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Ozzy Osbourne, dernier adieu à Birmingham devant des milliers de fans

Ozzy Osbourne, dernier adieu à Birmingham devant des milliers de fans

24 Heures6 days ago
Les funérailles de la légende du rock ont lieu ce mercredi dans sa ville natale, réunissant des milliers de fans endeuillés. Publié aujourd'hui à 16h00
Des fans se rassemblent autour du banc et du pont Black Sabbath pour prendre des photos des hommages à Ozzy Osbourne après avoir assisté au cortège funéraire d'Osbourne à Birmingham, en Grande-Bretagne, le 30 juillet 2025.
EPA
« Birmingham will always love you .» Ce mercredi, la cité anglaise retient son souffle pour un ultime salut à son enfant terrible, Ozzy Osbourne. L'icône s'est éteinte il y a une semaine, mais le temps du deuil semble à peine commencer.
Des dizaines de milliers de fans se massent dans les rues pour assister à un hommage parfaitement orchestré, avec d'abord une procession publique pour Ozzy la légende, incarnation d'un rock rugueux et sans compromis, puis une inhumation dans la plus stricte intimité pour Ozzy le père, le mari, l'ami.
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Dès 13 h, le cortège funéraire descend Broad Street, en passant devant le symbolique Black Sabbath Bridge. Le pont est recouvert de milliers d'hommages: photos, lettres manuscrites et même ballons en forme de chauve-souris, clin d'œil audacieux à l'un des épisodes les plus célèbres de la carrière d'Ozzy. C'est aussi là que Sharon Osbourne et les enfants Aimee, Kelly et Jack descendent, sans contenir les larmes ni masquer le chagrin, déposent des fleurs et saluent la foule.
Loin d'une marche silencieuse, la procession est accompagnée par la fanfare locale Bostin' Brass. L'événement est retransmis en direct pour permettre à qui le veut de suivre cet adieu. Le deuil devient un moment collectif, moins brutal, et plus historique. Des funérailles à son image
Un service privé, prévu plus tard dans la journée, viendra conclure cette journée d'hommages. Des proches et des figures du monde musical comme sir Elton John, James Hetfield de Metallica, et les anciens membres de Black Sabbath sont attendus. Ozzy reposera dans un lieu sobre, intime, à l'abri des regards.
Derrière ces funérailles se cache aussi une des dernières volontés de l'artiste. La presse britannique rapporte qu'Ozzy a répété qu'il ne voulait pas d'un «festival de pleurnicheries» (« mope-fest »). La BBC précise même qu'il aurait expliqué «ne rien avoir contre un medley de Justin Bieber, Susan Boyle et We Are the Diddymen, du moment que c'était une célébration». Un dernier clin d'œil à son image, absurde, génial et irrévérencieux.
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Mort de Thierry Ardisson: Audrey Crespo-Mara, digne femme en noir
Mort de Thierry Ardisson: Audrey Crespo-Mara, digne femme en noir

