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Carnet de notes des séries documentaires culinaires : Netflix met les petits plats dans les grands

Carnet de notes des séries documentaires culinaires : Netflix met les petits plats dans les grands

Le Figaro3 days ago
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Asiatique, française, américaine, scandinave... Les cultures - et les cuisines - se déclinent sur la plateforme de streaming. Coups de cœur et coups de griffes du Figaro - TV Magazine.
20/20 : «Les Tribulations culinaires de Phil»
Un ventre sur pattes. C'est comme ça que l'on pourrait décrire Philip Rosenthal, le présentateur des «Tribulations culinaires de Phil». Véritable baroudeur gastronomique, il ne boude aucun ingrédient, s'essaie à toutes les cuisines et forme bien souvent un lien profond et touchant avec les chefs qui le reçoivent. Qu'importe qu'ils ne parlent pas la même langue, le natif de New York fera son habituelle petite danse de la joie pour communiquer sa reconnaissance. L'humain est donc au centre de chacun des épisodes, sans jamais faire d'ombre à la cuisine : chaque plat goûté par Phil Rosenthal (et occasionnellement son frère Richard, le réalisateur de l'émission) raconte une véritable histoire. De la côte du Pays basque espagnol à l'opéra de Sydney et en passant par plusieurs villes du Guatemala, «Les Tribulations culinaires de Phil» propose un portrait culinaire du monde entier, mais surtout de ses habitants. À consommer sans modération !
À lire aussi Carnet de notes des séries mythologiques : Sandman, Percy Jackson... Quand les dieux divertissent le commun des mortels
17/20 : «Chef's Table»
Chez Netflix, ce programme original est la référence…
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Le chef étoilé Simone Zanoni a été violemment agressé devant son domicile des Yvelines
Le chef étoilé Simone Zanoni a été violemment agressé devant son domicile des Yvelines

Le HuffPost France

time4 minutes ago

  • Le HuffPost France

Le chef étoilé Simone Zanoni a été violemment agressé devant son domicile des Yvelines

FAIT DIVERS - La violente agression a eu lieu devant son domicile des Yvelines. Le chef italien étoilé Simone Zanoni a été pris pour cible par deux hommes qui lui ont volé sa montre mardi 12 août, selon une information de RTL confirmée par Le Parisien. Le modèle dérobé par les malfrats, de la marque Richard Mille, coûtait 150 000 euros. Les faits se sont déroulés vers 23h alors que Simone Zanoni, qui totalise près de 560 000 abonnés sur Instagram, rentrait à son domicile. Deux individus arrivés sur un scooter de type TMAX l'ont projeté au sol avant de voler sa montre. Le chef de 49 ans, qui officie dans le restaurant du célèbre palace parisien George-V, a tenté de se débattre selon la source policière citée par RTL. Il a alors été roué de coups de pied « sur le torse et dans les côtes ». Une fois la montre dérobée, les deux malfaiteurs sont remontés sur leur véhicule en direction de l'A13. « La présence d'un scooter monté par deux individus » a bien pu être relevée sur les caméras de surveillance de la zone, selon Le Parisien. Légèrement blessé, Simone Zanoni a fait constater ses ecchymoses avant de déposer une plainte pour vol aggravé au commissariat de Versailles. Une agression trois ans après un violent home-jacking La victime a expliqué n'avoir pas pu bien voir le visage de ses agresseurs, précisant par ailleurs que son domicile n'est pas équipé d'une vidéo-surveillance. Plusieurs policiers se sont rendus sur place pour procéder aux premières constatations, d'après Le Parisien, qui indique que les vêtements portés par Simone Zanoni ont été placés sous scellés pour être inspectés à la recherche de possibles traces laissées par les voleurs. Le chef étoilé n'en est malheureusement pas à sa première agression. En 2022, il avait été victime d'un très violent home-jacking où quatre individus masqués s'étaient introduits dans son domicile. Ils avaient braqué le cuisinier avec une arme de poing et menacé sa compagne avec un couteau avant de dérober plusieurs montres de luxe et des bijoux. Six personnes avaient finalement été condamnées en décembre 2024 à des peines entre 5 et 9 ans d'emprisonnement par la cour d'assises des mineurs des Yvelines.

