
PSG-Real Madrid : «Paris, c'est la meilleure équipe du monde», reconnaît Thibaut Courtois
Thibaut Courtois (gardien du Real, après la défaite 0-4 contre le PSG en demi-finales de Coupe du monde des clubs ) : «Paris, c'est le champion d'Europe, une équipe qui était de mieux en mieux au fil des semaines lors de la saison. C'est une équipe qui presse très bien, très haut, avec tout le monde, en laissant des espaces. Et là, c'est à nous d'essayer d'exploiter les espaces qu'ils laissent en jouant vite. C'est ce qu'on a travaillé à l'entraînement mais on n'a pas pu le faire en début de match… Ils ont bien commencé, ils ont eu de grosses occasions et on a fait deux erreurs individuelles qui changent le match. Ils ont été très efficaces en première période, ils ont pressé haut, et nous, on a eu du mal à les presser. On a pourtant essayé de les presser haut, mais on était toujours un peu en retard, (Achraf) Hakimi était souvent seul, le milieu doit couvrir dans ce cas et on était toujours un petit pas en retard. C'est là qu'ils nous ont fait du mal et c'est comme ça que vient le troisième but. En deuxième période, ils ont relâché un peu, on a eu un peu plus le ballon, mais on n'a pas vraiment eu de grosse occasion.
Les changements sous Xabi Alonso ? On joue différemment, on veut presser plus haut, l'entraîneur veut qu'on soit mieux placés partout sur le terrain. Il y a toujours des zones à occuper. On s'améliore depuis le premier match contre Al-Hilal (1-1). Mais ce n'est pas facile de tout changer directement. Dans un match comme ça, contre une grande équipe, on voit tout de suite les erreurs, les choses qu'on doit améliorer. C'est le niveau vers lequel on doit aller. Paris, c'est la meilleure équipe du monde sur le terrain. C'est là qu'on doit s'améliorer et apprendre. On analysera avec le coach, voir ce qu'on peut mieux faire et en août, on va commencer à travailler en espérant être encore en course fin mai (en Ligue des champions), qu'on puisse rivaliser avec ce genre d'équipe. On sait qu'on doit nous améliorer. On va tout faire. Mais en trois semaines, c'est difficile de tout changer, surtout contre une grosse équipe comme le PSG…» (sur DAZN)
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
9 hours ago
- Le Figaro
Euro féminin : Stéphanie Frappart arbitrera la finale Angleterre-Espagne
La Française Stéphanie Frappart a été choisie par l'UEFA pour arbitrer la finale de l'Euro féminin qui opposera l'Espagne à l'Angleterre ce dimanche 26 juillet. La Française Stéphanie Frappart arbitrera la finale de l'Euro féminin opposant l'Angleterre tenante du titre à l'Espagne championne du monde, dimanche à 18h à Bâle, a annoncé l'UEFA ce jeudi. L'arbitre de 41 ans, quatrième assistante de la finale de l'Euro 2022 remportée par l'Angleterre, a déjà été au sifflet de deux matches de poules lors de cette édition en Suisse, ainsi que du quart de finale Italie-Norvège (2-1). Publicité Au Parc Saint-Jacques de Bâle, elle sera entourée de la Française Camille Soriano et des Italiennes Francesca di Monte et Maria Sole Ferrieri Caputi, précise l'instance européenne. Une arbitre expérimentée Arbitre internationale depuis 2011, Stéphanie Frappart compte «111 rencontres UEFA» à son actif. Elle avait été la première femme à officier en Ligue 1 masculine (2019), en Supercoupe d'Europe (2019), en Ligue des champions (décembre 2020) et en phase finale de Coupe du monde masculine, fin 2022 au Qatar. Non retenue à l'été 2024 pour l'Euro masculin en Allemagne, Frappart a complété cet été une équipe arbitrale 100% féminine, avec onze autres Européennes et la Brésiliennne Edina Alves Batista, sélectionnée par la confédération sud-américaine dans le cadre d'un partenariat avec l'UEFA.


