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14 films français pour le 14 juillet
14 films français pour le 14 juillet

La Presse

time2 days ago

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14 films français pour le 14 juillet

Après ses suggestions de films québécois avant la fête nationale et de films du Rest of Canada à la veille du 1er juillet, notre chroniqueur Marc Cassivi propose pour le 14 juillet 14 longs métrages français offerts sur des plateformes numériques canadiennes. Entre les murs, de Laurent Cantet (2009) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:57 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Un faux documentaire d'une infinie finesse, inspiré de l'expérience et du livre d'un professeur de collège, François Bégaudeau, coscénariste du film, qui se révèle un acteur fort crédible. Le jeu approximatif des autres acteurs non professionnels n'affecte pas le réalisme du récit et la réalisation du regretté Laurent Cantet est impeccable, mais c'est surtout le scénario, privilégiant le questionnement aux réponses toutes prêtes, qui fait d'Entre les murs, Palme d'or 2008, une œuvre si forte. Jusqu'où faut-il aller pour aider des jeunes à apprendre contre leur gré ? À chacun le loisir de répondre. Sur 120 battements par minute, de Robin Campillo (2017) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:52 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Robin Campillo propose une leçon d'histoire doublée d'une histoire d'amour sur le combat du mouvement militant ACT UP-Paris pour les droits des séropositifs au début des années 1990. Avec en trame de fond les amitiés et les tensions, les amours et les désirs. Film social de facture classique, 120 battements par minute est juste, sensible, cohérent et absolument maîtrisé. Il met en scène des personnages crédibles et entiers, dont on partage forcément l'indignation. Nahuel Pérez Biscayart est particulièrement émouvant dans le rôle de Sean, militant exubérant et révolté devant cette maladie sournoise qui le ronge de l'intérieur. Sur TV5Unis Hiroshima mon amour, d'Alain Resnais (1959) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:42 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. « Tu n'as rien vu à Hiroshima », dit Eiji Okada à Emmanuelle Riva, qui interprète son amante dans Hiroshima mon amour, chef-d'œuvre d'Alain Resnais. Elle lui répond qu'elle a vu des corps calcinés à l'hôpital, des images terribles de désolation au musée. « La température du soleil sur la place de la Paix. Comment l'ignorer ? », lui demande-t-elle de sa voix douce. « Tu n'as rien vu à Hiroshima. Rien », lui répète-t-il. Un film poétique et révolutionnaire sur fond d'histoire d'amour et de réflexion sur les conséquences désastreuses du bombardement atomique du Japon. Sur L'histoire de Souleymane, de Boris Lojkine (2024) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:40 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Boris Lojkine s'intéresse aux réalités cruelles de l'immigration à travers l'histoire de Souleymane (Abou Sangaré), un jeune livreur à vélo guinéen à Paris qui a deux jours pour préparer un entretien de demande d'asile. Il se heurte à l'indifférence de ses clients et aux combines des uns et des autres dans cette course à obstacles filmée comme un thriller. Un film tout sauf manichéen sur l'inhumanité des administrations, sur la solitude de gens invisibilisés, et sur la lutte silencieuse d'un homme pour se bâtir un avenir dans un monde qui ne veut pas lui accorder de place. Sur TV5Unis L'événement, d'Audrey Diwan (2021) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:42 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. La remarquable adaptation du roman L'événement, qui raconte l'avortement clandestin qu'Annie Ernaux a subi à 24 ans, a valu le Lion d'or de la Mostra de Venise à la réalisatrice Audrey Diwan. Portrait d'une époque, le début des années 1960, où l'avortement était toujours interdit en France, mais réclamé ailleurs en Occident, L'événement met en scène de manière sensible et percutante une jeune étudiante (Anamaria Vortolomei) laissée à elle seule, alors qu'elle ne réclame que le droit fondamental de disposer de son propre corps. Un film poignant, cruellement d'actualité. Sur Extra (abonnement requis) L'auberge espagnole, de Cédric Klapisch (2002) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:50 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Xavier (Romain Duris), un étudiant en commerce qui rêve de devenir écrivain, part en échange Erasmus à Barcelone, laissant derrière sa copine Martine (Audrey Tautou) pour se trouver colocataire d'une demi-douzaine d'étudiants européens, dont l'Anglaise Wendy (Kelly Reilly) et la Belge Isabelle (Cécile de France). Il se liera d'amitié – et plus si affinités – avec la femme (Judith Godrèche) d'un médecin qui l'a hébergé. Si certains effets de mise en scène ont mal vieilli, cette comédie qui a révélé Cécile de France (César du meilleur espoir féminin) est toujours aussi charmante et sympathique. Sur Crave (abonnement requis) Lola, de Jacques Demy (1961) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:18 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Cécile est chanteuse et danseuse dans un cabaret de Nantes fréquenté par des marins, sous le nom de scène de Lola. Elle élève un garçon de 7 ans dont elle attend le retour du père, Michel, disparu à sa naissance. Toute l'œuvre à