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Football : l'ancien international anglais Paul Gascoigne en soins intensifs

Football : l'ancien international anglais Paul Gascoigne en soins intensifs

Le Figaro21-07-2025
Après avoir eu un malaise à son domicile, l'ancienne star du football anglais Paul Gascoigne, 58 ans, a été admis en soins intensifs.
The Mirror rapporte que l'ancien international a été admis en soins intensifs à l'hôpital après avoir été trouvé effondré chez lui par un ami. Admis en soins intensifs, mais son état serait désormais stable. L'ancien international anglais aux multiples frasques lutte depuis plusieurs années contre son alcoolisme. Considéré comme l'un des milieux de terrain anglais les plus talentueux de sa génération, Paul Gascoigne a connu une carrière entachée par l'alcoolisme, jusqu'à sa retraite sportive en 2004.
En avril 2014, dans l'émission Good Morning Britain, il révélait qu'il avait failli mourir en 2013. Il avait dû être ranimé après avoir été mort quelques secondes, lors d'une cure de désintoxication dans le désert de l'Arizona. D'après lui, son corps n'aurait pas supporté le sevrage de l'alcool. Dans la même émission, «Gazza» avait refusé toute comparaison avec George Best, autre génie britannique du football qui a été emporté par l'alcool. «Lui ne voulait pas arrêter, il ne voulait pas être aidé. Moi, je le veux», disait-il.
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Gazza a porté le maillot de l'équipe nationale anglaise à 57 reprises, inscrivant 10 buts, e a évolué dans des clubs tels que Newcastle, Tottenham, Everton et Middlesbrough, et a également connu des expériences internationales avec la Lazio (Italie), les Rangers (Écosse) et Gansu Tianma (Chine).
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La jeune Chinoise, passée tout près de monter sur le podium du 200m 4 nages lundi, relègue au second plan les autres stars des bassins à Singapour. Lancée dans un formidable défi de remporter cinq titres en individuel lors des Mondiaux de natation à Singapour, ce qui lui permettrait de faire aussi bien que la légende Michael Phelps en 2007, Summer McIntosh aura bien besoin de cela pour ne pas se faire voler la vedette par une gamine de 12 ans. Ainsi, lundi soir, le public de l'OCBC Arena de Singapour n'avait d'yeux que pour la Chinoise Yu Zidi lors de la finale du 200m 4 nages remportée justement par la Canadienne, qui apparaîtrait presque comme une ancêtre du haut de ses… 18 ans seulement. Un engouement phénoménal lié, évidemment, à son âge, mais aussi à ses origines asiatiques et au fort contingent de fans chinois dans l'enceinte singapourienne, ce qui aide à faire monter la température. Néanmoins, la vague Yu Zidi a fini par intéresser les journalistes du monde entier présents à Singapour, curieux de découvrir – ne serait-ce que physiquement – le phénomène. Avec son quasi 1,70m et ses épaules déjà impressionnantes, la toute jeune adolescente en impose déjà. Même si son visage poupin et son sourire, qu'elle semble arborer en toute occasion, trahissent davantage ses 12 ans. Ou presque 13, puisqu'elle fêtera son anniversaire le 16 octobre prochain. Sa manière de répondre aux questions, empreinte de timidité, ne trompe pas également. Notamment lorsqu'il lui a été demandé si elle se considérait comme une génie : «Non, pas du tout», rétorque-t-elle, toute gênée. «C'est juste le fruit de beaucoup de travail.» Yu Zidi Abaca / Icon Sport Publicité Ce lundi, la Chinoise de 12 ans a bien failli réaliser un exploit majuscule lors de la finale du 200m 4 nages, qu'elle a terminé à la 4e place (en 2'09''21), à seulement six petits centièmes de secondes de la Canadienne Mary-Sophie Harvey. 