
« Je suis comme un gamin » : Paul Pogba impatient mais pas encore tout à fait prêt pour rejouer avec Monaco
« On reprend le foot, je suis comme un gamin, là je suis en train de me préparer pour rejoindre mes coéquipiers sur le terrain, c'est ça le but, a-t-il commencé. La forme ? Très bien, très bon staff, ça s'occupe très bien de moi, c'est juste une question de temps pour être en pleine forme et donner tout sur le terrain ».
Pour l'instant, l'international français, qui rêve de pouvoir participer au Mondial 2026 avec les Bleus, n'a toujours pas repris l'entraînement avec ses coéquipiers et continue de faire des exercices en solo.
« Ça fait du bien de pouvoir parler, d'avoir des coéquipiers autour de moi. Je ne regrette en aucun cas mon choix, tous les jours, je remercie le bon Dieu d'être ici, dans un bon groupe, un très grand club, avec des personnes déterminées à ce que je fasse mon grand retour. Il y a des étapes, moi, c'est de bien me préparer », a clamé le joueur de 32 ans.
À voir aussi
Akliouche heureux de jouer avec Pogba
En bon perfectionniste, « La Pioche » a expliqué qu'elle avait envie de prendre son temps pour revenir à un très grand niveau : « Je n'ai pas envie de venir sur le terrain et ne pas être moi, Paul Pogba. Je pense que tout le monde attend ça, voir un grand Paul Pogba sur les terrains. C'est ce que je suis en train de préparer. »
⚽ #ASMInter
🔥 Paul Pogba évoque la date de son retour à la compétition !
🎙 "Il y a des étapes, il faut que je me prépare bien, pour voir un très grand Paul Pogba sur les terrains" pic.twitter.com/uDuZ68yqrV — beIN SPORTS (@beinsports_FR) August 8, 2025

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


L'Équipe
2 minutes ago
- L'Équipe
Chelsea - AC Milan : heure, chaîne du match
Chelsea affronte l'AC Milan ce dimanche à 16h, en amical, diffusé sur L'Équipe Live Foot Chelsea reçoit l'AC Milan ce dimanche 10 août à 16h (heure française) à Stamford Bridge, en amical diffusé sur L'Équipe Live Foot. Les Blues restent sur un succès 2-0 contre le Bayer Leverkusen vendredi (premières réussies d'Estêvão) et abordent ce dernier test de l'été portés par un titre en Ligue Europa Conférence (mai) puis un sacre au Mondial des clubs 2025 face au PSG. De son côté, l'AC Milan sort d'un nul 1-1 face à Leeds à Dublin samedi : Luka Modric, recruté le 14 juillet, était sur le banc et n'est pas entré, ce qui laisse envisager un possible premier temps de jeu à Londres dans un enchaînement à 24 heures d'intervalle. L'équipe de Massimiliano Allegri devrait donc largement faire tourner.


