Dernières actualités avec #LéonMarchand
Le Figaro
8 hours ago
- Sport
- Le Figaro
Mondiaux de natation : pourquoi Léon Marchand a décidé d'alléger son programme
D'abord désireux de s'attaquer aux quatre mêmes distances qu'à Paris 2024, le quadruple champion olympique a décidé de réduire la voilure à Singapour. Pour se tester autrement. Et signer un record du monde ? «Une tempête médiatique, populaire…» C'est ainsi que Léon Marchand avait défini ce qu'il avait vécu après son formidable quadruplé olympique lors des Jeux de Paris 2024. Un accomplissement personnel pour lequel il a laissé des plumes, physiquement mais peut-être encore plus mentalement, lui qui aime le calme, la discrétion plus que les sunlights et l'agitation permanente d'une vie de star. Qu'il est devenu presque malgré lui. Mais depuis ce fabuleux été dans la capitale, le nageur de 23 ans a eu besoin de temps, et de nouvelles expériences pour revenir encore plus fort dans les bassins. Alors que les Jeux de Los Angeles en 2028 semblent encore trop éloignés pour occuper son esprit, le Toulousain rêvait d'accomplir à Singapour, à l'occasion des Championnats du monde qui débuteront ce dimanche 27 juillet pour s'achever une semaine plus tard, le même exploit qu'à Paris. À savoir décrocher quatre titres en individuel - 200m brasse, 200m papillon, 200m 4 nages et 400m 4 nages – et pourquoi pas une médaille sur un relais. Un objectif qu'il a finalement décidé de revoir à la baisse en supprimant de son programme le 200m brasse et le 200m papillon. «C'est un choix qu'on a fait parce que nous sommes en année post-olympique et qu'il n'a jamais eu l'occasion de présenter un 200 m 4 nages sans avoir de course avant ou après le même jour», justifiait son entraîneur à Toulouse, Nicolas Castel. «Il a envie de tester ce 200m 4 nages isolé et de voir de quoi il était capable.» Publicité Ainsi, la finale de la distance sera sa seule course au programme le jeudi 1er août, ce qui lui ouvre de belles perspectives. Comme celle de s'attaquer au record du monde de Ryan Lochte (1'54''00) qui tient depuis 2011, et ainsi de devenir le premier nageur de l'histoire à briser la barrière des 1'54'' sur le 200m 4 nages. Un objectif dans ses cordes, sachant qu'il l'avait frôlé lors de Paris 2024 (1'54''06) avec un programme beaucoup plus dense et énergivore. À Singapour, en faisant ce choix-là, il se pose en grandissime favori d'une course dont il fait clairement une priorité absolue. Et il aurait aussi suffisamment de temps pour récupérer avant le 400m 4 nages prévu le dimanche 3 août, dont il est déjà détenteur du meilleur temps de l'histoire en 4'02''50, une marque qu'il pourrait essayer d'améliorer également. À moins qu'il ne s'investisse totalement dans les différents relais – 4x200m nage libre, 4x100m nage libre mixte et 4x100m 4 nages –, ce qui pourrait vider une partie de sa batterie le dimanche. Il faudra voir également à quel niveau de performance, et de forme, il se situera à Singapour, sachant que sa saison 2025 jusqu'à présent s'est limitée à trois compétitions à Fort Lauderdale, Austin et Indianapolis. Il est probable que le Français ne soit pas au même niveau qu'il y a un an à Paris, d'où ce choix, raisonnable, de diminuer son nombre de courses afin de maximiser ses chances de titres mondiaux individuels, lui qui en compte déjà cinq.