3e à mi-parcours après le papillon et le dos, Yu Zidi a ensuite souffert lors du passage de la brasse – son point faible –, ce qui l'a fait reculer au 7e rang. Mais elle a été l'autrice d'une superbe remontée en crawl pour finalement échouer au pied du podium. Au grand désarroi d'une audience électrisée, qui avait pris fait et cause pour l'adolescente. Mais celle-ci préférait garder le sourire au moment de répondre aux médias de son pays : «Mon objectif initial était simplement de donner le meilleur de moi-même et de tenter de monter sur le podium, même si je pensais que c'était hors de portée. Je voulais simplement tenter ma chance. J'en suis passé très près aujourd'hui, alors je continuerai à travailler dur à mon retour.» Une 4e place qui demeure une grande première à son âge lors des Championnats du monde et qui, surtout, confirme son potentiel hors-norme. Son entraîneur Li Chao a loué son «excellent sens de la course», et sa concentration qui «dépasse largement» celle des sportifs de son âge. L'entraîneur australien de l'équipe chinoise Michael Bohl va même plus loin : «Je n'ai jamais vu une fille de 12 ans nager de cette façon», a-t-il affirmé à la télévision d'État CCTV. «Si elle continue sur cette lancée, elle deviendra un pilier de la natation chinoise». Yu Zidi est ainsi devenue la plus jeune nageuse en finale mondiale depuis la Japonaise Kyoko Iwasaki, qui avait 14 ans et 6 jours lorsqu'elle a remporté la médaille d'or au 200m brasse lors des Championnats du monde à Perth, en Australie, le 6 janvier 1991. Yu Zidi Abaca / Icon Sport C'est en cherchant à se rafraîchir l'été qu'elle avait découvert les piscines, totalement par hasard à l'âge de 6 ans. «Cet été-là, il faisait vraiment super chaud, alors je suis allée au parc aquatique avec mon père», a-t-elle raconté à l'agence de presse officielle Chine nouvelle. «J'allais souvent dans les piscines pour me rafraîchir (...) et un entraîneur m'a repérée», a-t-elle expliqué. Aujourd'hui, elle jongle entre les cours à l'école, les entraînements et les attentes qu'implique son statut d'étoile montante du sport chinois. «Mes journées sont très remplies, je n'ai pas beaucoup de temps. Mais c'est aussi très enrichissant», a commenté la jeune adolescente, qui s'entraîne dans la province du Hubei. Sur cette finale, je ne peux pas dire que je suis totalement satisfaite, mais ça va. Je dois continuer à travailler dur. Yu Zidi Évidemment, une telle ascension à un si jeune âge n'a pas manqué de soulever interrogations et critiques. Mais la Chinoise préfère ne pas répondre et se concentrer, encore et toujours, sur la valeur du travail qu'elle effectue. Et qu'elle entend poursuivre. «Ma brasse a encore besoin de beaucoup de travail. C'est un aspect sur lequel je vais certainement me concentrer pour m'améliorer à l'avenir. Sur cette finale, je ne peux pas dire que je suis totalement satisfaite, mais ça va. Je dois continuer à travailler dur.» Mais avant cela, elle n'en a pas fini avec ces Mondiaux à Singapour puisque dès mercredi, elle replongera dans le bassin à l'occasion des séries du 200m papillon, où elle peut très clairement viser une place en finale, avant de finir dimanche sur le 400m 4 nages. Le public n'a donc pas fini de vibrer avec elle.

