
Jon Jones sort déjà de sa retraite pour pouvoir participer à l'événement de l'UFC à la Maison Blanche
La retraite de Jon Jones n'aura même pas duré trois semaines. Sorti des cages de l'UFC le 22 juin, « Bones » a annoncé jeudi soir avoir repris l'entraînement, et donc se remettre en position de combattre au sein de l'organisation. En ligne de mire, l'Américain a le futur événement de l'UFC à la Maison Blanche, que Donald Trump a annoncé début juillet. « Pour moi, ce serait l'occasion de représenter l'Amérique à la Maison Blanche. Peu importe qui j'affronte ce soir-là. J'ai trouvé ma raison d'être, c'est ce dont j'avais besoin : quelque chose qui dépasse l'argent », a expliqué Jones sur X.
Détenteur de la ceinture des poids lourds avant de prendre sa retraite, Jones (37 ans) devrait faire son retour dans cette même catégorie. Récemment invité dans un podcast, Dana White, patron de l'UFC, a d'ailleurs avancé qu'il rêvait d'avoir l'Américain face au Britannique Tom Aspinall, nouveau champion des lourds, dans le combat principal de l'événement à la Maison Blanche. Ce dernier pourrait avoir lieu le 4 juillet 2026, à l'occasion du 250e anniversaire de la déclaration d'indépendance des USA.

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Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Athlétisme : McLaughlin-Levrone et Russell iront aux Mondiaux de Tokyo
Les championnes olympiques du 400m haies et du 100m haies se sont qualifiées ce samedi pour les JO de Tokyo. Les championnes olympiques Sydney McLaughlin-Levrone et Masai Russell ont remporté des victoires convaincantes samedi lors des sélections américaines à Eugene (Oregon), décrochant ainsi leur billet pour les Mondiaux d'athlétisme de Tokyo. McLaughlin-Levrone, grande star de l'athlétisme américain et plus grande championne du 400 m haies de l'histoire, a étonné les observateurs en choisissant de relever un nouveau défi, le 400 m plat, et elle a montré qu'elle pouvait prétendre à une médaille à Tokyo, grâce à une victoire éclatante en 48 sec 90. Publicité Russell, championne olympique du 100 m haies, a été tout aussi impressionnante, avec une performance sans faille qui lui a permis de remporter la distance en 12 sec 22. Chez les hommes, le 1.500 m a réservé une surprise: le champion olympique en titre Cole Hocker a terminé troisième, dernière place qualificative pour les Mondiaux. J'ai senti que c'était l'année où je voulais sortir des sentiers battus et me dépasser d'une manière différente. Alors évidemment, c'est difficile, mais je tenais à le faire et c'est ce que je fais. (...) Et j'ai hâte de voir jusqu'où je peux me dépasser Sydney McLaughlin-Levrone McLaughlin-Levrone, 25 ans, a déclaré à la presse samedi qu'elle voulait se tester cette saison après une série d'invincibilité de six ans sur le 400 m haies, distance où elle est double championne olympique et dont elle détient le record du monde. «J'ai senti que c'était l'année où je voulais sortir des sentiers battus et me dépasser d'une manière différente. Alors évidemment, c'est difficile, mais je tenais à le faire et c'est ce que je fais. (...) Et j'ai hâte de voir jusqu'où je peux me dépasser», a-t-elle expliqué à l'AFP. McLaughlin-Levrone a confirmé qu'elle n'avait pas l'intention de tenter de se qualifier pour le 400 m haies à Tokyo via les finales de la Diamond League de ce mois-ci. «Non, nous allons nous concentrer uniquement sur le 400 m», a-t-elle répondu. «Je pense que c'est déjà un défi de taille en soi. C'est une course très compétitive, donc je respecte bien sûr les coureuses et je veux m'assurer de pouvoir donner le meilleur de moi-même lors de ces courses». Publicité «Un niveau à maintenir» Sur 100 m haies, Russell, 25 ans aussi, a montré qu'elle sera la femme à battre à Tokyo, après sa victoire devant Grace Stark (12 sec 31) et Alaysha Johnson (12 sec 36). Russell avait débuté la saison en grande forme, établissant un record américain de 12 sec 17 en mai, avant qu'une blessure à la cheville ne menace de compromettre sa saison. Cependant, elle semblait avoir retrouvé son meilleur niveau lors de son succès samedi. «J'aurais pu mettre fin à ma saison il y a deux mois, quand je ne pouvais plus marcher», a-t-elle rappelé. «Mais je me suis dit: +C'est mon objectif+». «Gagner les Jeux olympiques m'a mis un peu plus de pression. Parce que je sens que j'ai un niveau à maintenir. Les gens attendent quelque chose de la championne olympique en titre», a-t-elle dit. Dans le 1.500 m masculin, une bataille passionnante a vu le champion olympique Hocker être devancé par Jonah Koech, vainqueur en 3 min 30 sec 17.


