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Pas facile d'être gentils

Pas facile d'être gentils

La Presse01-08-2025
À leur sortie de prison, cinq cambrioleurs repentis s'efforcent d'être gentils. Piégés par trois criminelles, ils seront cependant contraints de reprendre du service.
Trois ans après la sortie du film d'animation The Bad Guys, les méchants sont de retour. Mais cette fois-ci, Loup, Requin, Serpent, Tarentule et Piranha sont gentils. Ou du moins, ils essayent très fort de l'être.
Car réintégrer la société après avoir fait de la prison n'est pas chose facile pour cette bande de cambrioleurs notoires. Dans les premières minutes du film, un segment hilarant montre quatre des cinq complices passant des entrevues d'embauche. Le ton est donné.
Comme le premier volet inspiré des livres jeunesse de l'auteur australien Aaron Blabey, The Bad Guys 2 (Les méchants 2, en version française) est rempli d'humour et d'action. Poursuites en voiture, explosions, bagarres, enlèvements et cascades improbables se succèdent. Mais attention, le réalisateur Pierre Perifel et son coréalisateur JP Sans ne se contentent pas ici d'offrir une proposition prévisible vue des dizaines de fois dans les films d'action.
Au contraire, l'histoire est remplie de revirements étonnants – qui le seraient encore plus si la bande-annonce ne vendait pas certains d'entre eux. Qui dit la vérité et qui ment ? Les méchants ont-ils réellement changé ? Sont-ils derrière le crime dont on les accuse ? Les nouveaux personnages ont-ils quelque chose à cacher ? C'est rafraîchissant de se laisser surprendre par un film familial.
IMAGE FOURNIE PAR UNIVERSAL PICTURES
La bande des Méchants avec la commissaire Misty Luggins
En plus de Loup (voix de Sam Rockwell) et de sa bande, on renoue avec plusieurs personnages du film précédent, dont la cheffe de police, désormais commissaire, Misty Luggins (Alex Borstein) et l'hypocrite professeur Marmelade (Richard Ayoade), en version musclée.
Inutile toutefois d'avoir vu l'œuvre de 2022 pour apprécier les nouvelles aventures de ce grand méchant – ou gentil ? – loup. Il en fait le résumé en quelques secondes en s'adressant directement à vous, cher cinéphile.
Même si le film tourne autour de la question du Bien et du Mal, le ton n'est en rien moralisateur. C'est un divertissement bien ficelé qu'on prendra plaisir à réécouter jusqu'à la toute fin – car oui, lors du générique, il y a une surprise laissant présager un troisième volet.
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time4 hours ago

