
Un suspect arrêté en lien avec la mort de Nicous d'Andre Spring
Un homme a été arrêté jeudi en lien avec le décès de Nicous d'Andre Spring, mort après une intervention des agents correctionnels à l'Établissement de détention de Montréal en 2022.
La Sûreté du Québec en a fait l'annonce jeudi soir.
L'homme, âgé de 54 ans, a comparu au palais de justice de Montréal jeudi matin pour répondre à des accusations d'homicide involontaire. Il a été libéré et comparaîtra à une date ultérieure.
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13 minutes ago
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La santé publique de Montréal signale trois décès depuis dimanche
Environnement Canada indique que les températures récentes ont battu des records à Montréal, le mercure atteignant 34 °C ou plus dimanche, lundi et mardi. (Montréal) La santé publique de Montréal a reçu trois signalements de décès liés à la chaleur depuis dimanche. La Presse Canadienne Il s'agit d'une augmentation par rapport au seul décès signalé plus tôt cette semaine. Environnement Canada indique que les températures récentes ont battu des records à Montréal, le mercure atteignant 34 °C ou plus dimanche, lundi et mardi. La Direction régionale de la santé publique de Montréal indique également avoir reçu des signalements d'au moins deux cas de coup de chaleur. L'agence continue de demander aux urgentistes de la métropole de signaler tous les cas de décès ou de coup de chaleur suspectés d'être liés à la chaleur. Par ailleurs, les ambulanciers paramédicaux desservant Montréal et Laval ont déclaré avoir reçu une augmentation de 15 à 20 % des appels au 911 de lundi à mercredi.


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43 minutes ago
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Pas de portes ouvertes dans les écoles secondaires publiques de Sherbrooke
Dans un courriel envoyé en début de semaine, le centre de services scolaire de la Région-de-Sherbrooke a annoncé qu'il n'y aurait pas de journées portes ouvertes dans ses écoles publiques cet automne. Pas de portes ouvertes dans les écoles secondaires publiques de Sherbrooke Les écoles secondaires publiques de Sherbrooke ne tiendront pas de journées portes ouvertes cet automne. Attendue chaque année par les élèves et les parents, l'activité n'est plus considérée comme une priorité par les directions qui doivent se serrer la ceinture pour respecter leur budget. « Je trouve ça aberrant qu'un enfant ne puisse pas avoir accès aux portes ouvertes », laisse tomber Julie Martin, mère de deux jeunes garçons de Sherbrooke. Cette année, son aîné devra se contenter d'un dépliant informatif pour faire le choix de sa future école secondaire. Dans un courriel envoyé en début de semaine, le centre de services scolaire de la Région-de-Sherbrooke a annoncé qu'il n'y aurait pas de journées portes ouvertes dans ses écoles publiques cet automne, comme c'est le cas depuis plus de 25 ans. « Cette décision difficile n'a pas été prise à la légère par les directions de nos écoles, et nous sommes bien conscients qu'elle pourrait susciter de la déception », écrit-il. L'organisme scolaire évoque les efforts budgétaires imposés au réseau de l'éducation pour expliquer l'annulation de l'activité, qui nécessite « des ressources financières et humaines importantes ». Président par intérim de l'Association québécoise du personnel de direction des écoles, André Bernier déplore qu'un centre de services scolaire doive en arriver là. « J'ai été surpris d'apprendre ça », confie-t-il. Pour les directions d'écoles, les journées portes ouvertes ont une « importance capitale ». « C'est ce qui va permettre aux écoles d'aller chercher leur bassin d'élèves », souligne-t-il. Surtout, elles permettent aux finissants du primaire de se faire une meilleure idée des choix qui s'offrent à eux, notamment les programmes offerts par les établissements. « En 5e et 6e année, on ne sait pas vers quoi aller. Ça permet de faire des découvertes et peut-être d'orienter son parcours scolaire », souligne Mélanie Laviolette, présidente de la Fédération des comités de parents du Québec. Julie Martin abonde dans le même sens. Selon elle, rien ne remplace une visite sur place. « C'est en sentant l'atmosphère, en voyant les futurs professeurs, les futurs étudiants que les enfants peuvent se faire une idée », dit-elle. Manque à gagner de 4 millions Devant la grogne généralisée, le gouvernement caquiste avait réinvesti 540 millions de dollars dans le réseau scolaire à la mi-juillet, à la condition qu'ils servent à financer les services directs aux élèves. Mais ce n'est pas suffisant pour couvrir toutes les dépenses, indique le directeur du service de secrétariat général et des communications du CSSRS, Donald Landry. « Il nous reste toujours un manque à gagner de 4 millions de dollars », explique-t-il. Pour respecter son budget, l'organisme scolaire n'a pas eu le choix de mettre la hache dans tout ce qui n'est pas essentiel. « C'est malheureux parce que c'était une belle vitrine pour mettre en valeur à la fois les programmes, à la pédagogie, la vie étudiante et la culture de l'école », reconnaît M. Landry.


