
Paul Gallagher, le frère aîné des membres d'Oasis, inculpé pour viol
Publié aujourd'hui à 10h59
Paul Gallagher comparaîtra devant le tribunal de Westminster à Londres le 27 août.
imago images / Matrix
Paul Gallagher, le frère aîné de Noel et Liam, du groupe Oasis , a été inculpé pour viol et agressions sexuelles sur une femme, à la suite d'une enquête ouverte en 2024, a indiqué lundi la police de Londres.
Paul Gallagher, 59 ans, a été inculpé pour viol, agressions sexuelles, strangulation et menaces de mort contre une femme, a indiqué un porte-parole de la Metropolitan police, confirmant une information du journal «The Telegraph» . Les faits dont il est soupçonné ont eu lieu entre 2022 et 2024. En pleine tournée d'Oasis
Cette information intervient au moment où les deux frères ennemis du clan Gallagher, Noel et Liam, ont enterré la hache et de guerre pour relancer leur groupe Oasis. Ils se produisent depuis début juillet à guichets fermés.
Leur frère aîné, qui n'a jamais fait partie d'Oasis, comparaîtra devant le tribunal de Westminster à Londres le 27 août.
gé d'un an de plus que Noel Gallagher et de sept ans de plus que Liam, Paul Gallagher a grandi avec eux à Manchester.
À propos d'Oasis Newsletter
«Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde.
Autres newsletters
AFP
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


24 Heures
5 hours ago
- 24 Heures
Voyage dans les 5 villes dites «roses» du monde
Les «villes roses» se comptent sur les doigts d'une main, et trois sont françaises. Les avez-vous déjà visitées? Mélanie Tuyssuzian Publié aujourd'hui à 19h39 Toulouse, la ville rose française par excellence. Thomas Despeyroux/Unsplash Nul besoin d'attendre des mots d'amour pour voir la vie en rose. N'en déplaise à Édith Piaf, il suffit d'un séjour dans certaines villes pour se sentir porté par la joie de cette couleur. Bien que quelques-unes se situent sur des continents différents, elles partagent en commun leur teinte, présente dans leur architecture, allant du saumon pâle à l'ocre profond. Les articles ABO sont réservés aux abonnés. S'abonner Déjà enregistré.e ou abonné.e? Se connecter


24 Heures
9 hours ago
- 24 Heures
Buzz sur les réseaux: De Tiktok à Instagram, le Vatican encourage les «missionnaires numériques»
Face aux succès des réseaux sociaux, le Vatican encourage ses religieux à prêcher sur internet. Une manière de se rapprocher des jeunes générations. Publié aujourd'hui à 15h14 Les plateformes numériques permettent aux religieux de toucher les jeunes, mais aussi les non-catholiques. KEYSTONE En bref: «Tout le monde utilise les réseaux sociaux, c'est important qu'on y soit aussi»: sur Instagram, le père Giuseppe Fusari, chemise à col romain et manches courtes laissant entrevoir ses tatouages, partage en vidéo des paroles d'évangile à ses 63'000 abonnés. Le «prêtre cool» d'une paroisse de la ville de Brescia est venu du Nord de l'Italie pour participer au «Jubilé des missionnaires numériques et influenceurs catholiques», évènement inédit organisé par le Vatican, qui rassemble cette semaine des milliers de stars des réseaux sociaux. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «Ce rendez-vous nous permet de faire connaissance», se réjouit le quinquagénaire, qui utilise quotidiennement ses différentes plateformes pour partager «la parole de Dieu» au plus grand nombre, et parfois des vidéos de son chihuaha. Un mode d'évangélisation moderne, que l'Eglise catholique semble vouloir encourager. «Rien que le fait que le Vatican décide d'organiser cet événement, ça nous dit: en fait c'est important, allez-y, on est avec vous, et on va chercher ensemble comment porter cette nouvelle évangélisation», confie à l'AFP sœur Albertine, l'une des influenceuses catholiques françaises les plus suivies, présente à Rome pour l'évènement. La religieuse de 29 ans, qui cumule plus de 320'000 abonnés sur Instagram et dont certaines vidéos TikTok dépassent le million de vues, considère les plateformes numériques comme un «terrain missionnaire» à part entière, où elle peut toucher les jeunes, mais aussi les non-catholiques. Des influenceurs catholiques pour casser les codes En utilisant les codes des réseaux sociaux, avec un discours simple, un montage dynamique et une énergie communicative, elle raconte son quotidien de religieuse, donne des conseils pour lire la Bible ou propose des prières accompagnées. Une façon de communiquer qui casse les codes traditionnels de l'Eglise, très appréciée par les internautes : «merci pour ces conseils courts, efficaces et accessibles aux néophytes!», «Je ne suis pas chrétien, mais la simplicité et la profondeur de vos discours me touchent beaucoup», peut-on lire sous ses publications. «En fait, maintenant, c'est là où sont les gens, et nous, notre boulot c'est d'aller les rencontrer là où ils sont», résume-t-elle, alors que l'Europe est touchée par une vague de déchristianisation massive depuis plusieurs années. