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Alfred Dreyfus : Emmanuel Macron instaure une journée de commémoration le 12 juillet pour la réhabilitation du capitaine
Alfred Dreyfus : Emmanuel Macron instaure une journée de commémoration le 12 juillet pour la réhabilitation du capitaine

Le Parisien

time4 days ago

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Alfred Dreyfus : Emmanuel Macron instaure une journée de commémoration le 12 juillet pour la réhabilitation du capitaine

Alors que ce samedi marque le 90e anniversaire de la mort d' Alfred Dreyfus , l'Élysée annonce dans un communiqué instaurer une journée de commémoration le 12 juillet pour la réhabilitation du capitaine. En 1894, Alfred Dreyfus avait été condamné pour trahison, puis contraint pendant cinq ans au bagne sur l'île du Diable, en Guyane. En fait, de fausses accusations et une condamnation arbitraire, alimentées par un antisémitisme rampant dans la société française de la fin du XIX siècle. L'affaire déchirera l'opinion, jusqu'à sa réhabilitation en 1906. Le capitaine achèvera sa carrière comme lieutenant-colonel à la fin du premier conflit mondial. >> Plus d'informations à venir

« Je pense être un leader de combat, un travailleur de l'ombre » : Gaëtan Barlot, nommé capitaine de l'équipe de France pour le deuxième test face aux All Blacks
« Je pense être un leader de combat, un travailleur de l'ombre » : Gaëtan Barlot, nommé capitaine de l'équipe de France pour le deuxième test face aux All Blacks

L'Équipe

time5 days ago

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« Je pense être un leader de combat, un travailleur de l'ombre » : Gaëtan Barlot, nommé capitaine de l'équipe de France pour le deuxième test face aux All Blacks

Désigné capitaine du XV de France par Fabien Galthié pour le deuxième test-match face aux All Blacks samedi (9h05), Gaëtan Barlot (28 ans, 10 sélections) savoure cette promotion qui vient récompenser son travail et sa résilience. Gaëtan Barlot (capitaine du XV de France pour le deuxième test des Bleus face à la Nouvelle-Zélande) : « C'est une belle fierté d'être capitaine pour ce deuxième match. Ça vient récompenser huit années de travail dans le monde professionnel, à ne rien lâcher. À jouer un rugby de combat comme je l'aime. Ça vient aussi récompenser mon parcours et ce qui s'est passé avant le rugby. Je pense être un leader de combat, un travailleur de l'ombre. Je ne suis pas un grand orateur. Je pense davantage être un exemple par le combat, quelqu'un qui enchaîne les tâches. Mon parcours est atypique, c'est la vie. Aujourd'hui, j'en suis heureux. C'est beau d'être ici en tant que capitaine du XV de France. Si j'ai un conseil à donner, c'est de ne rien lâcher et de prendre du plaisir. C'est ça qui permet d'atteindre le haut niveau. »

Laborantin, décharge et passion dévorante : Gaëtan Barlot, une surprise comme capitaine des Bleus
Laborantin, décharge et passion dévorante : Gaëtan Barlot, une surprise comme capitaine des Bleus

L'Équipe

time6 days ago

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Laborantin, décharge et passion dévorante : Gaëtan Barlot, une surprise comme capitaine des Bleus