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43 minutes ago
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Encore des milliers d'enseignants à trouver, mais 96 % des postes pourvus
Encore des milliers d'enseignants à trouver, mais 96 % des postes pourvus Près de 96 % des postes d'enseignants ont été pourvus en date du 11 août 2025, a dévoilé jeudi le ministère de l'Éducation. Mais derrière ce score impressionnant, la réalité est la même : la pénurie persiste, et à l'approche du retour en classe, 4115 postes sont toujours sans titulaire. La moitié de ces 4115 postes sont à temps partiel, selon les chiffres fournis par le gouvernement. On estime qu'il s'agit d'un progrès par rapport à l'an dernier. Et le nombre de postes vacants diminue quotidiennement, insiste-t-on, en arguant que le portrait d'aujourd'hui sera différent la semaine prochaine et la suivante. Le ministre Drainville doit s'adresser aux médias vers 13 h à l'Assemblée nationale. Lui qui anticipait une nouvelle rentrée en contexte de pénurie d'enseignants avait préparé le terrain la semaine passée. « Je peux vous dire d'ores et déjà qu'on n'aura pas assez d'enseignants », a-t-il lâché jeudi dernier à l'émission Tout un matin. Ça, je vous le dis, c'est sûr, parce que le nombre d'élèves ne cesse d'augmenter, puis on a beaucoup de difficulté à avoir les enseignants dont on a besoin. Bernard Drainville, ministre de l'Éducation La rentrée scolaire s'effectuera les 27 et 28 août prochains dans plusieurs écoles primaires et secondaires de la province. Besoins en adaptation scolaire Au Centre des services scolaire de Montréal (CSSDM), la pénurie de personnel promet d'être encore une fois marquée dans le secteur de l'adaptation scolaire, a-t-on d'ores et déjà prévenu. « Les séances d'affectations pour les postes connus de la prochaine rentrée ont déjà eu lieu avant la fin de la dernière année scolaire, avec la majorité des postes pourvus », a-t-on signalé au service des communications. « Cependant, comme ces dernières années, les besoins en adaptation scolaire demeurent importants », a-t-on spécifié. Pénurie et casse-tête budgétaire À cette pénurie de personnel prévisible vient s'ajouter cette année la confusion découlant des compressions annoncées à quelques jours de la fin des classes. Si celles-ci ont été partiellement annulées en juillet dernier, devant une grogne populaire qui laissait présager une rentrée mouvementée, elles ont néanmoins eu le temps de causer des problèmes. Car afin de respecter la prescription du gouvernement, des directions d'école avaient dû se résigner à sabrer dans les heures de travail d'employés de soutien, dont les techniciennes en éducation spécialisée (TES). À contrecœur, certaines ont préféré quitter. D'autres ont accepté une tâche allégée, aussi à leur grand dam. Et selon les échos du milieu scolaire, le mécontentement ne s'est pas tout à fait dissipé. La rentrée ne sera pas de tout repos pour les directions d'école qui doivent à la fois revenir sur les contorsions budgétaires forcées de juin dernier et composer avec la pénurie d'enseignants.