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« On avait quelque chose à régler avec le Bayern » rappelle Marquinhos après la qualification du PSG en demi-finales de la Coupe du monde des clubs

« On avait quelque chose à régler avec le Bayern » rappelle Marquinhos après la qualification du PSG en demi-finales de la Coupe du monde des clubs

L'Équipe2 days ago
Réduit à neuf, le Paris Saint-Germain s'est qualifié ce samedi pour les demi-finales de la Coupe du monde des clubs en battant le Bayern Munich (2-0). Un succès au goût de revanche pour Marquinhos qui rappelait la défaite des siens contre les Allemands en finale de la Ligue des champions 2020 et un autre revers cette saison en C1.
Marquinhos (capitaine du PSG, vainqueur du Bayern Munich en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs, au micro de DAZN) : « C'est un moment important pour nous. Cela a été un match vraiment difficile. On avait quelque chose à régler avec le Bayern (sourire), la finale(de Ligue des champions 2020, défaite 1-0) me reste encore en travers de la gorge. On avait aussi perdu le dernier match joué contre eux (0-1, 5e journée de la phase de groupes). C'est bien de montrer qu'aujourd'hui était un autre jour, de gagner ce match dans une compétition où on veut aller au bout.
(Sur les deux expulsions) Les cartons rouges, ce sont toujours des petites erreurs à régler. Mais après les expulsions, j'ai regardé mes coéquipiers et j'ai vu tout le monde dire "OK, on va défendre jusqu'au bout", là j'étais sûr qu'on allait gagner. On a vu l'attitude de l'équipe à dix et même à neuf, on a continué de jouer pour mettre ce deuxième but. C'est notre mentalité, le coach a beaucoup travaillé sur ça et c'est pour ça qu'on est prêts à tout. »
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« Je ne voulais pas prendre de risque » : Bryan Coquard, le symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes
« Je ne voulais pas prendre de risque » : Bryan Coquard, le symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes

L'Équipe

time28 minutes ago

  • L'Équipe

« Je ne voulais pas prendre de risque » : Bryan Coquard, le symbole malheureux d'une étape marquée par les chutes

