
Mercato : le Niçois Gaëtan Laborde rejoint l'Arabie saoudite
L'attaquant de Nice, Gaëtan Laborde, 31 ans, s'est engagé avec le club saoudien de deuxième division de Diriyah, a annoncé ce lundi le club azuréen.
En trois saisons avec Nice, Laborde a disputé 118 rencontres, inscrit 33 buts et fait 11 passes décisives. La saison dernière, il avait participé activement à la qualification du club pour le 3e tour préliminaire de Ligue des champions en inscrivant 11 buts et effectué quatre passes décisives en 28 matches de L1.
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Joueur expérimenté de l'élite en France où il compte 297 matches de L1 (88 buts) sous les couleurs de Nice, Rennes, Montpellier et Bordeaux, Laborde va connaître la première expérience à l'étranger de sa carrière, dans un club qui lui offre des conditions salariales supérieures à celles de Nice, où il possédait l'un des salaires les plus élevés du vestiaire.
Guessand courtisé
Transféré à un an de la fin de son contrat pour un peu plus de 4 millions d'euros, selon différentes sources proches du dossier, Laborde est le deuxième Niçois à signer en Arabie saoudite cet été, après le gardien polonais Marcin Bulka à Neom.
Pendant ce temps, un effectif de 27 joueurs niçois, dont Evann Guessand très courtisé, est parti en stage à Anif en Autriche, où sera préparé le 3e tour préliminaire de Ligue des champions contre Benfica (aller: 5 ou 6 août à Nice, retour: 12 août à Lisbonne) avec deux matches, contre les Néerlandais du Feyenoord Rotterdam et les Allemands de Sankt Pauli, le samedi 26 juillet, le matin pour le premier, dans l'après-midi pour le second.
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Euro 2025 : l'Angleterre de nouveau sacrée après des tirs au but insoutenables face à l'Espagne
FOOTBALL - Encore une fois menées, les Anglaises, insubmersibles, ont réussi l'exploit de renverser ce dimanche 27 juillet en finale de l'Euro les Espagnoles, championnes du monde en titre, et de conserver leur couronne de reines d'Europe grâce à leur héroïne Chloe Kelly (1-1, tab 3-1), autrice du tir au but vainqueur. À Bâle vers 21 heures, le bonheur et l'émotion des Lionesses étaient immenses, à l'image des larmes de la jeune Michelle Agyemang (19 ans) ou celles de l'ancienne Lucy Bronze (33 ans), et de la danse de leur entraîneuse, Sarina Wiegman. Portées par un esprit collectif et une solidarité pleine de hargne, les joueuses de la Néerlandaise de 55 ans, - qui fait elle l'exploit de remporter son troisième Euro -, sont rentrées dans les têtes du meilleur collectif du monde pour l'achever aux tirs au but. Une nouvelle séance de tirs au but Comme chez elles à Wembley en 2022 et comme en quart et en demi-finale cette année, elles ont attendu la fin du temps réglementaire pour rester sur le toit de l'Europe, au terme d'un match intense de bout à bout. Et les statistiques sont parlantes : les Anglaises ont gagné cette édition en ne menant que pendant quatre minutes et 52 secondes sur l'ensemble des phases à élimination directe (temps additionnel inclus), selon le statisticien Opta. En face, l'Espagne a été menée seulement pendant 4 minutes sur l'ensemble du tournoi, montrant encore une fois l'exploit des Lionesses. Grâce à leur gardienne Hannah Hampton, qui a arrêté deux tirs (ceux de Bonmati et de Caldentey), et aux buteuses Alex Greenwood, Niamh Charles, et bien sûr Chloe Kelly, elles restent championnes d'Europe, malgré deux arrêts de Cata Coll sur Beth Mead et Leah Williamson. « Nous n'abandonnons jamais » Cette finale a été à l'image du tournoi des Anglaises : elles ont attendu d'être menées pour montrer leur visage de combattantes. « Cette équipe montre exactement ce que signifie être Anglaise. Je suis tellement fière en ce moment », a réagi Chloe Kelly. Battues par les Bleues (2-1) pour leur premier match, les Anglaises se sont réveillées et ont fait preuve de résilience, réussissant à revenir au score dans les dernières minutes en quart (2-2, tab 3-2) et en demi-finale (2-1, a-p), puis en réussissant à pousser les Espagnoles en prolongation, avant de les achever aux tirs au but. « Nous n'abandonnons jamais, nous continuons simplement à nous battre, et c'est ce que nous avons fait aujourd'hui », a poursuivi Hannah Hampton. Le meilleur exemple de ce combat acharné est la solidité du milieu qui a tenu le choc face à l'entre-jeu espagnol composé de stars, Aitana Bonmati, Alexia Putellas et Patri Guijarro. Elles ont en tout cas eu les félicitations du roi Charles III, dans un message diffusé sur X. « Alors que vous rentrez à la maison avec le trophée que vous aviez déjà soulevé à Wembley il y a trois ans, c'est une immense fierté de voir que, grâce à votre talent et à un formidable esprit d'équipe, vous avez su donner tout son sens à ces mots. Pour cela, vous avez toute l'admiration et la gratitude de ma famille », a écrit le souverain britannique. « Le prochain défi est de ramener la Coupe du monde en 2027, si possible ! », conclut-il, un trophée que les Anglaises, vice-championnes du monde, n'ont encore jamais soulevé. Mais où elles figureront sans aucun doute de nouveau parmi les favorites.


