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Foot : menacé de rétrogradation, l'Olympique Lyonnais doit injecter une somme exorbitante pour sauver sa peau

Foot : menacé de rétrogradation, l'Olympique Lyonnais doit injecter une somme exorbitante pour sauver sa peau

Le Figaro3 days ago
Selon le journal L'Équipe, la nouvelle présidente de l'OL Michele Kang aurait l'obligation de garantir plus de 200 millions d'euros dans les prochains mois.
L'Olympique Lyonnais est sur un fil. Rétrogradé en Ligue 2 le 24 juin dernier par la DNCG, le club rhodanien verra son dossier être étudié par la commission d'appel du gendarme financier le 2 juillet prochain, au siège de la FFF. L'enjeu est simple pour l'OL : sauver sa place dans l'élite du football français en apportant des fonds supplémentaires. Selon le journal L'Équipe, 100 millions d'euros directement injectés sur le compte du club sont exigés, d'ici jeudi prochain, pour soulager la trésorerie. Et ce n'est pas tout. Le quotidien sportif ajoute que plus de 100 millions d'euros supplémentaires devront être garantis par la direction de l'OL pour «pouvoir faire face aux obligations» tout au long de la prochaine saison à venir.
Mission impossible pour Michele Kang ?
Une deuxième somme astronomique qui devra être promise comme «engagement ferme et irrévocable» devant la DNCG, à défaut d'être immédiatement injecté dans les comptes de l'OL. Assurer 200 millions d'euros, minimum, telle est l'ampleur de la mission pour la nouvelle présidente du club, Michele Kang.
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La dirigeante américaine, qui a remplacé au pied levé le démissionnaire John Textor, est soutenue par le propriétaire Eagle Football Group. Elle doit désormais monter le dossier le plus solide possible en compagnie de son directeur général, Michael Gerlinger. Le fonds d'investissement Ares, qui avait prêté de l'argent à Eagle lors du rachat du club, va-t-il ressortir le chéquier pour répondre aux exigences de la DNCG ? Des ventes importantes de joueurs (Mikautadze, Fofana, Tolisso, Perri...) soulageront-elles l'OL dans les prochains jours ? Le temps est désormais plus que compté.
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Habitué à jouer les équipiers sur le Tour, Van der Poel a retrouvé le jaune et sa juste place
Habitué à jouer les équipiers sur le Tour, Van der Poel a retrouvé le jaune et sa juste place

L'Équipe

time3 hours ago

  • L'Équipe

Habitué à jouer les équipiers sur le Tour, Van der Poel a retrouvé le jaune et sa juste place

