
Le guide complet du jardinier pour créer de l'ombre au potager : fraîcheur garantie !
Découvrez des solutions d'ombrage faciles à mettre en place pour permettre à vos plantes de pousser dans
les meilleures conditions
dans votre jardin et dans votre potager.
Si la luminosité et la chaleur émanant du soleil sont primordiales pour permettre aux végétaux que l'on plante dans son jardin et dans son potager de bien pousser, les épisodes de sécheresse ne sont pas sans conséquences. En effet, ils exposent les cultures à un
stress hydrique
qui ralentit la photosynthèse et provoque un épuisement des plantes. La croissance est alors diminuée et parfois même stoppée par ce manque d'eau. Les feuilles ainsi que les fruits ou les légumes peuvent même flétrir et dépérir. Aussi, les rayons du soleil brûlant peuvent, dans les cas les plus extrêmes, provoquer des décolorations voire des brûlures sur les végétaux.
Si votre extérieur ne bénéficie pas naturellement d'ombre, vous pouvez y remédier grâce à des installations faciles à mettre en place. L'idéal est de les installer de manière à ce qu'elles protègent vos plantes aux heures les plus chaudes tout en leur permettant de bénéficier d'une belle luminosité le reste de la journée.
Voici nos installations préférées pour vous permettre d'ombrager votre jardin et votre potager :

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«Leur passage ici ne doit être qu'une parenthèse dans leur vie» : à Ville-Évrard, une unité d'hospitalisation psychiatrique pour les 16-25 ans
Réservé aux abonnés REPORTAGE - L'unité Grands Adolescents Jeunes Adultes de l'hôpital de Ville-Évrad à Neuilly-sur-Marne mise sur une hospitalisation libre, sans recours à la contrainte. Trop grands pour la pédopsychiatrie, trop fragiles pour les unités adultes, ces jeunes requièrent une prise en charge très particulière. Mercredi matin, 9h. Dans une salle commune flambant neuve, un canapé, une télévision, des jeux de société et surtout, un baby-foot où deux adolescents disputent une partie avec des soignants. Derrière leurs rires un peu forcés et leurs regards fuyants, se cachent une profonde détresse : tous deux ont rejoint il y a quelques jours la nouvelle unité GAJA – pour Grands Adolescents Jeunes Adultes de l'hôpital de Ville-Évrard, à Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis). Depuis sa récente ouverture, le 16 juin dernier, cette unité d'hospitalisation psychiatrique accueille des jeunes de 16 à 25 ans en grande souffrance psychologique pour des séjours de plusieurs semaines. Six lits pour commencer, douze à terme. Objectif : offrir une alternative hospitalière à des jeunes, à un moment de leur vie où les troubles psychiatriques émergent le plus souvent, tout en maintenant un lien étroit avec leur lieu de résidence. «Jusqu'à présent il existait de telles unités pour couvrir la partie nord du…