Bryan Coquard a été impliqué dans deux des trois chutes qui ont agité la longue étape de plaine jusqu'à Dunkerque, lundi. Il nous arrive de discrètement fermer les yeux lorsqu'un homme va à terre, d'être touché par la douleur et la peur qu'il doit ressentir. Mais un homme debout est parfois encore plus touchant. Bryan Coquard (33 ans) est arrivé devant une nuée de micros lundi en début de soirée, les yeux secs, puis un peu moins, pour finir carrément humides à mesure qu'il tentait de retracer sa journée et ses malheurs. Le sprinteur de Cofidis est celui qui a entraîné la chute de Jasper Philipsen avant de faire un soleil dans le final à Dunkerque. Douleur mentale dans le premier cas, physique dans le second. « Je m'attendais à ce que vous soyez tous là, souffle Coquard lorsqu'il prend la parole après avoir, en plus, dû patienter de très longues minutes au contrôle antidopage. C'est une sale journée oui, vous imaginez que... » Une pause pour faire le ménage dans ses émotions. « Faire abandonner le maillot vert, ça ne fait pas plaisir. Même si ce n'était pas un acte volontaire, je tiens à m'excuser auprès de Philipsen et d'Alpecin. Je ne suis pas un mauvais bougre, un mauvais garçon, ce n'est pas agréable. » Touché et touchant. « Je ne voulais pas vraiment faire le sprint final... », ajoute-t-il un peu plus tard en ravalant un deuxième sanglot. « Je me suis remobilisé puis... » Sa voix tremble. « Nouvelle chute, et voilà... J'ai mal un peu partout, j'ai des abrasions, on verra... » Brûlures à la jambe gauche et la fesse gauche, multiples plaies superficielles, douleurs musculaires du côté de l'omoplate, le bilan médical dans la soirée n'était pas réjouissant. « C'est toujours la faute à pas de chance dans les sprints donc on ne peut blâmer personne » Paul Penhoët, victime de la chute lors du sprint final lundi Cette deuxième chute, spectaculaire, l'a envoyé jambes par-dessus tête à plus de 60 km/h, après avoir tenté d'éviter une vague provoquée par le duo Davide Ballerini (XDS-Astana) et Danny Van Poppel (Red Bull-Bora Hansgrohe) forçant Paul Penhoët (Groupama-FDJ) à se déporter vers la gauche. La même chute qui a envoyé Émilien Jeannière (TotalEnergies) dans les barrières. Sur un rétrécissement à trois kilomètres de l'arrivée, Remco Evenepoel (Soudal-Quick Step) est aussi tombé, mais sans gravité. Tout l'inverse de Jordi Meeus (Red Bull-Bora), qui a mis longtemps a se relever, avait le bras en écharpe après l'étape et n'était pas encore certain de prendre le départ ce mardi. Il pourrait souffrir d'une commotion. Rentré à l'hôtel peu avant 20 heures, Jeannière souffre selon son équipe d'un traumatisme facial sans gravité, de contusions multiples au niveau des épaules et de plaies déjà suturées. Il était monté dans une ambulance le casque explosé. « Je suis touché au dos, fesses, doigts, pieds. J'ai vraiment fini sur le dos », listait de son côté Penhoët, qui a passé la ligne en marchant à côté de son vélo, dépité : « Je n'ai pas envie de dire quoi que ce soit là-dessus, c'est toujours la faute à pas de chance dans les sprints donc on ne peut blâmer personne. Moi le premier, je ne freine pas, donc voilà. Moi je voulais aller là car un mec s'écartait et je voyais que ça lançait devant... » « C'est miraculeux pour lui de rester sur le vélo. (...) Je vais lui dire de surtout pas culpabiliser » Cédric Vasseur, manager de Cofidis, au sujet de la chute qu'a provoquée Bryan Coquard Être là ou là, choisir une ligne plutôt qu'une autre et composer avec les aléas, c'est aussi la phase vécue par Coquard juste avant le sprint intermédiaire à 60 bornes de l'arrivée. Le coureur de Cofidis a revu les images des deux sprints qui ont fait de sa journée un enfer. « Je ne sais vraiment pas ce qu'il s'est passé en fait. J'ai l'impression que (Jonathan) Milan lance son sprint, peut-être que ma roue avant touche son dérailleur ou peut-être que c'est (Laurenz) Rex qui me déséquilibre, j'en sais vraiment rien, décortiquait-il la voix remplie d'émotion. Ce n'était pas mon intention de créer une chute, je ne voulais pas prendre de risque. J'étais juste dans la roue de Milan quand il a lancé, je n'ai même pas l'impression d'avoir touché quelque chose. Ensuite, j'ai été clairement déséquilibré, j'ai perdu la pédale de la chaussure, j'en ai presque perdu la chaussure. » Une séquence, comme les deux autres, où personne n'était vraiment fautif, où aucun comportement violent ou antisportif n'a été pointé. Simplement des faits de courses un peu malheureux, provoqués par la vitesse élevée et un vent de face qui n'a pas aidé. « Il s'en tire miraculeusement sur cette chute mais il a eu moins de chance dans les derniers hectomètres à Dunkerque, soupirait Cédric Vasseur, manager de Cofidis, sur le plateau de Vélo Club. C'est miraculeux pour lui de rester sur le vélo, il saute de sa selle, il déchausse complètement. Je vais lui dire de surtout pas culpabiliser. » Le communiqué des commissaires tombé dans la soirée, le sanctionnant d'un carton jaune pour son mouvement au sprint intermédiaire, n'était pas la pire chose de la journée, mais un petit coup de plus sur la carafe. Comme les reproches formulés par Jonas Rickaert (Alpecin-Deceuninck), véhément sur la route alors que Coquard se plaignait d'une de ses jambes, puis franchement désagréable après l'arrivée au micro de la chaîne Sporza. Coquard, digne, était lui sincèrement touché par ce qu'il avait causé et subi. Un homme debout après avoir mis à terre puis été à terre. À lire aussi Philipsen, la bascule du rêve au cauchemar Des chutes à la victoire, tout se joue au millimètre La démonstration de Merlier pour gagner sans train ni poisson-pilote Merlier, le sprinteur habitué à se débrouiller tout seul