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Il y a des livres qui ont le pouvoir de changer le cours d'une vie. Pour François-Henri Désérable, il s'agit sans l'ombre d'un doute de L'usage du monde. Le titre célèbre de Nicolas Bouvier l'a poussé à réaliser son premier « grand voyage », qu'il raconte dans son nouveau livre, Chagrin d'un chant inachevé – Sur la route de Che Guevara. Par écrans interposés, de Paris où il s'est « sédentarisé » le temps de terminer un roman, François-Henri Désérable nous montre, sur la bibliothèque derrière lui, une photo encadrée de l'écrivain voyageur qui le contemple. « J'ai lu L'usage du monde quand j'avais 25 ans, se souvient-il. Au bout de trois pages, j'étais déjà enchanté par l'écriture de Nicolas Bouvier et son livre m'a tout de suite tenu lieu d'évangile, en quelque sorte. J'ai lu toute son œuvre. Et évidemment, j'ai lu d'autres écrivains voyageurs, mais je n'en ai jamais trouvé qui m'ont fait ressentir autant d'émotions. » L'usage du monde est le livre qui a le plus infléchi le cours de mon existence. Le voyage est devenu l'ossature de mon existence. Et si je n'avais jamais lu Bouvier, peut-être que j'aurais mené une vie beaucoup plus sédentaire. François-Henri Désérable C'est ainsi qu'à la fin de la vingtaine, celui qui était joueur de hockey professionnel en France décide de troquer son sac de hockey contre un sac de voyage. En 2017, il traverse l'Amérique latine, de l'Argentine à Cuba, sur les traces d'Ernesto Guevara, dont la photo a longtemps orné le mur de sa chambre d'adolescent. D'abord en moto, comme le Che, puis en bus ou en auto-stop, il remonte le continent – le journal du révolutionnaire légendaire jamais loin dans son sac à dos. Tout en voyageant « chichement », il narre ses rencontres avec des gens du coin ou d'autres voyageurs, entre mésaventures et anecdotes savoureuses, dans des lieux parfois « paumés » auxquels tout le monde lui conseillait de renoncer. « Ce voyage, c'est celui par lequel j'ai appris à voyager. La mésaventure est déplaisante aux voyageurs, mais elle est très féconde pour l'écrivain voyageur. Elle ne me décourage pas, au contraire, elle me donne du grain à moudre », dit François-Henri Désérable. Le chagrin du voyageur Chagrin d'un chant inachevé est également une réflexion sur le voyage. François-Henri Désérable écrit tout en sachant pertinemment qu'il ne reverra peut-être plus jamais certains de ces paysages, ses mots sonnant par moments comme autant de déclarations d'amour pour un continent qui a su trouver une place de choix dans ses souvenirs de voyageur. « Il y a des lieux dont je sais très bien qu'il y a peu de chances que je vais les revoir ; des lieux dans lesquels je me suis senti bien, des paysages que j'ai trouvés d'une absolue féerie. À un moment, il a fallu leur tourner le dos en sachant très bien que c'était sans doute la dernière fois que mes yeux pouvaient se perdre dans leur contemplation béate. C'est ce que j'appelle le chagrin d'un chant inachevé. Flaubert dirait l'amertume des sympathies interrompues. Et cette amertume, on peut la ressentir non seulement à l'égard des gens qu'on rencontre, mais aussi à l'égard des paysages que l'on traverse. François-Henri Désérable Le livre a pourtant failli ne jamais voir le jour. Il en a interrompu l'écriture à de nombreuses reprises, publiant entre-temps Mon maître et mon vainqueur, qui a remporté le Grand Prix du roman de l'Académie française en 2021, ainsi que L'usure d'un monde, né de son voyage en Iran, fin 2022. C'est un nouveau voyage au Chili, l'an dernier, qui lui a finalement fait retrouver l'envie de replonger dans son manuscrit. Son prochain titre, celui qui le force à rester en France alors qu'il a rarement passé plus de six mois sans partir au cours des 10 dernières années, ne sera pas un récit de voyage, en revanche. C'est un roman sur le vin, mais qui se passe dans « pas mal d'endroits du monde », dit-il. « Donc, d'une certaine manière, le voyage a beaucoup nourri ce roman qui va à la fois en Bourgogne, à New York et en Inde. Ce sont des endroits que je connais bien et dont je me suis imprégné pour écrire. » D'ici à ce qu'il puisse enfin repartir, François-Henri Désérable continue à rêver de bourlinguer partout dans le monde. Remonter l'Afrique du Cap au Caire. Aller au Yémen. Traverser le Pakistan. Succomber de nouveau à sa fascination pour les États-Unis. Découvrir l'Asie dont il ne connaît que l'Inde et le Népal. Ou écrire sur Venise, qui reste à ce jour l'endroit qu'il préfère au monde. Il ne lui reste plus qu'à trouver le bon moment pour s'envoler de nouveau. Chagrin d'un chant inachevé – Sur la route de Che Guevara François-Henri Désérable Gallimard 198 pages

Chagrin d'un chant inachevé
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time6 hours ago

