
François Bayrou dénonce la « haine antisémite » après l'abattage de l'olivier en hommage à Ilan Halimi
« L'arbre pour Ilan Halimi, vivant rempart contre l'oubli, a été fauché par la haine antisémite », a dénoncé le Premier ministre dans un message sur X. « Nul crime ne peut déraciner la mémoire, a-t-il poursuivi, la lutte jamais achevée contre le mortel poison de la haine est notre devoir premier. » L'abattage de l'olivier avait déjà été fustigé par le maire d'Épinay, Hervé Chevrau, qui l'avait qualifié jeudi d' « acte antisémite ».
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Parisien
26 minutes ago
- Le Parisien
Clermont-Ferrand : un homme mis en examen pour « tentative de meurtre en bande organisée »
Un jeune homme né en 2003 a été mis en examen pour « tentative de meurtre en bande organisée » à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) mi-août. Des faits liés au trafic de drogue, a indiqué ce mardi le vice-procureur de Clermont-Ferrand, Laurent Béard, lors d'une conférence de presse. Le 13 août dernier, le corps d'un homme né en 1997, « qui a de lourds antécédents judiciaires, notamment pour trafic de stupéfiants », a été découvert calciné dans une voiture. Le suspect, également avec de lourds antécédents, a quant à lui été blessé par balles, à la jambe « Ces deux faits sont liés », a assuré Laurent Béard, soulignant que les deux hommes étaient originaires de la région d'Avignon. L'homme blessé à la jambe est « auteur et pas seulement victime dans ce dossier ». Outre sa mise en examen pour « tentative de meurtre en bande organisée », il est également poursuivi pour « association de malfaiteurs criminels ». Il a été placé en détention provisoire. Le vice-procureur n'a pas précisé quels faits étaient spécifiquement reprochés au mis en cause. Gêner les investigations « On est sur des faits croisés où plusieurs personnes vont être auteurs et victimes » et « l'incendie du véhicule, manifestement, a pour volonté de gêner les investigations quant au corps qui est retrouvé à l'intérieur », a ajouté le vice-procureur. Par ailleurs, deux hommes ont été blessés, dont l'un plus grièvement, dimanche soir, par arme blanche par deux hommes cagoulés dans un quartier prioritaire du nord de la ville. « Pour l'instant, factuellement dans les dossiers, on n'a aucun élément qui permet de considérer que ces faits s'imbriquent dans une logique globale de guerre de territoire au niveau national », a estimé Laurent Béard.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Hygiène défaillante, bagarre géante, vacanciers en colère : la saison vire au cauchemar dans un camping en Vendée
La piscine, la discothèque et le restaurant de cet établissement situé à La Tranche-sur-Mer ont été «fermés d'urgence» par arrêté préfectoral à la suite d'un «contrôle inopiné» réalisé par les services de l'État. C'est une fin d'été au goût mer pour plusieurs familles venues passer leurs vacances à La Tranche-sur-Mer, en Vendée. Ce lundi 18 août, la préfecture de Vendée a annoncé dans un communiqué «la fermeture d'urgence de la discothèque, du restaurant et de la piscine» du camping du Sable d'Or, après un «contrôle inopiné» mené le mercredi 13 août. Plusieurs services de l'État ont pris part à l'opération : pompiers, gendarmes, Agence régionale de santé (ARS), Direction départementale de la protection des populations (DDPP), ainsi que la mairie et la police municipale. Leurs conclusions sont sévères : «de graves manquements aux règles de sécurité, d'hygiène et à la santé publique ont été constatés par les services», précise la préfecture. Dans le détail, la discothèque faisait déjà l'objet d'un arrêté de fermeture administrative pris par le maire, après un avis défavorable de la commission de sécurité des établissements recevant du public (ERP). Le contrôle a non seulement confirmé que la plupart des observations n'avaient pas été traitées, mais que l'établissement continuait à fonctionner en méconnaissance de l'arrêter de fermeture. «La commission a donc décidé de maintenir l'avis défavorable et d'exiger le respect de la fermeture administrative», souligne le communiqué. Les inspecteurs de la DDPP ont, par ailleurs, relevé dans le restaurant et la crêperie «de graves manquements aux règles d'hygiène». Quant à la qualité de l'eau dans les bassins extérieurs et intérieur de la piscine, les contrôles de l'ARS ont révélé «des valeurs éloignées des seuils sanitaires réglementaires». Publicité Bagarre et déception Cette série de déconvenues pour le camping a été précédée d'un autre incident : la veille du contrôle, une bagarre impliquant près de cinquante personnes avait éclaté dans l'enceinte du site. Selon le maire de Tranche-sur-Mer, Serge Kubryk, cité par Ouest-France, les forces de l'ordre ont dû intervenir et recourir au gaz lacrymogène pour rétablir le calme. La préfecture précise en enfin que «de nouveaux contrôles sur ces points ou plus généralement sur les conditions de sécurité des vacanciers sur ce site seront menés dans les prochaines semaines». Sollicitée par Le Figaro, la direction du camping n'a pour l'heure pas réagi. Sur place, les vacanciers oscillent entre déception et résignation, et plusieurs familles ont d'ores et déjà plié bagage, parfois après avoir obtenu un remboursement partiel, rapporte Ouest-France. En guise de compensation, l'établissement propose des tickets gratuits pour la piscine municipale de la station balnéaire. Une campeuse venue de Vannes, habituée des lieux depuis dix ans, confie au quotidien régional n'avoir «jamais eu de problèmes auparavant». Pas sûr qu'elle y remette les pieds l'année prochaine.


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Landes : un homme condamné à trois ans de prison pour avoir renversé un policier
Un homme de 49 ans a été condamné ce mardi à trois ans de prison après avoir renversé un policier avec sa voiture lors d'un contrôle survenu vendredi à Mont-de-Marsan (Landes). Il a aussi interdiction de repasser le permis et de conduire tout véhicule terrestre à moteur pendant 5 ans, et devra s'acquitter de deux amendes, pour un montant total de 650 euros, a détaillé la procureure, Alexa Dubourg, à l'Agence France-Presse (AFP). « Défavorablement connu des services de police et de la justice » et « déjà multicondamné pour des infractions routières », l'homme conduisait sans permis et en état d'ébriété, selon le parquet. Jugé dans le cadre d'une comparution immédiate devant le tribunal de Mont-de-Marsan, il est reparti en détention à l'issue de l'audience.