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Prolongation de contrat de deux saisons pour Morgan Barron

Prolongation de contrat de deux saisons pour Morgan Barron

La Presse14-07-2025
Prolongation de contrat de deux saisons pour Morgan Barron
(Winnipeg) Les Jets de Winnipeg ont consenti une prolongation de contrat de deux saisons à l'attaquant Morgan Barron qui lui rapportera en moyenne 1,85 millionUS par campagne, a annoncé le club manitobain lundi.
La Presse Canadienne
Le hockeyeur âgé de 26 ans originaire d'Halifax a marqué huit buts et obtenu sept mentions d'aide en 74 rencontres la saison dernière.
Il a aussi contribué deux passes en 13 matchs éliminatoires.
Le joueur de six pieds, quatre pouces et 220 lb avait été sélectionné en sixième ronde par les Rangers de New York lors du repêchage de la LNH en 2017.
Il avait été acquis par les Jets à la date limite des transactions en 2022, dans un transfert qui avait permis aux Rangers d'obtenir les services d'Andrew Copp.
Barron totalise 60 points (30-30) en 256 matchs en carrière dans la LNH avec les Jets et les Rangers.
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Carrier et Dobes emballés par l'arrivée de Noah Dobson
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Le défenseur de 25 ans a été acquis des Islanders de New York à la fin du mois de juin en retour de deux choix de premier tour et de l'attaquant Emil Heineman. L'été du Canadien de Montréal a été un peu raccourci par l'accession surprise du club aux séries éliminatoires, mais certains de ses joueurs le trouvent néanmoins plutôt long. Le gardien Jakub Dobes et le défenseur Alexandre Carrier ne cachent pas leur fébrilité à l'approche de la nouvelle saison, qui ne commencera pourtant que dans deux mois. Derrière cet enthousiasme, il y a évidemment le fait d'avoir goûté aux séries, même si ça n'a duré que cinq matchs. Mais il y a surtout les changements qui ont été apportés à l'effectif au cours des dernières semaines. En attaque, la direction a acquis Zachary Bolduc par voie de transaction et accordé des contrats à Samuel Blais et à Joe Veleno à titre de joueurs autonomes. « Beaucoup de Québécois, hein ! », s'est réjoui Carrier. PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE Alexandre Carrier Jusqu'ici, la pièce maîtresse de la saison morte s'appelle toutefois Noah Dobson. Le défenseur de 25 ans a été acquis des Islanders de New York à la fin du mois de juin en retour de deux choix de premier tour et de l'attaquant Emil Heineman. Le colosse de 6 pi 4 po atterrira sur-le-champ sur le premier duo en défense et amènera avec lui le profil d'un joueur d'impact capable d'avaler les minutes et de contribuer à l'attaque. C'est un gros bonhomme, il est mobile et il a une bonne relance, a énuméré Carrier. Il a prouvé ce qu'il est capable de faire dans cette ligue. Et il est jeune, mais il a un gros bagage d'expérience. J'entends aussi que c'est une bonne personne, qu'il travaille vraiment fort, qu'il veut toujours s'améliorer… Il va nous aider ! Alexandre Carrier Dobson comble également le vide sur le flanc droit laissé par le départ à la retraite de David Savard. « C'était important d'avoir plus de droitiers, c'est juste bon pour l'équipe », a encore dit Alexandre Carrier, devenu le seul arrière à évoluer de ce côté à la suite en l'absence de Savard. « C'est sûr que c'est plate de dire au revoir à un coéquipier », a-t-il nuancé, en référence à la perte d'Emil Heineman. « Mais c'est vraiment excitant. » Jakub Dobes s'est lui aussi emballé à l'évocation de l'escouade qui travaillera devant lui. PHOTO DENIS GERMAIN, COLLABORATION SPÉCIALE Jakub Dobes « On a une très bonne défense, a-t-il résumé. Ils sont jeunes, ils ont confiance en eux, ils sont gros… Ce sera un bon mélange de joueurs. » Sans transition, comme s'il voulait être sûr de ne froisser personne, il s'est empressé