logo
Mort d'un motocycliste après une collision avec un véhicule

Mort d'un motocycliste après une collision avec un véhicule

La Pressea day ago
Un motocycliste dans la quarantaine est mort dimanche en fin d'après-midi après une collision de type face à face avec un véhicule à Péribonka, au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
La Presse Canadienne
Les secours ont été appelés à intervenir vers 18 h sur la route 169. Selon la porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ), Ève Brochu-Joubert, un incendie se serait déclaré après la collision, nécessitant l'intervention des pompiers.
Le motocycliste a été transporté dans un état critique au Centre hospitalier, où son décès a été constaté par la suite. Le conducteur du véhicule, âgé de 17 ans, a été transporté au Centre hospitalier pour des blessures importantes, mais on ne craindrait pas pour sa vie.
La route 169 était fermée dans les deux directions en début de soirée.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Soupir de soulagement à Laval
Soupir de soulagement à Laval

La Presse

time4 hours ago

  • La Presse

Soupir de soulagement à Laval

Pour les ex-sinistrés de Laval, la journée de dimanche a été forte en émotions. « Je suis sur des groupes Facebook d'anciens sinistrés, et à chaque fois qu'il y a une alerte de pluie, les gens écrivent qu'ils ont peur. Ça reste vraiment en nous, cette peur-là », indique Sara Beaudet. Durement touchés l'an dernier par les vestiges de l'ouragan Debby, les résidants de Laval sont restés les pieds au sec, dimanche. Même dans les quartiers de la ville habitués aux inondations, les rues étaient tranquilles lundi. On profitait d'une journée d'été comme les autres, ou presque. « À chaque fois qu'il y a un orage, il faut être là pour se préparer », nous dit Sara Beaudet. En août 2024, la locataire a fait partie des sinistrés des inondations qui ont suivi la tempête Debby. Elle a dû attendre cinq mois avant de réintégrer son logement du secteur Fabreville. Les pluies de dimanche ont ravivé chez elle de douloureux souvenirs. « Hier, j'ai monté des choses du sous-sol. Ça devient stressant à ce point-là », confie-t-elle. En août dernier, Laval avait été fortement touchée par les inondations. D'intenses précipitations avaient provoqué des débordements et des refoulements d'égouts dans différents secteurs de l'île. Selon le rapport technique de la Ville, rendu public en juin, environ 7200 bâtiments privés avaient alors été endommagés. PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE Stéphane Boyer, maire de Laval « [Cette fois-ci] Laval semble avoir été épargné par le pire de la tempête », souligne Stéphane Boyer, maire de la municipalité de plus de 400 000 personnes. Certains secteurs de la ville ont reçu jusqu'à 60 millimètres de pluie, soit deux à trois fois moins que lors du passage de Debby. Des citoyens ont signalé quelques infiltrations d'eau mineures et des accumulations d'eau sur la chaussée, mais aucun évènement majeur n'a été rapporté aux autorités municipales. PHOTO JOSIE DESMARAIS, ARCHIVES LA PRESSE En août 2024, environ 7200 bâtiments privés avaient été endommagés à Laval par le passage des vestiges de Debby. Une peur qui ne part pas « On est chanceux qu'il n'y ait pas eu tant de pluie que ça ici. Si on avait eu la pluie qu'ils ont eue [à Montréal et ailleurs], je ne suis pas sûre qu'on aurait été épargnés », suggère la Lavalloise Anne-Marie Bélisle. Pour les ex-sinistrés comme elle, la journée de dimanche a tout de même été forte en émotions. « Je fais de l'hypervigilance depuis ce moment-là [le passage de Debby] », raconte la mère de famille. En plus de 15 ans, elle n'avait jamais été inondée. Elle ne croyait même pas que c'était possible pour sa maison, comme elle n'habite pas en bordure d'un cours d'eau. J'ai eu deux pieds d'eau à la grandeur de mon sous-sol. Il a fallu tout refaire. C'était un gros stress. Je ne voudrais vraiment pas revivre ça. Anne-Marie Bélisle, résidante de Laval Mme Bélisle demeure pessimiste pour la suite. « J'ai une pompe submersible, puis je ne me sens même pas à l'abri avec ça. » Sara Beaudet abonde aussi en ce sens. « Je suis sur des groupes Facebook d'anciens sinistrés, et à chaque fois qu'il y a une alerte de pluie, les gens ont peur. Ça reste vraiment en nous, cette peur-là, indique-t-elle. On le comprend que les villes ne sont pas prêtes à recevoir autant d'eau. Mais on veut sentir que nos gouvernements nous appuient. » En 2023, un rapport indépendant avait évalué à plus de 600 millions de dollars les besoins urgents dans le réseau d'égouts et d'aqueducs de Laval. « On ne se croise pas les bras, précise le maire Boyer. Nous avons prévu d'investir 350 millions d'ici 2027 pour protéger nos citoyens des inondations. C'est une priorité pour mon équipe et moi. » Ce plan d'investissement, présenté en juin, prévoit notamment améliorer et adapter les infrastructures de pompage et les réseaux fluviaux, ainsi que l'ajout de rues éponges et d'un bassin souterrain d'une capacité équivalente à six piscines olympiques dans le secteur Cartier.

