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Le sénateur Duplomb dénonce une pétition «instrumentalisée», Stellantis perd 2,3 milliards d'euros, nouvelles discussions sur le nucléaire iranien... Les 3 infos à retenir à la mi-journée

Le sénateur Duplomb dénonce une pétition «instrumentalisée», Stellantis perd 2,3 milliards d'euros, nouvelles discussions sur le nucléaire iranien... Les 3 infos à retenir à la mi-journée

Le Figaro21-07-2025
LE POINT DE MIDI - Retrouvez l'essentiel de l'actualité parue ce lundi 21 juillet au matin sur notre site.
Loi Duplomb : le sénateur à l'origine du texte dénonce une pétition «instrumentalisée»
Laurent Duplomb.
Alain JOCARD / AFP
Le sénateur LR Laurent Duplomb a dénoncé ce lundi matin une pétition «instrumentalisée» contre la loi qui porte son nom, qui serait destinée à «mettre la pression sur le Conseil constitutionnel », alors que celle-ci a franchi la barre du million de signatures sur le site de l'Assemblée nationale.
Stellantis annonce une perte nette de 2,3 milliards d'euros au premier semestre
Le géant automobile Stellantis.
Henry ROMERO / REUTERS
Stellantis voit rouge. Le géant automobile a annoncé lundi avoir accusé une perte nette de 2,3 milliards d'euros au premier semestre 2025, pénalisé par le recul de ses ventes en Europe et aux États-Unis, et des charges liées à l'arrêt de certains modèles, selon des résultats encore préliminaires.
Nucléaire iranien : des discussions avec la Chine et la Russie mardi, puis avec les Européens vendredi
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghtchi.
Iranian Foreign Ministry / REUTERS
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L'Iran va tenir de nouvelles discussions sur son programme nucléaire avec l'Allemagne, la France et le Royaume-Uni vendredi à Istanbul, un mois après la guerre de 12 jours qui l'ont opposé à Israël et aux États-Unis. «En réponse à la demande des pays européens, l'Iran a accepté de tenir une nouvelle séance de pourparlers», a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Esmaïl Baghaï.
Le chiffre du jour : 12
Après 12 mois à la tête du groupe RMC BFM, Nicolas de Tavernost cède la présidence des activités audiovisuelles de l'empire CMA CGM à Ramon Fernandez. Ce dernier occupait jusqu'à présent le poste de directeur financier de CMA CGM.
NOTRE ARTICLE
Notre reportage du jour :
On va avoir des enfants-soldats dans nos cités Émile Roger Lombertie, maire de Limoges
À Limoges, les violences urbaines inquiètent les autorités. Après une nuit de confrontation entre une centaine d'individus encagoulés et la police, la compagnie de CRS 82 a été déployée pour ramener le calme. Le maire de la ville réclame des moyens pour lutter contre l'insécurité grandissante.
NOTRE ARTICLE
La photo à retenir
De la fumée et des flammes s'élèvent d'un bâtiment résidentiel touché par une frappe israélienne, à Gaza, le 21 juillet 2025.
Khamis AL-RIFI / REUTERS
La vidéo du jour
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Pluie de PV, soupçon de non-assermentation… à Colombes, une nouvelle polémique empoisonne la police municipale Un cadre et une agente de ce service de la ville appellent à contester les verbalisations délivrées sous un certain numéro de matricule, sous prétexte que sa titulaire ne serait pas assermentée. Une décision du tribunal de proximité le confirme mais la municipalité le réfute.

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Un homme cagoulé a été vu par plusieurs témoins en train de quitter les lieux après l'explosion qui a touché un appartement de La Duchère dans la nuit de dimanche à lundi. Que s'est-il passé dimanche soir vers 23h dans le quartier de La Duchère à Lyon ? Alors que la nuit venait de tomber sur la colline située au nord-ouest de la capitale des Gaules, une importante explosion a été entendue dans un immeuble de l'avenue Rosa-Parks (9e arrondissement). Fuite de gaz, pétard ? La déflagration a été assez forte pour mettre le feu à la porte d'un appartement et pour créer un début d'incendie dans le logement. Selon une information du Progrès, confirmée au Figaro par une source policière, la détonation aurait été causée par un pétard couplé à un bidon de gel hydroalcoolique. Publicité Individu en fuite Sur les lieux de l'explosion, les riverains ont indiqué avoir vu un individu, cagoule sur le visage, prendre la fuite peu après les faits. Une enquête a été ouverte par la police nationale. Contactée, la Direction interdépartementale de la police nationale du Rhône (DIPN69) indique qu'aucune arrestation n'a eu lieu dans cette affaire pour le moment. Mi-mars, un homme a été mis en examen après le meurtre par balle d'un homme à la Duchère. Le suspect avait été arrêté quinze jours après les faits à Vienne (Isère) à une trentaine de kilomètres au sud de Lyon, par des policiers spécialisés dans la lutte contre la criminalité organisée assistés d'agents du Raid, selon une source policière.