venir de Jacques Demy (Les parapluies de Cherbourg, Les demoiselles de Rochefort) se profile dans ce premier film doux-amer, en noir et blanc, d'amours et d'espoirs déçus, mettant en vedette une Anouk Aimée toute de grâce dans un rôle de femme fatale. Sur TV5Unis Le procès Goldman, de Cédric Kahn (2023) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:25 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Pierre Goldman (Arieh Wolthalter), militant d'extrême gauche condamné à perpétuité pour quatre braquages à main armée, obtient un deuxième procès en 1976. Il clame son innocence en ce qui concerne deux meurtres tout en dénonçant la justice et la police françaises. Cédric Kahn a tiré de ce célèbre procès un huis clos tendu et théâtral autour d'un personnage éloquent qui se prête à la joute verbale comme un boxeur contre la justice française. Kahn fait le choix judicieux de placer le spectateur de ce captivant portrait d'époque dans la position du juré. Sur Télé-Québec Frère et sœur, d'Arnaud Desplechin (2022) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:48 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Arnaud Desplechin s'intéresse à la haine entre un écrivain (Melvil Poupaud) et sa sœur actrice (Marion Cotillard) envieuse de son succès, qu'il décrit dans ses livres en des termes peu flatteurs. Les racines de leur rivalité toxique restent floues. Ils devront pourtant se faire face au moment où leurs parents sont grièvement blessés dans un accident de la route. Dans la veine de l'excellent Un conte de Noël, qui mettait déjà en scène la même famille dysfonctionnelle, Frère et sœur est une œuvre dense, faite de dialogues acerbes et de couches de névroses. Sur Extra (abonnement requis) Mektoub My Love : Canto Uno, d'Abdellatif Kechiche (2016) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:15 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. En 1994, de jeunes vacancières intègrent un groupe d'amis d'enfance dans la ville de Sète, au bord de la Méditerranée. Ils sont jeunes, ils sont beaux et ils ont très envie de faire la fête. Ce récit d'apprentissage sensuel et lumineux, mettant en scène des acteurs non professionnels pour la plupart, s'ouvre sur une scène de sexe torride, qui donne le ton à cette trilogie d'Abdellatif Kechiche, dont le deuxième volet, le sulfureux et complaisant Intermezzo, n'a jamais pris l'affiche et dont le chapitre ultime sera présenté au prochain Festival de Locarno. Sur Télé-Québec La nuit du 12, de Dominik Moll (2023) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:50 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Lauréat de sept Césars, La nuit du 12 de Dominik Moll (Harry, un ami qui vous veut du bien) raconte une enquête non résolue autour d'un féminicide. Clara, une jeune femme de 21 ans, est brûlée vive en pleine rue, en rentrant d'une fête chez des amies. Comme la Laura Palmer du Twin Peaks de David Lynch, la victime est un fantôme dont la présence est constante dans le récit. Un polar troublant, intelligent et nuancé, qui traite de masculinité toxique, mais aussi des biais inconscients des policiers. Sur Télé-Québec Des hommes et des dieux, de Xavier Beauvois (2010) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 2:03 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Film puissant, mais contemplatif, dur et austère, sur le thème du vivre-ensemble, de la fraternité et de la communion entre les religions, Des hommes et des dieux raconte les bouleversements éthiques, moraux et spirituels de huit moines français vivant en Algérie, pris entre l'armée et les terroristes pendant la guerre civile algérienne, et entre une envie de fuir et celle de rester. La mise en scène minimaliste de Xavier Beauvois est de circonstance pour cette œuvre humaniste remarquable, philosophique, lumineuse et mystérieuse. Sur Extra (abonnement requis) Saint Omer, d'Alice Diop (2022) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:52 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. La cinéaste Alice Diop s'est inspirée d'un infanticide commis dans le Pas-de-Calais pour le scénario de son premier film de fiction. Saint Omer est un huis clos au tribunal mettant en scène une écrivaine d'origine sénégalaise (Kayige Kagame) qui souhaite faire un parallèle entre l'histoire de l'accusée (Guslagie Malanda) et le mythe de Médée. Grand Prix du jury à la Mostra de Venise, Saint Omer s'intéresse à la maternité, mais aussi au colonialisme, au traitement médiatique et judiciaire des femmes, ainsi qu'au racisme systémique. Un film dont la résonance est amplifiée par l'approche quasi documentaire de sa cinéaste. Sur Extra (abonnement requis) La maman et la putain, de Jean Eustache (1973) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:44 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. Triangle amoureux mythique, regard audacieux et subversif, ironique et érotique, sur une époque de bouillonnement et de désenchantement de la jeunesse française post-Mai 68 dans les milieux intellectuels libertins de Saint-Germain-des-Prés, La maman et la putain de Jean Eustache, film-fleuve de 217 minutes, fait bande à part dans le cinéma de la Nouvelle Vague. Alexandre, jeune homme égocentrique, vit aux crochets de Marie, lorsqu'il rencontre Veronika. Ils apprennent à vivre ensemble, pour le meilleur et pour le pire. Une œuvre autobiographique unique de Jean Eustache, décalée comme le jeu de Jean-Pierre Léaud. Sur TV5Unis