L'Équipe
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Mort du frère de Muhammad Ali, Rahaman Ali, qui fut également boxeur
Le frère de Muhammad Ali, Rahaman Ali, qui était lui aussi boxeur professionnel, est décédé à 82 ans vendredi à Louisville (Kentucky), où ils étaient nés. La cause n'a pas été précisée par la famille. Le frère de Muhammad Ali, Rahaman Ali, qui était également boxeur professionnel, est décédé à 82 ans vendredi à Louisville (Kentucky), où ils étaient nés. La cause n'a pas été précisée par le Muhammad Ali Center. « Impossible de raconter l'histoire de Muhammad sans mentionner Rahaman, commente l'Américain DeVone Holt, directeur du Muhammad Ali Center. Il a été l'un des soutiens les plus constants de Muhammad tout au long de sa carrière et leur relation illustre parfaitement ce que signifie être le gardien de son frère. » Né Rudolph Clay le 18 juillet 1943, dix-huit mois après son aîné Cassius Clay, il changeait lui aussi de nom après s'être converti à l'Islam. Également poids lourd, après avoir débuté la boxe amateur peu après son frère, Rahaman Ali n'a disputé que dix-huit combats professionnels (14 victoires, dont 7 avant la limite, 1 nul, 3 défaites) entre le 25 février 1964 à Miami (au programme du Championnat du monde des lourds qui voyait Cassius Clay, comme il était encore connu, détrôner Sonny Liston) et le 13 septembre 1972 à San Diego. Après avoir remporté ses sept premiers combats, il subissait sa première défaite face au Britannique Danny McAlinden le 8 mars 1971 au Madison Square Garden de New York. Dans le combat vedette, Muhammad Ali était lui aussi battu pour la première fois par Joe Frazier. Après son retrait des rings, Rahaman continua de figurer dans l'entourage de son frère. Hana, l'une des filles de Muhammad Ali, a publié une photo avec son oncle sur Instagram avec ces commentaires : « Il avait la même étincelle dans les yeux que mon père... Cette même lumière, cette même malice, ce même amour. »


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Rahaman, frère discret de Mohamed Ali, s'éteint à son tour : sa famille rend hommage à «une âme douce»
Rahaman Ali, lui aussi boxeur et frère de la légende Mohamed Ali, est décédé ce vendredi 1er août. Dans des textes touchants, certains de ses neveux lui rendent hommage. Rahaman Ali ne fut pas une ombre discrète de son frère Mohamed. C'était bien plus que cela. Véritable pilier pour la légende de la boxe, le moins connu des Ali est décédé ce vendredi 1er août à l'âge de 82 ans. Né Rudolph Arnett Clay, l'enfant de Louisville dans le Kentucky fut le premier supporter de son aîné, devenu par la force des choses le roi des rings. L'une de ses nièces, Hana Ali (l'une des filles de Cassius Clay) a salué la mémoire «d'une âme douce et gentille, au cœur grand comme le monde», soulignant la «relation extraordinaire» qu'avaient son père et son oncle. «Aujourd'hui, le dernier membre vivant de la famille immédiate de mon père est retourné au ciel (...) Il avait cette même étincelle dans les yeux que mon père avait… cette même lumière, cette même malice, ce même amour. Ils ont été proches toute leur vie, frères de sang, mais amis par choix», a-t-elle également écrit. Publicité 18 combats professionnels Avant d'ajouter : « Même lorsqu'ils étaient enfants, leur lien était extraordinaire. Mon père aimait son frère comme s'il était son propre enfant. Je les imagine encore réunis au paradis… jouant aux cow-boys et aux Indiens avec les balais qu'ils trouvaient dans le placard de Maman Oiseau et Papa Cash. Papa a toujours insisté pour être le cow-boy et Rock l'Indien». On ne peut pas raconter l'histoire de Mohamed sans Rahaman DeVone Holt, président du Muhammad Ali Center Rahaman Ali n'a pas connu la carrière flamboyante de son frère. Il aligna dix-huit combats professionnels — dont quatorze victoires, sept par KO - avant de rapidement ranger les gants. De Louisville à Kinshasa, les deux hommes se suivirent partout. Dans un message posté sur les réseaux sociaux, DeVone Holt, président du Muhammad Ali Center, a écrit : « On ne peut pas raconter l'histoire de Mohamed sans Rahaman».