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Carte bancaire à l'étranger, quel coût avec Trade Republic?

Carte bancaire à l'étranger, quel coût avec Trade Republic?

Le Parisien2 days ago
Gérer les retraits et les paiements à l'étranger, pour les vacances, est toujours compliqué. Entre les frais de retrait, de change ou de paiement, les banques facturent parfois le fonctionnement normal des cartes bancaires. C'est plus souple grâce aux néo-banques, comme avec
Trade Republic
.
La néo-banque allemande propose trois cartes
: carte virtuelle Trade Republic, ou deux cartes physiques, la Classic (5€ en paiement unique) et la Mirror (50 € en paiement unique). Leurs avantages et caractéristiques sont similaires. Elles permettent toutes les trois d'épargner plus, grâce au
round up
: cette option permet d'arrondir vos paiements à la hausse et d'épargner les centimes. Elles permettent aussi un
saveback
, soit d'obtenir de l'argent à épargner quand vous payez grâce à la carte.
A l'étranger, les retraits subissent la même règle qu'en France : retraits illimités gratuits dès 100 € de montant (ou équivalent local) ; en dessous de 100 €, un euro par retrait. Les retraits ne sont pas limités et il n'y a pas de surcoût le week-end.
Les paiements à l'étranger sont aussi exempts de frais et les taux de change suivent ceux de Visa : il peut donc être plus simple d'utiliser Trade Republic que son application bancaire classique.
Les cartes sont aussi contrôlables depuis l'application - contrôle total, verrouillage en cas de souci, ajustement des plafonds. Problèmes : à l'inverse de beaucoup de cartes bancaires, celles de Trade Republic ne disposent pas d'assurances. En outre, les cartes sont seulement des cartes de débit et non des cartes de crédit. En conséquence, elle ne fonctionnera pas toujours à l'étranger, en fonction des législations locales. Elles représentent toutefois un réel avantage dans la plupart des pays pour ne pas payer de frais bancaires.
>>Cliquez ici pour commander une carte Trade Republic
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Dans cette ville, les amendes de stationnement financent... une navette gratuite pour se rendre dans le centre
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Le Figaro

timean hour ago

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Dans cette ville, les amendes de stationnement financent... une navette gratuite pour se rendre dans le centre

La ville de La Rochelle a trouvé une formule pour financer sa navette électrique gratuite : utiliser les recettes du stationnement payant, notamment les forfaits post-stationnement (ces amendes qui ne disent pas leur nom). «Mais comment la navette Cœur de Ville peut-elle être gratuite ?», se demande à elle-même la ville de La Rochelle dans un petit prospectus détaillant le parcours et les horaires de la fameuse. Réponse sur le même papier : «parce qu'elle est financée par la Ville de La Rochelle avec les recettes issues du stationnement non réglé ». Autrement dit, La Rochelle consacre une partie des recettes du stationnement payant, notamment celles issues du Forfait post-stationnement – ces amendes qui ne disent pas leur nom – au financement d'une navette 100% électrique et gratuite. Publicité Il faut dire que le stationnement payant rapporte gros à la ville. Début 2024, le périmètre de la zone payante dans la ville a doublé, portant les recettes voiries (tickets + forfait post-stationnement) à 5,85 millions d'euros annuels, soit une augmentation de +37% par rapport à 2023. Des recettes directement réinjectées dans le projet «navette gratuite» Dans le même temps, fin 2024, la navette gratuite était testée du 11 décembre jusqu'au dimanche 22 décembre, pendant les animations de Noël. Depuis ce lundi 21 juillet, ce mode de transport est pérennisé, d'abord avec un passage toutes les 15 min de 9 h 00 à 19 h 30 jusqu'au 24 août. Avant de ne circuler que du mardi au samedi, l'été passé. Ce transport rochelais se vend comme pratique car il permet «de se déplacer facilement et rapidement dans le centre-ville sans effort », souligne le prospectus promotionnel, qui précise : « Plus besoin de marcher longtemps : que vous soyez chargé par vos emplettes, avec un enfant, ou que vous rencontriez des difficultés à vous déplacer, la navette vous dépose au plus près de vos commerces, services et lieux incontournables du centre-ville ! » Accessible aux personnes à mobilité réduite grâce à « une rampe d'accès et un emplacement réservé aux fauteuils roulants », cette navette électrique « ne rejette pas de pollution et réduit le bruit en centre-ville, tout en limitant le trafic automobile ». Elle se connecte parfaitement au réseau de bus rochelais et aux parkings-relais périphériques, facilitant les connexions intermodales, conclut la ville.

Les banques de la zone euro ont durci l'accès aux crédits pour les ménages
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Les banques de la zone euro ont durci l'accès aux crédits pour les ménages