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C'est une Chinoise de douze ans, Yu Zidi, qui focalise l'attention et affole les chronos depuis le début des Mondiaux de Singapour. Une aberration réglementaire et physiologique. Elle a dépoussiéré l'une des plus improbables statistiques de la natation : jamais depuis la médaille de bronze sur 200 m brasse de la Danoise Inge Sorensen aux Jeux Olympiques de... 1936, une enfant de 12 ans n'avait à ce point frôlé un podium mondial. Lundi, la Chinoise Yu Zidi a pourtant buté sur la caisse du 200 m 4 nages pour six minuscules centièmes de seconde. Alors que la Canadienne Summer McIntosh (18 ans) s'imposait en solitaire en 2'6''69, l'impétrante échouait de revenir sur la Canadienne Mary-Sophie Harvey mais les spécialistes notaient que son ultime longueur en crawl était presque aussi rapide que celle de McIntosh en finale (30''16 contre 30''17), après avoir écrasé la concurrence sur ce 50 m-là lors de sa demi-finale (30''07). En 2'9''21, Yu Zidi enregistre un chrono majeur, plus vite que le record de France de Camille Muffat (2'9''37). « On considère les épreuves de 4 nages, en particulier le 400 m 4 nages, comme les plus dures. Moi, c'est comme s'il s'agissait de différentes cuisines, et ça m'amuse de penser à de délicieuses nourritures pendant que je m'entraîne », déclare la jeune fille qui estime justement ce 400 m 4 nages (samedi) et le 200 m papillon (dès mercredi) comme ses distances favorites. Yu Zidi aura de vrais arguments à opposer : sur 200 m pap', ses 2'6''83 des sélections chinoises la classent au 7e rang mondial de la saison, quand ses 4'35''53 sur 400 m 4 nages grimpent au 5e rang mondial. « Mon âge est un avantage, et j'espère grandir et développer plus de forces dans le futur », assure-t-elle. Michael Bohl : « Je n'ai jamais vu une fille de 12 ans nager de cette façon » Le point de règlement qui permet de contourner la limite d'âge Seulement, cet âge crée davantage le malaise que l'enthousiasme pur. Depuis l'avènement de sa compatriote Fu Mingxia, plongeuse sacrée championne du monde de haut vol en 1991 à 12 ans, puis championne olympique l'année suivante, titre rendu célèbre par cette photo iconique de la jeune fille au-dessus de Barcelone, la Fédération internationale (FINA) a fixé l'âge limite d'éligibilité pour ses disciplines à 14 ans. Comment expliquer que Yu Zidi ait été admise à participer aux Mondiaux ? Parce qu'un alinéa a depuis été ajouté, qui stipule que des nageurs plus jeunes peuvent se qualifier s'ils réalisent les minimas B. Une règle qui avait permis à une enfant du Bahreïn, Alzain Tareq, alors âgée de 10 ans et bénéficiant du large soutien financier de son père, de disputer les séries des Mondiaux en 2015. « Les standards B sont relativement faciles à atteindre, observe Denis Auguin, le DTN français. Ça équivaut à ne pas en mettre. » Et à oublier, surtout, que l'idée de base était la protection des enfants. À 12 ans, Yu Zidi n'est pas loin de 1,70 m et affiche de sacrées épaules. « Pour nager à ce niveau-là, il faut faire un travail de spécialisation. À quel âge a-t-elle commencé à faire ce type d'entraînement, s'interroge Denis Auguin. Je veux bien qu'elle soit extrêmement douée, qu'elle ait beaucoup de talent, mais pour ce niveau de performance, il faut s'entraîner comme un adulte. En termes de santé mentale et d'équilibre personnel, à cet âge-là, ça me pose question. Exposer une enfant de douze ans à un tel niveau de pression et d'exigence... Physiquement ça m'interroge mais, mentalement, je pense que ça peut être dangereux pour des jeunes filles. » « Comment être capable d'avoir un tel niveau de performances à 12 ans. D'autres mettent quinze ans pour y parvenir » Denis Auguin, DTN français Un avis que partage un technicien de renommée mondiale, qui a étroitement collaboré avec des champions actuels : « Quand un jeune athlète talentueux se distingue à 12 ans, il s'agit de s'assurer de faire les bons choix à long terme. Cela implique d'avancer à un rythme raisonnable, d'introduire le bon type d'entraînement et le bon type de compétition au bon moment pour lui. De nombreux athlètes dans le monde ont été identifiés à 12 ans, qui auraient pu être meilleurs à 13, 14 ou 15 ans, mais ils ont été encadrés pour atteindre une forme physique optimale entre 20 et 26 ans. Ils sont toujours