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Spartan Race : Leslie Lejeune sacrée championne du monde sur l'Ultra 50 km

Spartan Race : Leslie Lejeune sacrée championne du monde sur l'Ultra 50 km

L'Équipe5 hours ago
La Française Leslie Lejeune a décroché vendredi à Morzine le titre de championne du monde de Spartan Race sur l'Ultra 50 km.
Vendredi à Morzine (Haute-Savoie), Leslie Lejeune est entrée dans l'histoire en décrochant le titre de championne du monde à la Spartan Race Ultra World Championship.
Avec un chrono impressionnant de 8h02'15 sur la course Ultra 50 km avec 60 obstacles, la Française de 40 ans et championne de marche nordique a pris le dessus sur la Britannique Andréa Berquez (8h17'45) et la Philippine Sandi Menchi Abahan (8h34'22), signant ainsi la plus belle performance tricolore de l'histoire de la discipline. Portée par une préparation sans faille et une détermination de fer, elle offre à la France un titre mondial inattendu.
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Déception pour Thibault Jean
Du côté des hommes, la course n'a pas souri à Thibault Jean, vice-champion de France 2024 et grand espoir de la délégation française. Malgré un bon départ, le Français n'a pas pu suivre le rythme imposé par l'Italien Luca Pescollderungg, vainqueur en 6h25'18, et termine à une décevante 5e place. Le podium est complété par le Canadien Ryan Atkins (6h29'03) et le Suisse Antoine Freymond (6h35'48).
Le Spartan Beast doit se dérouler ce samedi alors que le Spartan Sprint et Super sont programmés dimanche.
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L'Équipe

time28 minutes ago

  • L'Équipe

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Les Néerlandais de Visma-Lease a bike, et Jonas Vingegaard en particulier, ont enclenché la bordure au moment où ils l'avaient espéré. Une première journée parfaite si Simon Yates n'avait pas totalement craqué. Ce n'était pas l'effusion de joie, mais les poignées de mains étaient fermes, les tapes sur l'épaule bien claquées, et les sourires francs. Autant de signes d'une journée réussie pour les Visma-Lease a bike, tout heureux de se retrouver au car une fois leur joli coup réussi à la sortie de Houplines. Au fameux « kilomètre 164 » qu'avait retenu Matteo Jorgenson, comme tous ses équipiers, comme toutes les autres équipes, aussi, « car c'est là qu'on sortait des constructions (qui abritent du vent) et que des bordures étaient possibles, expliquait l'Américain. Par chance, on s'est retrouvés ensemble au bon moment, et ç'a bien fonctionné. » C'est Jonas Vingegaard lui-même qui, revenu au prix d'un effort à l'avant un peu plus tôt, a appuyé sur le bouton à la sortie d'un rond-point, à 18 kilomètres de Lille. « Impressionnant, soufflait Jorgenson. Je le voyais dans les bordures, c'est tellement contre-nature pour lui et il était pourtant super fort. » En tête de peloton, l'homme au casque rouge et blanc a enclenché, puis fait un signe à ses suiveurs (ses équipiers mais aussi les Alpecin-Deceuninck ou Enric Mas) de prendre le relais. Un groupe s'est détaché, avec beaucoup de Visma dedans. Mais pas Wout Van Aert, pas en jambes et mal placé. Et pas de nombreux leaders, surtout, comme Primoz Roglic et Remco Evenepoel, qui ont lâché 39 secondes à l'arrivée. « C'était soit nous, soit une autre équipe qui aurait tenté, justifiait le double vainqueur du Tour. On savait que le vent était suffisant, donc autant y aller nous, pour être certains d'être à l'avant. » « C'est un bon signe que nous sommes ici pour gagner » Matteo Jorgenson Les frelons avaient annoncé la couleur, la veille. Ces dix premiers jours de Tour, piégeux, « chaotiques » (Vingegaard), étaient l'occasion de « créer le chaos », prévenait Grischa Niermann, le directeur sportif, qui peut compter sur de nombreux coureurs habiles sur les classiques, où placement et opportunisme sont si importants. « Edo (Affini), Victor (Campenaerts), Tiesj (Benoot), ils ont travaillé toute la journée et étaient encore là dans le final, c'est très fort », soulignait le directeur sportif samedi. « On est venus sur ces premières étapes pour jouer, abondait Jorgenson, en récup sur son vélo de chrono. Quand vous êtes connectés à ces parcours, que vous n'êtes pas là juste pour éviter de perdre du temps, c'est autrement plus amusant. J'aime essayer de créer quelque chose. » Et voilà comment les Visma ont réussi un premier coup. « C'est toujours bien de prendre du temps à nos rivaux, même si ça aurait été un boost encore plus gros si on avait aussi piégé Pogacar, mais il n'a jamais été hors de position », résumait Grischa Niermann. « Ce n'est qu'une première bataille, la guerre est encore loin d'être terminée, assurait son coureur américain. Mais c'est un bon signe que nous sommes ici pour gagner. » Alors que Vingegaard a aussi grappillé un point pour le classement de meilleur grimpeur au sommet du mont Noir, sans que l'on en comprenne tout de suite l'intérêt, la journée est « presque parfaite », selon le directeur sportif. Presque, car la carte « Simon Yates l'embrouilleur » est à jeter. Le Britannique, vainqueur du Giro en mai, a lâché 6'31'' ce samedi, victime de ses jambes très moyennes et d'ennuis mécaniques inopportuns. Lui qui espérait rester le plus longtemps possible dans le haut du panier pour brouiller le jeu est renvoyé à un rôle de lieutenant, laissant Jorgenson, 8e hier et encore à l'attaque à 8 kilomètres de l'arrivée, seul leader bis possible. À lire aussi Vingegaard a-t-il les armes pour rivaliser avec Pogacar ? La galère de Martinez, «pas bien» et dernier de la 1re étape Philipsen, la force tranquille Alaphilippe, toujours armé pour briller ?