24 Heures

time2 days ago

  • 24 Heures

Mort de Thierry Ardisson: Audrey Crespo-Mara, digne femme en noir

Très discrète, la journaliste de TF1 a montré un peu de la femme qu'elle est lors des funérailles de Thierry Ardisson. Portrait. Publié aujourd'hui à 18h01 En 2016, Audrey Crespo-Mara avec Thierry Ardisson lors de la cérémonie du Prix Caloni, qui va le sacrer Intervieweur de l'année. Dans ce domaine-là, «nous étions aux antipodes», reconnaîtra en riant la journaliste dans une interview sur Europe1. WireImage En bref: De cette discrète, on connaît peu. Son ascension cathodique, dite prudente. Son visage. Celui depuis 2015 des journaux du week-end de TF1, joker de choix en période de vacances. Mais Audrey Crespo-Mara, c'est aussi une voix, cette fois sans visage. Un timbre, partie audible d'une intervieweuse, qui laisse venir les confidences de célébrités comme d'anonymes, pour les quinze minutes intimistes du « Sept à huit » d'Harry Roselmack sur TF1. Un «écrin formidable», dit-elle. Gabriel Attal, alors premier ministre, s'y est senti assez à l'aise pour révéler le harcèlement dont il avait été victime, adolescent. Et Florent Pagny, la rechute de son cancer. «Je n'ai pas choisi la douceur, je suis comme ça, a-t-elle souligné un jour sur Europe1. À la télé, à la radio, vous ne pouvez pas jouer un personnage.» De son mari, l'homme en noir, produit consentant et producteur influent de la télé faire-valoir, forcément… on en sait plus. Thierry Ardisson a vécu comme il est mort, sans laisser tomber le costume du personnage public. Mais depuis ce 14 juillet, ses mots vérités et d'amour, sa dignité à son retour à l'antenne le 25 juillet – avec un record d'audience inédit pour un JT du vendredi soir – c'est elle qu'on a envie de mieux connaître. Dans la maison TF1 depuis 1999 Qui est Audrey Crespo-Mara, la femme – souvent – en noir, née en Seine-et-Marne il y a quarante-neuf ans, qui reste si droite? Si fidèle à elle-même alors que le deuil de son grand amour la projette sous une lumière médiatique autre, le voyeurisme et la critique facile pressant aussi sur l'interrupteur. Mais elle ne cille pas… Audrey Crespo-Mara! Montrant le ressort des pudiques. L'élégance des sincères. Un dernier geste d'Audrey Crespo-Mara, alors que le convoi funèbre va partir, qui a marqué. AFP Bûcheuse reconnaissante, ses parents «se sont saignés», femme inspirée par les pionnières de la télé – Françoise Giroud, dévoreuse d'actu, et Denise Glazer, l'intervieweuse qui osait –, journaliste parce que la vérité des faits compte, elle s'est dressée en rempart contre un blogueur chassant le scoop de la mort d'Ardisson. «Se croire autorisé à annoncer la mort d'un homme alors qu'il est encore en train de lutter pour sa survie, entouré des siens, c'est inhumain. Avec les enfants de Thierry Ardisson et les miens, j'intente sans attendre une action en justice contre vous, Clément Garin. Et nous ne vous lâcherons pas», a-t-elle très vite réagi sur X. Presque aussi vite que son bel adieu, version documentaire sur «La face cachée de l'homme en noir», a été diffusé sur TF1 deux jours à peine après son décès! Le franc-tireur l'avait voulu ainsi. Plus de 2 millions de téléspectateurs étaient au rendez-vous. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. On y comprend – on y apprend – que ce crabe, qui a fini par l'emporter, a longuement vécu avec le couple, diagnostiqué trois ans seulement après leur rencontre en 2009. «Un coup de foudre, précise Audrey Crespo-Mara à «Gala», pas un coup de tête.» Référence au temps que le couple a pris pour se lancer. Lui, fonceur. À peine l'a-t-il découverte à l'antenne – dire qu'elle rechignait à cette idée, heureuse sur le terrain politique – avec un port de tête semblable aux Parisiennes des années 1920 peintes par Jean-Gabriel Domergue, un artiste accroché dans son appartement. Elle, sur la réserve. Elle avait, confessera-t-elle dans «Gala», «l'image de quelqu'un de brillant, certes. Mais cassant et froid.» C'est un homme «d'une élégance et d'une bienveillance rares» qu'elle a rencontré. «À un moment donné, il m'a dit, je sais que j'aurai une troisième femme. Et moi, instantanément, j'ai su que je serais cette femme, ça a été une évidence.» Audrey Crespo-Mara et Thierry Ardisson Le couple, en 2012, au Festival de Cannes. Ils sont ensemble depuis 2009 et se marieront en 2014. AFP Mariés, chacun de leur côté, lui avec la mère de ses trois enfants, elle avec l'entrepreneur franco-sénégalais, Aliou Mara, père de ses fils, Sékou (footballeur professionnel) et Lamine (étudiant), ils ont hésité. Tenu… une séparation d'une semaine. Et repris le fil de leur histoire jusqu'au mariage en 2014. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Dix ans plus tard, la journaliste assure à «La Tribune Dimanche» que les vingt-sept ans qui les séparent ne pèsent aucunement. «Parce que quand on aime quelqu'un, c'est totalement irrationnel.» La différence «ne doit pas nous empêcher de profiter de chaque instant ensemble». On connaît la suite. Audrey Crespo-Mara a gravé d'autres images, d'autres mots pour une autre éternité, ceux adressés à son époux dans l'église Saint-Roch: «Nous nous sommes tant aimés.» Reprendre sa place à l'antenne, onze jours après, dans cet univers qu'ils ont aimé ensemble, était peut-être aussi une manière de le lui dire. Dans son émotion, dans ce «Madame, Monsieur, merci», Audrey Crespo-Mara a donné un peu d'elle. Mais surtout beaucoup de ce talent cerné par les pros, dont Harry Roselmack. «C'est quelqu'un qui s'intéresse aux gens, salue-t-il à son arrivée dans l'émission en 2020. Elle a une approche très humaine.» En 2021, Audrey Crespo-Mara est avec Darius Rochebin pour l'interview du président Macron. AFP L'écrivain Michel Houellebecq l'en a d'ailleurs remerciée après avoir évoqué ses blessures d'enfance. L'interview terminée, il a pris la journaliste dans ses bras, avant de se lâcher. «Il a pleuré en m'avouant que cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps et, racontera-t-elle, m'a remercié de l'avoir fait parler de sa grand-mère.» Des larmes, Audrey Crespo-Mara en a aussi lâché à l'antenne, le jour de 2020 où sa quotidienne sur LCI, «Audrey & Co», s'est arrêtée. Depuis, celle qui se rêvait danseuse étoile a montré qu'elle sait rebondir. Thierry Ardisson, l'homme de sa vie Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Florence Millioud a rejoint la rubrique culturelle en 2011 par passion pour les gens de culture, après avoir couvert dès 1994 la politique et l'économie locales. Historienne de l'art, elle collabore à la rédaction de catalogues d'exposition et d'ouvrages monographiques sur des artistes. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Keith Richards n'aimait pas «Satisfaction»… et pourtant le riff est entré dans l'histoire
Keith Richards n'aimait pas «Satisfaction»… et pourtant le riff est entré dans l'histoire