Claude Lelouch a été surpris par cette question « cruelle mais belle » dans « Les rencontres du Papotin »
Claude Lelouch a été surpris par cette question « cruelle mais belle » dans « Les rencontres du Papotin »

Le HuffPost France

time3 days ago

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Claude Lelouch a été surpris par cette question « cruelle mais belle » dans « Les rencontres du Papotin »

CINÉMA - Une question difficile, mais une très bonne question. Claude Lelouch était l'invité des Rencontres du Papotin le samedi 12 juillet sur France 2. Le réalisateur des films Un homme et une femme (1966) et Les Uns et les Autres (1981) a répondu aux questions d'un panel de journalistes atteints de troubles du spectre autistique, avec qui il a notamment parlé de sa famille. « J'ai sept enfants avec cinq mamans différentes, a confié Claude Lelouch, ils ont tous un prénom qui commence par un S parce que je voulais rendre hommage à mon père qui s'appelait Simon et qui était la personne que j'admirais le plus au monde. » Interrogé sur le point de savoir si sept enfants ce n'était pas « trop », le réalisateur a assuré que non. « Ils sont venus gentiment dans ma vie, a-t-il raconté, à chaque fois, ils sont arrivés à un moment où j'en avais besoin. Et puis les enfants m'ont permis de rester jeune. » Mais les journalistes du Papotin n'en sont pas restés là et ils ont posé une autre question, assez inattendue, à Claude Lelouch. « À chaque fois qu'ils ont eu besoin de moi j'étais là » Prenant le micro, Julien a demandé au réalisateur : « À un moment vous avez parlé de vos films comme étant vos enfants, […] dans votre vie vous diriez que vous vous êtes plus occupés de vos enfants métaphoriques, vos films, ou de vos véritables enfants ? » « C'est une question cruelle, mais c'est une belle question », a réagi Claude Lelouch qui a réalisé plusieurs dizaines de films depuis la fin des années 50. « C'est vrai que je me suis peut-être un peu trop occupé de mes films et pas assez de mes enfants », a-t-il reconnu, expliquant avoir réalisé le film Salaud on t'aime (2014) « presque pour demander pardon à [ses] enfants d'avoir consacré plus de temps au cinéma qu'à eux ». Le long-métrage avec Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Sandrine Bonnaire raconte l'histoire d'un photographe de guerre à la retraite et qui a été un père plutôt absent. S'il reconnaît qu'il aurait pu consacrer plus de temps à ses enfants, Claude Lelouch se considère malgré tout comme un père assez présent. « À chaque fois qu'ils ont eu besoin de moi j'étais là », a-t-il assuré, expliquant que « pour [ses] enfants » il est « le SAMU ». « Quand il y a un problème ils peuvent compter sur moi », a-t-il insisté, avant de conclure qu'à son âge, il « tourne un petit peu moins qu'avant » et donc s' « occuper un peu plus d'eux ».

«C'est une question cruelle» : Claude Lelouch déstabilisé dans «Les rencontres du Papotin» sur France 2
«C'est une question cruelle» : Claude Lelouch déstabilisé dans «Les rencontres du Papotin» sur France 2

Le Figaro

time4 days ago

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«C'est une question cruelle» : Claude Lelouch déstabilisé dans «Les rencontres du Papotin» sur France 2