Le Parisien
9 hours ago
- Le Parisien
Euro 2025 : Stéphanie Frappart désignée pour arbitrer la finale Angleterre
L'UEFA a annoncé ce jeudi que Stéphanie Frappart dirigera la finale de l'Euro féminin 2025 , prévue ce dimanche 27 juillet à 18h au St. Jakob-Park de Bâle, en Suisse. L'arbitre française, âgée de 41 ans et internationale depuis 2011, officiera lors du choc entre l'Angleterre et l'Espagne. Elle sera épaulée par Camille Soriano (France) et Francesca di Monte (Italie) à la touche. La fonction de quatrième arbitre reviendra à l'Italienne Maria Sole Ferrieri Caputi. Côté assistance vidéo, le dispositif VAR sera assuré par Willy Delajod (France), Christian Dingert (Allemagne) et Dennis Higler (Pays-Bas). Quatrième assistante de la finale de l'Euro 2022 remportée par l'Angleterre, Stéphanie Frappart avait déjà été au sifflet de deux matchs de poules lors de cette édition en Suisse, ainsi que du quart de finale Italie-Norvège (2-1). Elle compte « 111 rencontres UEFA » à son actif, et avait été la première femme à officier en Ligue 1 masculine (2019), en Supercoupe d'Europe (2019), en Ligue des champions (décembre 2020) et en phase finale de Coupe du monde masculine, fin 2022 au Qatar. Non retenue à l'été 2024 pour l'Euro masculin en Allemagne, elle a complété cet été une équipe arbitrale 100% féminine, avec onze autres Européennes et la Brésiliennne Edina Alves Batista, sélectionnée par la confédération sud-américaine dans le cadre d'un partenariat avec l'UEFA.


Le Figaro
9 hours ago
- Le Figaro
Tour de France : Tadej Pogacar rate-t-il sa fin de Tour ?
LA QUESTION DU JOUR - Attendu aux sommets du Ventoux, puis du col de la Loze, le Slovène s'est surtout illustré dans un rôle d'intraitable défenseur pour renforcer son maillot jaune. 5e au sommet du Mont Ventoux (à 43'' de Valentin Paret-Peintre) le 22 juillet, 2e au sommet du col de la Loze (à 1'45'' de Ben O'Connor), ce jeudi, Tadej Pogacar n'a pas ajouté de victoires d'étapes à sa collection 2025 (4 succès). Coincé dans une tactique défensive respectée à la virgule près, au centimètre près. Presque contre nature. Obsédé par la chasse au gaspi. Une nouveauté chez lui. Le leader de l'équipe UAE Team Emirates a fait le plus dur. Il le sait. Tout le peloton le sait. Depuis longtemps. Il s'attache à une stratégie moins flamboyante privilégiant l'efficacité au spectacle. À découvrir Le classement du Tour de France Le scénario du Tour, une confortable avance, fait que ce n'est pas à lui d'attaquer. Au risque de s'exposer. Il doit défendre ses intérêts. La victoire sur le Tour est à ce prix. Il s'en accommode. Et c'est sûrement plus facile pour lui dans une troisième semaine où ses jambes n'ont peut-être plus la tonicité du début de Tour quand il pouvait (presque) tout se permettre avec insolence. Publicité L'étape-reine se hissant au sommet du col de la Loze, ce jeudi, a manqué d'éclat. Tadej Poacar n'en est pas responsable. C'était solidité contre impuissance. La dimension et le rayonnement d'un maillot jaune s'apprécient dans sa faculté à saisir les opportunités, comme à gérer les temps faibles. A garder son sang-froid, comme à arriver à bon port. Tadej Pogacar roule vers un quatrième succès sur le Tour (après 2020, 2023 et 2024). Une épreuve au cours de laquelle il aura su endosser tous les rôles : attaquant flamboyant ou défenseur impitoyable. La marque des grands. La preuve à 26 ans que le Slovène qui, pourrait dans quelques années, détenir plusieurs records, est arrivé à l'âge de la maturité. Et il lui reste trois jours. Pour contrôler, défendre. Ou semer les frissons avec une nouvelle envolée spectaculaire…