
Mes 25 films préférés du début de siècle
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10. Moonlight de Barry Jenkins (2016)
Un film rugueux et poétique, ancré dans la dure réalité d'un jeune Afro-Américain qui, à trois périodes de sa vie – de l'enfance à l'âge adulte en passant par l'adolescence –, est poussé dans ses derniers retranchements, contraint de sublimer son homosexualité, dans les quartiers les plus difficiles de Miami. Sa mère est toxicomane, les intimidateurs de son école le prennent constamment pour cible, ses alliés se défilent, mais il tient le cap, contre vents et marées. Un très beau film sur la dignité.
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9. No Country for Old Men de Joel et Ethan Coen (2007)
Une distribution de grande qualité, une mise en scène intelligente, un humour noir irrésistible d'absurdité, une direction photo superbe, des dialogues truculents : No Country for Old Men est ce que les frères Coen ont fait de mieux après Fargo. Javier Bardem trouve dans ce thriller atypique aux airs de western un rôle taillé sur mesure d'assassin psychopathe qui ne s'encombre d'aucun sentiment. Un regard décapant, décalé et caustique sur l'Amérique moderne, où les règles du Far West priment celles de la civilité.
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8. Caché de Michael Haneke (2005)
Un thriller psychologique sombre et tendu, sur le thème de la culpabilité, interprété de remarquable manière par Daniel Auteuil, en animateur d'émission littéraire rattrapé par son enfance, et Juliette Binoche, sublime de retenue dans son rôle de compagne excédée. Un film magistral du cinéaste du Ruban blanc et d'Amour (deux œuvres qui auraient pu figurer dans ce palmarès), qui exploite à merveille les faux-semblants et les multiples facettes dissimulées d'une image. À voir et à revoir pour cette fin ouverte, qui laisse libre cours à toutes les interprétations.
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7. 4 mois, 3 semaines, 2 jours de Cristian Mungiu (2007)
Un film brillant, dur et poignant, campé dans la Roumanie de fin de règne de Nicolae Ceausescu. Dans ce film réalisé avec des bouts de ficelle, Cristian Mungiu propose un regard éloquent, tout en finesse, sur l'amitié, le sexe, les classes sociales, le mensonge obligé et le coût de la vérité sous la dictature. Mungiu offre à voir un plan fixe de pur génie, sublime de tension et d'absurdité, autour d'une table, à l'occasion d'un repas d'anniversaire dans ce film qui a remporté la Palme d'or du Festival de Cannes.
En Blu-Ray et en DVD
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6. Anatomie d'une chute de Justine Triet (2023)
Ce drame judiciaire français est aussi l'autopsie d'un couple. Sandra (Sandra Hüller, formidable d'ambiguïté) est accusée du meurtre de Samuel, trouvé mort devant leur maison par Daniel, leur fils malvoyant de 11 ans. S'agit-il d'un homicide ou d'un suicide ? Sandra clame son innocence, mais même Daniel, qui assiste au procès, finit par ne plus savoir départager le vrai du faux. Tout sauf manichéen, d'une originalité formelle remarquable, Anatomie d'une chute puise davantage son récit dans le doute que dans les certitudes et pose plus de questions qu'il n'offre de réponses.
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5. Un prophète de Jacques Audiard (2009)
Le récit puissant de l'ascension fulgurante en milieu carcéral français d'un sans-abri illettré de 19 ans, Malik (époustouflant Tahar Rahim), qui tombe sous la coupe de mafieux corses avant de devenir lui-même caïd. Deux heures et demie de pur délice cinématographique, dans le style lancinant de Jacques Audiard (De battre mon cœur s'est arrêté, De rouille et d'os, Emilia Pérez). Un récit d'une réalité brutale, au rythme captivant, appuyé par des effets oniriques mesurés et une bande-son irrésistiblement inquiétante. Un grand film, fin et subtil, qui évite les clichés du genre.