L'Équipe
a day ago
- Sport
- L'Équipe
Pourquoi Léon Marchand a choisi d'alléger son programme aux Mondiaux de Singapour
Le quadruple champion olympique Léon Marchand a décidé de renoncer aux 200 m brasse et 200 m papillon lors des Mondiaux de Singapour, qui débutent dans la nuit de samedi à dimanche. L'année post-olympique n'est jamais une année comme les autres, encore plus quand on s'appelle Léon Marchand. Le site franceinfo a révélé ce lundi en fin de journée que le quadruple champion olympique ne s'alignerait finalement pas lors des Championnats du monde sur deux des quatre épreuves individuelles où il avait été sacré à Paris, il y a un an. Exit les 200 m papillon et 200 m brasse initialement prévus à Singapour. Le programme des Mondiaux, qui débutent dans la nuit de samedi à dimanche, diffère de celui des Jeux Olympiques et Marchand n'aurait quoi qu'il arrive pas vécu une soirée comparable à celle du 31 juillet 2024, quand la Paris La Défense Arena avait été le théâtre de ce doublé inédit brasse-papillon et de cette dernière longueur face à Kristof Milak instantanément entrée dans la légende du sport. Mais avec quatre épreuves individuelles et trois relais possibles, le programme prévu était toujours dense : onze courses individuelles dont neuf (séries, demi-finales et finales du 200 m papillon, 200 m 4 nages et 200 m brasse) devaient s'enchaîner en quatre jours, du 29 juillet au 1er août. Léon Marchand déjà parmi les plus grands de l'histoire La motivation de ce choix est d'abord liée à tout ce qui est arrivé ces douze derniers mois. Logiquement, les mois post-triomphe parisien ont été « un sacré remue-ménage » comme les a lui-même qualifiés Marchand. Après avoir participé aux Coupes du monde à l'automne, il a finalement renoncé aux Championnats du monde en petit bassin en décembre puis s'est exilé en Australie avant de retrouver son coach Bob Bowman à Austin. Dispensé de Championnats de France, Marchand a démontré sa forme en mai pour valider son billet pour Singapour. « Le vrai questionnement est : qu'est-ce qui anime vraiment Léon cette saison ? Je veux savoir s'il veut vraiment faire les Championnats du monde ou pas », interrogeait début mai le directeur technique national par interim Denis Auguin. Le record du monde du 200 m 4 nages comme objectif Trouver du sens sans se contenter de répéter ce qui était fait l'année d'avant. Essentiel quand, à 23 ans, on a déjà tant accompli. C'est ce qu'a expliqué ce lundi au site franceinfo Nicolas Castel, l'entraîneur de Marchand à Toulouse, qui le coachera aux Mondiaux. « C'est un choix qu'on a fait parce que nous sommes en année post-olympique et qu'il n'a jamais eu l'occasion de présenter un 200 m 4 nages sans avoir de course avant ou après le même jour. Il avait envie de tester ce 200 m 4 nages isolé et de voir de quoi il était capable. » Lors de ses deux premiers Mondiaux, Marchand avait participé à trois épreuves individuelles à chaque fois (le 200 m papillon et les 200 et 400 m 4 nages). À Paris, le 200 m 4 nages était la quatrième course et la dernière individuelle du Français. Forcément un peu entamé physiquement, Marchand avait pourtant frôlé le record du monde de l'Américain Ryan Lochte (1'54''06 contre 1'54''00). Cette fois, le 200 m 4 nages sera sa première course individuelle. Comme l'avait été le 400 m 4 nages il y a deux ans à Fukuoka, lorsque Marchand avait effacé des tablettes les 4'3''84 de Michael Phelps et porté le record du monde à 4'2'50''. Déjà le nageur le plus rapide de l'histoire sur 200 m 4 nages en petit bassin depuis cet automne (un record qui appartenait précédemment au même Ryan Lochte), Marchand s'est fixé un défi clairement à sa portée. Au terme des Championnats du monde de Singapour, qui s'achèvent le 3 août avec le 400 m 4 nages, Léon Marchand pourrait avoir gagné deux nouveaux titres mondiaux individuels et porté son total à sept, après les deux ors de Budapest 2023 (sur 200 et 400 m 4 nages) et les trois de Fukuoka 2023 (le 200 m papillon en plus). Cette plus grande disponibilité pourrait aussi faire les affaires de ses camarades de l'équipe de France : aux JO, Marchand avait participé en brasse au 4 x 100 m 4 nages mixte (4e) et au 4 x 100 m 4 nages, médaillé de bronze. L'expérience devrait être reconduite à Singapour. Et Marchand pourrait retrouver en plus sa place dans le 4 x 200 m masculin, après avoir dû faire l'impasse aux JO, lui qui ne fait pas mystère de sa volonté de nager de plus en plus de crawl ces prochaines saisons. Pour continuer à ne pas se répéter.
Le Parisien
a day ago
- Sport
- Le Parisien
Mondiaux de natation : Léon Marchand zappe le 200 m papillon et le 200 m brasse
Nouveau programme pour Léon Marchand . Contrairement à ce qui était initialement prévu, le quadruple champion olympique ne participera pas à quatre mais à deux épreuves individuelles lors des Championnats du monde de natation, qui se tiennent à Singapour du 27 juillet au 3 août 2025. Le Toulousain , qui s'entraîne aux États-Unis, a choisi de faire l'impasse sur le 200 m papillon et le 200 m brasse. Il se concentra ainsi sur le 200 m 4 nages et le 400 m 4 nages. Une information révélée par nos confrères de ce lundi 21 juillet. « C'est un choix qu'on a fait parce que nous sommes en année post-olympique et qu'il n'a jamais eu l'occasion de présenter un 200 m 4 nages sans avoir de course avant ou après le même jour, a ainsi justifié Nicolas Castel, son entraîneur historique des Dauphins du TOEC. Il avait envie de tester ce 200 m 4 nages isolé et de voir de quoi il était capable. » Actuellement en stage terminal de préparation à Jakarta, en Indonésie, Léon Marchand débutera donc sa compétition le mercredi 30 juillet avec les séries du 200 m 4 nages (entre 4 heures et 6 heures avec le décalage horaire), puis les demi-finales du 200 m 4 nages (entre 13 heures et 15h15). Les séries du 400 m 4 nages sont prévues le dimanche 3 août (entre 4 heures et 5h40) pour une finale le jour même.