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time29 minutes ago

  • L'Équipe

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Au terme d'une journée où il ne sentait pas bien du tout, Lenny Martinez a terminé dernier, à 9'11'' de Jasper Philipsen, premier Maillot Jaune du Tour. La foule et l'excitation, puis la solitude et la souffrance. La journée de Lenny Martinez ce samedi avait des airs de montagnes russes. Et elle s'est terminée tout en bas. En cauchemar. Par une image triste, désolante à défaut d'être inquiétante, loin des projets que tout le monde dessinait pour lui ces derniers jours : le Français de Bahrain Victorious a passé la ligne d'arrivée seul, affreusement seul, quelques mètres devant la voiture-balai, 9'11 après le vainqueur. Le précédent groupe largué, constitué de 19 unités, était arrivé avec 6'31 de retard. Martinez (21 ans) est passé la tête basse, au bout d'un calvaire où aucun coéquipier ne lui a apporté la moindre aide. « Il ne se sentait pas bien aujourd'hui, on ne sait pas encore pourquoi », glissait-on du côté de Bahrain Victorious une heure après l'arrivée. Martinez lui-même ne comprenait pas (encore) et cherchait des explications dans la soirée. Au pied de son car, Roman Kreuziger, un des directeurs sportifs de la formation émiratie, n'avait pas beaucoup développé l'affaire : « Je ne sais pas encore ce qu'il s'est passé, je n'ai pas encore parlé avec lui. Mais, on le dit depuis le début, il n'est pas là pour le général. Il y aura des occasions où il se battra pour l'étape. Je ne suis pas inquiet. Il a fait l'élastique, parfois le peloton ralentissait et il revenait, mais il n'y a pas de quoi s'inquiéter. » Plusieurs personnes l'ont vu livide à différents moments de l'étape et il est apparu physiquement marqué en bouclant l'étape. Il était en difficulté à 110 kilomètres de l'arrivée, traînait dans les voitures à 72 bornes, avant de finalement craquer pour de bon à une vingtaine du but. Cette saison, Martinez est un habitué des jours sans. Et quand ils arrivent, il ne fait jamais semblant. Sur Paris-Nice, en mars, il avait connu une terrible dégringolade dans une étape de bordure, de pluie et de vent, à Berre-l'Étang, au lendemain d'un succès prestigieux à La Côte Saint-André. Kreuziger avait alors fulminé sur son comportement en course alors qu'il avait demandé à son coureur de rester proche de ses coéquipiers, de communiquer sur ses coups de moins bien. Là aussi, il avait dû se débrouiller seul sur la route un long moment. « Je me lève certains jours, je sais que je vais être moins bien, que j'aurais moins de jambes et que la moindre difficulté sera vraiment difficile pour moi » Lenny Martinez, mi-juin, dans un entretien à « L'Equipe » Sur le Dauphiné, début juin, Martinez avait pris un éclat en montagne à Valmeinier (35'20 de retard sur Pogacar), en panne de jambes, avant de s'imposer le lendemain au Plateau du Mont-Cenis. Un coup très haut, un coup très bas, le personnage ressemble un peu à cela. Et c'est aussi, selon ses proches, ce qui le rend parfois touchant et