d'ajouter qu'il « aime tous [ses] défenseurs ». « Je les aime tous, je suis content de jouer avec eux. Jakub Dobes À la blague, il a ajouté qu'il devrait dorénavant « commencer à faire [son] travail » maintenant que David Savard a accroché ses patins. Le Québécois a encore terminé la dernière saison au huitième rang du circuit pour les tirs bloqués, et ce, même s'il a raté sept matchs et que son temps de glace moyen est tombé sous la barre des 17 minutes. « Il va nous manquer, a conclu Dobes. Mais on sait qu'il ne sera jamais loin. » Carrier et Dobes ont participé samedi à la Classique KR, évènement caritatif organisé pour la 10e année par l'animateur Kevin Raphaël. Les spectateurs regroupés au Complexe CN de Brossard ont assisté à deux rencontres amicales entre des équipes constituées principalement de joueurs de la LNH et de joueuses de la LPHF. Quelque 60 000 $ ont ainsi été recueillis et seront remis à la Fondation du Canadien pour l'enfance. Attentes On peut d'ores et déjà prédire que le thème du prochain tournoi de golf du Canadien sera celui des attentes. Celles que la direction a tout fait pour modérer au cours des deux dernières années, mais qui, par la force des choses, exploseront après la remontée irrésistible du club la saison dernière. Le Tricolore, est-il nécessaire de le rappeler, était coincé au fond du classement général en novembre et s'est faufilé jusqu'aux séries éliminatoires. « Clairement, les attentes vont être différentes, surtout avec les ajouts de Dobson et de Bolduc, constate Alexandre Carrier. Les équipes aussi vont nous attendre différemment. » PHOTO DENIS GERMAIN, LA PRESSE Alexandre Carrier lors de la Classique Kevin Raphaël En début de carrière, alors qu'il évoluait avec les Predators de Nashville, le défenseur a connu la déception de rater les séries après y avoir participé deux fois, puis la fébrilité d'un retour au hockey de printemps en 2024. « Quand tu as fait les séries, tu veux les refaire, confirme-t-il. C'est sûr que ce sera dans les plans. 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La magie québécoise des Boxers de Bordeaux
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La magie québécoise des Boxers de Bordeaux

Les Boxers de Bordeaux (en rouge) étaient de passage au PEPS de l'Université Laval, vendredi soir, pour y affronter le National de Québec, de la Ligue nord-américaine de hockey. En janvier 2024, le trio formé de Patrick Roy, Jacques Tanguay et Jean Bédard devenait actionnaire minoritaire des Boxers de Bordeaux, un club de hockey français évoluant au sein de la Ligue Magnus. L'aventure suscitait la curiosité, et près d'un an et demi plus tard, les retombées se font déjà sentir au sein de la formation. mikaël lalancette Le Soleil Dans quelques semaines, Loïk Poudrier entamera sa septième saison avec l'équipe du sud-ouest de la France. Le Québécois natif de Thetford Mines n'hésite pas à dire que la venue de l'ex-gardien et des deux hommes d'affaires québécois a « changé les choses » chez les Boxers. « Ils ont apporté des connaissances de hockey incroyables, atteste l'ancien joueur de centre du Junior de Montréal, des Cataractes de Shawinigan et des Foreurs de Val-d'Or. Quand on s'est fait annoncer qu'ils avaient acquis des parts, on a dû expliquer aux Français à quel point c'était gros. » PHOTO JOCELYN RIENDEAU, LE SOLEIL Loïk Poudrier (à droite), dans l'uniforme des Boxers de Bordeaux Même si Roy et Tanguay se contentent d'un rôle plutôt effacé, Poudrier insiste pour dire que l'arrivée du trio québécois « a professionnalisé toute la structure ». Il cite l'exemple de l'achat d'un nouveau bus d'équipe, l'an dernier, les longs voyages nocturnes de dix heures étant nombreux en cours de saison. « C'est venu avec une pression [leur arrivée], mais on vit avec, tant mieux, on est contents », de dire Poudrier, qui vient de prendre part à une deuxième