Le réalisateur est revenu sur la relation qu'il entretient avec ses sept enfants devant les journalistes porteurs de troubles autistiques. «Mais c'est une belle question», reconnaît Claude Lelouch ce samedi 12 juillet. Le réalisateur s'est prêté à l'exercice atypique des «Rencontres du Papotin», connues pour la franchise sans filtre de ses journalistes. Quelques minutes plus tôt, Claude Lelouch a comparé ses films, comme Un homme et une femme (1966), L'Aventure, c'est l'aventure (1972) ou encore Itinéraire d'un enfant gâté (1988) avec le regretté Jean-Paul Belmondo, à ses enfants. Publicité Une analogie soulignée par Julien, l'un des intervenants : «Dans votre vie, vous diriez que vous vous êtes plus occupé de vos enfants métaphoriques ou de vos véritables enfants ?». En effet, Claude Lelouch est le père de sept enfants. Simon, Salomé, Sarah… L'anecdote amusante est que chacun de leurs prénoms, même s'ils sont issus d'unions différentes, commence par la lettre S. Je me suis peut-être un peu trop occupé de mes films et pas assez de mes enfants. Claude Lelouch dans «Les rencontres du Papotin» «C'est une question cruelle», estime le cinéaste dans un premier temps avant de jouer la carte de l'honnêteté : «c'est vrai que je me suis peut-être un peu trop occupé de mes films et pas assez de mes enfants». Là encore, Claude Lelouch appelle le 7e Art à la rescousse. «J'ai fait un film qui s'appelle Salaud, on t'aime (avec Johnny Hallyday) pour demander presque pardon à mes enfants d'avoir consacré plus de temps au cinéma qu'à eux», explique-t-il. «Mais à chaque fois qu'ils ont eu besoin de moi, j'ai été là. Pour mes enfants, je suis le Samu, je suis le 15. À chaque fois qu'il y a un problème, ils peuvent compter sur moi. Et c'est vrai qu'à l'âge que j'ai, je tourne un petit moins qu'avant donc je peux m'occuper d'eux un petit peu plus», conclut le réalisateur de 87 ans.

Mes 25 films préférés du début de siècle
Mes 25 films préférés du début de siècle

La Presse

time5 days ago

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Mes 25 films préférés du début de siècle