« C'est un club qui a du style, ils cherchent à vendre cette image ici » : porté par sa saison, le PSG construit sa popularité à New York
« C'est un club qui a du style, ils cherchent à vendre cette image ici » : porté par sa saison, le PSG construit sa popularité à New York

L'Équipe

time28 minutes ago

  • L'Équipe

« C'est un club qui a du style, ils cherchent à vendre cette image ici » : porté par sa saison, le PSG construit sa popularité à New York

Porté par la vague de son succès européen, le PSG, opposé au Real Madrid mercredi (21h) en demi-finales de la Coupe du monde des clubs, gagne peu à peu en notoriété à New York, où il a un magasin sur la prestigieuse 5e avenue. Même s'il reste très loin des sports US. Sur les écrans géants de Times Square et sur les abribus, les portraits d'Ousmane Dembélé ou de Vinicius s'affichent fièrement. Au milieu des flots de passants, il faut pourtant s'armer de patience pour trouver un Yankee du cru qui se passionne pour la Coupe du monde des clubs. « Ça doit être de super joueurs s'ils ont droit à une telle promo », siffle Brian (33 ans), originaire du Queens, incapable d'en identifier un. Pour accueillir les demi-finales et la finale, la FIFA a choisi le MetLife Stadium d'East Rutherford (New Jersey), à quelques kilomètres de Manhattan. L'occasion de toucher aussi les nombreuses communautés étrangères de New York. « L'arrivée de Lionel Messi (à Miami, en 2023) a boosté la MLS, mais ça reste très loin derrière la NFL ou la NBA, explique Atlas, un Turc de 25 ans fan des NY Red Bulls. Parmi mes collègues américains, pas un ne s'intéresse au soccer. Pour ceux qui aiment, comme moi ou mes amis mexicains, le Real Madrid reste au-dessus, mais je sens qu'il y a une hype autour du PSG. C'est un club qui a du style, cool, ils cherchent à vendre cette image ici. » Un effet Ligue des champions Tout sauf un hasard. Le champion d'Europe est le seul club européen à avoir un magasin dans la Grand Pomme, et pas n'importe où : sur la prestigieuse 5e Avenue. « J'ai été très surprise de la trouver ici, pour moi la 5e, c'est plutôt Tiffany, s'esclaffe Barbara (33 ans), une Parisienne installée à Marseille venue avec son frère Grégoire (27 ans) acheter un maillot. Je viens régulièrement aux États-Unis, et si je croise plus de maillots PSG, c'est surtout portés par des Français. » De fait, dans les allées de Central Park, on n'a croisé lundi matin aucun maillot rouge et bleu parmi les centaines de joggeurs venus lancer leur journée, quand les tuniques de NBA rivalisaient avec celles de foot US, sans parler des casquettes des Yankees. Et la seule tunique parisienne croisée en plusieurs heures de déambulations était sur les épaules de Mikel (10 ans), un jeune « fan de Mbappé » accompagné de son père Miguel, un Mexicain venu de l'Illinois. Mais la stratégie lifestyle assumée du PSG, appuyée par le partenariat fructueux avec Jordan, assure à sa boutique, ouverte en 2022 avant de déménager de quelques blocs en 2023, un joli succès amplifié par la victoire en Ligue des champions. « On a beaucoup plus de clients depuis, c'est clair, je n'arrête pas, sourit Eileen, la manager, qui a croisé il y a quelques années Achraf Hakimi et Gianluigi Donnarumma dans les locaux. D'ailleurs, on