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Chagrin d'un chant inachevé

Il y a des livres qui ont le pouvoir de changer le cours d'une vie. Pour François-Henri Désérable, il s'agit sans l'ombre d'un doute de L'usage du monde. Le titre célèbre de Nicolas Bouvier l'a poussé à réaliser son premier « grand voyage », qu'il raconte dans son nouveau livre, Chagrin d'un chant inachevé – Sur la route de Che Guevara. Par écrans interposés, de Paris où il s'est « sédentarisé » le temps de terminer un roman, François-Henri Désérable nous montre, sur la bibliothèque derrière lui, une photo encadrée de l'écrivain voyageur qui le contemple. « J'ai lu L'usage du monde quand j'avais 25 ans, se souvient-il. Au bout de trois pages, j'étais déjà enchanté par l'écriture de Nicolas Bouvier et son livre m'a tout de suite tenu lieu d'évangile, en quelque sorte. J'ai lu toute son œuvre. Et évidemment, j'ai lu d'autres écrivains voyageurs, mais je n'en ai jamais trouvé qui m'ont fait ressentir autant d'émotions. » L'usage du monde est le livre qui a le plus infléchi le cours de mon existence. Le voyage est devenu l'ossature de mon existence. Et si je n'avais jamais lu Bouvier, peut-être que j'aurais mené une vie beaucoup plus sédentaire. François-Henri Désérable C'est ainsi qu'à la fin de la vingtaine, celui qui était joueur de hockey professionnel en France décide de troquer son sac de hockey contre un sac de voyage. En 2017, il traverse l'Amérique latine, de l'Argentine à Cuba, sur les traces d'Ernesto Guevara, dont la photo a longtemps orné le mur de sa chambre d'adolescent. D'abord en moto, comme le Che, puis en bus ou en auto-stop, il remonte le continent – le journal du révolutionnaire légendaire jamais loin dans son sac à dos. Tout en voyageant « chichement », il narre ses rencontres avec des gens du coin ou d'autres voyageurs, entre mésaventures et anecdotes savoureuses, dans des lieux parfois « paumés » auxquels tout le monde lui conseillait de renoncer. « Ce voyage, c'est celui par lequel j'ai appris à voyager. La mésaventure est déplaisante aux voyageurs, mais elle est très féconde pour l'écrivain voyageur. Elle ne me décourage pas, au contraire, elle me donne du grain à moudre », dit François-Henri Désérable. Le chagrin du voyageur Chagrin d'un chant inachevé est également une réflexion sur le voyage. François-Henri Désérable écrit tout en sachant pertinemment qu'il ne reverra peut-être plus jamais certains de ces paysages, ses mots sonnant par moments comme autant de déclarations d'amour pour un continent qui a su trouver une place de choix dans ses souvenirs de voyageur. « Il y a des lieux dont je sais très bien qu'il y a peu de chances que je vais les revoir ; des lieux dans lesquels je me suis senti bien, des paysages que j'ai trouvés d'une absolue féerie. À un moment, il a fallu leur tourner le dos en sachant très bien que c'était sans doute la dernière fois que mes yeux pouvaient se perdre dans leur contemplation béate. C'est ce que j'appelle le chagrin d'un chant inachevé. Flaubert dirait l'amertume des sympathies interrompues. Et cette amertume, on peut la ressentir non seulement à l'égard des gens qu'on rencontre, mais aussi à l'égard des paysages que l'on traverse. François-Henri Désérable Le livre a pourtant failli ne jamais voir le jour. Il en a interrompu l'écriture à de nombreuses reprises, publiant entre-temps Mon maître et mon vainqueur, qui a remporté le Grand Prix du roman de l'Académie française en 2021, ainsi que L'usure d'un monde, né de son voyage en Iran, fin 2022. C'est un nouveau voyage au Chili, l'an dernier, qui lui a finalement fait retrouver l'envie de replonger dans son manuscrit. Son prochain titre, celui qui le force à rester en France alors qu'il a rarement passé plus de six mois sans partir au cours des 10 dernières années, ne sera pas un récit de voyage, en revanche. C'est un roman sur le vin, mais qui se passe dans « pas mal d'endroits du monde », dit-il. « Donc, d'une certaine manière, le voyage a beaucoup nourri ce roman qui va à la fois en Bourgogne, à New York et en Inde. Ce sont des endroits que je connais bien et dont je me suis imprégné pour écrire. » D'ici à ce qu'il puisse enfin repartir, François-Henri Désérable continue à rêver de bourlinguer partout dans le monde. Remonter l'Afrique du Cap au Caire. Aller au Yémen. Traverser le Pakistan. Succomber de nouveau à sa fascination pour les États-Unis. Découvrir l'Asie dont il ne connaît que l'Inde et le Népal. Ou écrire sur Venise, qui reste à ce jour l'endroit qu'il préfère au monde. Il ne lui reste plus qu'à trouver le bon moment pour s'envoler de nouveau. Chagrin d'un chant inachevé – Sur la route de Che Guevara François-Henri Désérable Gallimard 198 pages

