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«Gigio, on t'aime» : Marquinhos salue son ami Donnarumma et offre sa médaille à Zabarnyi (vidéo)

«Gigio, on t'aime» : Marquinhos salue son ami Donnarumma et offre sa médaille à Zabarnyi (vidéo)

Le Figaro19 hours ago
LE SCAN SPORT - Le défenseur du PSG a tenu à saluer Gianluigi Donnarumma, parti du club, à l'issue du sacre des siens ce mercredi contre Tottenham. Il a également offert sa médaille au nouveau venu.
«Champions mon frère !». Comme à chaque fois ou presque, Marquinhos a laissé éclater sa joie ce mercredi soir, à l'issue du sacre du PSG en Supercoupe d'Europe contre Tottenham (2-2, 4-3 tab). Passé par toutes les émotions dans un match au scénario renversant, le défenseur central a surtout pris le temps de saluer son ami Gianluigi Donnarumma, fraîchement parti de la capitale.
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«Gigio, on t'aime mon ami, un bisou», a lancé le Brésilien au micro de Sky Sports Italia . Pour Canal +, Marquinhos a également félicité Lucas Chevalier, pour sa première sous le maillot parisien. «Il a assuré, bienvenue à lui avec un trophée». Pour finir, l'inusable défenseur a chaleureusement accuelli l'un de ses concurrents au poste, l'Ukrainien Illya Zabarnyi, en lui offrant sa médaille. La classe, tout simplement.
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time38 minutes ago

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Pour sa première présence dans les quarts de finale d'un WTA 1000, Varvara Gracheva a besoin d'un petit temps d'adaptation. Comme lors de son match face à Ella Seidel. « Vous vivez un peu un tournoi de conte de fées. Des qualifications jusqu'aux quarts de finale, c'est un joli parcours. Imaginer y arriver, non. Mais j'en avais envie, c'est sûr. On a toutes envie de bien jouer et d'avoir de bons résultats. Mais pour tout dire, je ne suis pas habituée à tout ça. Honnêtement, Ella Seidel avait autant de chances que moi de gagner. Mais je suis contente d'être encore en course. C'est une situation nouvelle pour moi. Je vais essayer d'observer un peu, de comprendre ce qui se passe. Mais je suis contente. On pouvait avoir l'impression que dans le premier set vous étiez gênée par votre épaule et que ça vous empêchait d'installer votre jeu. Elle fait toujours mal, mais ce n'était pas vraiment ça. C'était plutôt un problème de concentration. On avait discuté d'un plan avec mon coach et peut-être que j'en ai trop fait. J'ai fini par m'embrouiller et à commencer à douter. Je ne comprenais pas pourquoi ça ne marchait pas. Et, bien sûr, à ce moment elle a commencé à très bien jouer. Elle était très bonne au service, en coup droit, je n'arrivais pas à réagir. Mais pour le deuxième set, j'ai pu parler avec mon coach et il m'a dit de revenir à quelque chose de simple, les basiques. J'ai dit OK, ça, je peux faire. J'étais un peu en colère contre moi car j'avais laissé passer ce premier set trop facilement. Je me disais qu'il fallait se battre et que si je devais frapper croisé 10 000 fois, j'allais le faire. Et ça a marché. J'ai fini par trouver la façon de jouer contre elle et c'est quelque chose dont je suis fière. Gracheva décroche son premier quart en WTA 1000. Après le premier set, c'est un autre match qui a commencé. Notamment à cause du coup de chaud de votre adversaire. C'est difficile à gérer ? Oui. Surtout parce que le rythme du match change. Il a fallu trouver la solution. Ce n'était pas facile de se dire que tout allait être plus facile parce qu'elle jouait moins vite. Non, c'était stressant (rires). Mais j'ai fait en sorte de garder la balle dans le court et c'était ce qu'il fallait faire dans cette situation. Est-ce que ce n'est pas un peu surprenant de jouer Kenin, Muchova et de revenir sur Seidel ? Non. Ella mérite totalement sa place à ce niveau. Elle a battu de bonnes joueuses et elle est à sa place. Je n'aurais pas été étonnée de jouer quelqu'un d'autre, mais elle a prouvé qu'elle avait sa place. Comme moi, elle tentait d'aller le plus loin possible de sa carrière dans un tel tournoi. Tout est normal. »