Encore plusieurs années avant de pouvoir remplacer tous les égouts
Encore plusieurs années avant de pouvoir remplacer tous les égouts

La Presse

time12 hours ago

  • La Presse

Encore plusieurs années avant de pouvoir remplacer tous les égouts

La Ville a tenu une conférence de presse sur l'avenue de Chateaubriand, où des dizaines de résidences ont été envahies par l'eau dimanche. Armez-vous de patience : remplacer les réseaux d'égouts désuets prendra encore plusieurs années dans la métropole, vu l'ampleur de la tâche. Montréal promet d'aller « le plus vite possible », mais appelle les citoyens à protéger leur maison au maximum, dans l'intervalle. « La première chose que les citoyens doivent faire, c'est de protéger leur maison, parce que nous, on ne pourra pas tout ouvrir la ville en même temps », a dit lundi la responsable de l'eau, Maja Vodanovic, en parlant de plusieurs « années » avant de pouvoir remplacer l'ensemble des réseaux souterrains désuets. « Oui, on va faire les travaux, mais les gens doivent comprendre qu'ils doivent se préparer. Ce n'est pas parce qu'on ne veut pas faire les investissements, c'est juste parce que c'est impossible [de tout faire d'un coup] », a-t-elle ajouté, en marge d'une conférence de presse sur l'avenue de Chateaubriand, où des dizaines de résidences ont été envahies par l'eau dimanche. Pour une rare fois depuis les dernières semaines, la mairesse Valérie Plante était aussi présente. « On ne peut pas accepter cette idée que si on remplace tous les tuyaux, il n'y aura plus d'inondations. […] L'eau cherche toujours un chemin », a-t-elle fait valoir. N'empêche, Montréal « ne lésinera pas sur les efforts » pour changer la canalisation dans les secteurs prioritaires, a assuré la mairesse. « On va aller le plus vite possible, mais on a beaucoup d'infrastructures vieillissantes, et même très vieilles », a-t-elle dit, alors entourée par des résidants du quartier. Sur le moyen terme, dire que les chantiers seront encore nombreux dans la métropole semble donc un euphémisme. « Les gens vont souvent s'en plaindre, mais on ne les fait pas pour rien. […] Ce qu'on veut justement, c'est de préparer le territoire », a ajouté Mme Plante. PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE La mairesse Plante a évoqué que des axes vulnérables comme l'avenue Chateaubriand pourraient éventuellement devenir des rues éponges, autrement dit soutenues par des bassins de rétention, de platebandes végétalisées et de sols perméables, donc spongieux. Dans l'opposition, la cheffe d'Ensemble Montréal, Soraya Martinez Ferrada, a déploré lundi que la situation illustre que l'administration Plante tarde à moderniser ses collecteurs d'eau. « On ne peut pas agrandir un territoire et avoir plus de gens qui habitent si les bassins de rétention et les égouts ne sont pas assez gros. C'est le problème numéro un. […] Un parc éponge, ça ne va pas régler le problème qu'on voit avec les pluies d'hier. Il faut doubler la capacité des collecteurs », a-t-elle martelé. Préparez-vous En attendant, la Ville, elle, invite les citoyens à mettre l'épaule à la roue, en débloquant leur drain de toit ou en posant au plancher de la céramique, un matériau réputé pour sa résistance à l'eau. Sous pression, la mairesse Plante a évoqué que des axes vulnérables comme l'avenue Chateaubriand pourraient éventuellement devenir des rues éponges, autrement dit soutenues par des bassins de rétention, de platebandes végétalisées et de sols perméables, donc spongieux. Un projet de ce type est déjà en cours sur la rue Larivière, près du pont Jacques-Cartier. Environ 11 parcs éponges ont déjà été aménagés à Montréal. « Ils retiennent l'équivalent de neuf piscines olympiques. Et il faut aller plus loin », a dit Mme Plante, évoquant l'ajout prochain de 19 autres parcs éponges. Lisez notre texte: La Ville déplore par ailleurs que le programmation de soutien provincial n'indemnise que les propriétaires inondés par le débordement d'un cours d'eau, et non par les pluies diluviennes. « Le fédéral et le provincial doivent en faire plus, et venir soutenir les efforts des villes à réparer et adapter les territoires, mais aussi revoir les programmes d'indemnisation », a dit Mme Plante. Bientôt une plateforme pour les cuvettes En mai, La Presse rapportait que des milliers de propriétaires montréalais ignorent encore à ce jour que leurs immeubles sont construits dans des zones de « cuvette », plus vulnérables aux inondations lors de pluies diluviennes. À ce sujet, Maja Vodanovic a assuré que du changement s'en vient. « On a une carte cuvettes, mais c'est vrai qu'elle est difficile, que ce n'est pas évident. On est en train de monter un site web de la Ville qui va rendre le tout très accessible, avec les programmes accessibles, un peu à l'image de ce qui s'est fait dans d'autres villes qui ont vécu des inondations », a-t-elle dit.