Le plus souvent équipier sur le Tour lors des dernières saisons, et encore samedi pour la victoire inaugurale de Philipsen, le Néerlandais était favori dimanche. Il a brillamment assumé son statut pour remporter une deuxième étape et s'emparer du maillot jaune, quatre ans après. On partage tout chez Alpecin-Deceuninck, les succès et même les animaux. Alors que Mathieu Van der Poel gisait sur le bitume, séché par son sprint victorieux, sa mère Corinne savourait son bonheur devant le bus de l'équipe, en tenant dans ses bras le petit chien de Jasper Philipsen, qui avait vu son maître s'imposer la veille. Deux étapes, deux triomphes, le week-end des Belges est un chef-d'oeuvre collectif qui ravit leur patron, Philip Roodhooft. « La victoire de Jasper a donné un boost supplémentaire à notre esprit d'équipe, elle était plus inattendue que celle de Mathieu, confie le manager, plus habitué que grisé. Ce n'est pas une grande surprise qu'il soit au rendez-vous ici, et le fait qu'il soit toujours capable de conclure est une motivation supplémentaire pour ses partenaires. Il facilite aussi notre travail d'équipe car grâce à lui, chaque coureur sait qu'il faut donner pour recevoir. Si le plus grand donne l'exemple, comme il l'a fait à Lille, les autres veulent aussi montrer qu'ils peuvent apporter quelque chose. » Van der Poel est ce drôle de champion capable de jouer les équipiers sans le moindre état d'âme, et il s'agissait même de son rôle principal lors des dernières éditions du Tour. Il était permis de voir son statut de poisson-pilote de Philipsen comme une anomalie, voire un gâchis, mais son père n'est pas de cet avis. « Wout (Van Aert) fait pareil ! Ce sont des coureurs extraordinaires qui veulent que le soleil brille aussi pour les autres, sourit Adrie, qui rappelle que le mois de juillet ne sera jamais l'obsession de la famille Van der Poel. Pour moi comme pour lui, le Tour n'est pas la course la plus importante. Nous, on aime les Classiques. Le Tour est fait pour les grimpeurs. Si tu ne pèses pas 65 kg, tu ne peux pas le gagner. » « Ce parcours me donne des étapes où je peux vraiment exceller, ça fait la différence » Mathieu Van der Poel Les costauds peuvent quand même y passer quelques bons moments, comme en 2021, quand son fils avait fêté sa découverte de l'épreuve en l'emportant à Mûr-de-Bretagne, maillot jaune en prime, qu'il avait gardé six jours avant de quitter la course pour préparer son grand objectif, l'épreuve de VTT des Jeux de Tokyo. Le petit-fils de Raymond Poulidor écrit une autre histoire, moins française, et il a souvent eu mieux à faire après le Tour, avec le Championnat du monde 2023, qu'il a remporté, et les Jeux Olympiques 2024. Il faut dire que le parcours lui donnait peu de motifs de s'y intéresser davantage, ce qui n'est pas le cas cette année. Après s'en être éloigné jusqu'à avouer cet hiver que s'échiner sur trois semaines ne le passionnait pas, il a eu envie de s'en rapprocher en constatant que le parcours 2025 lui donnait beaucoup plus d'occasions de s'exprimer. « C'est logique, non ? C'est un coureur qui veut gagner et c'est complètement différent de regarder le parcours en se disant "merde, aucune étape ne me convient", souffle Adrie. Des étapes comme ce week-end, c'est pour ce spectacle que je veux me mettre devant la télé. » Elles rappellent les rendez-vous pavés du printemps et il n'y a rien de tel pour réveiller la bête, qui a changé son approche pour enfin arracher une deuxième étape, quatre ans après son baptême, une petite éternité à son échelle. « J'ai disputé le Dauphiné cette année et c'était un bon choix, estime le triple vainqueur du Tour des Flandres et de Paris-Roubaix. On apprend chaque année comment arriver dans la meilleure forme, et on a essayé de reproduire ce qu'on fait avant les Classiques, avec le Dauphiné comme équivalent de Tirreno-Adriatico, et un séjour en altitude ensuite. Mais ce parcours me donne bien sûr des étapes où je peux vraiment exceller, ça fait la différence. » Même en jaune, il amènera le sprint à Philipsen ce lundi Il y avait Boulogne-sur-Mer dimanche, il y aura Rouen mardi, Vire jeudi et Mûr-de-Bretagne vendredi, largement de quoi regarder le Tour d'un autre oeil. Et pourquoi pas tomber amoureux ? Il ne faut pas exagérer. « Cela ne va pas changer énormément ma relation avec le Tour, annonce Van der Poel. J'y ai beaucoup lutté ces dernières années et les circonstances me donnent cette fois une course que je connais. La première semaine correspond à ce que je sais faire, et la journée a ressemblé à une Classique. Il a fallu se battre sans cesse pour se positionner, on maîtrise ça en tant qu'équipe mais il est toujours très difficile de gagner ici. » Quand il évolue à ce niveau, c'est surtout compliqué pour la concurrence et il reste le seul à pouvoir contrôler Tadej Pogacar dans ce type de final, où sa puissance le rend invincible ou presque. Il avait en outre parfaitement préparé son coup et s'est placé en tête au bon moment, avant de porter son accélération au meilleur endroit, dans le dernier virage. C'est ainsi que les favoris assument leur rang, et son maillot jaune ne va pas faire de lui un roi sans devoirs. Ce lundi, il sera encore chargé d'amener le sprint de Philipsen. « Évidemment qu'on peut imaginer le voir faire ce travail en jaune, il faut être fier et heureux que ce soit possible dans notre équipe, apprécie Roodhooft. Il l'a déjà fait il y a quatre ans, pour faire gagner Tim Merlier. » Le Belge est désormais un rival, chez Soudal Quick-Step, et il a des raisons de penser que son Tour serait plus simple s'il pouvait toujours compter sur Van der Poel pour lui déblayer le passage. À lire aussi Van der Poel et le Tour, de chaudes retrouvailles Vauquelin doit s'adapter à son nouveau statut Les puncheurs français ont joué les premiers rôles Evenepoel et Merlier piégés, entame ratée pour la Soudal Quick-Step