L'empathie, comme je l'ai vécue
L'empathie, comme je l'ai vécue

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timea day ago

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L'empathie, comme je l'ai vécue

Notre collaboratrice revient sur la formidable série Empathie, qui l'a épatée le printemps dernier, et qui sera diffusée en France en septembre1. L'œuvre de fiction lui a rappelé certains épisodes marquants de sa carrière de psychologue, quand il lui arrivait de fréquenter prisons et hôpitaux psychiatriques. Dès les premières minutes de la série Empathie, j'ai admiré le courage de l'autrice Florence Longpré. Elle a osé aborder, d'une façon subtile et réfléchie, les douloureux drames liés à la maladie mentale et aux hospitalisations pénitentiaires, et ce tant du côté des patients que de celui des familles et des proches ainsi que des soignants. Un défi énorme qu'elle a relevé avec brio. Pendant que j'exerçais le métier de psychologue, de 1978 à 2006, j'ai fréquenté, pour des expertises psycholégales, des prisons et des hôpitaux psychiatriques. J'y ai rencontré des mères accusées d'avoir tué leur enfant, j'ai écouté des histoires de vie qu'on n'oublie pas. J'ai dû, même si les gestes criminels commis étaient effroyables, afficher une forte dose de ce qu'on nomme, au sens large, l'empathie, c'est-à-dire la tentative de se mettre « dans la peau d'un autre » tout en reconnaissant qu'on ne peut qu'y tendre, sans jamais vraiment y réussir, surtout lorsque l'autre nous semble si étranger. Le but de ces expertises n'est ni d'excuser ni encore moins de justifier les gestes commis, mais cette empathie était essentielle pour tenter de comprendre ce qui avait pu conduire ces femmes à commettre l'irréparable. Ces évaluations psychologiques, nécessaires pour éclairer les processus judiciaires, mettaient évidemment à rude épreuve mes limites à tolérer l'insupportable. J'ai aussi, souvent, été témoin d'une tristesse sans nom. Des mères très dépressives, réclamant pour elles-mêmes une peine sévère. L'une d'elles s'est suicidée quelques années plus tard. Dans la série Empathie, on ne porte pas non plus un jugement sur les gestes posés. On nous présente l'histoire, les fragilités et les souffrances des patients. PHOTO FOURNIE PAR BELL MÉDIA « En mettant en scène tant la vulnérabilité des intervenants que celle des patients hospitalisés, Florence Longpré nous confronte à notre fragilité commune », écrit Hélène David. Cela permet de mieux comprendre les épisodes psychotiques, les délires, les hallucinations et les obsessions paralysantes qui éloignent ces patients de la réalité et qui les ont amenés à ces hospitalisations. La folie fait peur. Mais, comme l'a écrit récemment Nathalie Collard, « la fiction permet souvent de mieux dire ce que l'essai ne parvient pas à faire passer. […] À travers les mots et la sensibilité des autres, on arrive à se mettre dans leurs souliers. On développe son empathie2 ». La souffrance des épisodes psychotiques, des états anxieux paralysants ou d'une maladie comme la schizophrénie est souvent décrite par les personnes qui en sont atteintes comme insupportable. Les patients présentés dans la série Empathie portent cette douleur. Que ce soit la colère incontrôlable de Mme Moisan et sa consommation de drogue, les hallucinations d'amis imaginaires de M. Dallaire ou les compulsions surprenantes de