
Mondiaux de natation : la scène cocasse de Léon Marchand avec son chèque de 30.000 dollars après son record
Journée payante pour Léon Marchand ce mercredi aux mondiaux de Singapour. Le quadruple champion olympique a non seulement performé sportivement en se qualifiant pour la finale du 200 mètres quatre nages et en pulvérisant le record du monde de la discipline (1'52''69 contre 1'54''00 auparavant) mais il a aussi touché une belle somme d'argent.
En effet, un chèque de 30.000 dollars lui a été remis à l'issue de sa course alors qu'il était encore en tenue et face à la foule tout acquise à sa cause. Le nageur toulousain sera de retour jeudi aux alentours de 13h21 pour la finale. «Ça va être une finale relevée, il y a tous mes potes dedans. Ça va être cool», a-t-il d'ores et déjà annoncé.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


L'Équipe
26 minutes ago
- L'Équipe
Tahiti Pro : Kauli Vaast et Vahine Fierro très attendus
Le champion olympique Kauli Vaast et la tenante du titre Vahine Fierro sont les têtes d'affiche de la Tahiti Pro, 11e manche du circuit pro qui débute, ce jeudi, à Teahupo'o. Et sur des vagues monstrueuses. Six Français sont en lice, dont cinq Polynésiens. Un an tout pile après être devenu champion olympique, Kauli Vaast est de retour à Teahupo'o, spot où les vagues sont annoncées monstrueuses en cette fin de semaine. Les femmes seront d'ailleurs épargnées ce jeudi. Le Français a obtenu une wild-card pour la Tahiti Pro, 11e et dernière manche de la saison régulière du circuit pro. Lui qui s'était hissé en finale en 2023 tentera de récidiver son exploit des Jeux, alors que tous les projecteurs seront braqués sur lui. Pour son entrée en lice, le surfeur de Vairao, qui navigue encore sur le circuit des Challenger Series, antichambre de l'élite, sera opposé dans la série 2 au Japonais Kanoa Igarashi (n°3 mondial) et à l'Américain Jake Marshall. Il ne sera pas le seul Français, loin de là. Vainqueur des trials, Mihimana Braye affrontera dans la série 3 l'actuel numéro 2 mondial, Jordy Smith, ainsi que le Californien Crosby Colapinto. Finaliste des Trials et repêché à la suite du forfait d'Alejo Muniz et au refus de Gabriel Medina de se déplacer à Teahupo'o, Teiva Tairoa sera de la fête, contre le numéro un mondial Yago Dora et le rookie Joel Vaughan (série 4). Un an après, Teahupo'o surfe toujours sur la vague Paris 2024 Dans le dernier heat (8), le pensionnaire du CT Marco Mignot inaugurera sa première à Teahupo'o en compétition face à l'Australien Jack Robinson - finaliste malheureux aux JO de Paris - et à l'Hawaiien Barron Mamiya. « Il faudra s'engager, ce sera beaucoup d'action. Je vais aussi défendre mon titre, j'espère en gagner le plus possible à Teahupo'o » Vahine Fierro Dans le tableau féminin, deux Tricolores seront au rendez-vous : Vahine Fierro et Kelia Gallina. La première, qui était dans l'élite lors de la première partie de saison, a obtenu une wild-card pour défendre son titre. En mai 2024, elle s'était brillamment imposée dans la passe de Havae. Cette fois, elle débutera face à l'Hawaiienne Gabriela Bryan et l'Australienne Tyler Wright. « Je suis contente de revenir à Teahupo'o et de surfer dans de bonnes conditions, nous a confié Fierro. Ça va peut-être être les meilleures vagues de ma vie. Dans ces grosses vagues, ça va être un beau challenge. Il faudra s'engager, ce sera beaucoup d'action. Je vais aussi défendre mon titre, j'espère en gagner le plus possible à Teahupo'o. Je vais aborder cette édition 2025 avec un nouvel état d'esprit. » La blondinette Gallina, qui a fait sensation en remportant les Trials à seulement 12 ans, fera ses grands débuts dans la cour des grands et sur la vague qui déferle au large devant sa maison. Au round 1, elle tentera de créer la surprise face à l'Australienne Molly Picklum et la Californienne Lakey Peterson.