« On avait besoin de ce coup de boost » : Gasly et Alpine revigorés après une sixième place à Silverstone
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L'Équipe

time3 hours ago

  • L'Équipe

« On avait besoin de ce coup de boost » : Gasly et Alpine revigorés après une sixième place à Silverstone

Le Français affichait un immense sourire après sa sixième place à Silverstone. Fier de son énorme performance et heureux de donner un peu de joie et de motivation aux Si le week-end se présentait mal pour Alpine et Pierre Gasly (Franco Colapinto n'a pas pris le départ à la suite d'un problème de boîte de vitesses), le pilote normand a inversé à lui tout seul la tendance. Il a décroché une 6e place précieuse au GP de Grande-Bretagne, remporté par Lando Norris, ce dimanche. « Sixième de ce GP de Grande-Bretagne, même si vous partiez en huitième position et que les conditions météo ont joué un rôle, cela ressemble à un véritable début du week-end, personne n'aurait pu imaginer qu'on se retrouverait dans une telle position. En fin de course, je me suis même battu avec Max Verstappen, qui était en pole-position au départ. À un moment, je me demandais : mais c'est quoi cette course ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Justement était-ce difficile de garder la tête froide pendant 52 tours ?On a pris des risques, mais c'était ceux qu'il fallait. Toutes les décisions ont été les bonnes, l'exécution dans les stands a été bonne aussi. J'ai aussi bien défendu sans perdre trop de temps. Je suis fier de toute l'équipe parce que cette année est compliquée. On sait que la voiture n'est pas là où on voudrait, mais chaque jour on fait de notre mieux. Aujourd'hui (dimanche), on a prouvé qu'on savait profiter des occasions quand elles se présentaient. Sous la pluie avec des pneus neufs ou quand il a fallu gérer avec des gommes détruites, on a tiré le maximum de la situation. Et on a évité tous les pièges. C'était une course parfaite. « Je savais que je pouvais beaucoup gagner » Au niveau du pilotage, êtes-vous au meilleur niveau de votre carrière ?Je sais que j'évolue à un très haut niveau par rapport à la voiture que j'ai à l'heure actuelle. Si c'est mon meilleur niveau ou pas, c'est toujours compliqué de répondre à ça. Ce dont je suis sûr, c'est qu'on a extrait le maximum de tout lors de la course. Et que c'était déjà le cas en qualification, samedi, avec le passage en Q3. Je dois continuer à faire de mon mieux à chaque fois que je suis en piste et motiver tout le monde autour de moi. Parce que c'est ce que je suis, un battant, un guerrier qui se donne toujours à fond. Au coeur du désordre généralisé, votre course a semblé très propre. Avez-vous connu des moments chauds ?Oh oui ! Chaque tour était compliqué. À certains moments, il fallait juste être capable de rester en piste, mais c'est aussi là qu'on peut tout perdre... Je savais que je pouvais beaucoup gagner, que je devais y aller en étant à la limite sans la dépasser. Mais j'adore ce genre de conditions. Vous parliez de votre bagarre avec Verstappen dans les derniers tours. Avez-vous vraiment pensé pouvoir le dépasser ?Oui ! J'y ai vraiment cru. J'attaquais fort à ce moment-là. Il était rapide en ligne droite et même si je gagnais du temps à certains virages, les points de détection pour le DRS sont au bout de parties rapides, donc j'avais du mal à être sous la seconde pour l'avoir. J'ai réussi une fois après Maggots-Becketts-Chapel (un enchaînement de virages) et je suis resté proche pendant quelques tours... Donc ça m'a traversé l'esprit, mais on n'avait pas tout en main pour le faire. Vu la météo un peu similaire et le résultat inespéré au bout, cette course vous rappelle-t-elle le double podium signé par Alpine au Brésil fin 2024 ?L'an dernier, notre niveau global par rapport aux autres était meilleur, donc cette sixième place est au moins aussi bonne que le résultat du Brésil. Et le faire ici à Silverstone, c'est particulier, avec beaucoup de gens de l'usine (basée à Enstone) qui étaient là. On avait besoin de ce coup de boost. On est déjà tournés vers la saison prochaine, mais pour que chacun puisse bosser au maximum de ses capacités, on a besoin d'un petit surplus d'énergie et de motivation. Ce résultat peut en donner. » À lire aussi Piastri, une erreur en forme de cadeau à Norris Le carnet de notes de Silverstone Alpine, une écurie dans le dur Verstappen, le tour de magie à Silverstone

