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3 actions sur lesquelles agir, une valeur «jeux vidéo» à potentiel, l'avenir du secteur auto... Consultez La lettre des placements du 23 juillet

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Le Figaro5 days ago
Réservé aux abonnés
L'édition du mercredi 23 juillet de La lettre des placements, l'hebdomadaire de conseils boursiers du Figaro, vient de paraître. Découvrez le sommaire de ce numéro et consultez le PDF de La lettre.
Chers lecteurs,
Pas de Trump, pas de droits de douane et encore moins de déficit abyssal mais un drôle de voyage dans le temps. La traditionnelle série de l'été vous emmène, cette année, dans les archives de La lettre des placements. Cette série de quatre épisodes vous fera revivre les grandes crises de ces quarante dernières années en regardant comment l'hebdomadaire les traitait dans ses pages.
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Cet été, un voyage dans le temps avec La lettre des placements
Mais avant d'aborder ces événements et leur traitement par les journalistes de l'époque, première étape — obligée — de votre voyage dans le temps : l'année 1983, date de naissance de La lettre des placements. À l'orée des années 80, l'hebdomadaire parlait certes de Bourse mais aussi d'immobilier, de placements obligataires, de matières premières, et même d'objets d'art ! En épluchant les numéros de cette année-là, la rédaction s'est arrêtée sur des pépites : il est en effet question de l'action Moët Hennessy quatre ans avant que Bernard Arnault n'en fasse le MH de LVMH. Qu'en disaient…
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L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

Pourquoi Rabobank, partenaire de Visma-Lease a bike, fait son retour dans le cyclisme

La banque néerlandaise, sponsor principal pendant seize ans de l'équipe avant de se retirer en 2012, touchée par les affaires de dopage, a fait son retour sur les maillots de Visma-Lease a bike en 2025. Avec beaucoup plus à gagner qu'à perdre, veut-elle croire. C'est un tremblement de terre qui s'est tenu en février et a eu des conséquences visibles en juillet, au départ du Tour de France. La banque néerlandaise Rabobank, retirée des pelotons professionnels depuis 2012 (et qui a sponsorisé la fédération néerlandaise de cyclisme jusqu'en 2015), allait revenir dans le cyclisme, selon les médias locaux, une information officialisée quelques jours plus tard et qui s'est concrétisée le 5 juillet. Au départ de Lille, les coureurs de Visma-Lease a bike, l'équipe de Jonas Vingegaard, portaient la marque au niveau de leurs côtes. Une opportunité, puisque la formation de Richard Plugge ne pouvait plus afficher Bet City en partenaire, les sites de paris n'étant plus autorisés dans les événements sportifs depuis le 1er juillet. Mais la conclusion d'une vraie volonté, aussi, à la fois du côté de Plugge et de la banque. « L'équipe de Richard Plugge cochait tous nos critères » Carlo van Kemenade, membre du board de Rabobank « Tout a commencé en 2023, avec un message de Richard au nouveau CEO de Rabobank Stefaan Decraene, explique à L'Équipe Carlo van Kemenade, membre du board de la banque. Puis, à mon arrivée en avril 2024, pour ma première réunion avec Stefaan, on a parlé sponsoring. La banque avait dû être remaniée en interne, restructurée, avec d'autres challenges, comme d'autres banques en ont connu. Mais il était le moment de revenir à l'aspect commercial du business. On a donc établi une liste de critères, pour prendre des décisions mesurées, par exemple l'aspect sport de masse aux Pays-Bas et pas seulement sport d'élite. » Une délégation, autour de Van Kemenade, a assisté aux Jeux de Paris l'été dernier, et discuté avec le comité olympique néerlandais. En interne, une étude menée auprès de la population montre que les Bataves associent Rabobank au cyclisme, malgré les treize années sans sponsoring. « Alors on s'est remis en relation avec Richard (Plugge) en décembre dernier, reprend le dirigeant. Son équipe cochait tous nos critères, avec une association liée, Ready2Race, qui organisait l'an passé près de 180 courses aux Pays-Bas pour les enfants, à laquelle on voulait associer notre nom, car cela crée de la visibilité, de l'activation pour toutes nos antennes locales, avec l'ambition commune de doubler le nombre de courses pour amener des gens au cyclisme et développer les talents. » Un deal, dont le montant n'a pas filtré, est signé jusqu'à fin 2028 car Plugge, évidemment, approuve. « Personnellement, ça a été un grand moment », sourit le patron, ex-responsable des relations publiques au sein de l'équipe orange et bleue. Rabobank, symbole des années noires Mais il y a un hic. Rabobank, l'une des meilleures équipes du peloton, a connu de nombreuses affaires de dopage, la plus emblématique étant la suspension du Danois Michael Rasumssen, en plein Tour 2007 dont il est le leader, car il s'est soustrait à des contrôles antidopage avant le départ de la course. Michael Boogerd, Erik Dekker, Rory Sutherland, Pedro Horillo, Denis Menchov : autant de noms liés de loin ou de très près au dopage et passés sous le maillot tricolore. « Le sport a évolué, l'AMA (agence mondiale antidopage) a écrit des rapports disant combien le cyclisme a extrêmement évolué, et si ce n'était pas le cas, il n'y aurait pas 22 ou 23 équipes avec de gros sponsors au départ du Tour, martèle Van Kemenade. On a regardé l'équipe Visma-Lease a bike, la manière dont elle est organisée, la partie médicale, comment elle surveille les coureurs, les valeurs de travail, la culture. C'est impressionnant. » Plugge, qui avait sauvé l'équipe de la disparition en 2013, en la renommant Blanco, « pour montrer qu'on repartait d'une feuille blanche, en laissant le passé derrière nous », valide également le concept de cyclisme propre. « Ils ont eu le courage d'arrêter il y a treize ans, et ils voient que le cyclisme et notre équipe ont beaucoup progressé. » Le même discours qui avait été tenu en février par Wout Van Aert, l'une des têtes d'affiche de l'équipe. Chacun y va de sa petite histoire, alors. Plugge a reçu « autant de messages, tous positifs, que quand on a gagné le Tour pour la première fois ». Carlo van Kemenade, lui, certifie que les 49 000 employés de la banque ont tous été ravis de ce retour, et glisse qu'il a revu des maillots Rabobank fleurir lors de ses sorties vélo aux Pays-Bas (on en a vu un seul en trois semaines sur les bords de route du Tour). Comme si le souvenir des années noires du cyclisme avait été enterré pour de bon. « Quand Simon Yates a gagné, Rabobank était le sponsor le plus visible, c'est extrêmement positif », apprécie le dirigeant. Cela dépend de l'angle de la photo, pour l'instant, et, quitte à être revenue, la marque Rabobank pourrait bien vouloir s'afficher à nouveau en grand, à l'avenir. « Nous sommes heureux de la situation actuelle, répond Van Kemenade. L'équipe a de grands sponsors avec Visma, Lease a bike, nous avons un engagement sur trois ans et demi, c'est cool comme ça. Nous n'excluons rien mais nous n'avons aucun plan pour la suite. » Plugge ne dit pas autre chose. Un discours parfaitement aligné.

