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« Je voulais relier l'antique et le contemporain » : à Nîmes, le spectacle Le Rêve du gladiateur brise les barrières temporelles

« Je voulais relier l'antique et le contemporain » : à Nîmes, le spectacle Le Rêve du gladiateur brise les barrières temporelles

Le Figaro2 days ago
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REPORTAGE - Dans les arènes de la ville, Arthur Cadre, qui s'est illustré en « Golden Voyageur » lors de la cérémonie de clôture des JO de Paris, propose un spectacle entre épique et onirique.
En ce début du mois d'août, les imposantes arènes de Nîmes se sont transformées en une gigantesque fourmilière. À ses pieds, danseurs, techniciens et cascadeurs se préparent activement à la dernière répétition générale du spectacle Le Rêve du gladiateur. Sur les 200 artistes et figurants, certains sont sereins et s'amusent, d'autres, plus concentrés, s'échauffent en silence, près d'une impressionnante statue de Louve capitoline. À la tête de cet ensemble : Arthur Cadre, 34 ans. Le danseur-breakeur et contorsionniste s'est fait un nom en 2024 en interprétant le « Golden Voyageur » lors de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques à Paris. Mais depuis près deux ans, l'artiste conçoit son premier spectacle.
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Dotée d'un budget d'environ 1 million d'euros, cette création financée par Edeis Culture jongle entre l'épique et l'onirique, et mêle musique, acrobatie et jeux de lumières : « Ce spectacle est un ovni. Il est complètement anachronique, car je voulais relier l'antique et…
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Johnny Hallyday, l'éternel plaisir
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time14 minutes ago

  • Le Figaro

Johnny Hallyday, l'éternel plaisir

Le documentaire « Johnny Hallyday, la France rock'n'roll » fourmille d'images d'archives et d'extraits de concert. Commenté en voix off par Richard Berry, ce documentaire Johnny Hallyday, la France rock-and-roll est construit autour d'une interview fleuve de Daniel Rondeau, réalisée à Los Angeles en avril 2017, six mois avant le décès du rocker. L'idée est de lui faire raconter sa vie et sa carrière en les replaçant dans l'actualité politique et sociale. Autant Johnny Hallyday pouvait être intarissable sur Elvis Presley, le blues, le cinéma, les belles cylindrées, les femmes de sa vie et les États-Unis, autant l'analyse géopolitique n'était pas exactement son fort. Le rocker se montre laconique. Ses admirateurs passeront pourtant un bon moment. Publicité Archives sur scène et en studio Les images d'archives, notamment de sa jeunesse, sont riches. Les photos de cet enfant abandonné par ses parents, qui a passé ses jeunes années à sillonner l'Europe, se révèlent très émouvantes. On le revoit aussi à ses débuts au cinéma, derrière Simone Signoret pour Les Diaboliques, de Clouzot, ou dans d'improbables publicités. Les archives sur scène et en studio sont très nombreuses. Noir, c'est noir, Le Pénitencier, Diego… Les extraits de chansons défilent. Toujours un plaisir. Avec son destin hors norme, sa carrière faite de hauts et de bas, ses aventures amoureuses sur papier glacé et ses innombrables tubes, Johnny Hallyday est le sujet idéal pour un biopic au cinéma. Ce documentaire rappelle que pas moins de quatre réalisateurs, Olivier Marchal, Jalil Lespert, Fred Cavayé et Cédric Jimenez, se sont mis sur les rangs ces dernières années. Entre les autorisations nécessaires pour utiliser les chansons, les exigences financières, les exigences de Laeticia Hallyday et le respect de la vie privée, la bataille s'est révélée semée d'embûches. La concurrence a été rude. Hors jeu En mai 2024, les projets d'Olivier Marchal et de Fred Cavayé étaient déjà hors jeu. « Laetitia voulait à la fois beaucoup de sous et le contrôle sur le projet, quand et comme bon lui semblait. Les risques étaient trop importants, nous avons préféré laisser tomber », explique un témoin des négociations. Jalil Lespert, de son côté, après de nombreux rebondissements, s'est concentré sur le montage de Dakar Chronicles, un documentaire sur les coulisses de l'édition 2023 du rallye Paris-Dakar, qui est sorti le 19 juin dernier. Un projet tient la corde, aujourd'hui : celui de Cédric Jimenez. Ce biopic est porté par le producteur Hugo Sélignac, que tout le monde s'arrache. Pour son Johnny, le réalisateur écrit de nouveau avec Olivier Demangel. Raphaël Quenard a accepté d'incarner le chanteur. Surtout, le projet a obtenu le feu vert de Laeticia Hallyday, unique détentrice du droit moral du rocker. En s'engageant, elle rassure les financiers du septième art. Eux veulent toutes les garanties d'exclusivité la concernant, pour être certains qu'elle ne va pas travailler en parallèle sur un autre biopic. Une telle superproduction impose un an de travail entre le premier tour de manivelle et la livraison du film. Le rétroplanning suppose un tournage au plus tard en 2026.

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La Résurrection du Christ, qui sortira en deux parties, le Vendredi saint et le jour de l'Ascension, marquera le retour de la production sur grand écran, plus de 20 ans après le premier film. La suite du film La Passion du Christ, (2004), sortira en deux parties, a annoncé le site américain Deadline. Intitulé La Résurrection du Christ, la première partie du film sera diffusée le 26 mars 2027, jour du Vendredi saint, et la deuxième le 6 mai, jour de l'Ascension, soit 40 jours plus tard. Deux dates qui revêtent une grande importance religieuse. Les détails du scénario, écrit en collaboration avec Randall Wallace (Nous étions soldats), n'ont pas encore été dévoilés. Compte tenu de l'histoire du premier film, qui traitait de la crucifixion de Jésus-Christ de manière aussi visuellement impressionnante que brutale, la nouvelle intrigue devrait porter sur la résurrection du Christ. Le réalisateur a décrit le projet comme « un trip sous acide ». À lire aussi La Passion du Christ : la suite du film de Mel Gibson sera tournée cet été à Rome La Passion du Christ, qui avait connu un grand succès, est aujourd'hui l'un des films les plus rentables de tous les temps au box-office américain, avec plus de 600 millions de dollars de recettes mondiales. Il avait également suscité de vives critiques : les scènes de violence extrême et la représentation choisie par le réalisateur, selon laquelle ce sont principalement des personnages juifs qui auraient poussé à la crucifixion de Jésus-Christ, avaient été fortement critiquées. Dans une interview accordée au podcast The Joe Rogan Experience, Mel Gibson a révélé que Jim Caviezel, l'acteur qui incarnait Jésus-Christ dans le premier film, sera rajeuni numériquement pour reprendre ce rôle. Publicité Le réalisateur a annoncé qu'il poursuivrait son travail avec la société de production Lionsgate, qui a également produit ses deux derniers films, le drame Hacksaw Ridge, nommé aux Oscars et avec Andrew Garfield, ainsi que le thriller Flight Risk, avec Mark Wahlberg.

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