est sold out sur les maillots Dembélé. Tout le monde nous dit que c'est le maillot du futur Ballon d'Or ! » « Avant, on n'était que des Français dans le fan-club, maintenant il y a aussi des Américains et des Latinos » Julian Stein, président du fan-club parisien de New York Installé à deux pas d'un NBA Store, le magasin du PSG souffre forcément de la comparaison, en termes de surface comme de flux de clients. Mais le club se dit satisfait par les chiffres, avec une clientèle « surtout européenne, notamment des Français ». Autant des passionnés que des curieux « qui sont tout surpris et prennent des photos, des vidéos », reprend Eileen. Les maillots les plus vendus ces derniers jours ? Désiré Doué et Kvitcha Kvaratskhelia. « Il y a une grosse communauté géorgienne, ukrainienne et russe à New York, sans parler des Italiens », décrypte Shota (41 ans), originaire de Tbilissi, en franchissant la porte d'entrée. New York est aussi le lieu de naissance du premier fan-club du PSG aux USA, en 2006. Il compte aujourd'hui une centaine de membres. La petite communauté se retrouve régulièrement pour suivre les matches ensemble à la « Football Factory », au Legends bar. Un établissement entre la 5e et la 6e avenues où de nombreux groupes de supporters locaux ont leurs habitudes (AC Milan, Fulham, Fluminense...), ce dont témoignent les drapeaux et les écharpes placardées des murs au plafond. Lundi, veille de la demi-finale Fluminense - Chelsea, l'entrée était décorée aux couleurs du club carioca et la population à 90 % brésilienne. « Mais mercredi, on sera aux couleurs du PSG », sourit une vendeuse. Ici, pas de menu particulier mais pendant les rencontres, le seau de bière est bradé entre 35 et 38 $ (30 à 32,5 €, environ). « Les soirs de match, on peut être 200 à 300 pour les grosses affiches, précise Julian Stein, président-fondateur du fan-club. On chante pendant tout le match dans le style ultra, il y a un tambour. Après, les horaires des matches à 15 heures ou midi en semaine ne facilitent pas l'engouement des locaux, à l'exception des latinos et sud-américains. On ressent un engouement plus important pour le club depuis quatre ou cinq ans. Avant, on n'était que des Français dans le fan-club, maintenant il y a aussi des Américains et des Latinos. Les résultats et la présence des stars, Neymar, Mbappé, Messi, y ont contribué. » Loin de l'agitation de la ville qui ne dort jamais, Luis Enrique et ses joueurs, eux, ont établi leurs quartiers à New Brunswick, dans le New Jersey, à une soixantaine de kilomètres de Manhattan. Installés à l'hôtel Heldrich, un luxueux établissement de 249 chambres équipé d'une piscine couverte, d'une salle de fitness et d'un spa, ils vont préparer dans le calme leur grand rendez-vous de mercredi face au Real Madrid. Laissée au repos lundi, une bonne partie de l'effectif n'a toutefois pas résisté au plaisir d'aller visiter le centre-ville. Times Square, Empire State Building, statue de la Liberté, ils en ont pris plein les yeux sans être trop ennuyés par les badauds. À lire aussi Mbappé et le PSG, de l'idylle à la rupture Fabio, le gardien du temps Un combat hors terrain plus vif que jamais entre Mbappé et le PSG Une partie de poker menteur entre actionnaires et créanciers ?

