
Un jeune hockeyeur de talent meurt après être tombé d'un balcon à Ibiza
gé de 19 ans, Gary Kelly évoluait dans le club de hockey sur glace Dundee Stars. (Image d'illustration)
IMAGO/PanoramiC
Le hockey sur glace écossais est en deuil. Un jeune talent des Dundee Stars a perdu la vie dans la nuit de dimanche à lundi alors qu'il était en vacances en Espagne sur l'île d'Ibiza. gé de 19 ans, Gary Kelly est tombé depuis le troisième étage de l'hôtel Ibiza Rocks , situé à San Antonio, à l'ouest de l'île, rapportent les médias écossais, relayés par lematin.ch .
Les secours, arrivés sur les lieux peu après le drame, n'ont rien pu faire. Le jeune hockeyeur était déjà décédé.
Les Dundee Stars ont rendu hommage à leur joueur dans un communiqué . «Gary était une personne extrêmement talentueuse et charismatique qui avait un grand avenir devant lui.» Le club, dévasté, a ajouté: «Il nous manquera beaucoup.»
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L'ancienne équipe du hockeyeur de 19 ans, les Aberdeen Lynx, a également réagi à son décès tragique . «Le potentiel de Gary était illimité. Mais plus encore, c'était tout simplement une personne formidable à côtoyer», a écrit le club écossais sur son site internet.
Ce n'est pas la première fois qu'un drame survient dans cet hôtel d'Ibiza. Il y a seulement deux semaines, un autre touriste écossais avait également fait une chute mortelle.
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Après ces deux drames, l'hôtel, connu pour proposer des logements, une scène musicale et des pool parties , s'est dit «profondément choqué et bouleversé». L'établissement a décidé de suspendre ses activités événementielles «par respect pour les personnes concernées».
Afin de déterminer les circonstances de l'accident, une enquête a été ouverte et une autopsie du corps de Gary Kelly a été ordonnée.
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Mathilde Schott est journaliste au sein de la cellule numérique de Tamedia. Elle a obtenu son Master à l'Académie du journalisme et des médias (AJM) de l'Université de Neuchâtel en 2024. Elle a auparavant travaillé pour Keystone-ATS, la RTS, Blick et le Quotidien Jurassien. Plus d'infos
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24 Heures
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Vous vous souvenez de la première fois où vous êtes entré dans cette patinoire? Impossible, j'étais bébé. On m'a montré des photos où j'avais 2 ans et j'étais sur cette glace. Mon père a joué au club, puis il a été entraîneur. Mon grand-père était l'homme à tout faire ici et il n'a jamais raté un seul de mes matches, des juniors à la NHL. Vous mesurez le chemin parcouru en revenant ici? Dès que je passe la porte, je retrouve la même odeur que quand j'étais ado. Dans le bon sens, c'est vraiment cool de revenir ici, là où tout a commencé. On vient de me montrer une photo d'un tournoi en 2003 à Davos, ça remonte donc à vingt-deux ans. C'est complètement fou. Kevin Fiala (deuxième depuis la gauche en bas) avait remporté un tournoi en 2003 avec ses petits coéquipiers du EHC Uzwil. Boris Müller Déjà enfant, vous aviez cet objectif de jouer un jour en NHL? Oui. Vu que je suis tchèque d'origine, je voulais être comme Jaromír Jágr. Ensuite, des Suisses comme Streit, Aebischer, puis Nino qui a été drafté au premier tour m'ont montré que c'était vraiment à ma portée. C'était comment de grandir à Uzwil? Génial, vraiment. J'habitais à dix minutes de la patinoire. L'école était juste à côté. J'ai passé une enfance formidable. À part le hockey, il n'y a pas grand-chose à faire ici, mais ça tombait bien pour moi. Encore aujourd'hui, je suis les résultats de l'équipe première d'Uzwil depuis Los Angeles parce que je connais certains des joueurs. Cela a dû être difficile de quitter la maison si rapidement, pour la Suède. J'avais 16 ans quand je suis parti à Malmö. Ma mère m'a accompagné pour la première année. Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans elle. Je me concentrais uniquement sur le hockey et elle s'occupait de tout le reste. Je lui en suis très reconnaissant. La deuxième année, j'étais seul. J'ai dû grandir et devenir adulte. Après Malmö, le jeune Kevin Fiala a terminé sa formation au HV71. C'est depuis la Suède qu'il a fait le grand saut vers la NHL. IMAGO/TT Même si c'est le rêve de beaucoup d'enfants, on doit aussi renoncer à une vie normale, faire des sacrifices. Bien sûr. Il faut prendre cette décision très tôt. Déjà quand on est à l'école, vers 8 ans, le hockey prend beaucoup de place. Ensuite, quand on grandit, les autres sortent, moi beaucoup moins. Tu veux passer du temps avec tes potes et tout ça. Mais si tu veux être bon, tu dois parfois dire non. Mais je me disais: «Ça ne va pas m'aider pour le hockey, donc je ne vais pas le faire.» C'était aussi simple que ça. Vous avez gardé des amis de votre enfance à Uzwil? Oui, je suis resté proche de beaucoup de monde ici. Bien sûr, avec les années et la distance on a raté beaucoup de moments ou de fêtes, mais le lien est resté. J'aime les retrouver l'été. Parce qu'ils ne connaissent pas Fiala, le joueur de hockey. Ils connaissent seulement Kevin. Ils ne me traitent pas différemment et ça m'aide à garder les pieds sur terre. Est-ce que vous avez perdu pied parfois? Vous n'étiez qu'un ado quand les médias parlaient déjà de vous comme d'un prodige. Ça n'a pas toujours été simple. Je n'étais pas du tout humble quand j'étais adolescent. À force de recevoir des compliments, tu te vois peut-être trop beau, meilleur que les autres. Mais on apprend avec l'âge. Il faut faire ses propres expériences. Et en même temps, tu dois avoir un certain ego pour y arriver. On ne peut pas se contenter d'être toujours le mec sympa pour les autres. En mai dernier, Kevin Fiala et l'équipe de Suisse ont connu une nouvelle désillusion en finale des championnats du monde. IMAGO/Bildbyran Avec l'équipe de Suisse en mai, vous êtes encore passés tout proche du titre national. Vous avez pu digérer cette finale perdue? Il faut toujours du temps pour digérer une défaite. Que ce soit en finale ou au premier tour, comme avec Los Angeles en play-off. Mais évidemment, quand tu joues pour la médaille d'or, c'est encore plus dur. Mais ça appartient au passé maintenant. Est-ce que vous pensez encore à la finale perdue de 2018 et ce goal en or raté en prolongations? Non, maintenant, je m'en fous. C'était il y a sept ans, une éternité. Ça m'a bien sûr travaillé sur le moment. Mais j'ai appris qu'on ne peut pas changer ce qui s'est passé. Il faut lâcher prise et vivre sa vie. Sinon, on finit par être malheureux. Kevin Fiala défie les Américains en finale du Mondial 2025. IMAGO/Bildbyran L'avenir proche, ce sont les JO en février 2026. Cela fait septante-sept ans que la sélection masculine suisse attend une médaille olympique. Wow, autant que ça? Je n'ai jamais participé aux Jeux et cela a toujours été un rêve. Toute l'équipe est impatiente. On joue contre le Canada au premier tour et j'aurai pas mal de coéquipiers, actuels et anciens, en face. On risque de se chambrer par messages. Mais c'est encore trop tôt là. Avant votre entrée en lice au Mondial 2025, vous avez publiquement évoqué la fausse couche de votre femme. C'était important d'en parler? C'est quelque chose qui arrive à beaucoup de monde, mais personne n'en parle dans notre société. On en a discuté avec ma femme et on s'est dit qu'on n'allait pas se cacher, parler de ce qu'on traversait, aussi pour faire évoluer les mentalités. Cela vous a aidés à faire votre deuil? Tout le monde vit son deuil différemment. Mais si je garde tout à l'intérieur, tout ce qui me rend triste, je mettrai beaucoup plus de temps à m'en remettre. Si j'en parle, c'est plus facile à accepter et à surmonter. