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Épinglée par la justice, l'administration Trump défend sa stratégie agressive d'arrestations de migrants
Épinglée par la justice, l'administration Trump défend sa stratégie agressive d'arrestations de migrants

Le Parisien

time3 days ago

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  • Le Parisien

Épinglée par la justice, l'administration Trump défend sa stratégie agressive d'arrestations de migrants

De hauts responsables du gouvernement de Donald Trump ont défendu dimanche le recours à des tactiques musclées de contrôles et arrestations de migrants et fustigé la décision d'une juge fédérale leur interdisant les contrôles au faciès à Los Angeles . « Cette juge est ridicule d'avoir pris une telle décision. Nous ferons appel et nous gagnerons », a assuré sur Fox News la ministre de la Sécurité intérieure Kristi Noem , en réfutant que les agents de la police de l'immigration (ICE) arrêtent des personnes uniquement sur leur apparence physique. Vendredi, une juge fédérale de Californie a interdit à cette force de police fédérale de procéder à des arrestations sans motif valable en se basant seulement sur l'origine ethnique ou le fait de parler espagnol, dans le contexte d'une hausse des raids de l'ICE qui ont provoqué des tensions et des affrontements avec la population à Los Angeles et sa région. « Nous avons toujours bâti nos opérations et nos enquêtes sur des cas concrets, sur la connaissance des individus que nous devions cibler parce qu'ils sont des criminels », a assuré Kristi Noem. Interrogé sur CNN, le responsable du programme d'expulsions massives de migrants promis par Donald Trump, Tom Homan , a aussi indiqué que « la description physique ne peut être le seul motif de détention et d'interrogation d'une personne », mais qu'« il y a une myriade de facteurs » et que l'apparence physique peut en être un. Il a aussi reconnu qu'il pouvait y avoir des « arrestations collatérales » lors d'opérations de la police. Ces déclarations ont lieu au lendemain de l'annonce par sa famille de la mort d'un ouvrier agricole âgé de 57 ans. Il avait été grièvement blessé jeudi lors d'une chute durant une opération d'arrestations dans une ferme de cannabis légale en Californie. « Mon oncle Jaime était juste un agriculteur innocent et travailleur », a écrit un membre de sa famille sur la page d'une collecte de fonds . « Il a été poursuivi par des agents de la police de l'immigration, et on nous a dit qu'il était tombé de 30 pieds (9 m) », précise-t-il. « Nos cœurs sont lourds pour la famille en deuil de Jaime Alanis, décédé des suites de blessures subies lors d'un raid jeudi », écrit sur X ce dimanche l'Union de travailleurs agricoles. Environ 200 migrants avaient été arrêtés et des affrontements avaient eu lieu. Tom Homan a qualifié cette mort de « triste », mais a assuré que la victime n'était pas en état d'arrestation au moment de sa chute. Dirigée par la maire progressiste Karen Bass , Los Angeles est depuis des semaines dans le viseur de l'administration Trump qui conteste son statut de « ville sanctuaire » limitant la collaboration des forces de l'ordre locales avec la police fédérale pour protéger les migrants sans-papiers. Après que des opérations de l'ICE ont provoqué des manifestations parfois émaillées d'incidents, Donald Trump y a dépêché la Garde nationale.

L'administration Trump défend sa stratégie agressive d'arrestations de migrants
L'administration Trump défend sa stratégie agressive d'arrestations de migrants

La Presse

time3 days ago

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L'administration Trump défend sa stratégie agressive d'arrestations de migrants

