
Le représentant de Timothy Weah (Juventus) pousse un coup de gueule contre Damien Comolli
Ce dimanche soir, Badou Sambagué, le représentant de Timothy Weah, est sorti de sa réserve pour évoquer un dossier qui n'avance pas, depuis près d'un mois, et ce alors que le joueur souhaite rejoindre l'OM : « La Juve est un club fantastique. Le département sportif est géré par trois personnes (Giorgio Chiellini, François Modesto et Damien Comolli). Deux ont la classe et une autre se cherche encore. On ne va pas lui en vouloir pour cela. Deux cherchent des solutions et une personne crée des problèmes. Tim Weah, toujours professionnel, a été écarté durant le Mondial des clubs. Cette personne a voulu le forcer à aller là où il souhaitait (Nottingham Forest). Aujourd'hui, par vengeance, il demande une fortune et attend une offre de Premier League qui ne viendra pas et ne sera jamais validé par nous. »
Et Sambagué, avocat de métier, d'ajouter : « Ce sont des méthodes de l'ancien temps qui ne passeront pas avec moi. Je n'ai pas l'habitude de prendre la parole, mais ne pas le faire aujourd'hui serait accepter l'inacceptable et un manque de respect total. »
Leeds pousse pour Paixao (Feyenoord), convoité par l'OM
Le représentant vise le nouveau directeur général de la Juve, Damien Comolli. Ce dernier, qui n'a pas souhaité réagir aux propos de Badou Sambagué, est intraitable sur les négociations avec l'OM. Après avoir refusé la possibilité d'inclure Valentin Rongier dans le deal, mi-juillet, Comolli a accepté la possibilité d'un prêt payant avec option d'achat obligatoire, mais à ses conditions, à savoir entre 20 et 22 M€, tout compris. L'OM ne souhaite pas payer cette somme et reste confiant sur l'issue du dossier, ayant l'accord du joueur, sous contrat avec la Juve jusqu'en juin 2028.

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29 minutes ago
- L'Équipe
Véronique Rabiot révèle avoir été « très surprise » que son fils Adrien ait choisi de signer à l'OM
Dans un entretien accordé à « L'Équipe », Véronique Rabiot raconte avoir été étonnée du choix de son fils, Adrien, de rejoindre l'OM à l'été 2024, alors qu'il était libre de tout contrat. Depuis un an, Adrien Rabiot, l'ancien Titi du PSG, fait le bonheur de l'OM. Avec Marseille, l'international français a décroché la deuxième place en Ligue 1, synonyme de qualification pour la Ligue des champions. Dans un entretien accordé à L'Équipe, sa mère, Véronique, raconte le moment où son fils a fait ce choix de carrière après cinq saisons passées à la Juventus. « Quand il est allé à Marseille, les gens ont dit : "Il aurait dû aller dans un grand club." Il avait d'autres propositions. Mais lui, il avait envie d'aller à Marseille », explique-t-elle. Avant d'avouer avoir été « très surprise » par cette décision. « Mais le projet lui plaisait, confie-t-elle. Moi, je veux juste qu'il aille là où il a vraiment envie. Ce n'est pas très compliqué. » gé de 30 ans, le vice-champion du monde 2022 (53 sélections, 6 buts) est lié jusqu'en 2026 à l'OM.