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Dans le hockey, le silence a souvent été la norme dans un sport qui nourrit son image de durs au mal. Tout garder pour soi, c'est une forme de fuite, une solution de facilité. Ça ne te rend pas plus fort, contrairement à ce qu'on peut croire. S'exprimer, c'est faire preuve de force. Il faut du courage pour prendre la parole sur certains sujets ou demander de l'aide. Les mentalités ont évolué dans le hockey? Oui, pour le mieux, mais c'est récent. Cela s'est fait sur les dix dernières années. La santé mentale est un vrai sujet et il n'y a plus de honte à consulter. Je recommande à tout le monde de voir un psychologue, un coach mental, que ce soit les professionnels et même les plus jeunes. Est-ce que vous avez déjà été au fond du gouffre? Quand tu es jeune, tu as une confiance folle, tu es insouciant. En entrant dans la dernière partie de ma carrière, évidemment, j'ai connu des doutes, des moments difficiles où on se demande si on va réussir à se relever. Mais je m'en suis toujours sorti, j'ai toujours rebondi. Je suis très fier de moi. Vous avez fait comment? La confiance en moi, le cœur, l'amour du hockey m'ont aidé. J'ai un coach mental que je consulte toutes les semaines ou tous les quinze jours. Comme je l'ai dit avant, parler m'aide. Mais chacun a sa méthode. Certains ont besoin d'aller pêcher, pour d'autres c'est trop calme. Kevin Fiala est sous contrat jusqu'en 2029 avec les Los Angeles Kings en NHL. IMAGO/Imagn Images En 2022, Vous avez signé un contrat important de sept ans avec Los Angeles. Ce type d'engagement est rare en NHL. Oui, je suis très reconnaissant d'avoir pu signer un tel contrat. Tout arrive pour une raison à mon avis et j'ai aussi beaucoup travaillé pour y arriver. Une telle durée, cela offre aussi un peu de stabilité, même si en NHL, rien n'est acquis. Ça attire aussi les convoitises j'imagine. Il y aura toujours des gens qui tenteront de profiter de vous, de votre argent, de votre statut, etc. Heureusement, je suis bien entouré. Mon père notamment est très doué pour ça. J'ai des gens de confiance. Arriver où je suis, ça n'aurait pas été possible sans le soutien de ma famille, de ma femme: la meilleure épouse qui soit. Ugo Imsand est journaliste à la rubrique sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Ce trentenaire lausannois couvre en particulier le football suisse et international depuis une douzaine d'années. Il réalise aussi des articles plus magazine sur le sport en général et ses liens étroits avec le reste de la société. Plus d'infos @UgoCurty Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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L'ancien footballeur zurichois Andy Ladner est décédé
Ex-international, vétéran de la Nati, le défenseur avait joué pour Grasshopper, mais aussi à Lugano et à Bâle. Il s'en est allé à l'âge de 63 ans. Publié aujourd'hui à 20h32 Mis à jour il y a 4 minutes Après sa carrière de joueur, Andy Ladner a été coentraîneur de Bernard Challandes au FC Zurich et coach du FCZ féminin (image d'archive). Raisa Durandi L'ancien international Andy Ladner est décédé à l'âge de 63 ans. L'ASF a confirmé mercredi une information du portail , qui s'était référé à des informations provenant de son entourage proche. De son vrai nom André Ladner, il a joué pour Grasshopper dans les années 80 et a fêté trois titres de champion et une victoire en Coupe de Suisse . Durant cette période, le Zurichois a joué quatre fois pour l'équipe de Suisse. L'ancien défenseur a également évolué à Lugano et à Bâle. Après sa carrière active, Ladner a été coentraîneur de Bernard Challandes au FC Zurich, assistant de Marco Schällibaum à Aarau et coach du FCZ féminin. À lire aussi sur le football suisse Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.