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Votre plante est mal en point ? Voici comment savoir si elle est vraiment morte ou si elle peut repartir

Votre plante est mal en point ? Voici comment savoir si elle est vraiment morte ou si elle peut repartir

Le Parisien4 hours ago
Trop d'arrosage ou pas assez, trop chaud ou trop froid, pas assez de lumière ou une exposition trop ensoleillée…
Les plantes d'intérieur subissent de nombreux aléas qui peuvent, à terme, les faire mourir. Cependant, une plante mal en point n'est pas forcément condamnée !
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Comment savoir si une plante est vraiment morte ?
Commencez par supprimer toutes les parties abîmées de la plante.
Des feuilles jaunes ou marron ne sont pas forcément le synonyme d'une plante morte, bien qu'elles indiquent que votre plante est en mauvaise santé. Pour savoir si votre plante verte est vraiment morte, vous allez devoir enquêter plus en profondeur !
Plusieurs signes vous permettent ainsi de savoir si votre plante est condamnée ou si elle peut repartir, à commencer par ses racines. Dépotez votre plante, décompactez la motte et observez-les : si elles vous paraissent flétries, anormalement brunes et molles, c'est qu'elles ont pourri. Votre plante est alors sûrement morte.
Si les racines sont en bon état, observez maintenant les tiges de votre plante. Au-delà des feuilles flétries, ce sont elles qui vous diront si votre plante est morte ou prête à repartir ! Coupez une tige qui vous semble morte, ou grattez sa surface à l'aide d'un couteau : si elle est brune et sèche même à l'intérieur, votre plante est probablement morte. Par contre, si elle encore, c'est plutôt bon signe : cela signifie que la sève circule toujours. Vous avez alors peut-être une chance de ressusciter votre plante !
Est-ce qu'une plante morte peut repartir ?
Il n'est pas possible de sauver une plante morte à proprement parler : si les racines sont pourries et qu'il n'y a plus aucune sève qui circule dans les tiges, il n'y a rien à faire ! Par contre, il est possible de sauver une plante très mal en point en appliquant quelques bons gestes :
Commencez par supprimer toutes les parties abîmées de la plante : les feuilles jaunes ou brunes, les tiges mortes, les racines pourries. Cela lui permettra de concentrer son énergie sur la production de nouvelles tiges.
les feuilles jaunes ou brunes, les tiges mortes, les racines pourries. Cela lui permettra de concentrer son énergie sur la production de nouvelles tiges. Avant de la rempoter, nettoyez bien ses racines pour la débarrasser entièrement de son ancien substrat : pour donner toutes ses chances à votre plante, vous devez repartir de zéro.
pour la débarrasser entièrement de son ancien substrat : pour donner toutes ses chances à votre plante, vous devez repartir de zéro. Rempoter votre plante avec un nouveau terreau adapté à ses besoins, frais et bien aéré. C'est ainsi que vous pourrez sauver une plante qui a été trop arrosée.
adapté à ses besoins, frais et bien aéré. C'est ainsi que vous pourrez sauver une plante qui a été trop arrosée. Placez votre plante à un emplacement idéal pour elle, en termes de température et de luminosité : vous devez la bichonner pour l'aider à repartir !
Si votre plante n'était pas vraiment morte, elle devrait produire de nouvelles pousses en quelques jours ou en quelques semaines. Soyez patient, cela peut prendre du temps !
Où jeter sa plante morte ?
Vous pouvez y placer votre plante morte dans votre compost si elle n'a souffert d'aucune maladie grave ni d'invasion de parasite.
Si votre plante est définitivement morte ou que votre opération de sauvetage a échoué, vous allez devoir vous en débarrasser. Mais pas n'importe comment !
Si vous devez déterrer une plante morte plantée en pleine terre ou dans une jardinière, faites attention à supprimer toutes les racines mortes tout en épargnant celles des plantes environnantes. Si vous vous débarrassez d'une plante morte en pot, pensez à récupérer le pot en plastique et à l'éliminer correctement : bac de tri dédié aux emballages (s'il porte bien le sigle en forme de triangle avec des flèches), poubelle… Sinon, gardez-le pour vos futures boutures !
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La chaleur sera telle ce week-end que la SNCF supprime déjà une vingtaine de trajets
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  • Le HuffPost France

La chaleur sera telle ce week-end que la SNCF supprime déjà une vingtaine de trajets