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Réservé aux abonnés Aujourdhui, les âges de la vie sont devenus flous. Se préparer à la maturité, dans un monde incertain, semble de plus en plus complexe. Des experts dessinent des chemins pour nous aider à devenir ce que l'on est. «Sois un peu adulte voyons !» Cette formule moralisatrice, que l'on adressait aux enfants afin qu'ils se calment ou aux têtes en l'air pour qu'elles rentrent dans le rang, ne parle plus à grand monde. Être adulte en 2025 ça veut dire quoi ? À quel âge le devient-on ? Demandez à des jeunes comment ils entrevoient cet horizon, comme l'a fait, en juin dernier, avec OpinionWay, la Fondation des Apprentis d'Auteuil : ils répondent qu'à 18 ans, ils ne sont pas du tout autonomes. Ils reconnaissent d'ailleurs ne pas l'être davantage sur le plan financier sept ans plus tard, à 25 ans. Mais alors quand ? Si la majorité leur a donné accès à un sentiment de liberté, 34 % d'entre eux se disent terriblement angoissés par l'imprévisible qui entoure l'accès aux responsabilités. Pris dans l'allongement de la vie, la superposition des temporalités, la fluidité des âges, la remise en question du paternalisme, le mystère contemporain de l'âge adulte s'épaissit, l'horizon s'éloigne…

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Vie des entreprises, fonctionnement du marché, droit boursier, ... La rédaction du Figaro Patrimoine et Bourse se saisit de vos questions et vous apporte son expertise. S'il existe de nombreux multiples pour déterminer la cherté d'une action, l'exercice est plus compliqué au niveau d'une Bourse ou d'un secteur dans son ensemble. Morningstar, qui propose des indices pour chacun d'entre eux, calcule ces évolutions, grâce au ratio cours/juste valeur : au-dessus de 1, le marché est surévalué. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Au 2e trimestre, le marché américain est le plus cher, avec un ratio de 1,03, quand l'Europe affiche 0,94, ce qui laisse à penser qu'il est sous-évalué. Du côté des secteurs, et des deux côtés de l'Atlantique, la finance est le domaine d'activité le plus cher, quand la santé, plombée par les menaces douanières et réglementaires, est la moins bien valorisée.

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