Rien ne prédestinait Gaëtan Barlot à devenir le 100e capitaine de l'histoire du quinze de France sinon son immense passion pour le rugby, à l'échelle de sa confiance en lui. Elles l'ont porté jusqu'à la Nouvelle-Zélande et un second test au cours duquel il étrennera ses nouveaux galons, samedi (9h05). À quoi tient un destin ? Aux mots prévenants d'un entraîneur qui regarde à côté du cadre. Celui avec la foi du professeur qui se fout que le coloriage déborde un peu parce qu'il est appliqué avec énergie et surtout passion. Gaëtan Barlot, 10 sélections, 28 ans, sera le 100e capitaine de l'histoire de l'équipe de France, samedi : « J'ai pensé à toutes les bonnes années, à toutes les personnes qui m'ont permis d'en arriver là. » Justement là où d'autres ne pensaient peut-être jamais le voir, il y a une paire d'années, lui, l'aspirant pro. « Il y a huit ans jour pour jour, j'étais dans le bureau du coach de Colomiers et on discutait pour savoir si j'allais en Fédérale ou si je m'accrochais en Espoirs alors que c'était compliqué, rembobine-t-il. Et là, je deviens capitaine de l'équipe de France... » Un immense sourire barre son visage. Pincez-le, il rêve ? Non, pas du tout. Parce que ce fou de rugby jusqu'à la déraison a toujours eu confiance en lui. Retour dans le bureau du coach de Colomiers. On est en 2017, il a 20 ans, a fini ses études, et il n'y a plus de contrat Espoirs disponible : « Je touchais 200 € à cette époque et je me disais : "Qu'est-ce que je vais faire l'année prochaine ?" Parce que 200 €, pour vivre... J'ai dit à mon coach que j'allais aller en Fédérale pour pouvoir travailler à côté. » Fabien Berneau, son entraîneur d'alors, refuse l'idée. « Il m'a dit : "Non, vraiment, accroche-toi ! Tu peux le faire !" » « De 8 heures à midi, j'étais au centre de formation, et de 14 heures à 18 heures, au labo. Puis le soir, je retournais en Espoirs pour disputer mes matches le week-end » Gaëtan Barlot Barlot (qui quittera Castres cet été pour l'UBB) doit travailler malgré tout, mais poursuit en Espoirs sur la base de triples journées : « J'ai été technicien de laboratoire pendant un an à Toulouse, au centre de recherche sur les analyses de sang, d'urine. De 8 heures à midi, j'étais au centre de formation, et de 14 heures à 18 heures, au labo. Puis le soir, je retournais en Espoirs pour disputer les matches le week-end. » Une abnégation payante puisqu'il accrochera ses premières feuilles en Pro D2 avant d'être repéré par Pierre-Henry Broncan à Castres. « Je le connaissais car un vieux dirigeant de Colomiers m'avait dit de venir voir deux gamins en Espoirs : lui et Bastien Vergnes-Taillefer. J'ai réussi à convaincre (le président) Pierre-Yves Revol de le prendre, se souvient l'ex-manager du CO. Il a une histoire de dingue. Il n'a pas été gardé par Clermont en Crabos. Il arrive à Colomiers pour jouer en Espoirs, mais sans être au centre de formation. Comme il est intelligent, il avait ce double projet et a rejoint la région de Toulouse pour poursuivre ses études. Il a obtenu un diplôme de laborantin. Ce qui est fou, c'est que Colomiers ne voulait pas le garder, et puis il y a eu des blessures, des suspensions au talonnage, il a eu sa chance et il a joué en Pro D2. » «Ce n'est pas un expansif, mais c'est un courageux, un garçon qui a été opéré des cervicales et qui doit signer une décharge pour jouer au rugby » Pierre-Henry Broncan, son ancien entraîneur à Castres En Top 14, Broncan le fait jouer immédiatement. Malgré un gabarit moins imposant que la concurrence (1,84 m, 107 kg), ses qualités sont nombreuses : « C'est un gamin que les entraîneurs adorent. Il ne râle jamais, il travaille dur. Sur le terrain, il a une grosse activité, il plaque beaucoup, il avance tout le temps, et en mêlée, il est costaud », énumère son ex-entraîneur au CO avant d'évoquer un défaut rédhibitoire au poste : « En revanche, il ne savait pas lancer ! Avant qu'il arrive à Castres, j'ai donc appelé William Servat. Je lui ai demandé s'il pouvait s'en occuper, lui faire travailler la touche. » L'ex-talonneur des Bleus, aujourd'hui adjoint dans le staff de Fabien Galthié, ne se fait jamais prier pour aller faire quelques lancers, même la nuit tombée. « Gaëtan est un taiseux, un fils d'agriculteur. Ce n'est pas un expansif, mais c'est un courageux, un garçon qui a été opéré des cervicales et qui doit signer une décharge pour jouer au rugby, il est classé G2 (*), poursuit Broncan. Je suis content de ce qui lui arrive. Il le mérite. » Quand le sélectionneur lui a annoncé son capitanat, Barlot a instinctivement pensé à celui qui l'avait extrait de la Pro D2 pour le Top 14 : « Je suis arrivé comme jeune joueur. En première ligne, c'est toujours un peu difficile, mais il m'a donné beaucoup de confiance. » Il pense à ses éducateurs, et surtout à ses parents : « Ils t'emmènent à l'école de rugby, ils ont fait tellement de trajets. Maintenant que j'ai des enfants, je m'en rends compte. Et quand je gagnais 200 €, ils m'aidaient financièrement. Même pour eux, c'est une grande fierté. » « Petit, j'aurais aimé qu'un gars comme ça vienne me coacher » Gaëtan Barlot, au sujet de son cousin de 21 ans qui entraîne les jeunes Un débit mitraillette, le regard plongé dans le vôtre, le nouveau Bordelais apprécie à sa juste valeur la reconnaissance de l'encadrement tricolore : « Je ne suis pas le plus capé sur cette tournée, mais cela me touche et c'est une récompense. À chaque fois que j'ai porté ce maillot, j'ai tout donné. » Abonné aux tournées d'été (Australie 2021, Argentine 2024) et sur la photo mais en costard des Grands Chelemards 2022, il prend tout. Justement parce qu'il sait d'où il vient et revient, lui qui regarde la Pro D2 les jeudis et vendredis soir avec sa femme, mordue elle aussi, puis s'infuse encore le Top 14 en plus de son match à lui. Et si vous traînez le dimanche autour des mains courantes de Fédérale, vous aurez encore une chance de le croiser. « En vrai, c'est ma passion, j'adore ça. Je parle ici à des mecs qui sont moins rugby que moi (il se marre). Mais toute ma famille vit rugby, mon cousin a 21 ans et entraîne. Il me demande des conseils, quand je peux je file un coup de main. Je me régale. Et petit, j'aurais aimé qu'un gars comme ça vienne me coacher. » « Je ne vais pas me prendre la tête. Et puis c'est l'équipe de France, je joue avec quelques bons joueurs » Samedi (9h05), il disputera donc le second test avec ses nouveaux galons. Une responsabilité qui ne le tétanisera pas. « Je ne vais pas me prendre la tête. Et puis c'est l'équipe de France, je joue avec quelques bons joueurs, glisse-t-il dans un sourire. Dans le vestiaire, je prendrai la parole pour rappeler les points clés de comment jouer les Blacks. Un petit rappel, mais rien de plus. » Après la courte défaite de Dunedin (31-27, samedi dernier), une certitude l'anime : « On va les respecter, mais on va les agresser. On va être là samedi. Je le sais. Je le sens. » Parole de centurion. À lire aussi Taylor : «Etre talonneur, c'est allier force et finesse» Attissogbe se fait une place Galthié devrait tout changer à Wellington Patat : «J'ai montré que je pouvais avoir plusieurs casquettes »

