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Le Festival d'été de Québec poursuivi pour défaut de paiement de redevances

Le Festival d'été de Québec poursuivi pour défaut de paiement de redevances

La Pressea day ago
Parmi les 11 groupes et artistes cités dans la poursuite, on retrouve les groupes Les Trois Accords, Karkwa, Alexandra Streliski et le groupe rock montréalais Half Moon Run (notre photo).
Le Festival d'été de Québec poursuivi pour défaut de paiement de redevances
(Montréal) Alors que le Festival d'été de Québec (FEQ) tire à sa fin, il fait l'objet d'une poursuite de la SOCAN pour violation de droits d'auteur et défaut de paiement de redevances depuis environ trois ans, révèle The National Post.
La Presse Canadienne
La poursuite déposée à la Cour fédérale allègue que les organisateurs du festival « n'ont pas payé de redevances ou soumis de formulaires de rapport à la SOCAN depuis juillet 2022 », selon ce qu'a révélé le quotidien vendredi.
Le Festival international d'été de Québec Inc. et l'agence BLEUFEU, qui est derrière le FEQ, sont nommés comme étant les défendeurs dans cette affaire.
La Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SOCAN) est responsable de l'octroi des licences et de la collecte des redevances sur la musique sous licence au Canada. Elle représente plus de 200 000 auteurs, compositeurs et éditeurs canadiens, ainsi que des millions d'ayants droit à travers un réseau de plus de 100 sociétés de gestion dans plus de 200 pays.
Parmi les 11 groupes et artistes cités dans la poursuite, on retrouve les groupes Les Trois Accords, Karkwa, Alexandra Streliski et le groupe rock montréalais Half Moon Run.
« La SOCAN demandera réparation à l'égard de toutes ces activités », indiquent des documents judiciaires obtenus par The National Post.
Dans la poursuite, la SOCAN allègue que « les organisateurs se sont appuyés sur leur statut fiscal en tant qu'organismes de bienfaisance pour les exempter de payer des redevances aux créateurs de musique et à leurs éditeurs lorsque leur musique est jouée sur les lieux du festival », précise le quotidien.
Les organisateurs du FEQ n'ont pas répondu à la demande de commentaires du National Post.
Le Festival d'été de Québec va se conclure dimanche, après dix jours de programmation. C'est le chanteur Farruko, l'une des figures les plus influentes de la musique latine et du reggaeton, originaire de Porto Rico, qui va clore les festivités sur les Plaines d'Abraham dimanche soir, à compter de 21 h 30. Samedi soir, c'est la vedette de musique pop et country Shania Twain qui va divertir la foule.
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Les plaques d'immatriculation du Québec rares
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timean hour ago