Montreuil : comment une alerte sur les réseaux sociaux a permis de révéler une affaire d'agressions sexuelles sur bébés
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Montreuil : comment une alerte sur les réseaux sociaux a permis de révéler une affaire d'agressions sexuelles sur bébés

FAITS DIVERS - Tout est parti d'un simple échange sur les réseaux sociaux. Samedi 2 août, une infirmière de l'hôpital André Grégoire de Montreuil (Seine-Saint-Denis), suspendue depuis par l'établissement, a été mise en examen pour agressions sexuelles sur mineurs après l'exploitation de vidéos impliquant des nourrissons. Son compagnon a lui été mis en examen pour complicité d'agressions sexuelles, accusé d'avoir été l'instigateur. Mais avant l'intervention des autorités, c'est l'alerte d'une jeune femme de 19 ans qui a permis de révéler l'affaire et de remonter jusqu'au couple. Cette dernière raconte au Parisien avoir fait la rencontre de Redouane E., un homme de 28 ans, sur X fin juillet. Après quelques échanges sur la difficulté de vivre seul, l'homme lui envoi du contenu sexuel, puis pédopornographique. Le suspect lui transmet également son second compte X, où il publie « des vidéos de lui pendant ses relations sexuelles ». Les échanges se poursuivent, selon elle, pendant trois jours sur l'application Snapchat, où il lui partage des vidéos pédocriminelles et des captures d'écran de ses conversations avec sa compagne, Juliette S. « J'étais incapable de manger, de dormir tranquillement », raconte l'étudiante, qui prend alors contacte avec l'association Alerte pédo et bloque son interlocuteur. Dans une publication sur les réseaux sociaux, l'association affirme que « Redouane et une femme travaillant avec des nourrissons dans un hôpital (93) abuseraient sexuellement des bébés. La femme […] mettrait ses doigts dans la bouche, les déshabillerait et jouerait avec leurs parties intimes tout en filmant pour les partager ». Le post a déjà été vu plus de 500 000 fois. Une femme accusée à tort Très vite, l'affaire s'emballe et les internautes se mettent à chercher l'identité de ladite infirmière. Une femme voilée nommée Leïla est désignée comme coupable, notamment par le compte TikTok « Le Journal », qui démentira par la suite. Des vidéos d'elle, où son visage est à peine flouté, sont notamment diffusées. En parallèle, des soupçons d'agressions à caractère raciste émergent sur les réseaux sociaux. En cause, des captures d'écran d'une conversation entre Redouane E. et Juliette S. où ils mentionnent « un bébé black ». « Des enfants noirs ont été violés dans un hôpital du 93 », affirme un membre du collectif Nehema, qui appelle à agir « de la façon la plus brutale possible ». Samedi 2 août, une manifestation est organisée devant l'hôpital de Montreuil, à l'appel de plusieurs collectifs, rassemblant une cinquantaine de personnes. Le soir même, Juliette S., une infirmière de 26 ans est mise en examen pour agression sexuelle sur mineurs de moins de 15 ans ainsi que pour captation et diffusion d'images à caractère pédopornographiques. Selon le parquet de Bobigny, les faits ont été commis en décembre 2024 et janvier 2025. L'infirmière s'était présentée mercredi 30 juillet au commissariat de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) afin de se dénoncer les faits qu'elle aurait commis, a indiqué le parquet. Elle a également dénoncé Redouane E., affirmant avoir été sous son emprise. Deux victimes identifiées Deux victimes ont pour l'heure été identifiées dans l'exploitation des vidéos. Le parquet précise qu' « il n'y a aucun caractère racial dans le passage à l'acte, l'un des enfants est blanc, l'autre noir ». Dans un communiqué de presse diffusé le 1er août, la direction du groupement hospitalier de territoire Grand Paris Nord-Est (GHT GPNE) a indiqué que « cette infirmière exerçait exclusivement dans le service de réanimation néonatale de l'hôpital de Montreuil », qui prend en chargé les bébés nés prématurément, et ne travaillait pas à la maternité. « Les agissements de cette infirmière, s'ils sont confirmés par l'enquête de police en cours, sont une grave dérive personnelle que l'hôpital condamne fermement. Ils ne sont en aucun cas une pratique collective de service », ajoute la direction du GHT GPNE. L'infirmière mise en cause « a été suspendue à titre conservatoire en attendant les conclusions de l'enquête de police », toujours d'après le GHT GPNE. Juliette S. et Redouane E. ont été placés sous contrôle judiciaire, contre l'avis du parquet qui avait requis leur placement en détention provisoire. De son côté, la femme accusée à tort, qui ne se nomme pas réellement Leïla, a affirmé auprès du Parisien vouloir porter plainte contre « tous les comptes ayant diffusé ou relayé ces fausses informations » ainsi que « contre toutes les personnes l'ayant menacée ou insultée en commentaire des publications ou par messages privés ».

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