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4. Une séparation d'Asghar Farhadi (2011)
Ours d'or du Festival de Berlin, Oscar du meilleur film en langue étrangère, Une séparation, de l'Iranien Asghar Farhadi, est un film remarquable discrètement subversif, sur la moralité, la justice, le fanatisme religieux, la situation de la femme et celle du couple de classe moyenne dans l'Iran moderne (oxymore s'il en est). Un drame poignant et prégnant. Asghar Farhadi aborde avec sa finesse d'esprit habituelle les dilemmes éthiques et moraux auxquels doit faire face le couple dans ce film percutant et superbement interprété.
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3. There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson (2007)
Métaphore aride et violente sur l'Amérique, tour de force du brillantissime Paul Thomas Anderson (The Master ou encore Phantom Thread, du même cinéaste, auraient pu se retrouver dans cette liste), There Will Be Blood est un film grandiose, lancinant, inspiré par la présence quasi mystique de Daniel Day-Lewis. Une œuvre qui porte la marque de son visage émacié et de son regard noir de charbon. Un visage – et un film – que l'on n'est pas près d'oublier.
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2. Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma (2019)
Cette histoire d'un amour impossible est aussi un manifeste éloquent sur les rapports de classe et la condition féminine. La mise en scène de Céline Sciamma, qui filme la naissance de l'amour, la retenue pudique, l'intensité du désir assouvi, grâce à des regards et à des sous-entendus, est magnifique de subtilité, de sensualité et d'élégance. Adèle Haenel crève l'écran dans le rôle du modèle récalcitrant. Les gros plans sur les visages des amoureuses, alors que la nature se déchaîne en arrière-plan, sont sublimes de poésie.
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1. In the Mood for Love de Wong Kar-waï (2000)
Il n'y a pas plus énigmatique que le chef-d'œuvre de Wong Kar-waï. Cette histoire d'un amour inaccessible entre une femme (Maggie Cheung) et son voisin (Tony Leung), aux prises avec l'infidélité commune de leurs époux respectifs dans le Hong Kong des années 1960, est une magistrale leçon de cinéma, d'une infinie sensualité : chaque note, chaque plan de ce magnifique tableau suave a été savamment étudié. Un poème fluide et envoûtant, comme chaque geste réprouvé, chaque hésitation de Maggie Cheung. Un film comme un écrin de velours, qui reprend l'affiche à compter de ce vendredi au Cinéma Moderne, à Montréal.
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La superviseure musicale d'American Idol et son mari trouvés morts à leur domicile
La superviseure musicale d'American Idol et son mari trouvés morts à leur domicile (Los Angeles) Une superviseure musicale d'American Idol et son mari ont été retrouvés morts à leur domicile de Los Angeles lundi après-midi. Associated Press Des policiers effectuaient une vérification de sécurité dans une maison du quartier d'Encino lorsqu'ils ont découvert les corps d'un homme et d'une femme blessés par balle. Un porte-parole d'American Idol a confirmé la mort de Robin Kaye et de son mari, Thomas Deluca, tous deux âgés de 70 ans. Le couple était propriétaire de leur maison, selon les archives publiques. « Robin est un pilier de la famille Idol depuis 2009 et était profondément aimée et respectée par tous ceux qui l'ont côtoyée », a affirmé un porte-parole du concours de chant télévisé dans un communiqué. « Robin restera à jamais dans nos cœurs et nous adressons nos plus sincères condoléances à sa famille et à ses amis en cette période difficile. » La police de Los Angeles a annoncé mardi après-midi l'arrestation de Raymond Boodarian, 22 ans, en lien avec le décès du couple. M. Boodarian aurait cambriolé leur domicile le 10 juillet, alors que le couple était absent. Il est accusé d'avoir tué Mme Kaye et son mari par balle à leur retour, puis d'avoir pris la fuite à pied. Le suspect n'a pas encore été désigné un avocat commis d'office et n'a pas pu être rejoint pour commenter. La police est intervenue le même après-midi à la suite de signalements de cambriolage au domicile d'Encino, mais a déclaré dans un communiqué de presse qu'il n'y avait « aucun signe d'effraction ni de troubles ». Mme Kaye, vétérane de l'industrie du cinéma, a également travaillé au département musical de plusieurs autres productions, telles que The Singing Bee, Hollywood Game Night, Lip Sync Battle et plusieurs éditions de Miss USA et Miss Univers.


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