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Tour de Pologne 2025 : à quelle heure et sur chaîne TV voir la course du 4 au 10 août ?

Tour de Pologne 2025 : à quelle heure et sur chaîne TV voir la course du 4 au 10 août ?

Le Parisien3 days ago
Une parenthèse musclée entre le Tour de France 2025 et le Tour d'Espagne programmé dans trois semaines. Ce lundi 4 août, le Tour de Pologne s'élance depuis Wroclaw pour une arrivée à Legnica, au sud-ouest du pays. Au programme jusqu'au 10 août, sept étapes taillées pour tous les profils : trois pour les sprinteurs, trois arrivées en bosse et un contre-la-montre final de 12,5 km.
Sur cette 82e édition, la principale tête d'affiche manque à l'appel. Le tenant du titre, Jonas Vingegaard (Team Visma | Lease a Bike) laisse la voie libre à de nouveaux successeurs. Parmi les prétendants : l'Espagnol Juan Ayuso (UAE Team Emirates XRG), l'Italien Antonio Tiberi (Bahrain Victorious), ou encore le champion de France 2025, Dorian Godon (Decathlon AG2R La Mondiale).
Le Tour de Pologne 2025 sera à suivre chaque jour sur Eurosport 1. Lundi 4 août : à 13 heures. Mardi 5 août : à 12h35. Mercredi 6 août : à 12h05. Jeudi 7 août : à 11h30. Vendredi 8 août : à 11h30. Samedi 9 août : à 14h15. Dimanche 10 août : à 13h20.
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« Je n'étais pas partie... » : Iga Swiatek réfute l'idée d'une mauvaise saison avant son titre à Wimbledon
« Je n'étais pas partie... » : Iga Swiatek réfute l'idée d'une mauvaise saison avant son titre à Wimbledon

L'Équipe

time8 hours ago

  • L'Équipe

« Je n'étais pas partie... » : Iga Swiatek réfute l'idée d'une mauvaise saison avant son titre à Wimbledon

Avant de lancer le WTA 1000 de Cincinnati, Iga Swiatek a voulu faire une petite mise au point pour tous ceux qui considèrent son sacre à Wimbledon comme un retour après des mois difficiles. Avant de gagner Wimbledon, presque à la surprise générale tant elle n'avait jamais brillé sur gazon, Iga Swiatek traversait ce qu'on ne pouvait guère qualifier de sa meilleure saison. Aucun titre au compteur, même sur sa très chère terre battue, et une seule finale (sur gazon !) avant Wimbledon. De quoi parler de retour après son sacre anglais. Un terme qui n'est pourtant pas au goût de la Polonaise. « De retour... Je pense que c'est un concept inventé par les médias et qu'il va falloir me l'expliquer, lâche-t-elle sans chercher à faire de l'humour. Je ne suis jamais partie, j'étais bien là. Même si d'autres filles ont pu performer ces six derniers mois, cela ne veut pas dire que je n'étais pas là... » Vraiment pas à l'aise avec l'idée d'un retour, elle insiste. « Il y a eu pas mal de tournois où j'ai bien joué, où j'étais en demi-finales. C'est le sport, ça arrive, on ne peut pas gagner tout le temps. Mais je n'étais pas partie, j'étais bien là. » Message reçu fort et clair. « C'est difficile d'arriver à profiter des victoires en Grand Chelem. Là, je me suis dit que j'avais le droit d'en profiter et tant pis si je perdais au deuxième tour du prochain tournoi. » Iga Swiatek sur son break après son titre à Wimbledon Au pire, elle veut bien concéder qu'elle est de retour de vacances post Wimbledon. « Cinq jours de vacances. Trois et demi, si on enlève les transports... Mais j'en avais besoin. J'ai refait le plein d'énergie. J'ai passé du temps sur un bateau avec des amies et j'en avais besoin. » Mais il y a quand même eu un passage par Montréal avant de retrouver l'Ohio et Cincinnati. Une défaite en huitièmes de finale face à Clara Tauson (7-6, 6-3) qui ne prête pas à conséquence et qui était entachée de trop de mauvais réflexes hérités du gazon. « J'ai voulu trop faire de coups gagnants », ajoute-t-elle. Un nouvel état d'esprit Surtout, elle avait anticipé cette défaite. Elle détaille. « C'est difficile d'arriver à profiter des victoires en Grand Chelem. Pour mon premier Roland-Garros, c'était naturel car c'était le dernier tournoi de la saison 2020. Mais par la suite, même en prenant quelques jours, il y a la saison sur gazon qui arrive très vite et il faut tout de suite se mobiliser. Après, Wimbledon, c'était un peu différent et j'ai voulu en profiter. D'habitude, ce n'est pas quelque chose que je m'autorise tellement, je pense tout de suite au prochain tournoi. Là, je me suis dit que j'avais le droit d'en profiter et tant pis si je perdais au deuxième tour du prochain tournoi. Gagner Wimbledon, c'est quelque chose qui me restera toute la vie. Et il m'a fallu un peu de temps pour y arriver. » « Je gagne un tournoi, je prends une serviette, ça fait un souvenir. » Ce qui lui reste aussi, c'est l'emballement inattendu autour de son goût pour les pâtes aux fraises, « Non, ce n'est pas possible, les gens ne se sont pas mis à en manger... » et pour sa passion pour les serviettes de Wimbledon. « Honnêtement, je ne m'attendais pas à ce que ça devienne des ''hot topics''. Les serviettes, pour être franche, elles ont disparu chez mes amis et ma famille. Il ne m'en reste qu'une seule. Après, ça reste un beau souvenir quand on a gagné un Grand Chelem. Je me vois bien dans 30 ans tenir une serviette et me dire que j'avais gagné ce tournoi. Voilà, je gagne un tournoi, je prends une serviette, ça fait un souvenir. » L'organisation du WTA 1000 de Cincinnati est prévenue et les stocks sont prêts. Les raisons du retour de Venus Williams