L'année 2025 est prétexte à bien des bilans, notamment au cinéma. Le New York Times et le magazine Rolling Stone ont publié ces dernières semaines leurs listes respectives des 100 meilleurs films du dernier quart de siècle. Notre chroniqueur Marc Cassivi, critique à La Presse depuis 1999, se prête à son tour à cet exercice ludique, en dévoilant ses 25 films préférés des 25 dernières années. Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:55 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 10. Moonlight de Barry Jenkins (2016) Un film rugueux et poétique, ancré dans la dure réalité d'un jeune Afro-Américain qui, à trois périodes de sa vie – de l'enfance à l'âge adulte en passant par l'adolescence –, est poussé dans ses derniers retranchements, contraint de sublimer son homosexualité, dans les quartiers les plus difficiles de Miami. Sa mère est toxicomane, les intimidateurs de son école le prennent constamment pour cible, ses alliés se défilent, mais il tient le cap, contre vents et marées. Un très beau film sur la dignité. Sur Crave (avec abonnement), Netflix (avec abonnement) et en vidéo sur demande (VSD) Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 2:30 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 9. No Country for Old Men de Joel et Ethan Coen (2007) Une distribution de grande qualité, une mise en scène intelligente, un humour noir irrésistible d'absurdité, une direction photo superbe, des dialogues truculents : No Country for Old Men est ce que les frères Coen ont fait de mieux après Fargo. Javier Bardem trouve dans ce thriller atypique aux airs de western un rôle taillé sur mesure d'assassin psychopathe qui ne s'encombre d'aucun sentiment. Un regard décapant, décalé et caustique sur l'Amérique moderne, où les règles du Far West priment celles de la civilité. Sur Crave (avec abonnement), Prime Video (avec abonnement), Netflix (avec abonnement) et en VSD Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:56 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 8. Caché de Michael Haneke (2005) Un thriller psychologique sombre et tendu, sur le thème de la culpabilité, interprété de remarquable manière par Daniel Auteuil, en animateur d'émission littéraire rattrapé par son enfance, et Juliette Binoche, sublime de retenue dans son rôle de compagne excédée. Un film magistral du cinéaste du Ruban blanc et d'Amour (deux œuvres qui auraient pu figurer dans ce palmarès), qui exploite à merveille les faux-semblants et les multiples facettes dissimulées d'une image. À voir et à revoir pour cette fin ouverte, qui laisse libre cours à toutes les interprétations. En VSD Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:36 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 7. 4 mois, 3 semaines, 2 jours de Cristian Mungiu (2007) Un film brillant, dur et poignant, campé dans la Roumanie de fin de règne de Nicolae Ceausescu. Dans ce film réalisé avec des bouts de ficelle, Cristian Mungiu propose un regard éloquent, tout en finesse, sur l'amitié, le sexe, les classes sociales, le mensonge obligé et le coût de la vérité sous la dictature. Mungiu offre à voir un plan fixe de pur génie, sublime de tension et d'absurdité, autour d'une table, à l'occasion d'un repas d'anniversaire dans ce film qui a remporté la Palme d'or du Festival de Cannes. En Blu-Ray et en DVD Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 2:08 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 6. Anatomie d'une chute de Justine Triet (2023) Ce drame judiciaire français est aussi l'autopsie d'un couple. Sandra (Sandra Hüller, formidable d'ambiguïté) est accusée du meurtre de Samuel, trouvé mort devant leur maison par Daniel, leur fils malvoyant de 11 ans. S'agit-il d'un homicide ou d'un suicide ? Sandra clame son innocence, mais même Daniel, qui assiste au procès, finit par ne plus savoir départager le vrai du faux. Tout sauf manichéen, d'une originalité formelle remarquable, Anatomie d'une chute puise davantage son récit dans le doute que dans les certitudes et pose plus de questions qu'il n'offre de réponses. Sur Prime Video (avec abonnement) et VSD Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:54 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 5. Un prophète de Jacques Audiard (2009) Le récit puissant de l'ascension fulgurante en milieu carcéral français d'un sans-abri illettré de 19 ans, Malik (époustouflant Tahar Rahim), qui tombe sous la coupe de mafieux corses avant de devenir lui-même caïd. Deux heures et demie de pur délice cinématographique, dans le style lancinant de Jacques Audiard (De battre mon cœur s'est arrêté, De rouille et d'os, Emilia Pérez). Un récit d'une réalité brutale, au rythme captivant, appuyé par des effets oniriques mesurés et une bande-son irrésistiblement inquiétante. Un grand film, fin et subtil, qui évite les clichés du genre. Sur Netflix (avec abonnement) et en VSD Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 2:03 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 4. Une séparation d'Asghar Farhadi (2011) Ours d'or du Festival de Berlin, Oscar du meilleur film en langue étrangère, Une séparation, de l'Iranien Asghar Farhadi, est un film remarquable discrètement subversif, sur la moralité, la justice, le fanatisme religieux, la situation de la femme et celle du couple de classe moyenne dans l'Iran moderne (oxymore s'il en est). Un drame poignant et prégnant. Asghar Farhadi aborde avec sa finesse d'esprit habituelle les dilemmes éthiques et moraux auxquels doit faire face le couple dans ce film percutant et superbement interprété. En VSD Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 2:22 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 3. There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson (2007) Métaphore aride et violente sur l'Amérique, tour de force du brillantissime Paul Thomas Anderson (The Master ou encore Phantom Thread, du même cinéaste, auraient pu se retrouver dans cette liste), There Will Be Blood est un film grandiose, lancinant, inspiré par la présence quasi mystique de Daniel Day-Lewis. Une œuvre qui porte la marque de son visage émacié et de son regard noir de charbon. Un visage – et un film – que l'on n'est pas près d'oublier. Sur Prime Video (avec abonnement) et en VSD Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:49 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 2. Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma (2019) Cette histoire d'un amour impossible est aussi un manifeste éloquent sur les rapports de classe et la condition féminine. La mise en scène de Céline Sciamma, qui filme la naissance de l'amour, la retenue pudique, l'intensité du désir assouvi, grâce à des regards et à des sous-entendus, est magnifique de subtilité, de sensualité et d'élégance. Adèle Haenel crève l'écran dans le rôle du modèle récalcitrant. Les gros plans sur les visages des amoureuses, alors que la nature se déchaîne en arrière-plan, sont sublimes de poésie. Sur CBC Gem, Prime Video (avec abonnement) et en VSD Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 1:24 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. 1. In the Mood for Love de Wong Kar-waï (2000) Il n'y a pas plus énigmatique que le chef-d'œuvre de Wong Kar-waï. Cette histoire d'un amour inaccessible entre une femme (Maggie Cheung) et son voisin (Tony Leung), aux prises avec l'infidélité commune de leurs époux respectifs dans le Hong Kong des années 1960, est une magistrale leçon de cinéma, d'une infinie sensualité : chaque note, chaque plan de ce magnifique tableau suave a été savamment étudié. Un poème fluide et envoûtant, comme chaque geste réprouvé, chaque hésitation de Maggie Cheung. Un film comme un écrin de velours, qui reprend l'affiche à compter de ce vendredi au Cinéma Moderne, à Montréal. Sur Criterion Channel (avec abonnement) et VSD

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