Rugby - Coupe du monde U20 : L'Irlande s'en sort bien face à l'Espagne
À voir sur L'Équipe
Le résumé d'Afrique du Sud - Nouvelle-Zélande
La Géorgie termine sur une bonne note
L'Afrique du Sud sacrée championne du monde
Nouvelle-Zélande - Afrique du Sud (MT2)
Le résumé de France - Argentine
Nouvelle-Zélande - Afrique du Sud (MT1)
Les Bleuets battus par l'Argentine dans le match pour la 3e place
Le replay de France - Argentine (MT2)
Le replay de France - Argentine (MT1)
L'Italie termine 7e de sa Coupe du monde
le replay de Lions britanniques - Australie (MT2)
le replay de Lions britanniques - Australie (MT1)
Fickou : « On a montré un beau visage »
Les Lions remportent le premier test face à l'Australie
Galthié : « Un moment de grande frustration »
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


L'Équipe
3 hours ago
- L'Équipe
« Un merveilleux ambassadeur pour notre sport » : Rory McIlroy admiratif de Scottie Scheffler après sa victoire au British Open
Rory McIlroy, numéro 2 mondiale et 7e du British Open est revenu sur sa semaine et la victoire de Scottie Scheffler dimanche en Irlande du Nord. Porté par son public toute la semaine en Irlande du Nord, Rory McIlroy n'a pas pu rivaliser avec le vainqueur du British Open. Le numéro 2 mondial de 36 ans, seulement septième dimanche, est revenu sur la victoire de Scottie Scheffler, la quatrième de l'Américain en Majeur, et sur son parcours à Portrush. Sur la victoire de Scottie Scheffler « Aucun d'entre nous n'a pu rivaliser avec Scottie (Scheffler) cette semaine. C'est un joueur incroyable. Honnêtement, depuis quelques années il est la référence que nous essayons tous d'atteindre. Il n'y a peut-être que deux ou trois joueurs dans l'histoire du golf qui ont connu une série comme celle de Scottie sur ces 24 à 36 derniers mois. C'est impressionnant. C'est un vainqueur qui le mérite en plus, c'est une personne formidable. C'est un merveilleux ambassadeur pour notre sport. Je pense que tout ce qu'on peut faire, c'est admirer ce qu'il fait et comment il le fait. Ce qu'il fait est une chose, mais la manière dont il le fait en est une autre. » Son 4e tour en 69 (-2) « J'ai l'impression de toujours donner le meilleur de moi-même à chaque fois que je joue et encore plus ici. J'ai fait de mon mieux mais les trous 8, 9 et 10 m'ont fait mal. Je ne pense pas que j'aurais pu le rejoindre à -17 mais j'aurais peut-être pu terminer 2e. Mais ce passage m'a fait mal et ensuite, j'ai juste essayé de bien jouer sur le retour pour terminer le mieux possible. » « J'ai fait de mon mieux pour garder mes émotions sous contrôle, surtout en remontant sur le 18 avec cet accueil incroyable. Cette semaine a été dingue. J'ai eu tout ce que je voulais, sauf la Claret Jug » Rory McIlroy Son British Open à Portrush (7e, -10) « J'ai fait de mon mieux pour garder mes émotions sous contrôle, surtout en remontant sur le 18 avec cet accueil incroyable. Cette semaine a été dingue. J'ai eu tout ce que je voulais, sauf la Claret Jug et c'est simplement parce que Scottie était un peu meilleure que nous tous. Je me sens tellement reconnaissant et chanceux d'avoir eu cette foule à mes côtés. J'espère qu'il me restera une ou deux Opens ici, si le R & A décide de revenir pendant que je suis encore joueur. » Son retour en forme « Je me sens bien. Je pense revenir en Europe pendant un moment cet été pour recharger les batteries mais je reviens là où je veux être. Il nous reste encore beaucoup de golf cette année, avec évidemment la Ryder Cup en septembre. Je veux ne pas trop me griller, ne pas trop jouer d'ici là pour rester frais. Je suis impatient de prendre quelques semaines de repos. »

L'Équipe
5 hours ago
- L'Équipe
Aussi impressionnant et implacable que Woods, Scottie Scheffler est bien le digne successeur du « Tiger »