24 Heures

time2 days ago

  • 24 Heures

Keith Richards n'aimait pas «Satisfaction»… et pourtant le riff est entré dans l'histoire

Le riff le plus abrasif des Rolling Stones est venu en rêve à son auteur, qui l'imaginait joué par des cuivres. La version finale est une démo. Publié aujourd'hui à 16h59 Keith Richards en concert avec The Rolling Stones en mars 1965. Le riff de «Satisfaction» naîtra deux mois plus tard des limbes de sa caboche. imago images/TT Ce matin londonien du 7 mai 1965, Keith Richards se réveille sans gueule de bois et avec un enregistreur à cassettes de la marque Phillips dont la touche record est enfoncée. Sur la bande, qu'il a la bonne idée de rembobiner, il entend deux minutes de guitare acoustique suivies de quarante minutes de ronflements – les siens. Le cofondateur des Rolling Stones , 22 ans, se remémore alors cette inspiration qui le saisit au milieu de la nuit et qu'il immortalisa sur cassette avant de verser à nouveau dans les bras de Morphée. Bien lui en a pris. Peu de chansons aussi universellement célèbres que «(I Can't Get No) Satisfaction» auront couru autant de risques de ne jamais voir le jour. Il fallait que l'idée se faufile dans les rêves de Keith Richards, déjà. Qu'il la happe et la juge suffisamment digne d'intérêt pour justifier qu'il sorte de son lit, saisisse sa guitare et la sauve sur un magnétophone. Et pense à l'écouter au réveil. Non rock Surtout, cette ritournelle se prédestinait à une orchestration à l'opposé de la forme sèche et abrasive qui allait devenir l'hymne d'une jeunesse en combustion. Le fan de Donovan l'imaginait en effet folk, lente, avec une section de cuivres pour jouer le riff principal. Qu'il enregistre le 11 mai à Hollywood, alors en tournée américaine, à l'aide d'un petit effet rigolo appelé fuzz que la marque Gibson vient d'inventer. «La pédale tombait à pic, ça donnait une forme à ce que les cuivres joueraient ensuite», se souvient-il dans ses mémoires («Life», p. 232). The Rolling Stones en 1965. imago images/TT Trois semaines plus tard, The Rolling Stones sont sur une autoroute du Minnesota quand la radio passe «notre putain de morceau! On n'était même pas au courant que notre manager avait sorti le disque. J'étais mortifié: dans mon esprit, c'était juste une maquette. Et soudain on est numéro 1 aux States!» C'était tellement une maquette que la chanson iconique, si on l'écoute attentivement, trahit l'imprécision hâtive du guitariste, qui rate même sa rentrée à 1'35! Comme quoi, la perfection numérique actuelle n'est pas le plus sûr moyen de rester dans l'histoire. Idem pour cet effet fuzz accidentel, qui deviendra illico l'arme atomique des groupes de garage, puis de punk, dans leur marche vers le son énervé. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Longtemps, Keith Richards n'aimera pas «(I Can't Get No) Satisfaction». Sans doute la somme de ses aléas lui donnait-elle l'impression d'avoir été composée par un autre. Plus prosaïquement, sa rugosité sonore était particulièrement difficile à reproduire en concert. Trop bien jouée, avec de trop beaux effets, elle devenait boiteuse. Soixante ans plus tard, sa forme la plus écoutable reste celle d'un malentendu. D'autres beaux ratés, pas toujours très rock François Barras est journaliste à la rubrique culturelle. Depuis mars 2000, il raconte notamment les musiques actuelles, passées et pourquoi pas futures. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Fanny Cradock, la cruelle diva de la BBC
Fanny Cradock, la cruelle diva de la BBC