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« Ça donne l'opportunité de briller à plus de gens » : ce que l'arrivée des 50m de spécialité aux JO de Los Angeles va changer
L'arrivée des 50 m papillon, dos et brasse aux Jeux de 2028 ouvre l'appétit. Encore plus depuis la médaille d'or de Maxime Grousset. Certains sont enthousiastes, d'autres plus circonspects. « Je ne suis pas un grand fan des 50 de ''spé'' mais là j'apprécie un peu plus, sourit Denis Auguin. Désormais, c'est vraiment génial. » Comme beaucoup, le nouveau DTN voit bien l'intérêt de l'arrivée des 50 m dos, 50 m brasse et 50 m papillon au programme des JO de Los Angeles. Surtout après la victoire de Maxime Grousset hier sur 50 m papillon. Ça devient « intéressant », comme l'a glissé le Néo-Calédonien qui y voit « une chance de médaille en plus pour [lui] ». Quand on gagne, on aime. Évidemment. L'annonce du CIO début avril a pourtant fait causer. Certains ont sauté de joie et d'autres se sont montrés plus circonspects. Ce n'est pas la querelle des anciens et des modernes mais les avis peuvent diverger. Comment Grousset a su rebondir après les Jeux Quand on croise Camille Lacourt, triple champion du monde du 50 m dos, dans les travées de la piscine de Singapour, on ne peut s'empêcher de se dire « et si »... Lui le prend sans amertume et avec enthousiasme. « Ma première pensée : ils auraient pu le mettre plus tôt, répond-il en riant. Je trouve ça vraiment bien pour notre sport que cette discipline, aussi serrée, tendue, stricte dans la perfection, soit olympique. C'est spectaculaire, chaud et visuel. Ça va aussi amener de l'hyperspécialisation pour le 50 et le 100 m. Pour nager très vite sur 50 dos ou 50 brasse, il faut être assez bon sur 100 m et faire des longueurs. Les meilleurs vont essayer de faire plus de médailles, alors ils vont pouvoir aussi travailler plus le 50 que nous à l'époque. » « Je trouve que ça donne l'opportunité de briller à plus de gens avec des profils différents » Béryl Gastaldello Pour les spécialistes comme Mélanie Henique, vice-championne du monde du 50 m papillon en 2022, ou les trentenaires comme la légende de la brasse Adam Peaty ou la meilleure sprinteuse de l'histoire, Sarah Sjöström, c'est évidemment une aubaine. Sur les réseaux sociaux, on a assisté à un concert de trompettes pour saluer l'annonce qu'ils n'attendaient plus. Depuis des années, le sujet revenait, repartait pour finir par devenir un serpent de mer. Maintenant c'est fait et ça offre de nouvelles perspectives, notamment pour l'allongement des carrières. « Je trouve que ça donne l'opportunité de briller à plus de gens avec des profils différents, notamment ceux qui sont un peu plus âgés, s'est réjoui Béryl Gastaldello (30 ans). J'adore la diversité, plus il y en a, plus je suis contente. Ça va dans la révolution du sport de s'entraîner un peu moins, on n'a plus besoin de faire 12 kilomètres par jour. On se rapproche un peu plus de l'athlétisme. » Pour Yohann Ndoye-Brouard, qualifié pour la finale du 100 m dos, ça devient un double objectif : « Ça fait un moment que j'ai envie de m'améliorer sur 50 pour avoir de la vitesse au 100 m. C'était déjà dans mes plans de progresser au 50, ça l'est encore plus. Peut-être que je peux me projeter sur une carrière un peu plus longue, maintenant qu'il y aura un 50 m dos. La densité va augmenter même si les spécialistes seront toujours les mêmes. Il faudra une Olympiade pour tester. » Plus surprenant, Analia Pigrée, spécialiste du 50 m dos, ne se dit pas « enfin », elle a pris goût au 100 m : « Ça n'a pas du tout changé ma prépa. On s'entraîne quand même sur du 100. Je ne me sens pas de faire que du 50. Trop risqué et ce n'est pas vraiment fun. J'aime bien me jauger avec mes coéquipières à l'entraînement. Avant, je n'aimais pas trop le long, maintenant je commence à kiffer. » Un danger de l'ultra spécialisation chez les plus jeunes Les plus sceptiques évoquent des disciplines qui ne recèlent pas l'essence de la natation et d'autres évoquent le danger de l'ultra spécialisation chez les jeunes. « Je suis assez partagé, a commenté Antoine Viquerat, juste après son record de France sur... 50 m brasse. Oui c'est bien, mais malheureusement j'ai peur que certains jeunes veuillent directement se spécialiser dès le plus jeune âge sur 50 m et ce n'est pas forcément quelque chose de bon. À voir. » Sur les changements de programme, la plupart ne se sont pas encore penchés sur le dossier mais le DTN sait déjà qu'il faudra réaménager les chronos des sélections. « Les temps de sélection pour les différentes sélections étaient beaucoup plus exigeants sur les 50 de spé que sur les autres épreuves, explique Denis Auguin. On va réaligner tout ça. Partout où il y a une médaille à prendre, on va essayer d'aller la chercher. » Une révolution pragmatique.


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Tour de France femmes : le parcours et le profil de l'étape 4 entre Saumur et Poitiers
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