  • La Presse

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(État du Maine) Oui, nous irons à Old Orchard c't'été, chantait Sylvain Lelièvre en 1975. Cinquante ans plus tard, c'est loin d'être une évidence. Ohio, Caroline du Nord, Géorgie, New York, Rhode Island, Pennsylvanie, Massachusetts… En vain, nous cherchons une plaque d'immatriculation « Je me souviens » dans le grand stationnement de la plage d'Ogunquit. Quiconque a déjà mis les pieds dans ce village prisé des côtes du Maine aurait été surpris de ne croiser aucun Québécois lors d'une belle journée ensoleillée, le 2 juillet dernier. Le fameux piano-bar du Front Porch était toujours aussi bondé, mais son propriétaire Scott Vogel confirme que les francophones brillent par leur absence depuis le début de la saison estivale. PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE Scott Vogel, propriétaire du Front Porch, à Ogunquit « C'est malheureux, les évènements qui ont eu lieu avec notre nouveau leader », énonce Scott Vogel, aussi propriétaire du restaurant-bar CREW et du nouvel hôtel The Trident Inn. Jusqu'à notre rencontre, six chambres avaient été louées par des Canadiens qui parlent français, à qui Scott Vogel a tenu à se dire désolé du climat politique, en les remerciant chaleureusement de leur visite. PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE D'Ogunquit à Old Orchard, de nombreux hôtels n'étaient pas complets au début de juillet. En mai, en comparaison au même mois l'an dernier, 27 % moins de Canadiens se sont rendus dans le Maine, selon des données des services frontaliers américains. À voir les nombreux hôtels non complets près des plages que nous avons croisés, la tendance à la baisse semble perdurer. Le premier soir, au petit centre-ville d'Ogunquit, nous n'avons croisé aucun Québécois… aucun ! Il a fallu attendre au lendemain pour apercevoir un couple sur le Marginal Way, ce sentier qui longe la mer jusqu'à Perkins Cove. Traditions familiales « Je vais à Ogunquit depuis 1965. Je n'ai jamais manqué une année », souligne Céline Tanguay. PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE Céline Tanguay et Michel Drysdale Le choix de perpétuer la tradition ne s'est pas fait sans compromis. « Nous avons trouvé un hôtel pas cher. Pour dépenser le moins possible, on déjeune et on dîne dans notre chambre. Nous irons seulement deux fois au restaurant », détaille son mari, Michel Drysdale. Les gens sont tellement contents de nous voir. Ils nous disent : 'Vous venez du Québec ? Merci'. Céline Tanguay Le couple de Blainville vient habituellement à Ogunquit de deux à trois fois par été, notamment avec ses enfants et petits-enfants. L'attachement est fort. « C'est comme aller à notre chalet », dit-elle. « Ce n'est pas Trump qui va nous empêcher de venir », renchérit son mari, qui invite les gens à ne pas avoir le jugement trop facile. PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE Le fameux trolley d'Ogunquit PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE Le petit port de Perkins Cove PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE La plage de Kennebunkport PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE Le fameux trolley d'Ogunquit 1 /3 Des chiffres qui parlent La caissière de l'épicerie Trader Joe's, à Portland. La préposée au stationnement du populaire restaurant Barnacle Billy's, à Perkins Cove. La serveuse du bar au bout de la jetée d'Old Orchard. Toutes ont confirmé à La Presse que les Québécois manquent à l'appel. En 2024, selon le Bureau du tourisme du Maine, 800 000 visiteurs canadiens ont dépensé, lors de leur séjour dans l'État, 497,7 millions de dollars américains. « Nos membres sont nerveux. Les gens aimeraient que ce soit comme cela a toujours été », indique Becky Jacobson, directrice générale d'Hospitality Maine, qui compte parmi ses membres 800 restaurateurs et des hôteliers. Nous apprécions grandement les visiteurs canadiens et nous sommes désolés de ce qui affecte notre relation avec eux. Becky Jacobson, directrice générale d'Hospitality Maine Selon elle, beaucoup d'annulations de clients québécois ont suivi la déclaration de l'ancien premier ministre Justin Trudeau d'éviter Old Orchard ou la Floride, en mars dernier. Les menaces du président Trump de faire du Canada le 51e État américain ont été nuisibles aussi, et « 99 % des gens du Maine pensent que c'est totalement absurde [off] », signale-t-elle. « Des familles canadiennes viennent dans le Maine depuis plus de 35 ans. Une relation solide s'est bâtie », poursuit Becky Jacobson, qui cite la « bonne idée » d'un membre de contacter des clients fidèles pour leur dire qu'ils seraient