tournée québécoise en l'espace de deux ans, la plus récente ayant pris son envol vendredi au PEPS de l'Université Laval. On y reviendra. Un « mode de vie idyllique » À 33 ans, l'attaquant est « plus sur la fin qu'au début de sa carrière », mais il se voit très bien passer encore quelques années à Bordeaux, sa deuxième maison. À bien y penser, le « mode de vie idyllique » qui règne là-bas avait tout pour attirer le célèbre trio, détenteur de 18,5 % des parts de l'équipe bordelaise. PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Patrick Roy Celui qui le dit est Pierre-Cédric Labrie, le gendre de Patrick Roy. « Pour des joueurs de golf et pour des buveurs de bon vin comme eux, c'était naturel ! », blague-t-il. L'objectif de l'ancien numéro 33 était clair, selon Labrie : amener une culture de gagnants et vivre sa passion du hockey différemment, mais sans perdre de l'argent. Ce ne sont pas des [David] Beckham ni des [Lionel] Messi, mais ils ont apporté une saveur différente à l'équipe et à la ligue, ça les a rendus encore plus sérieux. Pierre-Cédric Labrie Aux commandes du groupe La Cage – Brasserie sportive depuis 30 ans, le grand patron de l'entreprise Jean Bédard a profité de ses implications d'affaires au cœur de la région viticole française pour y établir un premier restaurant La Cage à l'extérieur du Québec. Les parties des Boxers y sont diffusées sur écran géant et les vedettes locales s'y rendent environ une fois par mois. Les Français en raffolent, semble-t-il. « Ça ressemble quand même à ce qu'on trouve ici, ils ont bien reproduit La Cage », raconte l'attaquant natif de Québec, Tommy Giroux. « Mais j'avoue que la carte des vins à Bordeaux est supérieure à celle de Québec ! » PHOTO JOCELYN RIENDEAU, LE SOLEIL Des joueurs des Boxers de Bordeaux Giroux, qui a joué les six premières saisons européennes de sa carrière à Amiens, en France, a été un adversaire de Bordeaux avant de se joindre aux Boxers après l'entrée en scène de Patrick Roy, Jacques Tanguay et Jean Bédard. L'athlète de 33 ans est sur la même longueur d'onde que son compatriote québécois quant aux retombées de leur venue. « De l'extérieur, je pense que tout le monde voit le positif que ça a pu avoir, note-t-il. Ce sont des gagnants, l'équipe va bien. Tout le monde est gagnant dans toute cette histoire-là. » Comme Poudrier et Giroux, les autres Québécois des Boxers, William Pelletier, Pierre-Olivier Morin et Maxime Lamarche, notamment, « filent le parfait bonheur ». Vendredi soir, les hockeyeurs susnommés et leurs coéquipiers français ont profité d'une rencontre amicale contre le National de Québec de la Ligue nord-américaine de hockey (LNAH) pour lancer leur camp d'entraînement, une partie organisée à une semaine d'avis. Une partie amicale Une idée sortie tout droit de la tête de Pierre-Cédric Labrie, qui ne manque pas d'originalité quand vient le temps de rassembler ses amis et connaissances par l'entremise de notre sport national. La réponse a tout de même été intéressante avec quelques centaines de spectateurs, un beau vendredi soir d'été, dans les gradins du PEPS de l'Université Laval. Des indicateurs qui ne mentent pas sur la cote à la hausse du National de Québec. Les dirigeants de l'équipe ont tiré des leçons de la première année d'expansion au sein de la LNAH, et la suite s'annonce bien différente, selon eux. « On est beaucoup plus avancés qu'à pareille date l'an dernier, confie le propriétaire majoritaire, Jimmy Gagné. On est partis en retard et ça a paru jusqu'au début de saison, mais on est maintenant mieux structurés, avec des responsables pour chaque département. » Convaincue qu'elle connaîtra une meilleure campagne sur la glace (fiche de 10-24 en 2024-2025), la direction du National veut profiter des prochains mois pour assurer la pérennité à long terme de l'équipe. 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