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Mondiaux de natation : Léon Marchand zappe le 200 m papillon et le 200 m brasse

Mondiaux de natation : Léon Marchand zappe le 200 m papillon et le 200 m brasse

Le Parisien21-07-2025
Nouveau programme pour
Léon Marchand
. Contrairement à ce qui était initialement prévu, le quadruple champion olympique ne participera pas à quatre mais à deux épreuves individuelles lors des Championnats du monde de natation, qui se tiennent à Singapour du 27 juillet au 3 août 2025.
Le Toulousain
, qui s'entraîne aux États-Unis, a choisi de faire l'impasse sur le 200 m papillon et le 200 m brasse. Il se concentra ainsi sur le 200 m 4 nages et le 400 m 4 nages. Une information révélée par nos confrères de
franceinfo.fr
ce lundi 21 juillet. « C'est un choix qu'on a fait parce que nous sommes en année post-olympique et qu'il n'a jamais eu l'occasion de présenter un 200 m 4 nages sans avoir de course avant ou après le même jour, a ainsi justifié Nicolas Castel, son entraîneur historique des Dauphins du TOEC. Il avait envie de tester ce 200 m 4 nages isolé et de voir de quoi il était capable. »
Actuellement en stage terminal de préparation à Jakarta, en Indonésie, Léon Marchand débutera donc sa compétition le mercredi 30 juillet avec les séries du 200 m 4 nages (entre 4 heures et 6 heures avec le décalage horaire), puis les demi-finales du 200 m 4 nages (entre 13 heures et 15h15). Les séries du 400 m 4 nages sont prévues le dimanche 3 août (entre 4 heures et 5h40) pour une finale le jour même.
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Mondiaux d'escrime : les fleurettistes françaises s'inclinent en finale et prennent la médaille d'argent
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Le Figaro

time22 minutes ago

  • Le Figaro

Mondiaux d'escrime : les fleurettistes françaises s'inclinent en finale et prennent la médaille d'argent

Sans n'avoir jamais pu rivaliser avec les Américaines, les fleurettistes françaises s'offrent une belle médaille d'argent à Tbilissi. C'est la cinquième breloque des Bleus dans ces Mondiaux. L'équipe de France féminine de fleuret n'a pas réalisé l'exploit lundi face aux Etats-Unis (45-24) et devra se contenter de l'argent aux championnats du monde d'escrime à Tbilissi (Géorgie). Les Bleues, déjà deuxièmes en 2023 à Milan, n'ont presque pas existé face aux Américaines, en or aux Jeux de Paris et emmenées par la championne olympique et du monde Lee Kiefer. Ces dernières ont pris les devants d'entrée, pour ne jamais lâcher la tête, et ont surtout creusé un écart considérable au fur et à mesure, devenu trop difficile à rattraper pour Eva Lacheray, Anita Blaze, Morgane Patru et Pauline Ranvier. Cette dernière avait été battue par Kiefer en finale de l'épreuve individuelle. Elle peut néanmoins rentrer satisfaite de ces Mondiaux, avec deux médailles. Publicité Une médaille de plus L'argent des fleurettistes vient s'ajouter à l'or glané par les épéistes tricolores samedi. La France compte désormais cinq médailles en comptant l'argent de Pauline Ranvier et Jean-Philippe Patrice (sabre), et le bronze de Maxime Pauty (fleuret). Déception en revanche lundi pour les sabreurs, emmenés par les frères Sébastien et Jean-philippe Patrice, et qui ont été stoppés dès les quarts de finale. La finale de sabre hommes par équipes a été remportée par l'Italie. Les journées de mardi et mercredi laisseront place désormais aux dernières épreuves par équipes, avec au programme le sabre dames et l'épée hommes.

« J'ai su rebondir » : comment Maxime Grousset a réagi après des JO décevants pour remporter son deuxième titre de champion du monde
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timean hour ago

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« J'ai su rebondir » : comment Maxime Grousset a réagi après des JO décevants pour remporter son deuxième titre de champion du monde