MÉTÉO - Déjà des conséquences. La SNCF a annoncé cette fin de semaine qu'elle supprimait plusieurs trajets, notamment entre Paris et Clermont, pour anticiper des « pannes potentielles de climatisation liées aux très hautes températures » ce samedi 9, dimanche 10 août et lundi 11 août. La « conception ancienne » de certaines voitures Corail « n'assure pas la même robustesse que celle des trains plus récents dans certaines conditions météorologiques », explique la compagnie ferroviaire dans un communiqué, évoquant des « allégements temporaires » qui « ciblent les trains de mi-journée en tenant compte au cas par cas des prévisions de température sur les territoires desservis par chacune des lignes. » Ainsi, trois allers-retours sont supprimés entre Bordeaux et Marseille jusqu'au lundi 11 août inclus, trois entre Paris et Clermont et cinq entre Paris et Limoges. La SNCF dit avoir proposé un remboursement ou un changement d'horaires aux voyageurs concernés. Nouvelle vague de chaleur étouffante Il faut dire que la France fait face, à partir de ce vendredi, à une nouvelle vague de chaleur estivale étouffante. Elle va s'étendre samedi avec 28 départements du sud de la France placés en vigilance orange « canicule », et jusqu'à 41°C attendus localement. Le pic de chaleur est attendu en début de semaine prochaine sur une large partie du pays, après un week-end marqué par des températures comprises entre 34°C et 40°C dans le sud, pouvant atteindre les 41°C du pied des Cévennes à la basse vallée du Rhône, selon Météo-France. « Les très fortes températures devraient s'intensifier en début de semaine prochaine », avec les journées les plus chaudes prévues lundi et mardi, avant de se maintenir au moins jusqu'en seconde partie de semaine, précise vendredi le service météorologique. La journée de lundi pourrait ainsi être « la plus chaude à l'échelle nationale. La vague de chaleur devrait se poursuivre jusqu'en seconde partie de semaine prochaine sur le Sud-Est ». Après une première vague de chaleur du 19 juin au 4 juillet, cet épisode constitue la 51e vague de chaleur enregistrée en France depuis 1947, selon Météo-France.

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Parmi les personnes ayant « déjà consommé » de la cocaïne, 74 % considèrent qu'elle aide à « s'amuser et à faire la fête », et 24 % pensent qu'il est possible de « vivre normalement » en en consommant. Les Français perçoivent aujourd'hui le tabac et l'alcool comme plus dangereux qu'en 1999, tandis que le cannabis et la cocaïne apparaissent moins menaçants, selon une enquête publiée jeudi par l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT). L'enquête sur les représentations, opinions et perceptions sur les psychotropes (EROPP) a été réalisée au cours de l'année 2023 sur le territoire hexagonal, sur un échantillon représentatif de 2718 personnes âgées de 18 à 75 ans. «Le tabac et l'alcool sont désormais plus souvent perçus comme dangereux, y compris à faible dose», précise l'étude qui montre que 27% des sondés jugent le tabac dangereux «dès l'expérimentation», contre 22% en 1999. Pour l'alcool, la part de ceux qui estiment qu'il ne présente de danger «qu'à partir d'une consommation quotidienne» est passée de 84% à 71% sur la même période. À lire aussi «On recherche une échappatoire contre la fatigue» : l'inquiétante explosion de la consommation de drogue en entreprise Publicité «Pratiques et contextes d'usage» À l'inverse, «la dangerosité perçue du cannabis diminue sensiblement» : 38% des Français le considèrent dangereux dès l'expérimentation, contre 54% en 1999. Au contraire, la proportion de ceux estimant qu'il ne devient dangereux qu'en cas d'usage quotidien progresse de 28% à 44%, précise l'étude. «En 2023, et pour la première fois depuis la première édition de EROPP, il y a davantage d'adultes qui considèrent que le cannabis est dangereux à partir d'une consommation quotidienne que d'adultes qui pensent que le cannabis est dangereux dès l'expérimentation», conclut-elle. La cocaïne, dont la notoriété a fortement augmenté des dernières années (74% de citations spontanées contre 64% en 2012), est aussi moins souvent perçue comme très dangereuse. Parmi les personnes en ayant «déjà consommé», 74% considèrent qu'elle aide à «s'amuser et à faire la fête», et 24% pensent qu'il est possible de «vivre normalement» en en consommant. Cette étude «met en évidence l'évolution de la perception de la dangerosité des substances qui ne repose plus uniquement sur leur statut légal, mais de plus en plus sur les pratiques et contextes d'usage», analyse l'OFDT. En 2023, seuls 20% des Français citent la drogue parmi les principales préoccupations sociétales, une inquiétude stable depuis 25 ans, devancée par des enjeux comme la pollution qui a «nettement progressé».

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