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Le Parisien
29 minutes ago
- Le Parisien
Un an de prison dont 10 mois avec sursis requis contre l'homme qui a allumé sa cigarette avec la flamme de la tombe du Soldat inconnu
Il avait reconnu en garde à vue avoir allumé lundi sa cigarette avec la flamme de la tombe du Soldat inconnu à Paris. Le tribunal correctionnel de Paris a requis un an de prison dont 10 mois avec sursis pour le prévenu de nationalité marocaine jugé en comparution immédiate. Une peine assortie d'une obligation de ne pas revenir dans les XVIe, XVIIe et VIIIe arrondissements de Paris. Dans son réquisitoire, le juge a précisé que le prévenu « a une maladie très réelle », mais que sa bipolarité ne peut pas amoindrir sa responsabilité. L'entourage de Bruno Retailleau avait indiqué que le ministre souhaitait que le titre de séjour de cet homme de 47 ans en situation irrégulière lui soit retiré. VidéoIl allume sa cigarette avec la flamme du soldat inconnu Sur une vidéo relayée mardi par plusieurs comptes sur X, il s'était accroupi près de la flamme sous l'Arc de Triomphe à Paris, pour y allumer une cigarette. L'homme âgé de 47 ans était reparti tranquillement, sous le regard de quelques touristes. Ces images, qui ne durent même pas 10 secondes, ont suscité l'indignation sur les réseaux sociaux. [2/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter « Indigne et misérable » Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau avait dénoncé sur X un geste « indigne et misérable », qui porte « atteinte à la mémoire de ceux qui sont morts pour la France ». Il avait précisé que l'homme avait « reconnu les faits » en garde à vue. Patricia Mirallès, ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens combattants, avait saisi la justice, selon un message qu'elle a posté sur X, déplorant « un geste d'une indécence inacceptable ». « On ne bafoue pas impunément la mémoire de la France », a-t-elle souligné.


Le Figaro
29 minutes ago
- Le Figaro
Loi Duplomb : la droite cherche la réplique après la censure du Conseil constitutionnel
Réservé aux abonnés ANALYSE - Alors que la gauche se réjouit de la décision des Sages, la droite a dénoncé « l'ingérence » du Conseil constitutionnel dans la fabrique de la loi. Un petit coup de tonnerre dans le ciel de l'été. La décision, jeudi, du Conseil constitutionnel de censurer une partie de la loi agricole dite « Duplomb » est venue bousculer la classe politique en pleine pause estivale. Les Sages ont considéré que la réintroduction de l'acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes, n'était pas assez encadrée « au regard des exigences de la charte de l'environnement », texte à valeur constitutionnelle. Le conseil est ainsi allé dans le sens de la pétition à succès, d'initiative citoyenne, qui a recueilli contre toute attente plus de 2 millions de signatures au mois de juillet pour contester le retour de ce produit dans les champs. La proposition de loi Duplomb était pourtant défendue par la droite et soutenue par le gouvernement. Sa censure représente donc un camouflet pour les membres de la coalition gouvernementale qui n'ont cessé de rappeler, ces dernières semaines, notamment face à l'ampleur de la pétition, que les dispositions…


Le Figaro
29 minutes ago
- Le Figaro
«Nos voisins vont récupérer nos parts de marché, c'est inacceptable» : après la censure sur l'acétamipride, les agriculteurs entre colère et mobilisation
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Une grande majorité de paysans vit mal la censure partielle de la loi Duplomb par le Conseil constitutionnel. Ils prévoient de manifester à la rentrée. Adversaires et partisans de la loi Duplomb se préparent à une rentrée musclée. L'annulation par le Conseil constitutionnel de l'article 2 portant sur la réintroduction de l'acétamipride, un insecticide interdit en France mais autorisé partout ailleurs en Europe, a été très mal vécue par une grande majorité de paysans, qui se retrouvent sans solution pour éradiquer les attaques de pucerons dans les champs de betteraves sucrières ou de punaises diaboliques dans les plantations de noisetiers, par exemple. « Le combat continue, explique au Figaro Arnaud Rousseau, président de la FNSEA. Nous déciderons des actions à prendre lors de notre bureau national de rentrée, la dernière semaine d'août. Le Conseil constitutionnel place au-dessus du droit européen la charte de l'environnement, car c'est au nom du principe de précaution qu'il a censuré l'article 2 alors que Bruxelles autorise partout ailleurs l'acétamipride jusqu'en 2033. » À lire aussi Arnaud Rousseau après la contre-performance de la FNSEA aux élections agricoles : «Je ne suis ni dans le déni ni dans le catastrophisme» La FNSEA est partisane d'une réforme constitutionnelle destinée…