meilleur dans la foulée. « Nous devons comprendre certaines choses, à propos de Lenny, pourquoi il est si bon un jour et pourquoi il joue au golf un autre... Il y a eu beaucoup de changements pour lui, mais je crois qu'il reste surtout un coureur très talentueux, confiait Kreuziger après Paris-Nice. Il y a de nombreuses étapes à franchir qu'il n'a pas forcément vécu dans le passé, mais je suis sûr qu'il y a un groupe sympa autour de lui, qui croit en lui et essaie de le soutenir. Il faut garder beaucoup de patience. » Il y a un peu plus de deux semaines, en aparté d'un entretien pour évoquer sa saison 2025 riche de trois succès en World Tour (Paris-Nice, Tour de Romandie, Dauphiné), le Français nous avait expliqué, très lucide : « Vu le niveau actuel, dès que tu as un coup de moins bien ça se voit direct. Bim, ça ne pardonne pas. Parfois, je suis moins fort sur certains jours, c'est comme ça. Je suis jeune, je ne suis pas encore 100 % régulier, ça va venir avec l'âge. Je me lève certains jours, je sais que je vais être moins bien, que j'aurais moins de jambes et que la moindre difficulté sera vraiment difficile pour moi. C'est comme ça, il faut faire avec, il faut que je continue à apprendre de ces moments-là. » Samedi soir, ces phrases-là étaient déjà un premier élément de réponse à sa journée calvaire. À lire aussi Vingegaard déclenche les hostilités Philipsen, la force tranquille Alaphilippe, toujours armé pour briller ? 400 000 coups de pédale, et quoi, et quoi, et quoi ?

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PSG-Bayern Munich : deux cartons rouges, numéro de Hakimi pour servir Dembélé... Le résumé vidéo de la qualification parisienne

EN VIDÉO - Réduit à neuf en fin de partie, le Paris Saint-Germain a trouvé les ressources pour écarter son adversaire bavarois, ce samedi, en quart de finale de la Coupe du monde des clubs. Ce PSG est insubmersible. Ce samedi à Atlanta, le Paris Saint-Germain s'est qualifié pour les demi-finales de la Coupe du monde des clubs malgré deux cartons rouges reçus en fin de partie. Que ce fut dur pour les Parisiens, vainqueurs (2-0) mais malmenés par un Bayern Munich au rendez-vous. À découvrir Le calendrier complet du PSG Après le but libérateur de Désiré Doué (78e) - encore lui - les hommes de Luis Enrique ont tenu bon. Et ce malgré les exclusions directes de Pacho (83e) puis Lucas Hernandez (90+2e), qui manqueront à l'appel en demi-finale, mercredi prochain (face au Real Madrid ou au Borussia Dortmund). En pleine réussite, les champions d'Europe ont même corsé l'addition grâce au revenant Ousmane Dembélé (90+7e), servi par Achraf Hakimi, auteur d'un joli numéro en solitaire. Publicité Les Bavarois, handicapés par la terrible blessure à la cheville de Jamal Musiala en fin de première période mais entreprenants (deux buts refusés pour hors-jeu), nourriront sans doute des regrets. Quoi qu'il en soit, ce choc entre deux monstres européens a tenu toutes ses promesses. Le résumé vidéo est à retrouver ci-dessous.

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