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Un puma mord une petite fille de 11 ans, avant de poursuivre sa mère et son frère dans leur maison de Californie

Un puma mord une petite fille de 11 ans, avant de poursuivre sa mère et son frère dans leur maison de Californie

Le Parisien8 hours ago
Une attaque aussi rare qu'impressionnante. Dimanche, un puma a pris pour cible une petite fille de 11 ans qui se trouvait près d'un poulailler de sa propriété de Malibu, en Californie.
Attaquée par derrière, elle a été projetée sur le ventre et mordue au bras, à la jambe, ainsi que dans le bas du dos, rapporte le Los Angeles Times.
En entendant les cris de sa fille, la mère de famille s'est précipitée dehors accompagnée d'un de ses autres enfants. « C'est à ce moment-là que le puma s'est mis à poursuivre la mère et le frère », explique Peter Tira, le porte-parole du Département de la pêche et de la faune de Californie.
La famille a fait fuir l'animal en utilisant un pistolet paralysant et la petite fille a été hospitalisée pour des blessures mineures.
[3/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition
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Une vingtaine d'attaques depuis 1986
Peu après l'incident, les autorités ont retrouvé le puma qu'elles ont euthanasié. Des tests ADN ont confirmé qu'il s'agissait effectivement du même animal.
Les pumas n'attaquent que très rarement les humains. Depuis 1986, une vingtaine d'attaques de pumas a été recensée en Californie, dont quatre mortelles. La dernière remonte au mois de mars 2024. Un jeune homme de 21 ans est mort près de Gerogetown, dans le nord de la Californie.
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Le sommet Trump-Poutine en Alaska est une « victoire personnelle » pour le dirigeant russe, juge Zelensky
Le sommet Trump-Poutine en Alaska est une « victoire personnelle » pour le dirigeant russe, juge Zelensky

Le Parisien

timea few seconds ago

  • Le Parisien

Le sommet Trump-Poutine en Alaska est une « victoire personnelle » pour le dirigeant russe, juge Zelensky

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé mardi que la rencontre prévue entre Vladimir Poutine et Donald Trump en Alaska était déjà une « victoire personnelle » pour le dirigeant russe. Alors qu'il est isolé du monde occidental depuis son invasion à grande échelle de l'Ukraine en février 2022, le maître du Kremlin sera accueilli en Alaska, en « territoire américain », souligne le dirigeant de Kiev. Vladimir Poutine n'avait plus foulé le sol des États-Unis depuis 2015, sous la présidence de Barack Obama. Cela pourrait aussi retarder de possibles nouvelles sanctions des États-Unis contre Moscou, juge Volodymyr Zelensky. Le choix de l'Alaska, séparée de la Russie uniquement par le détroit de Béring, permet aussi à Vladimir Poutine de ne pas avoir à se poser la question de savoir quels pays l'avion d'un président russe pourrait survoler, alors qu'il est inculpé depuis 2023 par la Cour pénale internationale pour la « déportation » d'enfants ukrainiens. Jusqu'ici il ne s'était rendu qu'en Mongolie et au Kirghizistan et au Kazakhstan, des pays où il ne risquait nullement d'être arrêté. Diffuser « le récit » que « la Russie avance » S'adressant à la presse depuis l'Ukraine, Volodymyr Zelensky a par ailleurs confirmé mardi que des « groupes » de soldats russes avaient réussi à avancer d'environ 10 km dans certains secteurs du front, mais a assuré qu'ils seraient détruits. Ces attaques visent à diffuser « le récit » que « la Russie avance » et que « l'Ukraine perd » avant la rencontre Poutine-Trump. Il a par ailleurs affirmé que Moscou préparait de « nouvelles opérations offensives » dans trois secteurs sur le front, « Zaporijjia, Pokrovsk et Novopavlivka ». L'une des solutions évoquées par Washington, sans plus de précisions, serait un échange de territoires entre les deux pays. Une proposition balayée par Kiev et ses alliés européens. « Nous ne nous retirerons pas du Donbass » Le dirigeant ukrainien a écarté tout retrait de ses troupes dans l'est de l'Ukraine dans le cadre d'un accord avec Moscou sous médiation américaine. « Nous ne nous retirerons pas du Donbass (qui comprend les régions ukrainiennes de Donetsk et Lougansk) », a déclaré Volodymyr Zelensky, estimant que si ce territoire tombait sous le contrôle de Moscou, il servirait ensuite de tremplin au Kremlin pour une « offensive future » contre l'Ukraine. VidéoZelensky : « la voie vers la paix en Ukraine doit être définie ensemble, et seulement ensemble » Le chef de l'État ukrainien et des dirigeants européens, qui ont accru leur aide militaire à Kiev, doivent s'entretenir mercredi avec Donald Trump en vue d'une paix acceptée par les deux camps.

