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Les Maple Leafs acquièrent Dakota Joshua des Canucks

Les Maple Leafs acquièrent Dakota Joshua des Canucks

La Presse17-07-2025
(Toronto) Les Maple Leafs de Toronto ont acquis l'attaquant Dakota Joshua des Canucks de Vancouver, jeudi, en retour d'un choix de quatrième ronde pour le repêchage de la Ligue nationale de hockey (LNH) en 2028.
La Presse Canadienne
Joshua a inscrit sept buts et a amassé 14 points en 57 parties avec les Canucks en 2024-25. Il a commencé la dernière saison le 14 novembre après avoir subi des traitements contre un cancer des testicules l'an dernier.
Le diagnostic est tombé après sa meilleure campagne en carrière, au cours de laquelle Joshua a marqué 18 buts et obtenu 32 points en 63 matchs. Les Canucks lui avaient ensuite octroyé un contrat de quatre ans et de 13 millions US en juin 2024.
L'Américain de 29 ans a totalisé 78 points, dont 40 filets, en 241 matchs dans la LNH avec les Cnaucks et les Blues de St. Louis. Il a également récolté quatre buts et huit points en 14 rencontres éliminatoires.
Le joueur de six pieds, trois pouces et 206 livres avait été repêché par les Maple Leafs en cinquième ronde du repêchage de 2014.
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Et si on se souvenait du meilleur d'Eugenie Bouchard ? Que retenez-vous de la carrière de Jacques Villeneuve ? Son championnat des pilotes ou sa lente dérive chez BAR ? De José Théodore : son trophée Hart ou ses années avec les Capitals de Washington ? Des olympiens : de leur moment de grâce ou de toutes les fois où ça n'a pas fonctionné ? Alors lorsqu'il est question d'Eugenie Bouchard, rayonnante et épatante gagnante lundi soir au Stade IGA, pourquoi s'attarde-t-on autant à son déclin ? Le parcours des athlètes est rarement une ligne droite. Ni même des montagnes russes. C'est souvent un saut à la perche. L'élan est fulgurant. L'ascension, rapide. Le passage au sommet, grisant et éphémère. Puis la retombée, inévitablement brutale. C'est ce qui s'est produit pour Eugenie. Son cas n'est pas unique. Pensez à Bianca Andreescu, qui a conquis ses trois titres la même année. À Emma Raducanu, qui n'a rien gagné depuis son triomphe à Flushing Meadows. À Jelena Dokić. À Tracy Austin. Les palmarès sont remplis d'étoiles filantes. Pas juste au tennis. Dans tous les sports. Les causes sont multiples : blessures, changements corporels, environnement toxique, anxiété de performance, perte de motivation, dépression, distractions, amours, yips… Je souhaite qu'un jour, Eugenie publie ses mémoires et nous explique ce qui s'est vraiment passé. Il reste qu'on en connaît déjà de grands bouts. Sa carrière a été ralentie par une chute sur le plancher mouillé du vestiaire aux Internationaux des États-Unis, en 2015. Les organisateurs du tournoi ont voulu minimiser l'impact de l'incident. On les comprend ; il y avait beaucoup d'argent en jeu. Un jury les a trouvés responsables pour 75 % des dommages subis. Or, bien qu'Eugenie ait reçu une compensation financière, elle n'a jamais retrouvé son niveau de jeu d'antan. Ne sous-estimons pas non plus la rançon de sa gloire précoce. Comme une jeune chanteuse pop, elle a passé la fin de son adolescence et le début de sa vie adulte sous les projecteurs. Les attentes étaient élevées. La pression, constante. Bien sûr qu'il y a pire que de passer ses journées dans les aéroports ou sur les terrains de tennis. C'est une situation enviable, j'en conviens. Mais ça ne fait pas disparaître le trac et l'anxiété de performance pour autant. PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE Eugenie Bouchard Après, ce qui me frappe avec Eugenie Bouchard, c'est la réaction démesurée du public québécois face à ses insuccès. En seulement quelques mois, elle est passée du statut d'idole à celui de piñata. Sauf erreur, le seul autre athlète québécois qui s'est retrouvé dans une situation comparable, c'est Jonathan Drouin. Qu'ont-ils en commun ? Les deux ont connu des problèmes en 2016. Eugenie, sur le terrain. Jonathan, en refusant une assignation à la Ligue américaine. C'était l'année du Brexit. L'année de la montée en puissance