
Alaska Airlines suspend tous ses vols en raison d'une panne informatique
La compagnie aérienne américaine Alaska Airlines a annoncé la suspension de tous ses vols, ainsi que de ceux de sa filiale Horizon Air, en raison d'une panne informatique dimanche soir.
«Alaska Airlines a connu une panne informatique qui a eu un impact sur ses opérations. Nous avons demandé une interruption temporaire des vols Alaska et Horizon Air jusqu'à ce que le problème soit résolu», a écrit la compagnie dans un communiqué.
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La compagnie American Airlines a fait mieux qu'attendu au deuxième trimestre malgré une chute de plus de 16% de son bénéfice net, et a affirmé que le pire était passé mais cela n'a pas été suffisant pour amadouer les marchés. «American a produit une activité record dans un environnement de demande fluctuante», a commenté Robert Isom, patron de la compagnie aérienne, cité jeudi dans un communiqué. La reprise a notamment été meilleure qu'escompté dans les voyages de loisirs et la «solidité» de la demande a perduré dans les cabines premium. «Nous continuons d'avoir confiance dans le fait que les actions que nous avons entreprises ces dernières années pour rafraîchir notre flotte, maîtriser nos coûts et renforcer notre bilan nous positionnent bien pour l'avenir», a-t-il relevé. Sur le deuxième trimestre, le groupe a engrangé un chiffre d'affaires «record» de 14,39 milliards de dollars, soit une mini-hausse de 0,4% sur un an. Fin avril, lors de la présentation des résultats du premier trimestre, les dirigeants avaient anticipé une évolution entre «un recul de 2% et une hausse de 1%». Le bénéfice net a reculé de 16,4% à 599 millions de dollars, affecté notamment par des dépenses salariales supérieures (+10,9%) et de marketing (+17,5%). Rapporté par action et hors éléments exceptionnels - référence pour les marchés -, il ressort à 95 cents quand le consensus des analystes de FactSet attendait 78 cents. Fin avril, le groupe s'attendait à ce que cette valeur soit comprise entre cinquante cents et un dollar. Mais, vers 15h00 GMT, l'action American Airlines chutait de 7,21% à la Bourse de New York. Le marché semblait déçu des perspectives prudentes. Publicité Le pire en juillet En ce qui concerne le troisième trimestre, le groupe anticipe une perte nette par action hors éléments exceptionnels compris entre 10 et 60 cents. Avant la publication de jeudi, le consensus tablait sur un minuscule bénéfice de trois cents. Le chiffre d'affaires devrait osciller entre un recul de 2% et une hausse de 1% sur un an, et les capacités augmenter de 2 à 3%. «Nous pensons que le pire est derrière nous et que le chiffre d'affaires va s'améliorer d'un mois sur l'autre au cours de ce trimestre», a indiqué Devon May, directeur financier, lors d'une audioconférence avec des analystes. Et pour l'ensemble de l'année, en se basant sur les tendances de réservation à ce stade, l'entreprise anticipe un résultat net par action à données comparables compris entre une perte de dix cents et un bénéfice de 80 cents, avec une médiane à trente cents. American «pense que le haut de la fourchette est atteignable si la demande sur le marché domestique continue de se renforcer et n'envisage le bas de la fourchette qu'en cas de faiblesses macroéconomiques inconnues à l'heure actuelle», selon le communiqué. Lors de l'audioconférence, Robert Isom a souligné que «la demande en premium et les dépenses des clients aisés (avaient été) résilientes au deuxième trimestre», affirmant que la progression du chiffre d'affaires dans ces classes avait été meilleure de quatre points par rapport à celle de la classe économique. «La force du premium à l'international a été compensée par la faiblesse de la cabine économique au niveau domestique», a-t-il ajouté, précisant que le mois de juillet devrait être «le point le plus bas» pour les liaisons domestiques avant «une amélioration progressive». De son côté, Devon May a précisé qu'American allait réaliser plus de 750 millions d'économies cumulées d'ici la fin de l'année, depuis le début d'un projet de réorganisation en 2023.


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