Les banques de la zone euro ont durci leurs critères d'octroi de prêt aux ménages au deuxième trimestre, inquiètes des perspectives économiques, selon la Banque Centrale Européenne, qui devrait marquer une pause jeudi dans son cycle de baisses de taux d'intérêt. D'avril à juin, les banques ont signalé «un léger resserrement» des normes pour les crédits immobiliers et «un resserrement plus prononcé» pour le crédit à la consommation et autres types de prêts aux ménages, selon un rapport trimestriel de la BCE publié mardi Ce durcissement s'explique par «les changements dans la perception des risques et la tolérance au risque des banques», détaille cette étude basée sur un questionnaire adressé à 155 banques de la zone euro. En revanche, les conditions d'accès aux prêts pour les entreprises sont restées «globalement inchangées», déjouant les prédictions pessimistes de l'institution de Francfort au début de l'année. Publicité Au deuxième trimestre, les incertitudes géopolitiques et les tensions commerciales exacerbées par les droits de douane de Donald Trump n'ont eu «aucun impact spécifique supplémentaire» sur ces normes de crédits, assure la BCE. En Allemagne, les banques «pourraient devenir plus optimistes dans leur évaluation des risques» avec les grands plans d'investissements du gouvernement, selon Jenny Körner, économiste chez KfW Research. Pas de nouvelle baisse des taux en vue Quant à la demande de prêts de la part des entreprises en zone euro, elle s'est légèrement reprise par rapport au trimestre précédent, mais demeure négative. Elle a été soutenue par la baisse des taux d'intérêt, mais «mais freinée par les incertitudes mondiales et les tensions commerciales». La demande de prêts immobiliers poursuit sa remontée, dopée par les perspectives du marché du logement, et la demande de crédits à la consommation augmente aussi légèrement. Jeudi, la BCE devrait maintenir ses taux inchangés après sept baisses consécutives, estiment les experts, la zone euro étant arrivé «à la fin d'un cycle de politique monétaire» après des crises à répétition selon sa présidente Christine Lagarde. L'institution reste vigilante aux menaces du président Trump d'imposer une lourde surtaxe sur les importations en provenance de l'Union européenne, qui auraient un effet considérable sur l'économie de la zone euro.

Un plan de 7,7 millions d'euros pour sept bateaux de sauvetage et des rénovations pour la SNSM en Normandie
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Un plan de 7,7 millions d'euros pour sept bateaux de sauvetage et des rénovations pour la SNSM en Normandie

Un faux air de Noël en été. Les stations normandes de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) vont bénéficier d'un renouvellement de flotte d'ici 2029. Dès cette année, un sealegs (un bateau amphibie) à Barfleur dans la Manche, un semi-rigide ou un sealegs à Port-en-Bessin et une petite vedette (ou un semi-rigide) à Trouville-Deauville. Ce 21 juillet à Ouistreham , la SNSM, la Région Normandie et les départements maritimes ont présenté un plan de 7,7 millions d'euros sur cinq ans. Sept bateaux vont être achetés, en plus de la « modernisation-carénage » d'un certain nombre d'autres, consistant en une vaste rénovation d'un navire existant pour prolonger sa durée de vie. C'est d'ailleurs ce qui s'était passé à Dives-sur-Mer en 2017. « Notre vedette de 10,5 m a été construite en 1991. Elle a eu une refonte en 2017, pour dix ans de plus. Quand c'est comme ça, il faut presque tout changer », éclaire Jean-Louis Monteiro, président de la station, qui recevra dans deux ans un nouveau bateau de 12 m. Un renfort plus puissant bienvenu car « on a des bateaux de plus en plus gros au port, en plus des chalutiers ». Un peu plus à l'est, Trouville-Deauville attend les successeurs de sa vedette de 25 ans et son semi-rigide de 8 ans (la durée de vie de ce dernier est estimée autour de 10 ans). « En plus du sauvetage en mer, la sécurité le long du littoral repose sur nous. On a 50 à 60 interventions par an et trois fois plus de sorties en mer avec les exercices. Les bateaux sont bien utilisés », rappelle Bruno Chauvin, président de la station de la côte fleurie. La station est prévue dans le plan. Un investissement nécessaire pour la continuité opérationnelle et de bonnes conditions de sécurité pour les sauveteurs bénévoles, qui ont réalisé 433 sauvetages en mer (pour 850 personnes) et près de 2000 interventions sur la plage l'an dernier en Normandie. Mais ce renouvellement est de plus en plus onéreux. « Le coût des matières premières augmente, il y a plus de normes environnementales pour les bateaux et en plus, tous les renouvellements se concentrent sur une petite dizaine d'années », détaille Bertrand Hudault, inspecteur général Manche et mer du Nord pour la SNSM. Une soixantaine de nouveaux bateaux dans ce laps de temps aux quatre coins du pays. Mais là où un canot tout temps coûtait 1,4 million d'euros il y a encore quelques années, la facture grimpe désormais à 2,35 M€. C'est 1,15 M€ pour une vedette de 12 m, 300 000 euros pour une vedette légère et entre 170 000 et 230 000€ pour un semi-rigide. « Pour les nouveaux navires, il y a une règle coutumière, glisse l'inspecteur général. Nous payons 50 % et la région et les départements financent l'autre moitié. Elle n'est pas suivie partout », ajoute Bertrand Hudault. Un effort loin d'être anodin dans le contexte tendu des finances publiques. En Normandie, les collectivités suivent. La Région investit quasiment deux millions d'euros. Le Département de la Manche paye près de 800 000 euros, la Seine-Maritime environ 650 000 euros et le Calvados un peu plus de 485 000 euros. Son président, Jean-Léonce Dupont, met toutefois en garde : « J'espère que nous pourrons maintenir ce financement au-delà de 2029. Si l'incurie de l'État continue, à un moment, nous ne pourrons plus. » La convention triennale entre la SNSM et les collectivités est devenue quinquennale, pour étaler la dépense. Et l'effort est porté sur les fameuses « modernisations-carénage ». Même si la magie des réparations touche parfois ses limites, à l'image des vicissitudes de la vedette de Port-en-Bessin en avril dernier , longuement immobilisée à cause d'une panne. « S'il y a un désengagement, ça va remettre en cause le système, s'alarme Jean-Louis Monteiro. Il faut garder ce principe du bénévolat mais, en parallèle, des subventions pour les bateaux. » La SNSM normande peut au moins souffler, avec cette grosse vague de renouvellement.

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