Les trois Québécois accusés de terrorisme resteront détenus
Les trois Québécois accusés de terrorisme resteront détenus

La Presse

time15 hours ago

  • La Presse

Les trois Québécois accusés de terrorisme resteront détenus

Matthew Forbes sera libéré en attente de son procès. L'homme de 33 ans est accusé de possession illégale d'armes, d'explosifs et de matériel militaire. Les trois hommes de Québec liés à l'armée accusés de terrorisme resteront détenus encore plusieurs jours. Un quatrième, accusé de crimes en lien avec la possession d'armes, sera libéré en attendant son procès. Matthew Forbes, 33 ans, est accusé de possession illégale d'armes, d'explosifs et de matériel militaire. Il sera libéré dans les prochains jours à condition de rester à domicile et de porter un GPS en tout temps, a décrété la juge Josée Lemieux lundi au palais de justice de Québec. M. Forbes est bombardier dans le 5e Régiment d'artillerie légère, soit l'équivalent d'un caporal dans d'autres unités de l'armée. Il s'est enrôlé en 2016 et avait notamment été envoyé en mission en 2019 dans le cadre de l'opération Reassurance, qui a eu lieu en Lettonie, Roumanie, Islande et Lituanie, et l'opération Cadence, lors du Sommet du G7 dans Charlevoix, en 2018. Les trois autres accusés dans cette affaire, Marc-Aurèle Chabot, Raphaël Lagacé et Simon Angers-Audet ont aussi comparu lundi par vidéoconférence au palais de justice de Québec. PHOTO FOURNIE PAR LA GRC Armes saisies par la GRC La poursuite a demandé deux jours pour la tenue d'une enquête sur remise en liberté des trois hommes, qui comparaîtront à nouveau, cette fois, en présentiel, les 24 et 25 juillet prochains. Ils demeurent détenus entretemps. Impassibles et polis, ils ont tous salué la juge et lui ont répondu à l'affirmative – à la manière militaire – à ses questions, dans une salle bondée du palais de justice avec des membres de la famille, quelques officiers de l'armée ainsi que plusieurs journalistes. Les trois premiers accusés auraient voulu prendre possession par la force d'un territoire au nord de Québec, selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), qui mène l'enquête. Ils sont accusés d'avoir facilité une activité terroriste ainsi que de posséder plusieurs armes à feu et explosifs prohibés. Ils sont détenus depuis leur arrestation le 8 juillet dernier. Chabot, 24 ans, et Forbes, 33 ans, sont des membres actifs de l'armée et sont basés à Valcartier, dans la région de Québec. Angers-Audet, 24 ans, a été réserviste, puis soldat, de 2019 à 2022. Lagacé, 25 ans, est le seul à ne pas avoir été membre des Forces armées canadiennes. Il est un ancien instructeur civil des cadets de l'air. « Ces individus n'ont pas exercé de fonctions militaires et n'ont pas accès à la base militaire sans escorte », a confirmé lundi le ministère de la Défense nationale, par voie de communiqué, avant d'ajouter prendre l'affaire « très au sérieux ». Lors d'une perquisition en janvier 2024, la GRC a saisi plus de 80 armes à feu, 16 engins explosifs, plus de 10 000 munitions et 130 chargeurs. Toujours selon le ministère, ces armes, munitions et explosifs ne provenaient pas de l'armée. Forbes comparaîtra à nouveau le 12 septembre prochain. D'ici là, il lui sera interdit de communiquer avec les trois autres accusés, porter ou posséder toute arme, même des répliques d'armes à feu. Il devra aussi remettre son passeport militaire. La mère et la conjointe se sont engagées à verser 20 000 $ chacun en dépôt. Si l'accusé ne respecte pas les conditions de sa remise en liberté, il devra payer 20 000 $.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store