @cavapapa_
https://www.cavapapa.fr/
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Pour ou contre : le slip de bain pour homme ?
On pensait le short de bain indétrônable. Pourtant, cet été 2025, c'est son cousin le slip qui reprend du poil de la bête, allant jusqu'à séduire les célébrités. Alors, parti pris vestimentaire ou véritable faute de goût ? Deux journalistes mode de Madame Figaro tranchent. Partout sur les plages dans les années 1950, hilarant dans sa version kangourou et léopard sur Tarzan, avant d'être tourné au ridicule au cinéma et dans la pop culture... Le slip, tout comme sa déclinaison swimwear, n'a jamais été un vêtement qu'on a laissé en paix. Malgré tout ce qu'on peut lui reprocher, il a tout l'air de signer son grand retour cet été. La faute aux récents défilés de mode, mais aussi aux célébrités à l'instar de Cruz Beckham qui, affalé sur son yacht familial amarré à Saint-Tropez, a décidé il y a quelques jours de fièrement exhiber un slip de bain Prada. Quitte à la rendre (enfin) cool ? Une question loin de mettre tout le monde d'accord, notamment deux journalistes de Madame Figaro. Pour : l'avis du journaliste mode Augustin Bougro «Au cours des années 1950, à une époque où Brigitte Bardot bouscule les mœurs en osant le bikini sur les plages de la Côte d'Azur, le slip de bain pour homme prend doucement du galon. Moulant, échancré, taille haute et coloré, ce sous-vêtement d'été incarne ce besoin de liberté ressentit par la jeunesse d'après-guerre. Après avoir été abandonné au profit des bermudas de bain - la faute, en partie, au cinéma qui a longtemps fait du slip le symbole du ringard sur les plages -, le constat est sans appel : le slip de bain est de retour en 2025. La faute, très certainement, à la génération Z, fascinée par son côté décomplexé, pour ne pas dire audacieux. Publicité D'ailleurs, si on est attentif à la mode masculine, on remarque facilement que les bas se raccourcissent : le bermuda laisse place au short, le short au microshort, et le microshort au slip. J'aime cette idée d'assumer entièrement ses jambes sur la plage, sans craindre le regard des autres. J'aime aussi cette volonté d'assumer entièrement qui on est avec cette pièce, que ce soit la façon dont on se présente aux autres, les formes de notre corps, notre pilosité plus ou moins apparente, notre besoin de confort. Et qu'on se le dise, porter le slip de bain, c'est aussi en finir avec les petits désagréments liés au short, comme ce moment gênant où il faut le décoller de ses cuisses après une baignade, ou devoir supporter les modèles 'palmiers' démodés depuis la fin des années 2010. À bien y réfléchir, le slip de bain pour homme en 2025 incarne peut-être ce que le bikini était pour les femmes en 1950. Une sorte d'alternative drastique pour tourner en dérision le qu'en-dira-t-on et vivre comme on l'entend. Rien de plus inspirant à l'heure où les réseaux sociaux ne cessent de cultiver des standards de beauté toujours plus inatteignables, anxiogènes et ridicules. Aux slips, citoyens !» Défilé Jacquemus homme printemps-été 2019. (Marseille, le 25 juin 2018.) WWD / Penske Media via Getty Images Contre : l'avis de la journaliste mode Lou Revel «Plébiscité par les maisons de mode et mis en scène sur les podiums, le slip de bain s'impose comme la pièce phare de l'été. Pourtant, difficile pour moi de partager cet enthousiasme. D'abord, il faut admettre qu'il n'est pas tendre avec tout le monde. Il demande un corps athlétique, des jambes sculptées, une confiance maximale. Sur un mannequin, sous la lumière étudiée d'un défilé, cela fonctionne assurément. En revanche, sur la plage, au milieu des corps «réels», il devient impitoyable. Le short de bain, court ou long, a cet avantage de convenir à toutes les morphologies, de flatter sans trop en montrer. Ensuite, c'est une question de confort et de pudeur. Je préfère voir un homme en short, parce que le short laisse un peu d'espace : on y glisse une clé, un portable, on peut s'y promener sans donner l'impression d'être prêt à monter sur un podium de culturisme. Avec un slip, difficile d'échapper à cette sensation d'exposition permanente. Et puis, il y a l'image du slip de bain qui reste. Je ne peux m'empêcher de penser à Franck Dubosc dans Camping (2006), à Christian Clavier dans Les Bronzés (1978), ou encore à ces rugbymen goguenards en «Budgy Smuggler» aux teintes criardes, cette marque volontairement kitsch qui propose tout un lot de maillots de bain pour rugbymen. Bien sûr, les maisons de luxe s'efforcent de dépoussiérer son image, mais dans l'inconscient collectif, il reste une pièce à la limite du bon goût. Mal porté, il tombe rapidement dans les bas-fonds du comique. Alors oui, le slip de bain, c'est audacieux, mais selon moi, l'élégance masculine réside parfois dans ce qu'on ne montre pas. Un short bien coupé, sobre, qui laisse entrevoir sans tout dévoiler, me semble bien plus séduisant. À la plage, on peut être libre… sans forcément tout afficher.»


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Projection du film Barbie annulée à Noisy-le-Sec : «Jusqu'où ira la soumission face à l'islamisme ?»
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