L'Équipe
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Qui a le plus dépensé cet été sur le marché des transferts ?
Alors qu'il reste un mois de marché estival, de nombreux clubs anglais se sont déjà fortement activés, en particulier Liverpool, Chelsea et Arsenal. Un club italien, Côme, sort du lot, tout comme les clubs saoudiens d'Al-Qadsiah et de Neom. Voici les clubs qui ont le plus dépensé durant cette première partie de mercato, selon Transfermarkt. On approche de la fin juillet, ce qui signifie qu'il reste un mois aux différents clubs pour se renforcer ou dégraisser en vue de la saison 2025-2026. Certains ont déjà mis le paquet en juin et juillet, notamment les clubs anglais et saoudiens. On n'est pas encore en août que le record a déjà été battu : les 266 millions de Chelsea ont été effacés par les 308 millions de Liverpool. L'Angleterre est partout, l'Arabie saoudite est dans le jeu, peu de clubs français se sont encore activés dans le sens des arrivées. Voici selon le site Transfermarkt, les premières tendances concernant les clubs les plus dépensiers de ce marché des transferts. 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Et il pourrait y avoir bientôt Yoane Wissa, l'attaquant de Brentford passé par Lorient, et le jeune Monégasque de 19 ans Saïmon Bouabré. Ville utopique, équipe richissime, stade futuriste... qu'est-ce que le Neom SC ? La fausse surprise Côme Derrière la Juventus, qui a dépensé 118 millions, dont 32 sur Francisco Conceçaio, 28 sur Nico Gonzalez et 14 sur le Français Pierre Kalulu, Côme, club racheté en 2019 par les fortunés Indonésiens Robert et Michael Hartono, patrons de l'entreprise de tabac Djarum, a sorti un peu plus de 100 millions en Italie. Dixième de Serie A l'an dernier, l'équipe entraînée par Cesc Fabregas, où figure Maxence Caqueret, s'est renforcée en acquérant cinq recrues entre 13 et 22,5 millions d'euros. Il y a eu le milieu défensif de City Maximo Perrone (13 millions), le jeune ailier (19 ans) de l'AZ Alkmaar Jayden Addai (14 millions), le milieu offensif croate du Dinamo Zagreb Martin Baturina (18 millions). Et ses deux plus gros achats de l'été sont deux ailiers : celui de l'Espagnol du Bétis Séville Jesus Rodriguez (19 ans) pour 22,5 millions et celui de l'Allemand du Celtic Glasgow Nicolas Kühn (25 ans) contre 19 millions. Strasbourg numéro 1 français Un seul club français figure dans le top 20 : Strasbourg, qui fait partie du consortium BlueCo, où Chelsea est la tête de gondole. Le RCSA a pour l'instant dépensé 80 millions d'euros. Il y a les 16,5 millions de l'attaquant argentin Joaquin Panichelli, les près de 15 pour celle de Mathis Amougou (Chelsea) ou encore les options d'achat levées concernant Andrew Omobamidele et Valentin Barco. Le deuxième club français à avoir le plus dépensé est le Paris FC avec Otavio, Nhoa Sangui ou encore Moses Simon contre 35 millions d'euros.


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