L'Équipe
11 hours ago
- L'Équipe
« Sur la course d'élan, j'étais plus rapide que n'importe qui » : comment Jonathan Edwards s'est appuyé sur sa vitesse pour battre le record du monde du triple saut
Trente ans après l'avoir battu, Jonathan Edwards détient toujours le record du monde du triple saut (18,29 m). Dans un documentaire que consacre L'Équipe explore à cette performance, l'athlète britannique explique comment il utilisait sa vitesse pour retomber plus loin que ses concurrents. « Il y avait peut-être des athlètes plus rapides que moi sur 100 mètres mais personne n'était plus rapide que moi sur 30 mètres . » Inviter à dévoiler les secrets du record du monde du triple saut (18,29 m), une marque toujours inégalée trente ans après, Jonathan Edwards retient en premier lieu sa vitesse. « Sur la course d'élan, j'étais plus rapide que n'importe qui », insiste l'athlète britannique dans un documentaire de L'Équipe explore consacré à cette performance exceptionnelle. Par deux fois, lors du concours des Championnats du monde de Göteborg, le 7 août 1995, Edwards retombe au-delà des 18 mètres pour effacer l'ancienne marque de l'Américain Willie Banks (17,97 m) : 18,16 m au premier essai, 18,29 m au deuxième. Sur ce triple saut, sa vitesse a été mesurée à 37,83 km/h. « Je faisais un sprint intense, je me redressais, je prenais quelques pas pour me stabiliser, puis je décollais », déroule Jonathan Edwards, qui réussissait à entretenir cette vitesse au long de ses trois sauts et à la transformer en distance parcourue. Il aurait même pu gagner plusieurs centimètres si son pied d'appui était arrivé plus près de la planche.


L'Équipe
11 hours ago
- L'Équipe
En WNBA, les joueuses fulminent à la suite de jets de sex-toys pendant les rencontres
Trois rencontres de WNBA ont été interrompues, ces dernières semaines, à la suite de jets de sex-toys sur le terrain. Les joueuses se plaignent de ces agissements « immatures » et « dangereux ». « C'est ridicule, c'est stupide, c'est débile. » Lynne Roberts, la coach des Los Angeles Sparks, a assisté, incrédule, à un nouveau jet de sex-toy lors d'un match de WNBA, entre sa franchise et celle du Fever d'Indiana. La rencontre a été interrompue quelques instants, à l'instar de deux précédentes ces derniers jours, pour les mêmes raisons. « C'est aussi dangereux, a poursuivi Roberts. La sécurité des joueuses passe avant tout, le respect du jeu. » Une manie étrange, que la meneuse de Los Angeles, Kelsey Plum, préfère ignorer : « On a bien fait de continuer à jouer quand c'est arrivé. On ne doit pas y donner de l'attention. » Des risques de poursuite, d'après la WNBA La WNBA, citée par The Athletic, a déclaré avoir arrêté au moins une personne pour un jet de sex-toy sur un terrain. La ligue nord-américaine a également publié un communiqué, stipulant que toute personne commettant un tel acte était susceptible d'être bannie pendant un an de tous matches de basket, et risquait une arrestation ainsi que des poursuites judiciaires. Reste que la situation s'est à nouveau produite depuis. « C'est un manque total de respect, avait déclaré l'intérieure de Chicago, Elizabeth Williams, vendredi. Je ne comprends pas l'intérêt, c'est vraiment immature. » Plusieurs joueuses, à l'image d'Isabelle Harrison, ont également pris la parole pour réclamer davantage de sécurité autour du parquet, craignant d'être touchées par un projectile, quel qu'il soit.