L'Équipe
22 minutes ago
- L'Équipe
Golden Trail World Series : doublé Kényan à Sierre-Zinal
Les Kényans Philemon Kiriago et Joyline Chepngeno se sont imposés ce samedi lors de la célèbre course de Sierre-Zinal en Suisse, dernière manche de la saison régulière du circuit des Golden Trail World Series. La saison régulière du circuit des Golden Trail World Series s'est achevée ce samedi avec la prestigieuse course de Sierre-Zinal en Suisse, avant la Grande Finale du Ledro Sky Trentino (9-12 octobre), où le double de points sera attribué. Cette épreuve mythique de 31 km et 2 200 m D + a été remportée par la paire kényane Philemon Kiriago et Joyline Chepngeno. Kiriago s'était déjà imposé en 2023 (Kilian Jornet ayant gagné y a un an pour la 10e fois), Chepngeno l'an dernier. C'est en pleine montée, dans la dernière ligne droite en direction du point culminant avant la descente vers Zinal, que Kiriago a pris la tête. Dans la descente, seul Patrick Kipngeno a réussi à maintenir l'écart avec son compatriote Kiriago, mais pas assez pour l'empêcher de remporter une deuxième victoire. Selelo Saoli complète le podium. « Je suis très heureux de gagner à nouveau Sierre-Zinal, a confié Philemon Kiriago. Mes coéquipiers rêvent de dominer Sierre-Zinal le plus possible. Mon objectif est de m'approcher de cinq victoires ici avant de me concentrer sur d'autres courses comme Zegama-Aizkorri. Remporter cinq victoires ici, c'est mon rêve. » Une publication partagée par Golden Trail World Series (@goldentrailseries) Katie Schide sur le podium La course féminine a basculé au 12e km, près de Chandolin. Joyline Chepngeno a rattrapé sa compatriote Caroline Kimutai et s'est emparée de la première place, une position qu'elle n'a plus quittée jusqu'à l'arrivée (2h54'50). Kimutaio a pris la 2e place (2h55'34), 2 minutes et 58 secondes devant l'ultra-traileuse Katie Schide (2h58'32). « Je ne m'attendais pas à gagner cette course », a déclaré Chepngeno, émue, à l'arrivée. Avant la Grande Finale d'octobre, le Marocain Elhousine Elazzaoui est toujours en tête du classement général avec 600 points, malgré sa 9e place ce samedi. Le Français Pierre Galbourdine est 10e (423 pts). Le classement féminin est dominé par la Roumaine Madalina Florea (576 pts).


Le Figaro
33 minutes ago
- Le Figaro
PSG : «Quand la meilleure équipe du monde vous appelle, difficile de dire non», les premiers mots de Lucas Chevalier
Le nouveau portier du PSG s'est exprimé sur les médias du champion d'Europe après l'officialisation de sa signature. «Immense joie», «exceptionnel», «fierté»… Lucas Chevalier ne lésine pas sur les marques de respect envers son nouveau club, le Paris Saint-Germain. Logique. Après un long feuilleton, le portier de 23 ans s'est engagé en faveur des champions de France et d'Europe pour les cinq prochaines années. La nouvelle a été officialisée samedi. Le début d'une nouvelle vie pour le natif de Calais, formé à Lille et brièvement passé par Valenciennes et la Ligue 2, en prêt. «C'est clairement un nouveau cap dans ma carrière. Je passe à une étape supérieure, et c'était important pour moi de le faire maintenant. Je sentais que c'était le bon moment», savoure celui qui est déjà le numéro 2 chez les Bleus, derrière un autre ancien gardien du Losc, Mike Maignan, formé… à Paris. Interrogé par les médias du club, Chevalier, transféré pour 40 M€ hors bonus selon diverses sources, 55 bonus compris, assure que «quand la meilleure équipe de l'année, peut-être même la meilleure équipe du monde à l'heure actuelle, vous appelle, c'est difficile de dire non. Il y a tout ici. C'est un club qui voulait la Ligue des champions et qui l'a gagnée la saison dernière, parce qu'il l'a méritée. Le staff, les conditions d'entraînement, la direction... Tout est au top du top. Je suis un joueur ambitieux, je sais que je peux accomplir de grandes choses. Et ici, à Paris, en restant en France après trois saisons bien menées à Lille, c'était le moment. Tout était réuni pour que je vienne. Dès que le Club est venu me voir, je savais que je voulais venir ici», promet-il. Si les discussions ont traîné en longueur, ce n'est en effet que parce que les deux clubs ont tenu leur position respective jusqu'au bout avant de s'entendre. À lire aussi Mercato : avant Zabarnyi, le PSG lance ses