Noisy-le-Sec : le maire communiste annule une projection du film «Barbie» après des violences mues par le «fondamentalisme»
Noisy-le-Sec : le maire communiste annule une projection du film «Barbie» après des violences mues par le «fondamentalisme»

Le Figaro

time4 minutes ago

  • Le Figaro

Noisy-le-Sec : le maire communiste annule une projection du film «Barbie» après des violences mues par le «fondamentalisme»

Prévue vendredi dernier en Seine-Saint-Denis, la séance a été annulée en raison de la pression d'un petit groupe de jeunes, selon Olivier Sarrabeyrouse, qui n'a pas prononcé le mot d'islamisme et dont la décision a été vivement critiquée à droite. A Noisy-le-Sec, en Seine-Saint-Denis, Barbie n'est pas la bienvenue. La projection du film éponyme, prévue le vendredi 8 août, a été annulée à la suite de pression d'un petit groupe de personnes, a déploré le maire de la commune, Olivier Sarrabeyrouse (PCF), dans un communiqué, repris par nos confrères du Parisien. Cette séance en plein air était organisée par la municipalité dans le cadre de la programmation estivale d'Est Ensemble, une initiative instaurée par la ville de Noisy-le-Sec depuis trois ans. Alors que le film avait été choisi par les habitants du quartier du Londeau, où la séance devait avoir lieu, la projection n'a même pas pu commencer, a déploré l'élu. Certains «agents du service public ont été menacés de violence», a-t-il dénoncé dans son communiqué. Publicité Un film à «débats» Le film «Barbie», réalisé par Greta Gerwig et sorti en 2023, a été un véritable carton en salles, avec plus de 4 millions d'entrées en France et plus d'un milliard de dollars récoltés dans le monde entier. Cette comédie décalée, mettant en scène la célèbre poupée dans le monde réel, a même remporté un Oscar en 2024. Olivier Sarrabeyrouse rappelle que ce film avait été proposé par la municipalité, car il permettait «de créer du lien, d'échanger et de promouvoir la cohésion sociale et le vivre-ensemble dans un cadre agréable». Il a ensuite été choisi par la ville à travers un vote, procédure mise en place à chaque fois par la municipalité pour déterminer quelle œuvre sera projetée. «Barbie» l'a notamment emporté sur «Kung-fu Panda 4». Film familial et tout public, les thématiques qui y sont abordées n'ont visiblement pas plu à tout le monde. Le film met notamment en avant une aventure avec un personnage féministe dénonçant le patriarcat mondial. Olivier Sarrabeyrouse rappelle que cette œuvre a suscité «des débats partout dans le monde». Certaines personnes lui ont en effet reproché de «mettre en avant des histoires de personnages lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels», et d'autres ont condamné une «propagande néoféministe», selon les mots du maire de Noisy-le-Sec. Une «situation agressive» Pour Le Parisien, il explique que «des jeunes ont menacé» les spectateurs présents, en disant qu'«ils allaient empêcher le visionnage et démolir le matériel». La situation est devenue «agressive», malgré les tentatives de discussion menées par les agents présents sur place, qui se sont «sentis en danger», poursuit-il. «C'est moi qui ai pris la décision d'annuler la séance» reconnaît le maire. L'élu affirme dans son communiqué que la diffusion du film a été empêchée par une «extrême minorité de voyous», motivés par des «arguments fallacieux, traduisant l'obscurantisme et le fondamentalisme instrumentalisés à des fins politiques». C'est ainsi qu'une simple séance familiale, ouverte à tous, s'est transformée en un «mouvement d'opposition violent», a dénoncé Olivier Sarrabeyrouse. Publicité Sa décision d'annuler la séance a été vivement critiquée par de nombreux opposants politiques. Le porte-parole du Rassemblement national (RN), Aleksandar Nikolic, a affirmé chez Europe 1 que «c'est pour les mêmes raisons que ce film a été interdit dans certains pays qui se sont adaptés aux lois islamiques», faisant référence au Liban, à l'Algérie et au Koweït, où le film n'a pas été diffusé car il prônerait l'homosexualité. La sénatrice des Républicains (LR), Valérie Boyer, a quant à elle reproché au maire sur X de se soumettre aux «intégristes religieux islamistes (qui) exercent un contrôle social fort et efficace». Olivier Sarrabeyrouse a en revanche reçu «tout le soutien» de la députée de Seine-Saint-Denis, Aurélie Trouvé, qui a fait part sur X de sa «consternation» suite à l'annulation de cette projection. Dans son communiqué, le maire a fait part de sa volonté de porter plainte, affirmant «ne tolérer (aucune) zones de non-droit culturelles dans la ville».

Dans la tête de Céline, atteinte du syndrome de Peter Pan : « On me reproche souvent de me comporter comme un bébé »
Dans la tête de Céline, atteinte du syndrome de Peter Pan : « On me reproche souvent de me comporter comme un bébé »

Le Parisien

time35 minutes ago

  • Le Parisien

Dans la tête de Céline, atteinte du syndrome de Peter Pan : « On me reproche souvent de me comporter comme un bébé »

Syndrome de Peter Pan. Le nom peut prêter à sourire. Il renvoie à un classique des longs-métrages Disney pour les uns, à l'un des nombreux rôles de Robin Williams pour les autres. Derrière ce concept popularisé par un psychanalyste dans les années 1980 - mais qui n'est pas reconnu officiellement en psychologie clinique en raison du trop faible nombre d'études - se cachent des adultes « qui ne veulent pas grandir ». À l'instar de Peter Pan, le personnage de la littérature de jeunesse créé par l'auteur J.M. Barrie, dont le syndrome tire son nom.

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