Vainqueur lundi sur 50 m papillon après une arrivée dingue, Maxime Grousset a fait un gros travail pour aller empocher lundi son deuxième titre mondial, un an après des JO décevants. Dans une discipline qu'il a apprivoisée presque par hasard. Certaines joies sont plus profondes que d'autres. À Fukuoka, Maxime Grousset irradiait de bonheur comme un enfant devant ses cadeaux à Noël après son premier titre mondial sur 100 m papillon. Deux ans plus tard, toujours en Asie, il diffuse le même bonheur communicatif avec le petit supplément d'âme de celui qui fait bien la différence entre le prix et la valeur des choses. Cette deuxième médaille d'or, cette fois sur 50 m papillon après une arrivée épique digne d'un Phelps-Cavic, vient de plus loin. Quand on a connu l'échec, la réussite propose des saveurs plus subtiles. Celle-ci est très douce avec des petites nuances d'amertume qui rendent le plat savoureux. Personne n'a oublié sa déception aux Jeux de repartir sans médaille individuelle. Maxime Grousset médaillé d'or pour la première fois sur le 50 m papillon aux Mondiaux Pudique et taiseux, il a ravalé sa peine. Il en a peu parlé mais il a travaillé sur lui. « J'ai fait une introspection après ces Jeux olympiques, on ne va pas se mentir. J'ai su mettre en place des choses, des clés psychologiques et physiques, un nouveau physio, pas mal de choses différentes, a-t-il expliqué, juste après son titre. Une équipe gravite autour de moi et pour mon projet. J'ai su rebondir. » Il n'en dira pas plus, le Néo-Calédonien n'est pas un homme du passé. Il avance et ce deuxième titre mondial récompense son sens du rebond. Depuis quelques semaines, tout son entourage sentait qu'ils avaient retrouvé leur « Max », joyeux, cool, à l'écoute, serein. Dans l'eau, ses chronos descendaient aussi vite que les averses à Singapour et, hors des bassins, il dégageait une énergie très positive. Comme le gamin des îles qui aime prendre la vie du bon côté. Tranquille avec sa fiancée Zoé et son cocker adoré Luffy. Bosseur invétéré et consciencieux. À une petite différence près. Il a pris son projet en main. Pas une grande révolution, quelques petits changements dans sa préparation physique ou dans le dosage de ses entraînements (deux matinées en moins dans l'eau). « Il a plus de maturité, il a eu cette expérience des Jeux, il se prépare différemment » Michel Chrétien, son entraîneur « Il a plus de maturité, il a eu cette expérience des Jeux, il se prépare différemment, il assume son statut, il récupère mieux, énumère son entraîneur Michel Chrétien. Il a été très pro. En compétition internationale, c'est la première fois que je ne suis pas en train de courir après lui pour aller faire l'échauffement. Il s'est mis un peu dans une bulle qui organise bien sa vie. » Il partage sa chambre avec Roman Fuchs, le calme de la bande, et règle tout depuis les séries pour que cette dernière touche bascule de son côté. Cette finale du 50 m papillon pourrait servir d'allégorie aux amoureux de « routourne » ribérienne. Il est parti à son rythme, derrière les deux fusées Ponti et Proud, il ne s'est pas affolé, est resté très fluide, a pris une respiration au 33 m et s'est transformé en hors-bord pour dégager tous les chevaux sous le capot et s'amarrer au port en glissant sur sa vitesse et gagner de trois centièmes sur Noè Ponti à la touche. La roue a bien tourné. Mais ça ne doit rien au hasard. « Il fait des choses de patron. Séries (22''74), demi-finales (22''61), finale (22''48), il accélère. Il a une grande maturité dans sa nage, il est très sûr de lui, analyse Denis Auguin, le nouveau DTN. Il ne faut pas s'affoler dans ces moments-là et l'arrivée est assez incroyable. Ponti est vraiment devant mais la façon dont il glisse sur l'arrivée, il ne fait pas l'erreur de rajouter un coup de bras et il tombe parfaitement. » Grousset, le champion du bout du monde Tout paraît simple mais il suffisait de regarder ses trois copains, Rafael Fente Damers, Ethan Dumesnil et Nans Mazelier, en apnée pour comprendre la performance du Français, vainqueur en 22''48 (record de France). Comme tout le monde, ils sont restés bouche bée à la touche sans savoir si leur coéquipier avait gagné. Maxime Grousset pensait même être deuxième. « Je n'étais vraiment pas sûr de moi quand j'ai touché le mur, je pensais faire 2 et là, je vois le 1 sur le plot, c'est la délivrance » Maxime Grousset « C'était très chaud, j'ai lancé mes bras, j'ai hésité à mettre un dernier coup de bras. Heureusement que je ne l'ai pas fait, je suis resté sur ma vitesse, j'étais un peu loin du mur, je n'étais vraiment pas sûr de moi quand j'ai touché le mur, je pensais faire 2 et là, je vois le 1 sur le plot, c'est la délivrance, raconte avec un grand sourire le Français. La joie, l'excitation, l'explosion, je monte sur la ligne et je savoure ce moment parce que ça n'arrive pas souvent. » Dans les tribunes pas complètement garnies mais bien fournies en supporters chinois, ses copains ont fini en transe. « Incroyable, on est choqués. On savait qu'il allait gagner mais il a fait un temps du futur, commentent-ils en choeur. Il est beau, je suis amoureux, lance l'un d'eux en riant. Il est champion du monde ! » Quand on pense qu'il s'est lancé presque par accident dans le papillon au meeting de Saint-Germain-en-Laye en 2023 pour combler une journée sans course, on se dit que la musique du hasard est mélodieuse.

«Ça donne de l'appétit»: déjà en or aux Mondiaux de natation, Maxime Grousset rêve d'une semaine historique
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timean hour ago

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Réservé aux abonnés RÉCIT - Le Néo-Calédonien de 26 ans a décroché, lundi, le deuxième titre mondial de sa carrière en finale du 50 m papillon, à Singapour. Les Mondiaux de natation ne pouvaient pas mieux débuter pour la France. Le temps d'un battement d'ailes de papillon. Trois petits centièmes, qui ne déclenchèrent peut-être pas un typhon à l'autre bout de la planète, mais suffirent à laisser sans voix les spectateurs de l'OCBC Arena de Singapour, incrédules après le succès de Maxime Grousset en finale du 50 m papillon à l'issue d'un suspense total. En 22''48, le Néo-Calédonien ne s'est ainsi pas contenté de battre, pour la deuxième fois en deux jours, son record de France de la distance. Le Français a surtout décroché, à 26 ans, le deuxième titre mondial de sa carrière, deux ans après son triomphal 100 m papillon de Fukuoka (Japon). « Je l'ai fait une fois, je le fais une deuxième fois, je savoure chaque instant », tentait-il d'analyser à sa sortie du bassin. « La joie est la même qu'en 2023, et en même temps différente, mais je ne sais pas expliquer pourquoi ni comment… » Peut-être que le scénario de cette folle finale - digne de la fable du Lièvre et de la Tortue - pourrait constituer un début d'explication…

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