accueillis à bras ouverts. Même la gouverneure démocrate du Maine, Janet Mills (lire notre entrevue dans la section Affaires), a fait installer des affiches « Bienvenue aux Canadiens » à différents points d'entrée de l'État. Le Seaside Inn : 400 ans d'histoire « Comparativement à d'autres États, la plupart de nos entreprises sont familiales », fait valoir Becky Jacobson, d'Hospitality Maine. À Kennebunkport, le Seaside Inn appartient à la même famille depuis 1667, soit neuf générations ! Ce serait l'entreprise familiale gérée de façon continue la plus vieille des États-Unis, révèle Ken Mason, copropriétaire avec sa femme Trish. En février dernier, Ken Mason était découragé de voir autant de fidèles clients québécois demander un remboursement de leur acompte fait pour s'assurer d'avoir une chambre au Seaside Inn durant l'été. Il a pris le temps de les appeler. PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE Ken Mason, copropriétaire du Seaside Inn Jusqu'à présent dans la saison, nous aurions vu habituellement entre 20 et 30 familles canadiennes. Nous en avons vu quatre. Certains m'ont dit qu'ils n'osaient pas dire à leurs amis qu'ils venaient. Ken Mason, copropriétaire du Seaside Inn Le Seaside Inn ne manque néanmoins pas de clients, car la demande américaine est forte. À Old Orchard Sans surprise, c'est à Old Orchard que nous avons croisé le plus de Québécois, mais c'est sans doute là que leur absence fait le plus mal. La chambre de commerce locale estime qu'environ 40 % de la clientèle estivale provient habituellement du Canada. Quand nous avons pris les clés de notre chambre au Kebek 3, Guillaume Desrochers était aussi à la réception du motel qui appartenait à une famille de Québec, les Beaulieu, avant d'être vendu en 2020. « On vient chaque année. C'est une tradition, a indiqué celui qui était avec sa femme, ses enfants et leur grand-mère. On ne voulait pas priver les enfants. » PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE Carl Lajeunesse et Julie Doré Julie Doré avait aussi loué une chambre au Kebek 3 avec son conjoint. « Ça fait 50 ans que je viens à Old Orchard. C'est comme chez nous ici. » Les Québécois se faisant rares, elle a pu obtenir un rabais. Ce n'est pas un seul homme, en l'occurrence Donald Trump, qui changera le rituel estival de Julie Doré ! « J'ai hésité, mais c'est ici que je recharge mes batteries. » Les prix demeurent élevés Sur la plage, un sac de la chaîne d'épicerie Super C nous a permis de deviner que Laurie et sa famille venaient du Québec. Ils s'étonnaient d'entendre aussi peu parler français, mais également que les prix des chambres demeurent aussi élevés. Pour faire des économies, ils ont trouvé un hôtel à la dernière minute à Portland plutôt qu'à Old Orchard. « On dirait que les commerçants sont plus contents de nous voir. Ils font un effort de plus », a souligné Bruno, le père de Laurie et de trois autres enfants. PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE La plage d'Old Orchard avec ses manèges PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE Le motel Kebek 3 PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE La plage d'Old Orchard s'étend sur plus de 11 kilomètres. PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE La plage d'Old Orchard avec ses manèges 1 /3 Nous avons croisé une autre famille de Lac-Mégantic, qui avait opté pour un court séjour en camping, et pour qui Old Orchard est à seulement trois heures et demie de route, ce qui est souhaitable pour prendre des vacances avec des adolescents qui travaillent et ne peuvent s'absenter longuement, explique Bianca Cliche. « Ma santé mentale avait besoin de voir la mer quand même. » PHOTO ÉMILIE CÔTÉ, LA PRESSE Lise Goudreault Lise Goudreault fait partie du groupe Facebook appelé Québécois à Old Orchard Beach, qui compte plus de 42 000 membres. « La première fois que je suis venue ici, c'était en 1967. » Son quartier général, au moins deux fois par été, est le motel Beach House, où elle a un endroit au sous-sol pour entreposer des choses. « Nous n'avons pas 20 ans, lance son conjoint septuagénaire, Pierre Cartier. On veut profiter de nos dernières années. » Les deux Québécois sont irrités par les menaces envers le Canada provenant de la Maison-Blanche, mais c'est peut-être en discutant avec leurs amis du Massachusetts qu'ils retrouvent à la plage chaque année, et avec d'autres Américains, que la démocratie fera son œuvre, estime M. Cartier. Chose certaine, Lise et son amoureux retourneront à Old Orchard en août avec leurs enfants respectifs et leurs petits-enfants. « On crée des souvenirs et la racine est profonde », illustre-t-elle.