de Donald Trump. L'année où la parole s'est libérée – et pas toujours pour le mieux. Insulter un athlète en ligne est alors devenu un sport en soi. Depuis, la WTA a documenté une explosion des insultes, souvent de la part de parieurs frustrés. Mais dans le cas d'Eugenie, les critiques venaient de partout. On lui a reproché d'être trop active sur Twitter. Sur Instagram. De passer plus de temps dans les soirées mondaines que sur les terrains de tennis. C'est faux. Gabriela Dabrowski a confirmé cette semaine qu'Eugenie était une joueuse travaillante. Mes deux cennes ? Ce qui dérangeait vraiment, c'était son sourire. Son humour. Sa légèreté. Ses photos sexy. Des critiques injustifiées. Quand Shady El Nahas, vice-champion du monde de judo, participe à L'île de l'amour, on sourit. Quand le footballeur Marc-Antoine Dequoy va à Big Brother, on s'enthousiasme. Jonathan Huberdeau pose en maillot de bain sur un bateau ? On lui envoie un cœur. Le gymnaste Félix Dolci publie une photo de lui torse nu ? Pouce en l'air. Eugenie en bikini ? Oh my dear ! Shocking ! Mon amour, change le code de l'iPad. Faut surtout pas que les enfants tombent là-dessus ! (Comment vous dire…) Si autant de sportives, comme Eugenie Bouchard, exposent leur vie sur les réseaux sociaux, c'est parce que ça représente une source importante de leurs revenus. C'est une façon pour elles de réduire l'écart de richesse avec les athlètes masculins. La patineuse de vitesse Courtney Sarault, elle-même très active sur Instagram, m'expliquait récemment : « Je comprends l'importance des réseaux sociaux, notamment pour les femmes dans le sport. Je ne publie pas seulement pour avoir l'air cool ou pour recevoir des likes. Je le fais parce que ça m'aide financièrement, et ce, même si j'ai atteint le plus haut niveau possible dans mon sport. » Voilà un contexte qu'on oublie trop souvent. Quelles autres critiques sont formulées à l'endroit d'Eugenie Bouchard ? Son caractère. Froide. Hautaine. Détachée. 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Ramon Laureano a frappé un des quatre circuits des Orioles de Baltimore, (Baltimore) Ramon Laureano a frappé un des quatre circuits des Orioles de Baltimore, lundi, dans un gain de 11-4 contre les Blue Jays de Toronto. David Ginsburg Associated Press Bo Bichette a placé quatre fois de suite la balle en lieu sûr dans la défaite, établissant une nouvelle marque d'équipe avec neuf coups sûrs consécutifs. Il a été parfait en cinq présences dans le rectangle des frappeurs, dimanche contre les Tigers à Detroit. Laureano a produit trois points pour les favoris locaux. Cedric Mullins, Coby Mayo et Colton Cowser ont aussi étiré les bras pour les Orioles, derniers dans la section Est de la Ligue américaine. Ils ont qui ont frappé 16 coups sûrs contre les meneurs de leur section. Adley Rutschman a marqué son retour au jeu avec trois frappes en lieu sûr et deux points produits. Le match a pris une tournure inquiétante en neuvième manche, lorsque le joueur des Blue Jays George Springer a été atteint à la tête d'une balle rapide de Kade Strowd. Après un long moment au sol, Springer s'est relevé très lentement et a quitté le terrain. PHOTO DANIEL KUCIN JR., IMAGN IMAGES FOURNIE PAR REUTERS George Springer des Jays a été atteint à la tête d'une balle rapide de Kade Strowd Vladimir Guerrero fils et Nathan Lukes ont cogné des longues balles pour les Blue Jays, qui ont concédé 21 points à leurs deux dernières parties après avoir remporté huit de leurs neuf matchs au retour du match des étoiles. Chris Bassitt (11-5) a permis six points et sept coups sûrs en deux manches et un tiers. Corbin Martin (1-0) a mérité la victoire en relève à Zach Eflin. Il s'agit de sa deuxième victoire en carrière après une première avec les Astros de Houston, en 2019. Les Orioles ont pris les devants 10-4 avec une cinquième manche de quatre points. Laureano a frappé un circuit de deux points. Rutschman a lancé la poussée offensive avec son deuxième double du match. La série se poursuivra avec un programme double, mardi, en raison d'un match reporté par la pluie, le 11 avril.

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