M. Vanier, tous ces patients ont dû déployer des mécanismes pathologiques pour conjurer leur intense difficulté à vivre. En mettant en scène tant la vulnérabilité des intervenants que celle des patients hospitalisés, Florence Longpré nous confronte à notre fragilité commune. Je n'ai qu'admiration et respect pour les équipes soignantes incarnées dans cette série par d'excellents comédiens. Le travail et les responsabilités qu'ils assument n'ont rien d'ordinaire. Tout de leur engagement est confrontant et pousse au dépassement de nos instincts les plus humains : s'éloigner de cette patientèle, fuir la réalité des graves problèmes de santé mentale. Au contraire, c'est dans le plus grand respect que ces soignants tentent de redonner une humanité à ceux et celles que tout a éloignés de la réalité. Récemment, l'empathie s'est même invitée dans les discussions politiques, comme en a fait état Marc Thibodeau dans un dossier⁠3. Sommes-nous pour ou contre l'empathie ? Est-elle un signe de force ou de faiblesse ? Pour des tenants d'une aile ultraconservatrice et religieuse, l'empathie serait mauvaise conseillère dans de nombreux domaines, dont ceux de la justice, du droit à l'avortement, de l'identité de genre et même celui de nos frontières, au nom d'un ordre divin. Dénigrer l'empathie au profit du politique, c'est rabattre notre humanité vers ses plus bas instincts. Par ailleurs, je conseille fortement d'écouter les cinq épisodes du balado de la série Empathie. Les propos sensibles et chaleureux des comédiens ainsi que des psychiatres consultants, les docteurs Marie-Michèle Boulanger et Gilles Chamberland de l'Institut Philippe-Pinel, sont complémentaires à la série. La Dre Boulanger se fait souvent dire : « 'Ah, tu travailles là où les gens inventent des maladies !' C'est un immense cadeau que cette série-là fait pour nos patients de mettre en scène la sévérité de leurs problèmes de santé mentale. » C'est difficile d'avoir trop d'empathie. Ça montre les humains derrière les gens hospitalisés, derrière la maladie mentale. Leur diagnostic ne définit pas l'entièreté de leur personnalité. Le Dr Gilles Chamberland, de l'Institut Philippe-Pinel Le succès de cette série est mérité, car Florence Longpré nous permet d'apprivoiser les graves problèmes de santé mentale qui, plutôt rarement, provoquent des gestes criminels. Elle touche, avec un bon dosage, les téléspectateurs dans leur sensibilité, en montrant les fragilités, tant celle des personnes soignantes que celle des soignées, tout en mettant en évidence les défis et les souffrances des proches et des familles. Les patients qui sont hospitalisés vivent dans une prison intérieure dont certains ne sortiront jamais. Ne serait-ce que pour avoir abordé ce sujet, on dit merci à Florence Longpré. Et puisqu'il y aura une deuxième saison, souhaitons que cette série continue de faire une différence. En espérant, grâce à la fiction, améliorer la détection, le suivi et même la prévention de gestes dramatiques qui entraînent dans leur sillage des gens qui en porteront les séquelles toute leur vie. 1. Lisez l'article « Empathie diffusée en France en septembre » 2. Lisez la chronique « La lecture comme acte de résistance », de Nathalie Collard 3. Lisez le dossier « L'empathie, un péché ? », de Marc Thibodeau Qu'en pensez-vous ? Participez au dialogue

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