Tactique, technique et budget  : l'équipe Red Bull-Bora peut-elle aider Remco Evenepoel à se rapprocher des meilleurs ?
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L'Équipe

time9 hours ago

  • L'Équipe

Tactique, technique et budget : l'équipe Red Bull-Bora peut-elle aider Remco Evenepoel à se rapprocher des meilleurs ?

Remco Evenepoel, le vainqueur de la Vuelta 2022, qui rêve de remporter les trois grands Tours, a signé chez Red Bull-Bora dans l'espoir de combler l'écart avec Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard. Leader d'une équipe qui aime se revendiquer comme une grande famille et qui lui assurait déjà l'une des meilleures rémunérations du peloton, Remco Evenepoel (25 ans) a quand même fait le choix de quitter sa zone de confort pour rejoindre une formation étrangère, RedBull-Bora Hansgrohe, à partir de 2026. Lui qui pouvait décider presque de tout, de son programme, de ses équipiers sur le Tour de France - « c'est moi qui avais dit qu'il fallait prendre Tim (Merlier) dans l'équipe pour essayer de gagner des étapes », avait-il par exemple assuré en juin -, pourquoi a-t-il décidé de se fondre dans un collectif où la concurrence risque d'être féroce, entre Florian Lipowitz et Primoz Roglic ? De meilleurs coureurs à son service Justement parce qu'il y côtoiera de meilleurs coureurs du général, de purs grimpeurs d'une autre dimension que ses anciens équipiers. En plus de l'Allemand 3e de la Grande Boucle et du Slovène vainqueur de cinq grands Tours, Evenepoel va courir au côté de Jai Hindley (vainqueur du Giro 2022), Alexander Vlasov et Daniel Martinez. Remco Evenepoel à RedBull-Bora, un transfert retentissant aux multiples conséquences Son lieutenant chez Soudal-QuickStep, Mikel Landa, l'avait brillamment épaulé sur le Tour 2024, mais quel niveau le Basque allait-il retrouver après sa grosse chute sur le Tour d'Italie, à 35 ans ? Au sein de l'équipe belge, il n'est pas certain non plus qu'Evenepoel parvenait encore à inspirer une véritable dynamique. Ilan Van Wilder, qui gagnait tout chez les juniors en Belgique avant l'avènement du Brabançon - ce qui a toujours posé la question de l'état de leur relation -, n'a pas goûté les critiques de la presse ciblant les faiblesses du « Wolfpack » lorsque Evenepoel fut pris dans une bordure le premier jour du Tour. Or sa réponse sur le vélo n'intervint qu'à l'étape qui suivit l'abandon de son leader, avec un travail remarquable au service de... Valentin Paret-Peintre. « On disait qu'on n'était pas assez fort. Maintenant je leur dis : ''Allez vous faire foutre parce qu'on gagne sur le Ventoux'' », s'était vengé Van Wilder. En signant dans un collectif au niveau plus relevé, le double champion olympique aura des cartes tactiques intéressantes dans l'optique de piéger Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard, pour l'instant à des années-lumière devant lui en montagne, mais dont il espère encore se rapprocher. Même s'il devra aussi plus habilement fédérer autour de lui. Un pôle de recherche à sa disposition Au-delà des moyens humains, Evenepoel va aussi rejoindre une formation à gros budget entièrement à sa disposition pour approfondir les recherches sur le matériel et améliorer encore sa position sur le vélo. En plus d'être la seule autre équipe du WorldTour à rouler sur Specialized, avec qui il est personnellement lié, Red Bull-Bora a l'avantage, par rapport à Soudal-Quick Step, de travailler aussi avec la firme américaine au niveau du textile. Un détail de plus pour convaincre le champion du monde du contre-la-montre, qui est lui-même très investi dans ce processus de recherche et va maintenant collaborer avec Dan Bigham, ingénieur ultra-réputé en aérodynamique qui dirige le domaine au sein de l'équipe allemande depuis l'an dernier. Evenepoel rêve aussi de battre le record de l'heure : le scientifique britannique, qui y est parvenu en 2022, est l'homme qu'il lui faut. Mais toujours avec son noyau dur Malgré tous ces changements, Evenepoel s'est assuré de pouvoir emmener un staff de confiance. Sa nouvelle équipe devrait embaucher son noyau dur : David Geeroms, un ami de son père qui le suit depuis ses débuts et occupe un rôle de confident, ainsi que Dario Kloeck, le cousin mécanicien de quatre ans son aîné, arrivé en 2023 chez Quick Step, et qui a l'avantage de bien connaître le vélo Specialized. « Ils accompagneront le coureur jusqu'à la fin de sa carrière », assurait le journal belge La Dernière Heure fin juillet. En fin de contrat chez Soudal-Quick Step, son directeur sportif historique, Klaas Lodewyck, devrait aussi le rejoindre. Tout ce monde sera chapeauté par Sven Ventourenhout, ex-sélectionneur de la Belgique initialement plus proche de Wout Van Aert, mais qui a accompagné les plus grands exploits d'Evenepoel, aux Mondiaux et aux JO. Même en cas de guerre interne entre leaders, Evenepoel devrait tirer son épingle du jeu.