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. La jeune femme, qui porte une simple croix en bois autour du cou, se réjouit que ses vidéos soient sorties de la «bulle catho», et touchent désormais «tous types de personnes, tous milieux sociaux, (…) au delà des frontières et des carcans qu'on pourrait imaginer». Mais cette évangélisation en ligne n'est pas pratiquée uniquement par des religieux : Francesca Parisi, une enseignante du Sud de l'Italie essaye elle «de dissiper les préjugés qui entourent les catholiques» via de courtes vidéos postées sur TikTok, où elle compte plus de 21'000 abonnés. La trentenaire s'est convertie tardivement, c'est pourquoi elle tente de toucher celles et ceux qui «se sont éloignés de l'Église». Un flou persiste autout des «missionnaires numériques» Soutenus par le Vatican, les «missionnaires numériques» ont eu le droit à leur propre messe dans la basilique Saint-Pierre. Accueilli par des tonnerres d'applaudissements et filmé sous tous les angles, le pape Léon XIV, qui compte lui-même 14 millions d'abonnés sur Instagram, les y a appelés à «nourrir d'espérance chrétienne les réseaux sociaux et les milieux numériques», assurant que «face aux changements culturels, au cours de l'histoire, l'Église n'est jamais restée passive». À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «Le plus grand influenceur est Dieu!», a clamé devant la foule le cardinal philippin Luis Antonio Tagle, très populaire chez les jeunes, mettant en garde contre une utilisation «nuisible» des réseaux sociaux . Reste que pour l'instant la position du Vatican sur le sujet demeure floue : aucune règle ou recommandation précise n'a été transmise aux missionnaires. «Est-ce qu'il faudrait un mandat ? Est-ce qu'il y a une durée de cette mission?», s'interroge sœur Albertine. «On discute pour voir comment écrire ensemble cette nouvelle page d'évangélisation». Plus d'articles sur la religion à notre époque Newsletter «Santé & Bien-être» Conseils, actualités et récits autour de la santé, de la nutrition, de la psychologie, de la forme et du bien-être. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
9 hours ago
- 24 Heures
Zelensky rétablit l'indépendance d'instances anticorruption en Ukraine
Le président ukrainien a ratifié jeudi une loi qui remplace un précédent texte décrié par la société civile et l'Union européenne. Publié aujourd'hui à 15h43 Le projet de loi, proposé par Volodymyr Zelenskya été approuvé peu avant par le parlement (image d'archive). AFP/UKRAINIAN PRESIDENTIAL PRESS SERVICE Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a ratifié jeudi une loi rétablissant l'indépendance d'instances anticorruption, revenant sur un précédent texte décrié par la société civile et l'Union européenne qui a salué le rétablissement de «garde-fous». «Je viens de signer le document et le texte sera publié immédiatement», a-t-il dit dans un message publié sur Telegram, se félicitant que cette législation garantisse «le travail normal et indépendant» de ces instances. Le projet de loi, proposé par le dirigeant ukrainien , a été approuvé un peu plus tôt par le parlement, avec un total de 331 députés pour, le minimum requis étant de 226, au cours de la session plénière retransmise en direct. La Première ministre Ioulia Svyrydenko a aussitôt salué le vote, assurant que la nouvelle loi «élimine le risque d'ingérence dans le travail des organismes de lutte contre la corruption». «Il s'agit d'une réponse claire aux attentes de la société et de nos partenaires européens», a-t-elle ajouté sur les réseaux sociaux. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Correction d'une loi très critiquée Cette nouvelle loi renouvelle la plupart des dispositions assurant l'indépendance de ces deux instances. Elle introduit cependant des vérifications supplémentaires, notamment des tests réguliers au détecteur de mensonges pour leurs employés avec accès aux informations classifiées, afin d'éviter toute «action au profit» de la Russie, selon le texte publié sur le site du Parlement. Le précédent document voté le 22 juillet plaçait l'agence nationale anticorruption (le NABU) et le parquet spécialisé anticorruption (le SAP) directement sous la tutelle du procureur général, lui-même nommé par le chef de l'État. Très critiquée par la société civile ukrainienne et par l'UE, soutien clé de Kiev face à la Russie, la loi avait aussi provoqué les premières manifestations d'ampleur en Ukraine depuis le début de l'invasion russe en 2022. À lire aussi sur la loi anticorruption en Ukraine Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.