De l'idylle à la rupture   : comment la relation entre Kylian Mbappé et le PSG est devenue explosive
De l'idylle à la rupture   : comment la relation entre Kylian Mbappé et le PSG est devenue explosive

L'Équipe

time3 hours ago

  • L'Équipe

De l'idylle à la rupture : comment la relation entre Kylian Mbappé et le PSG est devenue explosive

La demi-finale entre le PSG et le Real Madrid, ce mercredi (21h), sera l'occasion de retrouvailles riches en émotions avec Kylian Mbappé. Une grande première depuis leur séparation, après une relation de sept ans devenue explosive. Quand cela a-t-il commencé, vraiment ? Quand cette liaison entamée en 2017 dans l'enchantement réciproque puis prolongée en grande pompe en 2022 a-t-elle basculé du côté obscur pour se terminer par une séparation sans appel avant de jouer la prolongation dans les prétoires ? Kylian Mbappé et le PSG se retrouvent mercredi au MetLife Stadium d'East Rutherford (New Jersey) dans une affiche explosive mais ils seront adversaires. Depuis son départ libre pour le Real Madrid il y a un an, l'attaquant de 26 ans et son ancien club entretiennent une relation au mieux indifférente, au pire conflictuelle. Un comble pour celui qui demeure le meilleur buteur de l'histoire du club (256 buts en 308 matches). Un gâchis pour beaucoup de témoins de ce septennat riche en couleur. Le vent a commencé à tourner bien avant le divorce, à vrai dire. La prolongation de 2022 commence par un mensonge. Sur la pelouse du Parc des Princes, le 21 mai, le maillot brandi fièrement par le président Nasser al-Khelaïfi et Mbappé affiche « 2025 ». L'accord signé quelques heures plus tôt prévoit en réalité deux ans de plus (2024), et un de plus en option. Une nuance qui sera source de vives crispations par la suite. Quand il accepte finalement de rester, après des semaines d'âpres négociations et alors que les Madrilènes préparaient déjà sa venue, le champion du monde 2018 le fait pour une raison principale : on lui promet que les choses vont changer, qu'on va lui broder une équipe compétitive et sur mesure pour décrocher enfin la Ligue des champions. Face au constat partagé par tous en interne que le PSG ne gagnera jamais la C1 avec un effectif aussi déséquilibré, on lui assure qu'il est désormais le numéro 1 et que si ça pose problème, on cherchera des portes de sortie à Neymar ou Lionel Messi. De l'idylle à la rupture Et dans un premier temps, les choses changent. Le directeur sportif Leonardo est débarqué pour faire venir Luis Campos, que la famille Mbappé a connu à Monaco et en qui elle a confiance. Le Portugais convainc la direction de mettre sur le banc Christophe Galtier, avec en tête de placer l'attaquant des Bleus dans les meilleures conditions puisque le coeur du « projet PSG », désormais, c'est lui. Bien vite pourtant, le recrutement ne prend pas la direction annoncée. Les pistes ronflantes espérées (Robert Lewandowski, Marcus Rashford, Milan Skriniar...) sont une à une abandonnées, faute de moyens suffisants ou parce que les intéressés ne le sont pas. Courant juillet déjà, Mbappé est envahi par le sentiment d'avoir été dupé. C'est la douche froide, les nuits blanches à ruminer, s'interroger. Il essaie de joindre le président Al-Khelaïfi. Envisage même de rompre son contrat, quitte à s'asseoir sur des dizaines et des dizaines de millions