« C'est irresponsable ! » : un pilote de bateau-mouche contrôlé positif à la cocaïne dans la Loire
« C'est irresponsable ! » : un pilote de bateau-mouche contrôlé positif à la cocaïne dans la Loire

Le Parisien

time07-07-2025

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« C'est irresponsable ! » : un pilote de bateau-mouche contrôlé positif à la cocaïne dans la Loire

Haut lieu du tourisme estival l'été, la base nautique de Saint-Victor-sur-Loire près de Saint-Étienne ( Loire ) se retrouve sans bateau-mouche pour transporter les touristes. Vendredi en fin de journée, alors qu'il ramenait près d'une quarantaine de personnes au port, le pilote du « Grangent » a dû subir un contrôle de dépistage de stupéfiants par la brigade fluviale de la police nationale. Et, mauvaise surprise, celui-ci s'est révélé positif à la cocaïne . Placé en garde à vue, le pilote sera poursuivi. Mais il y a plus grave… Son permis ayant été suspendu, la poursuite de son activité est pour l'heure incertaine. Car le mis en cause est le seul habilité à naviguer sur la Loire avec le bateau-mouche. Pour lui, comme pour les clients, les conséquences économiques sont importantes. Outre les croisières dans les gorges de la Loire l'été, l'embarcation devait accueillir plusieurs réceptions de mariage. Des clients sont furieux. « C'est quand même fou, et même irresponsable, de se dire qu'il n'y a qu'une seule personne capable de conduire ce navire alors que des festivités sont prévues dessus », s'emporte l'un d'eux. Une mariée qui devait organiser sa fête sur le « Grangent », samedi, ne décolère pas. « Si nous n'avions pas été sur place au moment de l'arrestation du capitaine, jamais nous n'aurions eu le temps de retrouver un autre site. » Bonne nouvelle, le couple a tout même pu célébrer son union grâce au traiteur qui a été en mesure de lui proposer une solution de repli. Pour les autres clients en revanche, c'est l'inquiétude. Contactée, la société n'était pas joignable.