L'évolution des tests ADN permet d'identifier les restes de trois victimes des attentats du 11 septembre
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Le Figaro

time31 minutes ago

  • Le Figaro

L'évolution des tests ADN permet d'identifier les restes de trois victimes des attentats du 11 septembre

Près de 24 ans après l'attaque des tours jumelles, les autorités de la ville de New York ont annoncé avoir pu restituer les restes de trois victimes des attentats à leur famille. C'est une véritable prouesse scientifique. Les autorités de la ville de New York ont annoncé jeudi avoir identifié les restes de trois personnes décédées lors des attentats terroristes du 11 septembre 2001. Les restes de Ryan D. Fitzgerald, un trader de 26 ans, Barbara A Keating, une dirigeante d'association bénévole à la retraite de 72 ans, et d'une autre femme, dont le nom est resté confidentiel à la demande de la famille, ont ainsi été remis à leurs proches, près de 24 ans après leurs décès. D'après le communiqué du médecin légiste de la ville consulté par l'Associated Press, ces identifications ont été rendues possibles grâce à des tests ADN améliorés pratiqués sur de minuscules échantillons retrouvés il y a plus de 20 ans au milieu des décombres du World Trade Center. «Chaque nouvelle identification témoigne du potentiel de la science et de l'engagement soutenu des familles malgré le temps qui passe. Nous poursuivons ce travail afin de rendre hommage aux disparus», a déclaré le médecin légiste dans ce communiqué. Publicité Plus de 1000 victimes non identifiées Selon les informations de Skynews, Barbara A Keating était à bord du vol 11 d'Americain Airlines dont l'avion a été détourné par les terroristes d'Al-Qaïda et qui s'est écrasé sur la tour nord du World Trade Center. Son fils, Paul Keating, a affirmé que sa mère avait été identifiée à partir de l'ADN prélevé sur sa brosse à cheveux alors que seule une partie de sa carte bancaire avait été retrouvée dans les décombres. «C'est un exploit incroyable», a-t-il déclaré auprès du New York Post. Ryan D. Fitzgerald vivait quant à lui à Manhattan et travaillait dans une société financière du centre commercial le jour des attaques. Le maire démocrate de New York, Eric Adams, a lui aussi réagi à cette nouvelle avancée : «Nous espérons que les familles qui recevront des réponses du Bureau du médecin légiste en chef pourront se consoler du dévouement inlassable de la ville à cette mission», a-t-il déclaré dans un communiqué. Sur les 2977 victimes des attaques du 11 septembre, dont 2753 pour la seule ville de New York, environ 1100 restent toujours non identifiées. Les trois personnes identifiées figuraient malgré tout depuis longtemps sur la liste du Mémorial national du 11 septembre.

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Les deux chefs de la diplomatie russe et américaine se sont chacun engager à faire la rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine «un succès». Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio s'est entretenu mardi au téléphone avec son homologue russe Sergueï Lavrov afin de préparer le sommet entre les dirigeants américain Donald Trump et russe Vladimir Poutine en Alaska vendredi, a indiqué sa porte-parole. «Les deux parties ont confirmé leur engagement à faire de cet événement un succès», a déclaré Tammy Bruce aux journalistes, en soulignant que le sommet a lieu «à la demande» du président russe. Peu avant, interrogé lors d'une émission de radio, le secrétaire d'État américain avait réfuté toute allusion selon laquelle le sommet serait une récompense faite au dirigeant russe, accusé de crimes de guerre en Ukraine. Publicité «Une réunion n'est pas une concession» Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé mardi que cette rencontre était une «victoire personnelle» pour le dirigeant russe, tout en soulignant que Kiev excluait tout retrait de ses forces dans l'est de l'Ukraine dans le cadre d'un possible accord de paix. «Les gens doivent comprendre que, pour le président Trump, une réunion n'est pas une concession», a déclaré Marco Rubio disant qu'il s'agissait pour le président américain «de regarder cet homme dans les yeux» afin de prendre une décision. «Le président se dit : je dois regarder ce type assis en face de moi. J'ai besoin de le voir en face-à-face. De l'entendre. J'ai besoin de l'évaluer en le regardant», a-t-il dit. La rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine se déroulera a priori sans Volodymyr Zelensky, suscitant des inquiétudes quant à la possibilité d'un accord aux dépens de l'Ukraine.

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