Frédéric Fauthoux après la victoire de la France contre l'Espagne : « De vraies valeurs défensives »
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time3 hours ago

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Malgré l'inconstance offensive affichée en Espagne (75-67) jeudi soir, le sélectionneur de l'équipe de France Frédéric Fauthoux a confié sa satisfaction de voir son équipe cohérente en défense. Tout en estimant qu'avec les automatismes, la réussite finira par venir. Frédéric Fauthoux, sélectionneur de l'équipe de France, victorieuse de l'Espagne chez elle en préparation pour l'Eurobasket (75-67) : « Pour l'Histoire, c'est toujours bien de gagner, mais ce sera encore mieux quand on gagnera sur des compétitions officielles. C'est ce qui nous intéresse le plus. Ce soir (jeudi) on a vu des vraies valeurs collectives défensives. Laisser l'Espagne à moins de 70 points chez elle c'est une bonne performance. Mais on peut aussi beaucoup mieux faire. En défense, dans des choix de concentration. Mais surtout en attaque où on a pris des choix difficiles. C'est aussi dû au fait que depuis trois matches on tente des combinaisons différentes. Même si ça a été un peu plus hiérarchisé. J'aurais aimé qu'on marque plus, mais quand on aura pris le rythme, je suis persuadé que ça rentrera. (Sur le fait de ne pas avoir fait jouer Hifi, Maledon et Jaiteh en première mi-temps). C'était prévu, j'en avais parlé avec eux. C'est trop dur de jouer à treize. C'est pas facile pour eux, je le sais. Je suis content de la victoire et il y a de vraies bases de travail pour le début de l'Euro. » « Je donne tout, je ne veux pas avoir de regrets, que la décision soit positive ou négative au final » Sylvain Francisco Sylvain Francisco, meneur de jeu de l'équipe de France : « Nous faire évoluer sur le parquet sur des petites périodes, moi et les autres qui sont en concurrence pour l'Euro, c'est aussi une manière de nous tester. Nous jouons tous beaucoup dans nos clubs respectifs. Il faut être capable de faire des choses différentes en sélection, rester prêt mentalement, positif, pour aider les gars. On a un groupe spécial, tout le monde est performant. Je donne tout, je ne veux pas avoir de regrets, que la décision soit positive ou négative au final. J'ai progressé en jouant l'Euroligue avec ces responsabilités au Zalgiris. Je scoute toujours mes adversaires en vidéo. Je connais mes adversaires. Je sais placer mes gars, sur quels systèmes je peux percuter, user de ma vitesse hors norme pour pénétrer et soit trouver mes coéquipiers au dernier instant, soit trouver mes tirs... » Yabusele : « Encore une grosse marge à combler »