« Ils ont faim et ne font pas de complexe d'infériorité » : Gaël Fickou au sujet des bizuths de l'équipe de France
« Ils ont faim et ne font pas de complexe d'infériorité » : Gaël Fickou au sujet des bizuths de l'équipe de France

L'Équipe

time04-07-2025

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« Ils ont faim et ne font pas de complexe d'infériorité » : Gaël Fickou au sujet des bizuths de l'équipe de France

Celui qui sera capitaine pour la première fois dès l'entame du match face aux All Blacks, samedi, le presque centurion (95e sélection) Gaël Fickou n'a pas ressenti ces dernières heures de poussée d'anxiété chez les néophytes de l'équipe de France présents en Nouvelle-Zélande. Dans la vie, il ne faut jamais refuser un bon trou de mémoire. Par télépathie, c'est ce qu'on suggérait à Gaël Fickou au moment où il refoulait la pelouse du Forsyth, ce drôle de stade à verrière où il a vécu un de ces désagréables moments que tant de joueurs du XV de France ont connu avant lui. À Dunedin, en Nouvelle-Zélande, en 2018, sous le patronage de Jacques Brunel, Fickou, exilé à l'aile ce jour-là, et ses compagnons de galère avaient touché le fond en seconde période (28-0) pour une addition chiffrée à 49-14. Nous avions rediscuté avec lui de cette tournée à trois valises en octobre, juste avant la venue des All Blacks au Stade de France (victoire 30-29 le 16 novembre). « Cette tournée... On n'était contents que d'un truc, que ça s'arrête, se remémorait celui qui sera, samedi, capitaine dès le début du match pour la première fois. Je ne me rappelais même plus qu'on menait à la mi-temps du premier test (8-11) qu'on perdra 52-11. C'est terrible en y repensant. J'ai connu la période où on prenait souvent des branlées contre eux. On sentait qu'on n'était pas invités à ce niveau-là parce que chez nous, rien n'était fluide, structuré. Le groupe changeait beaucoup, la stratégie n'était pas claire. On avait 60 % de possession et on ramassait cinquante points. On cramait notre énergie, on jouait beaucoup de ballons chez nous... » « Si on était ici avec l'équipe qui les a battus les trois dernières fois (2021, 2023, 2024), médiatiquement, ce serait différent. Là, on a énormément de novices » Sept années plus tard, le voilà de retour sur les lieux du crime, avec un groupe très « bleu-blanc-bec ». Fort de ses 94 sélections, le Racingman (31 ans) s'est-il senti obligé de se démultiplier dans les chambrées pour rassurer les troupes et leur donner du coeur à l'ouvrage ? « Non, pas besoin, assure-t-il. Vraiment pas. Ils sont prêts. Ils sont hyper pros, hyper concentrés, ils ont envie. À part les conseiller sur la stratégie, il n'y a rien à dire. J'essaie d'épauler les gars s'ils en ont besoin mais je ne suis pas le genre à raconter la messe aux gars. S'ils sont là, c'est qu'ils sont doués et qu'ils le méritent. On se dit qu'on a rien à perdre, qu'on a tout à gagner. On joue face à une immense équipe néo-zélandaise, on sait que ça va être très dur mais on va donner tout ce qu'on a au fond de nous-mêmes. On se prépare à ça depuis trois semaines. » Arrivé au pied du mur, le message n'est pas de dire qu'il n'y a pas de mur ou qu'il n'est pas si haut que ça. Chez les Bleus, on parle volontiers d'un défi qui semble impossible mais pas de cette appréhension d'être dépassés qui pourrait s'insinuer dans les rangs. « Au contraire, on ressentirait une pression ou une appréhension particulières si on était venus avec une équipe plus aguerrie, estime Fickou. Si on était ici avec l'équipe qui les a battus les trois dernières fois (2021, 2023, 2024), médiatiquement, ce serait différent. Là, on a énormément de novices. Mais ils ont faim et ne font pas de complexe d'infériorité. Honnêtement, je sens les mecs, pas relâchés, mais on rigole aussi, on passe de bons moments hors du terrain. Ce que j'ai dit aux gars, c'est que les trois victoires récentes contre les Blacks ne viennent pas de nulle part. On avait une stratégie hyper claire et on s'y est tenu. L'autre chose, c'est de ne jamais baisser d'intensité contre eux. Parce que ça peut aller très vite. »

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