24 Heures

time2 days ago

  • 24 Heures

Fanny Cradock, la cruelle diva de la BBC

Odieuse, excentrique et flamboyante, elle régna non sans panache sur la cuisine britannique pendant vingt ans. Publié aujourd'hui à 14h12 Fanny Cradock, un physique loin des rassurants canons de la cuisinière télévisuelle. DR Non, toutes les marmitonnes télévisuelles ne sont pas rassurantes et rebondies. Preuve en est Fanny Cradock, la star culinaire de la BBC des sixties. Maquillage de clown névrosé, regard fiévreux, voix rauque et visage osseux, elle vous file les miquettes cette femme-là. Il faut la voir pincer nerveusement la peau d'une pauvre dinde avant de la cribler de coups de fourchette assassins pour imaginer ce qu'elle put faire subir à ses proches et collègues. Le pire, raconte-t-on. Pourtant l'Angleterre l'adora. Et saliva devant ses recettes extravagantes, mais économiques, nappées de sauces louches et pleines de colorants alimentaires qui, en 2025, paraissent un brin… obsolètes. Il n'est pas impossible de penser que l'Albion d'alors avait des papilles en titane et une tendresse pour les Carabosse cabossées. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Fanny est née en 1909 dans le Sussex. Le père, marchand de maïs et joueur invétéré, doit déménager sans cesse pour échapper à ses créanciers. La mère, volage, l'abandonne un an après sa naissance. À 17 ans, elle épouse un pilote de la RAF, qui s'en va crasher son avion quatre mois plus tard, la laissant veuve et enceinte. Bigame, elle se remariera deux fois en bidouillant son état civil. Et abandonnera maris successifs et enfants avant de rencontrer l'amour de sa vie, Johnnie Cradock, un major dans l'artillerie royale. Shows culinaires Entre-temps, elle fait du porte-à-porte à Londres pour vendre des aspirateurs. Vivote de petits boulots. Puis entrevoit enfin la lumière grâce au «Daily Telegraph», qui l'embauche pour écrire des chroniques mode, beauté et cuisine. À la fin des années 40, elle et Johnnie se lancent dans des shows culinaires burlesques, en cuisinant live dans des théâtres avant de partager leurs recettes avec le public. Fanny joue l'épouse despotique; Johnnie, le mari nigaud et ivrogne. Gros succès. Ils remplissent le Royal Albert Hall en 1956. Voilà comment Fanny glisse un orteil à la BBC, pour en devenir la diva culinaire deux décennies durant. Avec son Johnnie d'amant, elle se pavane en Rolls, se défonce aux médocs, se montre imbuvable avec ses collaborateurs. Snob, toxique et tonitruante, elle chute un soir de 1976 quand elle humilie en direct une humble ménagère lors d'un concours de cuisine amateur. Le public se braque. La télé la vire. Bye-bye la gloire. Désargentée et solitaire, elle meurt d'un AVC en 1994 dans un modeste home du Sussex. Peau de vache sans doute, gâte-sauce peut-être, Fanny laisse le souvenir outre-Manche d'une flamboyance jamais égalée dans la télé culinaire. La Cruella du pudding a encore des fans soumis. Pionniers de la télé culinaire Newsletter «Gastronomie & Terroirs» «24 heures» suit depuis toujours l'actualité gastronomique et culinaire. Recevez, chaque vendredi, une sélection d'articles sur la restauration, la cuisine, les produits du terroir et le vin. Autres newsletters Jérôme Estèbe dirige la rubrique culturelle et le supplément du week-end. Il couvre, en particulier, les sujets gastronomiques et œnologiques. Il est titulaire du prix du journalisme local de la Berner Zeitung millésime 2002. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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