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Manger équilibré en voyage : les astuces d'une nutritionniste pour éviter l'effet yoyo
Entre buffets à volonté et spécialités locales, l'équilibre semble souvent relégué au second plan. Une nutritionniste décrypte comment manger avec plaisir sans perdre ses repères. Portions plus généreuses, repas plus gras ou sucrés, horaires en vrac… En vacances, nos habitudes alimentaires prennent l'air, elles aussi. Entre fatigue, décalage horaire, environnement inconnu et impossibilité de cuisiner, manger équilibré peut vite sembler mission impossible. En consultation, la nutritionniste Vanessa Bedjaï-Haddad observe les mêmes schémas : repas sautés, encas ultra-transformés, fringales accrues par la fatigue. Et le retour à la maison s'accompagne souvent d'un effet yoyo : ballonnements, kilos en plus, culpabilité. Pourtant, «les vacances sont faites pour se ressourcer, pas pour se surveiller et se contrôler de manière excessive, rappelle-t-elle. On peut manger différemment sans perdre l'équilibre global». À découvrir Voyages sur mesure : découvrez les offres de nos partenaires Et ce n'est pas le plaisir qui fait déraper. Mais bien l'absence de cadre et d'anticipation. «Le corps est intelligent. Il faut écouter sa faim réelle», rajoute la professionnelle. Il faut dire que dans certains contextes, cela devient plus difficile. Les buffets d'hôtels, par exemple, sont un vrai stress pour ses patients. «Tout est à volonté, tout fait envie. On oublie la satiété.» Et contrairement aux idées reçues, une alimentation variée et rassasiante en amont permet d'éviter les fringales incontrôlées dès le premier jour. D'où l'importance de ne pas se restreindre avant de partir, insiste la nutritionniste. Publicité Elle recommande aussi d'emporter quelques encas malins : fruits frais ou secs, oléagineux, crackers aux graines, barres peu sucrées… «Et surtout, ne pas arriver affamé à l'aéroport ou à l'hôtel : c'est le meilleur moyen de se jeter sur n'importe quoi.» À lire aussi «On mettait le réveil à 5 heures pour réserver une table» : ces fins gourmets qui voyagent pour casser la croûte Plaisir et équilibre sont compatibles Contre le stress, le jet-lag ou l'ennui, Vanessa Bedjaï-Haddad conseille de préserver son sommeil, de garder des aliments sains sous la main et surtout de ne pas culpabiliser. «Il ne faut pas diaboliser les plaisirs occasionnels. Une glace ou un plat local ne ruinent pas une alimentation équilibrée. Manger en pleine conscience, savourer, être curieux, découvrir une culture par l'alimentation : tout cela est bénéfique.» Sur place, quelques principes simples suffisent à maintenir une stabilité douce : La règle du 80/20 (80 % d'aliments simples et rassasiants, 20 % de plaisirs sans culpabilité). Boire beaucoup d'eau, notamment pour compenser sel, alcool ou chaleur. Fractionner les repas si besoin, pour éviter les fringales incontrôlées. Rester à l'écoute de sa faim et de sa satiété, même avec des horaires décalés. Éviter les automatismes, comme le dessert systématique. «Il ne faut pas tomber dans une logique de détox punitive, ni dans le cercle vicieux : excès / culpabilité / restriction. Cela fatigue le corps» HBS - Au restaurant : composer son assiette avec ½ légumes ou crudités, ¼ protéines (viande, poisson, œufs, légumineuses), ¼ féculents ou pain. Et selon l'appétit : fruit, produit laitier ou dessert léger (comme un sorbet). Mieux vaut une formule entrée + plat pour avoir des légumes. Au buffet : faire un premier tour sans assiette pour observer, choisir en conscience, et se resservir uniquement de légumes si besoin. Même les fast-foods peuvent s'intégrer : «Ajoutez une salade, buvez de l'eau, évitez les menus XXL ou les desserts riches. Ce sont les petits ajustements qui font la différence.» Publicité Et si on grignote ? «Ce n'est pas le fait de manger entre les repas qui pose problème, mais le choix et l'intention.» Un bon encas est nourrissant et utile : fruits frais ou secs ; noix ou amandes non salées ; houmous avec crudités ; yaourt nature ou boisson végétale ; pain complet avec purée d'oléagineux… et toujours de l'eau. Et si on mange « trop » ? «Écouter les signaux du corps, revenir doucement à une alimentation naturelle et simple. 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Il ne faut pas tomber dans une logique de détox punitive Vanessa Bedjaï-Haddad, nutritionniste Le combo gagnant ? Hydratation, légumes, sommeil… pour un retour au calme assuré. «Il ne faut pas tomber dans une logique de détox punitive, ni dans le cercle vicieux : excès / culpabilité / restriction. Cela fatigue le corps et perturbe la régulation naturelle de l'appétit. » Sortir de ce schéma, c'est déjà retrouver l'équilibre. Parce que voyager, c'est aussi apprendre à s'écouter. À lire aussi Régimes bikini, cabines UV : les fausses bonnes idées à mettre aux oubliettes avant de partir en vacances


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