passionnés par le sport, en bonne santé et capables de faire ce qu'ils veulent et ce dont ils ont besoin au bon moment de leur vie. » Denis Auguin prolonge : « Comment être capable d'avoir un tel niveau de performances à 12 ans. D'autres mettent quinze ans pour y parvenir. Ce qui signifie qu'elle n'était pas née quand les autres ont commencé à s'entraîner. Et je dis ça sans arrière pensées nauséabondes. » Non, il n'est même pas question de dopage, juste d'une charge de travail et de musculation qui ne coïncide pas avec un corps en construction. Trop jeune pour figurer au palmarès « junior » Évidemment, il y a eu de nombreuses adolescentes avant elle à s'exprimer au plus haut niveau : l'Australienne Shane Gould, qui avait à peine 16 ans quand elle arrêta sa carrière, reste la seule femme à avoir détenu simultanément tous les records du monde en nage libre du 100 m au 1 500 m ; Katie Ledecky avait 15 ans lors de son premier titre olympique sur 1 500 m en 2012 ; on se souviendra surtout qu'aux Jeux de Séoul en 1988, la Hongroise Krisztina Egerszegi avait 14 ans, un mois et 9 jours quand elle fut sacrée sur 200 m dos, record de précocité battu lors des Jeux suivants à Barcelone, quand la Japonaise Kyoko Iwasaki a décroché l'or du 200 m brasse à 14 ans et 6 jours. « En France, on est l'archétype inverse, rappelle Denis Auguin. On a des nageurs hyper tardifs, y compris chez les filles. Par exemple, l'âge moyen de nos filles en finale olympique est 2 ans plus âgés que toutes les autres nations. » L'ancien entraîneur d'Alain Bernard, qui s'est justement occupé de la relève et des jeunes générations ces dernières années, semble abasourdi par le cas Yu Zidi. « On ne peut pas comparer les cultures, mais, une fois encore, le système de formation en France est très protecteur, parfois un peu trop sans doute, reconnaît-il. On a des catégories d'âge, et cette petite Chinoise pourrait faire les Championnats de France en catégorie benjamine. D'ailleurs, comme on n'est pas fan, on va changer l'appellation pour se prémunir de la ''championnite aiguë''. » D'ailleurs, pour comprendre les incohérences de la réglementation internationale, on précisera que les performances de Yu Zidi ne peuvent pas être considérées comme des records du monde juniors... parce qu'elle n'a pas l'âge de figurer dans cette catégorie, seules les nageuses âgées de 14 à 18 ans étant éligibles. 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Mercato  : Anass Zaroury pourrait quitter Lens cet été
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Recruté par Lens à Burnley l'été dernier, le milieu offensif international marocain Anass Zaroury pourrait quitter l'Artois cet été. Plusieurs clubs sont attentifs à sa situation. Parmi les recrues les plus attendues du mercato estival 2024 du RC Lens, qui avait déboursé plus de 5M€ pour le débaucher à Burnley, Anass Zaroury n'a pas totalement confirmé les attentes placées en lui, malgré quelques coups d'éclats épisodiques. Tandis que l'ancien entraîneur lensois Will Still avait flashé sur le milieu offensif international marocain (24 ans, 4 sélections) et ses performances en Championship (D2 anglaise), celui-ci n'a pas réussi à exploiter tout son potentiel chez les Sang et Or lors du dernier exercice, avec à sa décharge des changements de poste qui ne l'ont pas aidé (deux buts et trois passes décisives en 28 apparitions en Ligue 1). Il n'a pas davantage convaincu sur le début de préparation S'il comptait sur l'arrivée de Pierre Sage à la tête de l'équipe pour un nouvel élan, Zaroury n'a pas davantage convaincu sur le début de préparation et se pose désormais des questions quant à son utilisation dans le système du nouveau technicien. Plusieurs clubs sont attentifs à la situation du Marocain - deux pensionnaires de Championship, Coventry et Norwich, ainsi que le Panathinaïkos et l'Espanyol Barcelone - et l'avenir du joueur à Lens, où son contrat court jusqu'en 2028, apparaît incertain. Le Racing ne devrait pas fermer la porter à un départ d'un des salaires importants de son effectif, d'autant que Zaroury conserve une valeur marchande intéressante (8M€). En attendant, le milieu a bien pris la route de l'Angleterre avec l'effectif lensois, qui a débuté son stage de préparation à St. George's Park ce lundi.

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