(New York) De hauts responsables du gouvernement de Donald Trump ont défendu dimanche le recours à des tactiques musclées de contrôles et arrestations de migrants et fustigé la décision d'une juge fédérale leur interdisant les contrôles au faciès à Los Angeles. Agence France-Presse « Cette juge est ridicule d'avoir pris une telle décision. Nous ferons appel et nous gagnerons », a assuré sur Fox News la secrétaire de la Sécurité intérieure Kristi Noem, en réfutant que les agents de la police de l'immigration (ICE) arrêtent des personnes uniquement sur leur apparence physique. Vendredi, une juge fédérale de Californie a interdit à cette force de police fédérale de procéder à des arrestations sans motif valable en se basant seulement sur l'origine ethnique ou le fait de parler espagnol, dans le contexte d'une hausse des raids de l'ICE qui ont provoqué des tensions avec la population à Los Angeles et sa région. « Nous avons toujours bâti nos opérations et nos enquêtes sur des cas concrets, sur la connaissance des individus que nous devions cibler parce qu'ils sont des criminels », a assuré Kristi Noem. Interrogé sur CNN, le responsable du programme d'expulsions massives de migrants promis par Donald Trump, Tom Homan, a aussi indiqué que « la description physique ne peut être le seul motif de détention et d'interrogation d'une personne », mais qu'« il y a une myriade de facteurs » et que l'apparence physique peut en être un. PHOTO JULIA DEMAREE NIKHINSON, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Le responsable du programme d'expulsions massives de migrants promis par Donald Trump, Tom Homan Il a aussi reconnu qu'il pouvait y avoir des « arrestations collatérales » lors d'opérations de la police. Ces déclarations ont lieu au lendemain de l'annonce par sa famille de la mort d'un ouvrier agricole qui avait été grièvement blessé jeudi lors d'une chute durant une opération d'arrestations dans une ferme de cannabis légale en Californie. Environ 200 migrants avaient été arrêtés et des affrontements avaient eu lieu. Tom Homan a qualifié cette mort de « triste », mais a assuré que la victime n'était pas en état d'arrestation au moment de sa chute. Dirigée par une maire progressiste, Los Angeles est depuis des semaines dans le viseur de l'administration Trump qui conteste son statut de « ville sanctuaire » limitant la collaboration des forces de l'ordre locales avec la police fédérale pour protéger les migrants sans-papiers. Après que des opérations de l'ICE ont provoqué des manifestations parfois émaillées d'incidents, Donald Trump y a dépêché la Garde nationale.

Vous pourrez garder vos chaussures aux contrôles de sécurité dans ce pays
Vous pourrez garder vos chaussures aux contrôles de sécurité dans ce pays

Le Figaro

time7 days ago

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Vous pourrez garder vos chaussures aux contrôles de sécurité dans ce pays

Bonne nouvelle : il ne sera plus nécessaire de se déchausser avant d'embarquer dans un avion depuis New York ou Los Angeles. Les États-Unis sautent le pas. Ce mercredi 9 juillet 2025, la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a annoncé la fin de l'obligation de se déchausser avant d'embarquer pour un vol depuis les aéroports américains. La Transportation Security Administration (TSA) vient de supprimer cette règle instaurée en 2006. Un dispositif de sécurité modernisé Sur les réseaux sociaux, la ministre Kristi Noem maintient que la sécurité des voyageurs reste «une priorité absolue». Selon elle, cette décision d'alléger les vérifications est rendue possible par les avancées technologiques dans les aéroports pour détecter les métaux ou les explosifs. Publicité «Grâce à nos avancées technologiques de pointe et à notre approche de sécurité multicouche, nous sommes convaincus de pouvoir mettre en œuvre ce changement tout en maintenant les normes de sécurité les plus strictes», a-t-elle affirmé sur son compte X. Cette mesure devrait permettre de fluidifier les contrôles et de diminuer le temps d'attente des voyageurs dans la file des contrôles. Pour le moment, cette nouvelle réglementation ne concerne pas tous les aéroports des États-Unis, mais elle devrait s'étendre prochainement. Pourquoi contrôler les chaussures ? L'obligation de se déchausser avait été instaurée en août 2006, après une tentative d'attentat survenue cinq ans plus tôt. En décembre 2001, Richard Reid, surnommé le «shoe bomber», avait tenté de faire exploser des explosifs dissimulés dans ses chaussures sur un vol Paris-Miami. Depuis, excepté pour les enfants de moins de 12 ans et les passagers de plus de 75 ans, il était obligatoire d'enlever ses baskets ou ses bottes avant de monter dans un avion. En Europe aussi, la règle avait été mise en place, avant d'être allégée à partir de 2010, une fois les portiques en capacité d'identifier l'intérieur de nos souliers. Reste que l'application de la règle varie encore selon certains pays et surtout, selon le type de chaussures. Les modèles épais ou à plateforme peuvent toujours nécessiter un retrait lors du contrôle. En vidéo - États-Unis: ce très court SMS provoque le retour d'un avion à l'aéroport

Fin du retrait des souliers à l'aéroport
Fin du retrait des souliers à l'aéroport

La Presse

time09-07-2025

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Fin du retrait des souliers à l'aéroport