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time3 hours ago

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Au bout d'un match haché et inégal, les Bleus ont obtenu leur première victoire face à l'Espagne depuis onze ans (67-75). Sans forcément trouver de nombreuses réponses aux questions du moment. Par trois fois, des tribunes du pavillon olympique de Badalone, sont descendus de bruyants « Allez les Bleus ! » envoyés par plusieurs dizaines de supporters français dispersés. Les fans espagnols, chaque fois interloqués, mirent du temps à répliquer d'une bronca qui traduisait alors tout de l'étrange duel qui se déroulait sous leurs yeux. Un affrontement entre les deux meilleurs ennemis du basket européen, finalistes de l'Euro 2022 de surcroît (remporté par la Roja, 88-76), n'aura jamais rien d'anodin. Même en milieu de préparation estivale. Même lorsque deux équipes largement renouvelées cherchent leur basket. Que la France sorte victorieuse d'un match aussi âpre qu'illisible, qu'elle obtienne ainsi sa première victoire (67-75) face à l'Espagne en onze ans (cinq défaites d'affilée après la victoire en quarts de finale du mondial 2014, 65-52), constitue en soit une performance. Onze ans après, l'équipe de France bat à nouveau l'Espagne « Ça faisait aussi longtemps ? C'est pas vrai... », s'exclamait même Guerschon Yabusele, d'avant de louer la « progression » de son équipe « malgré les erreurs qui se produisent encore régulièrement ». Elles n'auront pas pesé suffisamment pour empêcher le sélectionneur, Frédéric Fauthoux, de rester invaincu depuis sa nomination à l'automne dernier (7 victoires), égalant ainsi les débuts de son prédécesseur, Vincent Collet, en 2009. « C'est sûr que pour l'histoire, c'est toujours bien de gagner, de tenir l'Espagne à moins de 70 points chez elle, soufflait l'entraîneur, le front encore luisant dix bonnes minutes après le buzzer final. Mais ce sera encore mieux quand on gagnera ce genre de match sur une compétition officielle. C'est ce qui nous intéresse le plus. » « On a un vrai problème, c'est que tous les joueurs performent chacun leur tour » Frédéric Fauthoux, sélectionneur de l'équipe de France On attendait de cette soirée catalane qu'elle accouche de nombreux enseignements côté bleu. Qu'elle permette, aussi, d'y voir plus clair dans les intentions de Fauthoux quant aux deux joueurs qu'il lui faudra écarter de la sélection finale, en fin de week-end, alors que l'Euro 2025 débutera dans deux semaines. À l'image de ses protégés qui, pendant quarante minutes, ont soufflé le chaud et le froid (sans être menés après la cinquième minute et 6 balles perdues pour commencer), l'actuel coach de Bourg-en-Bresse aura été déboussolant : Nadir Hifi - que l'on imagine en concurrence avec Sylvain Francisco, particulièrement en forme jeudi -, Théo Maledon et Mam Jaiteh ont tout simplement été privés de temps de jeu sur l'entière première mi-temps, pour finalement reprendre le match dès le retour du vestiaire ! Une concurrence toujours aussi serrée « Je les avais prévenus, précisait tout de même leur entraîneur. C'est trop dur de jouer un match à treize, en limitant les temps de jeu. Sinon, ça ne veut pas dire grand-chose, les gars n'ont pas le temps de se chauffer, d'autant plus qu'ils ont envie de se montrer. Ce n'est pas facile, je le sais. » Ce modus operandi très particulier n'aura pas forcément éclairci les hiérarchies : les mains brûlantes de Hifi (7 points) dégoupillaient, dès sa première tentative, une bombe longue distance qui rappelait à tous combien le pensionnaire de Paris Basketball est un imprévisible dynamiteur de défenses (46-38, 22e). En seulement douze minutes de jeu, Maledon aura fini deuxième passeur de son équipe (4 offrandes) derrière Francisco (5). « On a un vrai bon problème, c'est que tous les joueurs performent chacun leur tour, souriait Fauthoux. Au moins, peu importent ceux qui seront choisis, ils auront acquis de la confiance. » Ce premier test d'envergure, face à un adversaire dont il faut toutefois déplorer la maladresse (15 sur 29 aux lancers francs, 22 balles perdues), n'a pas réglé tous les chantiers tricolores. Malgré l'intensité défensive déployée, les errements offensifs ont frustré. À l'image, notamment, de Zaccharie Risacher, qui finissait par refuser un tir ouvert après avoir enchaîné les tentatives bien trop courtes (0 sur 4). « On a vu les joueurs tous contents quand ils marquaient des paniers "athlétiques", concluait Fauthoux. Ça montre qu'on doit encore grandir en termes de maturité. Les moments difficiles sont aussi dûs au fait que depuis trois matches, on tente des combinaisons. J'aurais aimé qu'on soit plus adroits, quand on voit l'énergie qu'on met, je ne me fais aucun souci, les tirs finiront par rentrer. » L'occasion de mieux faire se présentera dès samedi, à l'AccorArena de Paris (21 heures, en direct sur la chaîne L'Équipe), pour la revanche de ce classique que les Bleus aborderont enfin dans la peau du dernier vainqueur. Aussi piégeux que plaisant.

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