« À la Woods », sans surprise, ni suspense, l'Américain Scottie Scheffler a écoeuré la concurrence pour remporter le British Open et coffrer son quatrième Grand Chelem, le second cette année après le PGA Championship. Avec la froideur d'un équarrisseur au visage durci par une barbe taillée à la pince à épiler, qui laisse paraître de rares sourires et guère plus de grimaces quand une micropoussière vient chatouiller la mécanique de son swing, aussi implacable que peu académique, Scottie Scheffler a piétiné le parcours du Royal Portrush (- 7 total), écoeuré la meute de ses poursuivants (4 points d'avance) et réduit au silence tout un peuple qui s'était pris à rêver d'une improbable remontada de son héros, Rory McIlroy (7e à 7 coups). Par une douceur printanière sans un pet de vent, il n'y a pas eu une once de folie dimanche, et le triomphe attendu du numéro 1 mondial a ressemblé à s'y méprendre à ceux de ses trois Majeurs précédents, les Masters 2022 et 2024 et le PGA Championship il y a deux mois à Quail Hollow. Ce n'est sûrement pas un hasard si ce golfeur phénoménal de 29 ans, qui en paraît presque dix de plus et s'impose déjà comme un des plus grands joueurs de fers de tous les temps, a remporté son premier British Open en empilant une 10e victoire de rang après avoir été en tête au matin du dernier tour, soit la plus longue série depuis les 37 succès d'affilée de Tiger Woods de cette manière. Quatre fois Scheffler a été leader d'un Majeur au club-house le samedi soir, quatre fois il s'est imposé le lendemain. Ce taux de conversion maximal ne laisse guère de place aux palpitations cardiaques mais l'envoie sur l'orbite du « Tigre » et ses quatorze premiers Monuments conquis sans être revenu de l'arrière, lui qui a gardé le meilleur pour la fin, lors de sa dernière danse au Masters 2019. « Tirer le meilleur de moi-même au quotidien, c'est ce qui m'amuse le plus » Scottie Scheffler On pourrait multiplier les comparaisons statistiques de tous ordres avec la légende du golf. Mais s'il se rapproche à grands pas de son écrasante domination, le champion olympique aux 147 semaines à la première place mondiale (contre 683 pour son aîné), fait face à une concurrence bien plus sauvage qu'au virage des années 2000. Comme Woods, Scheffler plante les drapeaux tel un joueur de PlayStation. Comme son prédécesseur au sommet du jeu, il avale les mètres de putts les yeux fermés dès qu'il se trouve dans la zone de vérité de 0 à 2,5 m (97 % de réussite à Portrush) ou dans celle des tueurs de sang-froid (78 % à moins de 5 m). Ses progrès fulgurants sur des greens où il n'a pas toujours été si à l'aise, racontent un bourreau de travail, moins naturellement talentueux que Woods, mais obsédé par une quête de perfection maladive. « Je ne me soucie pas des victoires ou des défaites, dit-il. Je ne me pose pas en début de saison pour me dire que je veux gagner X fois tel ou tel Majeur ou tournoi. J'ai des rêves et des aspirations qui me tiennent à coeur, mais au bout du compte, j'essaie de rester dans le présent en m'entraînant dur chaque jour. Tirer le meilleur de moi-même au quotidien, c'est ce qui m'amuse le plus. Mais si je commence à me projeter trop loin dans le futur, je deviens un peu procrastinateur. C'est comme ça que j'étais à l'école. » On imagine un élève studieux et imperturbable, comme dimanche quand McIlroy, parti juste devant lui, souleva les premières clameurs de la foule dès son birdie au 2. Le Texan d'adoption y riposta par un birdie d'entrée et ainsi de suite pour conserver une avance qui culmina à huit coups sur son poursuivant le plus proche, avant un double bogey au 8, son seul du tournoi, qui fit passer un semblant de frisson sous l'échine des amateurs de suspense. Un nouveau birdie chirurgical au 9 siffla la fin de la récré, tandis que le chahut venait du fond de la classe, de bien trop loin pour l'inquiéter, mais d'une brochette de G.I. déchaînés. De Bryson DeChambeau, revenu de la 144e place jeudi soir après son 78, à la 10e dimanche (!) à la faveur d'un ébouriffant 64, meilleur score du jour, à Wyndham Clark et Rickie Fowler (65), en passant par Harris English (66), seul 2e devant le surprenant Chris Gotterup, les Américains s'en donnèrent à coeur joie, histoire de montrer à l'Europe qu'il faudra sortir les couteaux en Ryder Cup, à Bethpage fin septembre. Là-bas dans la banlieue de New York, Scheffler sera au centre de l'attention d'un public qu'on annonce bouillant. Un rôle qui ne le séduit pas forcément. « Il ne se soucie pas d'être une superstar, dit son compatriote texan Jordan Spieth. Il ne transcende pas le jeu comme Tiger l'a fait. Il ne s'adresse pas nécessairement à un public autre que celui des golfeurs. Il ne veut pas faire les choses que beaucoup d'entre nous font et veut juste s'éloigner du jeu, en séparant sa vie personnelle de son métier. Sa particularité, c'est surtout sa différence de personnalité avec toutes les autres superstars de l'ère moderne et peut-être de tous les sports. Personne ne lui ressemble. » À lire aussi Scottie Scheffler, le dompteur de links A McIlroy, rien d'impossible ? Peur sur le 1 au Royal Portrush Couvra, une précocité inédite pour le golf français


