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Braquage à 12 millions d'euros à Paris : l'alibi des vacances prend l'eau, dix ans de réclusion pour Milos I.

Braquage à 12 millions d'euros à Paris : l'alibi des vacances prend l'eau, dix ans de réclusion pour Milos I.

Le Parisien05-07-2025
Son album de photos de vacances n'a pas été un sésame pour la liberté. Milos I., 47 ans, a été condamné ce vendredi soir par la cour d'assises de Paris à 10 ans de réclusion criminelle pour sa participation au
braquage de la bijouterie Messika, à Paris, le 21 juillet 2019.
Ce natif de Serbie se voit également condamné à une interdiction définitive du territoire français, ainsi qu'une interdiction de détenir une arme pendant dix ans. Cette condamnation est conforme aux réquisitions.
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Mercato : le jeune Camerounais Angel Yondjo s'engage officiellement avec le LOSC
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L'Équipe

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  • L'Équipe

Mercato : le jeune Camerounais Angel Yondjo s'engage officiellement avec le LOSC

Pisté par le LOSC depuis plus d'un an, Angel Yondjo a signé avec les Dogues ce jeudi. L'attaquant de 18 ans a paraphé un contrat de 5 ans dans le Nord. Un nouvel espoir camerounais rejoint le LOSC. À l'image de Carlos Baleba trois saisons avant lui, Angel Yondjo débarque chez les Dogues en provenance des Brasseries du Cameroun. Comme annoncé, l'attaquant de 18 ans s'est engagé jusqu'en juin 2030, pour un montant estimé à 2 millions d'euros. Il évoluera avec la réserve lilloise pour la reprise. « C'est une belle satisfaction de pouvoir annoncer la signature d'Angel au LOSC, en provenance d'une académie de grande qualité au Cameroun. C'est une vraie fierté d'accueillir ce jeune joueur à Lille alors que la concurrence était très très forte avec beaucoup de clubs européens », s'est exprimé le président du LOSC, Olivier Létang, dans le communiqué du club. Pour rappel, Rennes, Lyon, Manchester City et l'AC Milan s'étaient renseignés pour une potentielle venue de l'attaquant.

JO Alpes 2030 : la station de Méribel menace encore de se retirer et éreinte l'organisation
JO Alpes 2030 : la station de Méribel menace encore de se retirer et éreinte l'organisation

Le Parisien

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JO Alpes 2030 : la station de Méribel menace encore de se retirer et éreinte l'organisation

Ca se tend encore du côté de Méribel. La station, retenue initialement pour le ski alpin dames et paralympiques aux JO d'hiver 2030 , a menacé à nouveau ce jeudi de se retirer des Jeux si le comité d'organisation lui enlève les épreuves féminines au profit de Val d'Isère, a annoncé son maire à l'AFP. Thierry Monin, maire des Allues, la commune de Savoie qui englobe Méribel, assure que le président du Comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop), Edgar Grospiron, est venu ce jeudi matin à Méribel présenter aux élus locaux « trois scenari », dont celui du retour de Val d'Isère. La mise à l'écart de la station emblématique de Val d'Isère dans le dossier de candidature des Alpes françaises aux JO de 2030 avait provoqué émoi et critiques virulentes des professionnels et des politiques locaux. Le maire des Allues s'était ému dès le 20 juin auprès de M. Grospiron que, des trois scenari, celui « intégrant Val d'Isère aux dépens de Méribel était privilégié » au Cojop. Il avait alors déjà menacé début juillet de retirer sa station si elle ne devait héberger que les paralympiques. « Si Méribel n'a pas les deux épreuves, ce qui ne correspond pas à la Charte olympique, nous retirons notre candidature », a-t-il réaffirmé ce jeudi à l'AFP, tout en précisant que la station « confirmait sa disponibilité » pour le ski alpin dames et paralympiques. La date de publication de la liste officielle des sites retenus pour accueillir les épreuves d'Alpes-2030 n'est pas encore connue . M. Monin éreinte au passage dans un communiqué le Cojop. « La charte olympique bafouée, les engagements pris initialement lors de la candidature reniés, les paralympiques discriminés, d'importants surcoûts financiers de plusieurs dizaines de millions d'euros, une empreinte (carbone) considérablement accrue, telles sont les conséquences envisagées par le Cojop », accuse-t-il. M. Monin rappelle que, « depuis 1992, les deux épreuves sont associées sur un même site » et estime que la charte olympique préconise « une approche intégrée et inclusive » entre olympiques et paralympiques en ne dissociant pas les lieux. Dans le projet présenté en 2024 par la France au CIO, les épreuves de ski alpin étaient concentrées sur le site de Courchevel-Méribel, deux stations collées l'une à l'autre, avec Méribel pour les femmes et les athlètes paralympiques, et Courchevel pour les hommes.

JO d'hiver 2030 : Méribel menace (encore) de se retirer, tout en tirant à boulets rouges sur l'organisation
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Le Figaro

time14 minutes ago

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JO d'hiver 2030 : Méribel menace (encore) de se retirer, tout en tirant à boulets rouges sur l'organisation

La future carte des sites des Jeux d'hiver dans les Alpes françaises continue d'alimenter les débats et autres dissensions. La station de Méribel, retenue initialement pour le ski alpin dames et paralympiques aux JO d'hiver 2030, a menacé à nouveau jeudi de se retirer des Jeux si le comité d'organisation lui enlève les épreuves féminines au profit de Val d'Isère. Thierry Monin, maire des Allues, la commune de Savoie qui englobe Méribel, assure que le président du Comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop), Edgar Grospiron, est venu jeudi matin à Méribel présenter aux élus locaux «trois scenarii», dont celui du retour de Val d'Isère. La mise à l'écart de la station emblématique de Val d'Isère dans le dossier de candidature des Alpes françaises aux JO de 2030 avait provoqué émoi et critiques virulentes des professionnels et des politiques locaux. Le maire des Allues s'était ému dès le 20 juin auprès de M. Grospiron que, des trois scenarii, celui «intégrant Val d'Isère aux dépens de Méribel était privilégié» au Cojop. Il avait alors déjà menacé début juillet de retirer sa station si elle ne devait héberger que les paralympiques. «Si Méribel n'a pas les deux épreuves, ce qui ne correspond pas à la Charte olympique, nous retirons notre candidature», a-t-il réaffirmé jeudi à l'AFP, tout en précisant que la station «confirmait sa disponibilité» pour le ski alpin dames et paralympiques. Publicité Une pluie de critiques La date de publication de la liste officielle des sites retenus pour accueillir les épreuves d'Alpes 2030 n'est pas encore connue. M. Monin éreinte au passage dans un communiqué le Cojop. «La charte olympique bafouée, les engagements pris initialement lors de la candidature reniés, les paralympiques discriminés, d'importants surcoûts financiers de plusieurs dizaines de millions d'euros, une empreinte (carbone) considérablement accrue, telles sont les conséquences envisagées par le Cojop», accuse-t-il. M. Monin rappelle que, «depuis 1992, les deux épreuves sont associées sur un même site» et estime que la charte olympique préconise «une approche intégrée et inclusive» entre olympiques et paralympiques en ne dissociant pas les lieux. Dans le projet présenté en 2024 par la France au CIO, les épreuves de ski alpin étaient concentrées sur le site de Courchevel-Méribel, deux stations collées l'une à l'autre, avec Méribel pour les femmes et les athlètes paralympiques, et Courchevel pour les hommes.

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