Coldplay met à l'épreuve les nouvelles mesures de gestion de foule
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La Presse

time17 hours ago

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Coldplay met à l'épreuve les nouvelles mesures de gestion de foule

Coldplay met à l'épreuve les nouvelles mesures de gestion de foule (Toronto) Des centaines d'admirateurs ont afflué du stade Rogers lundi soir avant même la fin de la dernière chanson du groupe de rock britannique Coldplay, tentant de devancer les embouteillages à la sortie, tandis que les organisateurs avaient promis d'améliorer la gestion de la foule dans la nouvelle salle de concert en plein air de Toronto. Natasha Baldin La Presse Canadienne Le personnel des transports en commun et du site tenait des pancartes et guidait les gens à la sortie du stade. Plus tôt dans la soirée, le chanteur du groupe, Chris Martin, avait dit que l'enceinte était un « stade bizarre au milieu de nulle part » et a remercié la foule d'avoir bravé « les embouteillages, le trajet, les trains et l'attente » pour se rendre sur place. La foule devenait de plus en plus dense à mesure qu'elle quittait le stade. Le personnel a dû brandir des feux rouges et a demandé aux spectateurs d'attendre avant de pouvoir accéder aux zones de transports en commun, une pratique que l'opérateur Live Nation Canada a qualifiée de « pulsation ». Un nombre limité de personnes à la fois ont ensuite été admises à la station de métro la plus proche, Downsview Park. Une demi-heure après la fin du spectacle, les gens continuaient à sortir par l'extrémité nord du stade à un rythme soutenu. Laurie Gatto et Jody McComb ont raconté être parties au milieu du dernier morceau pour devancer la foule qui quittait la salle, et il ne leur a fallu qu'une dizaine de minutes pour quitter la salle. On était loin du concert de dimanche dernier, où certains spectateurs du concert inaugural avaient mis jusqu'à deux heures pour quitter le stade. Ils s'étaient plaints que le site et les transports en commun semblaient mal équipés pour gérer une foule aussi nombreuse. PHOTO SAMMY KOGAN, LA PRESSE CANADIENNE Les spectateurs au concert de Coldplay. « Je ne crois pas avoir jamais quitté un concert plus tôt, mais je pense que nous avons entendu tellement de critiques négatives sur cette salle que nous avons préféré partir cinq minutes avant la fin », a expliqué Mme Gatto en regagnant précipitamment sa voiture, garée dans un stationnement à proximité. Live Nation Canada, qui exploite le stade près du parc Downsview, a indiqué qu'il renforcera la signalisation, l'éclairage, le personnel et les points d'eau afin d'améliorer l'expérience des adeptes de musique. L'agence de spectacles a également affirmé que les voies de sortie du stade étaient en cours de reconfiguration afin de disperser la foule vers les trois stations de métro à proximité, afin de réduire l'affluence à la station Downsview Park, qui dessert également les passagers du train GO Transit. La Commission de transport de Toronto (TTC) a annoncé qu'elle augmenterait le personnel à ses stations Downsview Park et Wilson les soirs de concert, tandis que Metrolinx a seulement indiqué qu'elle surveillerait de près l'achalandage des trains GO pour les évènements au stade. Laurie Gatto et Jody McComb ont indiqué qu'il y avait suffisamment de toilettes et que la signalisation était claire à la sortie du stade. À l'intérieur, des points d'eau supplémentaires avaient été installés, comme promis. Plus tôt lundi soir, des milliers de personnes sont arrivées tôt et ont été dirigées depuis le métro vers les longues files d'attente pour entrer. Beaucoup de confusion et de marche Barb Lucas, arrivée d'Oshawa, en Ontario, a admis avant l'évènement qu'elle était « terrifiée » après avoir entendu parler des longues files d'attente aux toilettes, du manque d'eau et des tribunes qui oscillaient lors du premier concert du stade. À la fin du concert, elle a annoncé qu'elle comptait rester à sa place jusqu'à ce que la foule se retire pour éviter les embouteillages. « Je pensais que c'était au Centre Rogers », a-t-elle déclaré, faisant référence au stade du même nom situé au centre-ville de Toronto. « Si j'avais su que c'était ici, nous n'y serions pas allés. » PHOTO SAMMY KOGAN, LA PRESSE CANADIENNE Certains locaux ont assisté de loin au spectacle. Brian Ellis, qui a conduit quatre heures depuis Detroit, a déclaré avoir réservé son hébergement juste à côté du Centre Rogers, pensant que le concert se déroulerait dans cette salle du centre-ville. Au lieu d'être à quelques pas de la salle comme prévu, Brian Ellis a parcouru environ 25 kilomètres en voiture jusqu'au stationnement de la station de transport en commun Sheppard Ouest, puis a marché une demi-heure pour se rendre aux portes du Stade Rogers. « C'est intéressant de voir la distance à parcourir pour arriver ici », a-t-il souligné. Mais des des férus du groupe, comme Emilio DeAngelis, venu de Québec, ont déclaré qu'il savourait la foule nombreuse comme faisant partie de l'expérience. « C'est Coldplay. C'est normal qu'il y ait beaucoup de monde », a-t-il fait savoir. Par ailleurs, Ticketmaster a envoyé un courriel aux détenteurs de billets pour les concerts de Coldplay les informant que la réception cellulaire aux portes du stade Rogers « sera limitée, car il s'agit d'une salle de grande capacité ».

Le comédien Guillaume Lambert se blesse en tombant de scène
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La Presse

time21 hours ago

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Le comédien Guillaume Lambert se blesse en tombant de scène Le comédien Guillaume Lambert s'est blessé aux pieds lors de la représentation de La pièce qui tourne mal présentée à la Maison des arts Desjardins de Drummondville, vendredi soir. La Presse « J'ai fait une chute de plusieurs pieds due à une erreur technique avec la structure du décor », a-t-il écrit sur son compte Instagram. Il a ajouté avoir « évité le pire », mais devra prendre une pause avant de reprendre ses activités. Sur les réseaux sociaux, la Maison des arts de Drummondville a affirmé que les représentations du 12 et 13 juillet sont remises à une date ultérieure.

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