Tour de France 2025 : la belle image de Pauline Ferrand-Prévot et Tadej Pogacar sur la route après leur sacre
Tour de France 2025 : la belle image de Pauline Ferrand-Prévot et Tadej Pogacar sur la route après leur sacre

Le HuffPost France

time10 hours ago

  • Le HuffPost France

Tour de France 2025 : la belle image de Pauline Ferrand-Prévot et Tadej Pogacar sur la route après leur sacre

CYCLISME - Ils ont tous les deux un immense sourire. Sur son compte Instagram ce mercredi 6 août, la vainqueure française du Tour de France Femmes 2025 Pauline Ferrand-Prévot a posté une belle photo d'elle aux côtés du Slovène Tadej Pogacar, lui vainqueur du Tour de France homme cette année. « J'avais de nombreuses raisons de sourire ce matin », commente en légende celle qui est également championne olympique de VTT. Et pour cause : « De retour sur le vélo, et j'ai partagé un peu de ma balade avec ces beaux humains Urška Žigart [coureuse slovène, NDLR] et Tadej Pogacar », se réjouit-elle. Lire aussi Après le Tour de France, Pauline Ferrand-Prévot fait une mise au point sur sa maigreur « Écouter les conseils post Tour de Tadej était inspirant. Et bien sûr, j'ai dû demander une photo », a ajouté la cycliste, terminant son post par le hashtag (mot-clé) « fan girl problems ». Sur le cliché, Pauline Ferrand-Prévot est vêtue d'un maillot et casque jaune tandis que Tadej Pogacar est tout de blanc vêtu. Les deux sont sur leur vélo respectif, au bord de la route. La coureuse ne veut pas encore penser à 2026 Pauline Ferrand-Prévot s'était lancée le défi du Tour de France après sa victoire aux JO de Paris, un « rêve de petite fille ». Elle qui s'était donné trois ans pour le faire n'a eu besoin que d'une seule édition pour l'emporter, et avec brio. « Gagner le Tour de France, ce n'est pas de l'improvisation. Ce n'est que sacrifices que je ne suis pas sûre d'être capable de reproduire », a expliqué la Rémoise de 33 ans à l'issue du Tour. « C'est tellement dur, tellement dur », a répété la Française. « Tout cela, c'est dingue. Le résultat de tellement de sacrifices », a-t-elle insisté. Et l'année prochaine ? « Je ne sais pas, a-t-elle reconnu. Je veux d'abord savourer. Se préparer pour le Tour, c'est tellement dur, je ne suis pas sûre d'être capable de le refaire. Laissez-moi du temps pour y penser. »

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