Le Canada n'exige pas des passagers voyageant à l'intérieur du pays ou à destination d'autres pays qu'ils retirent leurs chaussures pour le contrôle, sauf si un agent de sécurité le juge nécessaire. (Ottawa) Ottawa affirme qu'il s'efforcera d'aligner sa réglementation en matière de sécurité aérienne sur celle des États-Unis, après que Washington a abandonné une règle obligeant les passagers à retirer leurs chaussures lors des contrôles de sécurité. Dylan Robertson La Presse Canadienne La secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a annoncé mardi que les passagers des aéroports américains n'étaient plus tenus de retirer leurs chaussures, les autorités ayant trouvé d'autres moyens d'assurer la sécurité des voyageurs. Le Canada n'exige pas des passagers voyageant à l'intérieur du pays ou à destination d'autres pays qu'ils retirent leurs chaussures pour le contrôle, sauf si un agent de sécurité le juge nécessaire. En revanche, les passagers voyageant à destination des États-Unis via les zones de précontrôle des aéroports canadiens sont tenus de retirer leurs chaussures. L'Administration de la sécurité des transports des États-Unis (TSA) a instauré la règle interdisant le port de chaussures environ cinq ans après que Richard Reid, devenu célèbre pour son « attentat à la chaussure piégée », a tenté de déclencher des explosifs dissimulés dans ses chaussures lors d'un vol Paris-Miami en 2001. Transports Canada a indiqué dans une déclaration que l'agence « travaillera avec l'Administration de la sécurité des transports pour garantir l'harmonisation des exigences ».

Les voyageurs n'auront plus à enlever leurs souliers lors des contrôles de sécurité
Les voyageurs n'auront plus à enlever leurs souliers lors des contrôles de sécurité

La Presse

time08-07-2025

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Les voyageurs n'auront plus à enlever leurs souliers lors des contrôles de sécurité

Le contrôle de sécurité sans chaussures est devenu obligatoire en 2006. Les voyageurs n'auront plus à enlever leurs souliers lors des contrôles de sécurité Les voyageurs pressés de prendre un vol dans les aéroports américains ne sont plus tenus de retirer leurs chaussures lors des contrôles de sécurité, a annoncé mardi la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem. Michelle Chapman Associated Press Mme Noem a indiqué que la fin du rituel mis en place il y a près de 20 ans était effective à l'échelle nationale dès maintenant. Elle a spécifié qu'un projet-pilote avait prouvé que l'Administration américaine de la sécurité dans les transports (TSA) possédait l'équipement adéquat pour garantir la sûreté des aéroports et des appareils, le tout sans obliger les voyageurs à ôter leurs souliers. Selon Mme Noem, « la TSA n'exigera plus des voyageurs qu'ils retirent leurs chaussures lors des contrôles de sécurité ». Bien que le retrait des chaussures ne soit plus la procédure standard, certains voyageurs peuvent encore être invités à retirer leurs chaussures si « des contrôles supplémentaires sont nécessaires », a-t-elle ajouté. Le contrôle de sécurité sans chaussures est devenu obligatoire en 2006, plusieurs années après la tentative avortée de Richard Reid, l'auteur de l'attentat à la chaussure, de détruire un vol Paris-Miami fin 2001. Tous les passagers âgés de 12 à 75 ans étaient tenus de retirer leurs chaussures, qui étaient examinées avec leurs bagages à main. L'infolettre de voyage Gate Access a été la première à annoncer que le changement concernant les contrôles de sécurité serait bientôt mis en place. Auparavant, les voyageurs pouvaient contourner cette exigence en participant au programme TSA PreCheck, qui coûte environ 80 $ pour cinq ans. Ce programme permet aux passagers des compagnies aériennes de passer le contrôle sans retirer leurs chaussures, leur ceinture ou leur veste légère, et sans avoir à sortir leur ordinateur portable et leurs sacs de toilette. La TSA a été créée en 2001, lorsque le président George W. Bush a signé la loi portant sa création, deux mois après les attentats du 11 septembre. L'agence comprenait des agents de contrôle fédéraux dans les aéroports, remplaçant les entreprises privées auxquelles les compagnies aériennes avaient recours pour assurer la sécurité. Au fil des ans, la TSA a continué de chercher des moyens d'améliorer ses mesures de sécurité, notamment en testant la technologie de reconnaissance faciale et en mettant en œuvre les exigences Real ID. L'un des points de friction les plus importants pour les voyageurs concerne la TSA aux points de contrôle. Le secrétaire aux Transports du président Donald Trump, Sean Duffy, a demandé au public, dans une publication sur les réseaux sociaux en avril, ce qui faciliterait les voyages. Le lendemain, M. Duffy a publié sur X : « Il est clair que la TSA est la principale source de plaintes en matière de voyages. Cela relève du Département de la Sécurité intérieure. J'en discuterai avec (Kristi Noem). » Donald Trump a limogé l'administrateur de la TSA, David Pekoske, en janvier, au milieu de son second mandat de cinq ans, bien qu'il l'ait lui-même nommé lors de son premier mandat à la Maison-Blanche. M. Pekoske a été reconduit dans ses fonctions par le président Joe Biden. Aucune raison n'a été donnée pour le départ de M. Pekoske. Le poste d'administrateur reste vacant, selon le site web de la TSA.

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