d'euros. Pendant ce temps-là, la saison reprend et le PSG enchaîne les cartons avec Messi et Neymar, toujours là et en pleine forme. La Coupe du monde au Qatar n'est pas encore passée et avoir trois des stars du tournoi sous pavillon parisien est une aubaine trop belle pour la laisser filer, du côté de Doha. Après son coup de blues estival, Mbappé va se remettre dedans. Il a le Mondial dans le viseur lui aussi, puis il n'entend pas saborder sa quête européenne. Mais quelque chose s'est définitivement cassé, que rien ne saura réparer. À l'été 2023, l'état-major du PSG s'y essaie. Messi n'est pas reconduit, Neymar se voit montrer la sortie, un nouveau projet est mis en route avec un effectif plus jeune et à la mentalité collective, un entraîneur à l'identité de jeu marquée. Mais c'est trop tard : Mbappé a pris sa décision et elle est irrévocable. En juin, il a envoyé un courrier faisant savoir qu'il ne lèverait pas son année optionnelle. Les dirigeants sont sidérés par le procédé. La réaction d'Al-Khelaïfi ne va rien arranger et creuser, au contraire, le fossé entre les deux camps. Alors que Campos prône le dialogue et la mesure, le boss parisien choisit la manière forte et écarte son joueur du groupe de Luis Enrique. Envoyé dans le loft avec les indésirables, le Bondynois est privé de tournée et des premiers matches de la saison. En août, une conversation entre l'attaquant et son président - au coeur de leur différend judiciaire - aboutira à sa réintégration. Du moins, dans une certaine mesure. Les derniers mois de Mbappé à Paris sont un long chemin de l'étrange. Al-Khelaïfi espère arracher une nouvelle prolongation mais se heurte au mur de silence de son numéro 7. Luis Enrique envoie son meilleur buteur sur le banc pour certains matches de L1 au prétexte de « préparer la saison prochaine », n'empêchant pas d'y voir la main de son maître. Après sept ans dans la capitale, Mbappé célèbre son dernier match au Parc des Princes sans hommage digne de ce nom (1-3 face à Toulouse, le 12 mai 2024). En coulisse, Paris a déjà commencé la rétorsion en bloquant ses derniers salaires et des primes. Et pour couronner le tout, le frère cadet Ethan se retrouve victime collatérale, non conservé alors que le PSG était son club de coeur, plus encore que son aîné. Le Parc a fini par l'aimer, et lui par en profiter Cet épilogue conflictuel n'empêche pas le Soulier d'or 2025 de conserver un attachement profond pour Paris - on n'en dira pas autant de ses dirigeants. Dans le cas contraire, il n'y serait pas resté sept ans, lui qui avait la possibilité de s'engager au Real dès l'été 2017. Il voulait marquer l'histoire du PSG et du Championnat de France, il l'a fait. Sa relation avec les supporters n'a pas été aussi chaleureuse qu'avec d'autres chouchous parce que son attitude n'a pas toujours été comprise, mais le Parc a fini par l'aimer, vraiment, et lui par en profiter. Les retrouvailles auraient pu avoir lieu en demi-finales de la C1, cette saison, mais Arsenal est passé par là. Il va finalement recroiser ses potes, à commencer par Ousmane Dembélé et Achraf Hakimi, aux États-Unis. Il y aura des étincelles parce que c'est Real-PSG, parce que Al-Khelaïfi-Florentino Pérez, parce que c'est le champion d'Europe 2024 contre celui de 2025. Et parce que c'est Mbappé. 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