L'Équipe
7 hours ago
- L'Équipe
Adrien Saddier termine meilleur Français au British Open
Après le dernier tour, Adrien Saddier, 52e (par), termine meilleur Français du British Open. Pas une grosse journée pour nos Français ce dimanche lors du dernier tour du British Open. Partis dans la matinée, les uns derrière les autres, les Bleus ont bouclé leur semaine de Majeur aux portes du top 50. Premier à s'élancer, Antoine Rozner n'a, une fois de plus, pas trouvé la clé pour battre le Royal Portrush. Comme lors de ses trois premiers tours, le joueur de La Boulie a débuté par un bogey dès l'entame. Même s'il s'est bien battu pour revenir dans la partie (birdie au 2 et au 5), le triple vainqueur sur le DP World Tour a bouclé son aller dans le par. Même chose au retour pour une dernière carte de 71 (par). « Je suis quand même assez déçu, a-t-il réagi. Aujourd'hui, j'ai un peu moins bien joué que les autres jours. J'ai toujours un putter un peu froid. J'ai fait quelques trois-putts, j'étais encore un peu loin des drapeaux et j'ai fait quelques petites fautes de profondeur qui me coûtent un peu cher. Je suis déçu parce que j'avais vraiment la sensation de pouvoir jouer sous le par tous les jours. » Avec un score total de + 2, Rozner boucle son 3e Majeur à la 59e place. « Le British est un tournoi mythique, les gens sont très connaisseurs ici, c'est toujours quelque chose de vraiment unique, a-t-il ajouté. Je rêverais de pouvoir en faire quatre par an et de pouvoir vivre ce genre de semaine plus régulièrement. Maintenant, il faut bien jouer. Il faut monter au classement mondial. Les Majeurs me motivent énormément, me font rêver. Je m'entraîne tous les jours pour être présent sur ces tournois. » Saddier, baptême réussi Derrière Rozner, Adrien Saddier est parvenu à battre le parcours. Auteur de cinq birdies pour trois bogeys, « Bidou » enregistre un score de 69 (-2). « C'était l'objectif de la journée et je suis très content d'avoir fait cette carte sous le par et de finir cet Open sur une bonne note, s'est-il félicité. Je pense que l'attitude est la clé, surtout en Majeurs, où les parcours sont durs et où les conditions peuvent être compliquées. Il faut surtout être très calme et sûr de soi. C'était top, j'ai hâte d'en jouer d'autres. » Pour sa première participation en Majeur, le Haut-Savoyard se classe 52e (par) et meilleur Français du champ. Romain Langasque, dernier Bleu à s'élancer, avait une partie de luxe pour son 4e tour. Le joueur de 33 ans était associé à Jordan Spieth. Le Français réalise le moins bon tour des quatre jours. « Jordan Spieth, j'ai terminé ma fin de carrière amateur quand il a commencé à tout casser, a-t-il confié. Ça fait toujours plaisir de partager ce genre de moment avec ce gars-là. Il y avait beaucoup de public dès le 1. Il est très cool, on a pas mal discuté. Jouer avec un joueur comme ça, ça remet les idées au clair. Quand tu vois son grip, sa posture, sa façon de faire. Il a gagné les plus gros tournois du monde, il a une carrière incroyable et pourtant, ce n'est pas parfait techniquement. Il a une grosse qualité de putting. On l'a vu au retour. C'est un gars qui construit sur ce qu'il fait de bien et il essaie de le faire encore mieux, et ça, c'est très intéressant. » Avec un dernier 73 (+ 2), Langasque termine son tournoi à la 61e place, à + 3 total. « J'étais un peu plus approximatif, un peu en dedans. Mon putting et mon chipping étaient plutôt bons, ce qui permet de faire un score honorable. Mais c'était la journée où j'ai le moins bien tapé. Ça aurait pu être mieux, mais je ne me suis pas senti aussi bien que les trois autres jours. »