Le HuffPost France
a day ago
- Sport
- Le HuffPost France
Dupont, Marchand, Bigflo & Oli… Les stars toulousaines misent sur ce club de basket
SPORT - À Toulouse, on joue local. Le champion olympique Léon Marchand, les rappeurs Bigflo et Oli ainsi que la star de rugby locale Antoine Dupont font partie d'un consortium d'investisseurs qui a pour objectif de faire rayonner le club de basket de la ville, le TBBC. D'après les informations de la Dépêche, le club de basket de Toulouse va connaître un changement d'identité. Deux ans après son intégration dans la section omnisports du Stade Toulousain qui lui avait déjà fait changer de nom et de logo, le Stade Toulousain Basket va devenir le Toulouse Basket-Ball Club. Et intégrer à son capital de nombreuses personnalités de la ville qui partagent la volonté de structurer et professionnaliser le club afin de viser l'élite du basket français. Une aventure qui commencera en Nationale 1 (soit la 3e division de basket en France). Si le club veut prendre le temps de se structurer correctement, Fabien Conte ne cache pas ses ambitions « Nous sommes en Nationale 1 et notre souhait, c'est d'évoluer en Élite 2 (2e division) d'ici 2 à 3 ans, puis en Élite (1re division) d'ici 5 à 6 ans. Toulouse, 3e ville de France, mérite d'avoir un grand club de basket » a expliqué le président de la SAS du club à nos confères de La Dépêche. En plus du projet sportif, Fabien Conte veut également investir sur l'aspect culturel de la ville pour incarner leur club « On souhaite marier au basket : l'art, la musique, la culture. Bigflo & Oli y tiennent. » Un engouement que les rappeurs vont partager à leurs fans très prochainement, lors du Rose Festival (prévue du 28 au 31 août) par une collaboration entre leur marque de vêtements « Visionnaire » et le club, en créant une ligne de vêtement lifestyle pour la future boutique du TBBC. Toulouse voit la vie en rose Les rappeurs Bigflo et Oli ne manquent jamais une occasion de faire rayonner la ville rose sur le plan national. Les deux jeunes entrepreneurs sont à l'origine de la création d'un festival de musique et de l'ouverture de plusieurs boutiques dans le centre-ville de Toulouse. Sur le plan sportif, ils ont déjà collaboré avec le TFC (club de football de Toulouse) pour être le sponsor principal de l'un des maillots du club. Ils ont même été aperçus plusieurs fois à des matchs du stade Toulousain Basket. Une passion pour ce sport qu'ils partagent avec Antoine Dupont avec qui ils sont allés voir un match NBA en 2024 à New-York. Antoine Dupont, encore éloigné des terrains quelques mois, va pouvoir continuer de porter sa seconde casquette, celle d'investisseur. Il avait déjà investi dans le club de rugby de Los Angeles l'an dernier, tout juste auréolé de sa médaille olympique. Quand à Léon Marchand, le nageur quatre fois champion olympique, même exilé aux États-Unis, n'oublie pas d'où il vient puisque c'est à Toulouse qu'il a grandi et commencé sa carrière. Lui aussi fait partie des investisseurs qui espèrent voir le TBBC atteindre la première division.
Le Figaro
a day ago
- Sport
- Le Figaro
Marchand, Dupont, Bigflo et Oli... Le Stade Toulousain Basket change de dimension et intègre des actionnaires prestigieux
Nouvelle SAS, nouveaux actionnaires, changement de nom... Le club de basket toulousain, qui évolue en 3e division, fait peau neuve avec des ambitions forcément revues à la hausse. C'est un recrutement qui fait grand bruit à Toulouse et dans ses environs. Depuis le mois de mai dernier, le Stade Toulousain Basket a totalement changé de visage sous l'impulsion d'un nouveau président, Fabien Conte, qui compte bien aider ce club de troisième division à retrouver les sommets. À la tête d'une société par actions simplifiée (SAS) ambitieuse, il a déjà changé toute l'identité visuelle du club et son nom, devenu Toulouse Basket-Ball Club, tout en accueillant des actionnaires prestigieux de la Ville rose comme Léon Marchand, Antoine Dupont et Bigflo et Oli. Publicité L'objectif à long terme ? Retrouver l'Élite d'ici 5 à 6 ans et créer une communauté autour du club, sur Toulouse et au-delà des portes de Toulouse, comme l'a affirmé Fabien Conte au journal La Dépêche. Pour l'heure, l'équipe reste engagée en Nationale 1 pour la saison prochaine.