Remettre au pot ou risquer très gros : l'avenir de l'OL dans les mains de ses créanciers
Remettre au pot ou risquer très gros : l'avenir de l'OL dans les mains de ses créanciers

L'Équipe

time28 minutes ago

  • L'Équipe

Remettre au pot ou risquer très gros : l'avenir de l'OL dans les mains de ses créanciers

Lyon a repris l'entraînement lundi, à l'entame d'une semaine cruciale avec son audition en appel devant la DNCG, mercredi. En coulisses, la partie se joue entre actionnaires et créanciers. L'Olympique Lyonnais a retrouvé le chemin des terrains lundi après-midi, sous une pluie battante une bonne partie de la séance. Animée par Paulo Fonseca, la séance accueillait 26 joueurs pros et s'est déroulée sur la plaine de jeu n° 1 du centre d'entraînement, qui pourrait prochainement prendre le nom du regretté Bernard Lacombe. Pendant ce temps, Orel Mangala, en réathlétisation après la rupture d'un ligament antérieur croisé d'un genou en janvier, enchaînait les tours de terrain en compagnie de deux adjoints. Jordan Veretout, lui, était absent pour raisons personnelles, selon le club, et Ernest Nuamah, prolongeait sa rééducation après sa rupture du ligament antérieur du genou gauche en avril. Personne ne s'est exprimé, à l'entame d'une semaine périlleuse avec l'audition en appel mercredi devant la DNCG fédérale, alors que le club a été rétrogradé en L2 le 24 juin. L'OL a seulement communiqué sur la prolongation de contrat du jeune défenseur de 20 ans, Téo Barisic, jusqu'en 2028. À peine une dizaine de supporters attendait les joueurs arrivés pour la plupart en milieu d'après-midi dans un ballet de berlines de luxe ou de voitures électriques fournies par l'un des sponsors asiatiques du club. « On ne peut pas tomber en Ligue 2 avec un stade pareil, s'inquiétait Julien, un fan lyonnais qui diffuse très régulièrement des images de son club de coeur sur le réseau TikTok. On est mitigés sur la suite des événements. On tourne en rond dans l'attente de la décision de la DNCG (*). Avec ses belles promesses, John Textor (l'ancien président mis en retrait) nous l'a fait à l'envers, nous a promenés depuis deux ans. On reste inquiets. » Les supporters des Gones peuvent l'être. Car leur club ne bénéficiera d'aucune mansuétude s'il ne répond pas aux attentes du gendarme du football français au siège de la FFF. Ce n'est pas l'endettement lié au prêt consenti par le fonds Ares qui intéresse l'instance de contrôle de gestion. Mais les garanties en termes de trésorerie, afin d'assurer l'équité du Championnat au regard des autres clubs de L1. Lyon doit pouvoir terminer la saison qu'il entame. Mais pas que. Ses fonds propres négatifs posent aussi problème. Et il est probable que les échéances à venir sur les achats de joueurs soient une autre raison qui pousse la DNCG à demander encore plus de garanties. Soit du cash que l'on ne peut pas récupérer sur un compte bloqué. Ares ne fera pas de sentiments La situation est donc manichéenne. Soit les créanciers et/ou les actionnaires remettent au pot, soit l'OL risque très gros sur le plan économique. Jusqu'à la relégation et, à terme, la liquidation judiciaire. L'issue de cette équation décidera du sort du septuple champion de France (2002-2008). Ares, qui contrôle les sorties d'argent, n'a pas vocation à détenir un club à long terme. Et ne fera aucun sentiment. Son board s'est donc renseigné sur la viabilité du club. À date, il en a conclu qu'aucun investisseur ne se présenterait pour le racheter. Il s'agit donc, pour le prêteur, d'évaluer le risque à venir. Soit il participe à une augmentation de capital afin de récupérer une partie de son dû, environ 300 M€ si l'on retranche la grande partie de la revente de Crystal Palace qu'il s'est attribué prioritairement, avec les intérêts compris. Dans ce cas, il sera probablement contraint d'expliquer à ses 200 à 300 investisseurs pourquoi il se réengage dans un souci de meilleure fortune. Soit, comme on le dit dans le business américain, « don't throw good money after bad » (« ne pas jeter de l'argent par les fenêtres »). Il jettera alors l'éponge et précisera à ces investisseurs qu'ils n'ont perdu qu'une infime partie de leur placement. Une partie de poker menteur peut se jouer avec les actuels actionnaires, qui contrôlent le club, dont Michele Kang, dans l'optique d'une augmentation de capital où les parts de Textor seraient diluées. L'idée est de faire croire à l'autre que la valeur du club (ses actifs, dont les joueurs) peut être détruite si l'argent n'est pas apporté. Donc à l'obliger à remettre moyennant un accord (pour récupérer ses billes). Pour l'OL, il vaudrait mieux que ce soit all-in. À lire aussi Comment le club se prépare pour l'appel devant la DNCG Pour se maintenir, l'OL devra trouver une somme énorme Un combat hors terrain plus vif que jamais entre Mbappé et le PSG Rester ou partir, les tiraillements d'André

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