grandes manœuvres de l'été avec Chevalier Publicité Quid de Gigio Donnarumma ? Évidemment, vous ne trouverez pas un mot sur Gianluigi Donnarumma dans cette interview, c'est le jeu. Il faudra attendre de voir le Nordiste questionné par des journalistes pour cela. On a aussi hâte d'entendre Luis Enrique sur le sujet. Lequel Luis Enrique est «peut-être le meilleur entraîneur du monde aujourd'hui», à en croire le meilleur gardien de Ligue 1 sur la saison écoulée. Une chose est sûre : outre les mots doux attendus, Luis Enrique a plus que validé la venue de Lucas Chevalier. Ce dernier a bien compris que le technicien espagnol a «une façon de jouer bien particulière. Le rôle du gardien est très important dans son système, il attend qu'on soit acteur du jeu, qu'on apporte une vraie plus-value. Le fait qu'il ait vu ça en moi, c'est très flatteur et ça me motive encore plus. À moi de lui rendre la pareille. J'ai aussi pu échanger avec lui, et j'ai senti un vrai intérêt de sa part pour que je vienne ici», se réjouit-il. On imagine que Donnarumma, libre en 2026 et qui n'a pas trouvé d'accord pour prolonger, n'a pas le même ressenti à cet instant... À lire aussi Mercato : Donnarumma, transfert record, Luis Enrique tout puissant... Chevalier au PSG, cinq questions pour tout comprendre Le football est impitoyable, n'est-ce pas ? Gianluigi Donnarumma s'est pourtant montré décisif dans la conquête du titre européen. Toujours est-il que Lucas Chevalier, qui estime que «l'atmosphère du Parc est unique», juge que de poursuivre sa progression à Paris est «symbolique : un gardien français à Paris, c'est toujours positif». «Je pense que c'est bénéfique pour moi, pour le club, et aussi pour la sélection. Ça renforce l'image du championnat, et ça me permettra, je l'espère, de performer au plus haut niveau», assure-t-il encore, lui qui n'a pas encore eu la joie de jouer avec les Bleus jusqu'ici. Je savais que je pouvais atteindre ce niveau, je ne savais juste pas à quelle vitesse. Lucas Chevalier Sa progression n'en reste pas moins exceptionnelle depuis ses premiers matchs à Valenciennes. Ligue 2, Ligue 1, Ligue des champions, numéro 2 au sein de l'équipe de France… «C'est vrai qu'en moins de quatre ans, le saut est important. Je savais que je pouvais atteindre ce niveau, je ne savais juste pas à quelle vitesse. À chaque étape, j'ai tout donné. À mon arrivée en Ligue 2, j'étais ultra-motivé, pareil en Ligue 1. J'ai pris les étapes dans l'ordre, et ça m'a permis d'arriver ici. Je n'ai pas de recette magique, mais je travaille beaucoup et j'ai un entourage sain. Ma famille, mes amis… tout est bien structuré autour de moi. Il faut faire les bons choix au bon moment. Je prends tout ça avec sérénité, pour arriver prêt à ce nouveau défi et exprimer mes qualités.» À lire aussi PSG : complet et spectaculaire, maniaque, couvé par Létang… Cinq choses à savoir sur Lucas Chevalier Si jeune et si serein Solide et mature malgré son jeune âge. «Je ne sais pas exactement (d'où ça vient). Je viens d'une famille de militaires et de policiers. Mon père sait très bien s'exprimer en public, mon frère aussi. Peut-être que j'ai hérité de ça», glisse-t-il. Et d'ajouter : «À chaque étape, j'ai pris le cap comme si je jouais avec mes potes. Peut-être que c'est une forme d'inconscience du moment qui me permet d'être relâché. Ça ne veut pas dire que je ne ressens rien : il y a de la pression, du stress, parfois des doutes. C'est normal dans la vie d'un footballeur. Mais j'essaie de prendre les choses simplement, pour être au meilleur niveau possible. Si les gens perçoivent cette sérénité, tant mieux». Publicité Lucas Chevalier aura vite l'occasion de passer des paroles aux actes. De retour à l'entraînement mercredi dernier, un peu plus de trois semaines après la défaite 0-3 contre Chelsea en finale du Mondial des clubs, les Parisiens affronteront Tottenham, mercredi, à Udine, en Supercoupe d'Europe. Coup d'envoi de la saison 2025-26. «Je vais porter ce maillot avec amour et ambition. Je suis un gamin qui réalise son rêve, celui de jouer pour un très grand club. Et que ce soit Paris, le club de la capitale, ça a encore plus de sens pour moi», promet-il. Après Renato Marin, Chevalier est la deuxième recrue parisienne de l'été. L'Ukrainien Illya Zabarnyi sera la troisième.