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« Personne n'est au-dessus des lois » : Trump publie une fausse vidéo montrant Obama arrêté, menotté et jeté en prison
« Personne n'est au-dessus des lois » : Trump publie une fausse vidéo montrant Obama arrêté, menotté et jeté en prison

Le Parisien

time2 days ago

  • Le Parisien

« Personne n'est au-dessus des lois » : Trump publie une fausse vidéo montrant Obama arrêté, menotté et jeté en prison

Une nouvelle illustration des dangers de l'intelligence artificielle , et de son usage dans les plus hautes sphères du pouvoir américain. Donald Trump a publié ce lundi sur Truth Social une fausse vidéo générée par IA montrant son prédécesseur Barack Obama se faire arrêter. Sur ces images, l'ancien président est mis à genoux puis menotté par deux agents du FBI dans ce qui semble être le bureau ovale de la Maison-Blanche, sous les yeux d'un Donald Trump hilare. Sur les images qui suivent, Barack Obama est seul dans une cellule, vêtu d'une tunique orange caractéristique des détenus américains. Auparavant, on voit défiler plusieurs figures du parti démocrate, dont Nancy Pelosi et Joe Biden , alors que s'affiche le message : « Personne n'est au-dessus de la loi ». La scène est accompagnée du morceau « Y.M.C.A. », tube disco devenu véritable hymne de campagne de Trump au moment de sa réélection. Cette vidéo a initialement été publiée sur TikTok par un compte nommé « neo8171 », puis reprise par le président américain sur son réseau Truth Social. Contacté par le New York Times , le bureau de Barack Obama n'avait pas réagi dans l'immédiat. Ce lundi, la directrice du renseignement national américain, Tulsi Gabbard, proche de Trump, a demandé des poursuites judiciaires contre Barack Obama et d'anciens hauts responsables de la sécurité nationale américaine, qu'elle accuse d'avoir « fabriqué et politisé des renseignements pour jeter les bases » de l'enquête du FBI sur l'ingérence russe dans les élections de 2016 . Selon le New York Times, Donald Trump essaierait de détourner l'attention de ses partisans MAGA, dont certains sont en colère après la non-divulgation des dossiers de l'affaire Epstein , promesse de campagne sur laquelle Trump est revenu.

Deux ans après le putsch au Niger, les tractations avec la junte pour libérer l'ancien président Mohamed Bazoum
Deux ans après le putsch au Niger, les tractations avec la junte pour libérer l'ancien président Mohamed Bazoum

Le Figaro

time3 days ago

  • Politics
  • Le Figaro

Deux ans après le putsch au Niger, les tractations avec la junte pour libérer l'ancien président Mohamed Bazoum

RÉCIT - Le président retenu prisonnier avec sa femme depuis deux ans est devenu un otage encombrant pour le chef de la junte au pouvoir. Séquestré entre quatre murs dans un réduit du palais présidentiel de Niamey, Mohamed Bazoum n'a pas vu le jour depuis deux ans. Le 26 juillet 2023, Abdourahamane Tiani, le chef de sa garde rapprochée, lui volait le pouvoir avec le soutien d'une partie de l'armée nigérienne. Mais, aujourd'hui, le putschiste ne sait plus quoi faire de son prisonnier, lequel n'a jamais voulu démissionner de ses fonctions de chef de l'État démocratiquement élu en février 2021. Abdourahamane Tiani, qui s'est récemment autopromu général d'armée, vit dans la crainte permanente d'être renversé à son tour. Il s'éloigne rarement de son domicile situé dans le carré de la résidence présidentielle. À quelques mètres seulement de Mohamed Bazoum. Il reçoit peu avec son épouse Sabira Issa. Il se méfie de ses visiteurs car il est la cible de critiques de plus en plus virulentes sur sa capacité à gouverner. Dans la population, mais aussi dans les cercles du pouvoir et les corps constitués, où les personnes interrogées acceptent…

La lettre du Figaro du 18 juillet 2025
La lettre du Figaro du 18 juillet 2025

Le Figaro

time5 days ago

  • Business
  • Le Figaro

La lettre du Figaro du 18 juillet 2025

Réservé aux abonnés La poudrière syrienne, la France championne d'Europe des impôts, les chaussettes blanches de retour, les prénoms les plus donnés. Chers abonnés, En Syrie, le nouveau pouvoir est déjà confronté au risque d'implosion. La justice est aussi partiale et opaque qu'avant, l'économie ne se redresse guère et des affrontements communautaires montrent que le président Ahmed al-Charaa ne tient pas ses troupes. Israël a bombardé Damas pour empêcher toute présence menaçante au sud et protéger les druzes. Le chaos guette. En France, François Bayrou se prépare à une rentrée de tous les dangers. La France reste championne d'Europe des impôts. Sur un ton plus léger, c'est le moment d'analyser un phénomène de mode : le grand retour de la chaussette blanche. Par ailleurs, un algorithme révèle le vrai palmarès des prénoms les plus donnés en France. Enfin, un de nos journalistes a pu effectuer une plongée au cœur de la très discrète brigade de recherche des fugitifs. Bonne journée ! Votre épistolier, Louis Lecomte • À la une En Syrie, le nouveau pouvoir déjà confronté au risque d'implosion La fumée s'élève après des frappes sur le ministère de la Défense de la Syrie à Damas, selon Al Jazeera TV, à Damas, en Syrie, le 16 juillet 2025. Khalil Ashawi / REUTERS Dans les pages du Figaro, l'enthousiasme avait été modéré…

Cameroun: le président Paul Biya se déclare candidat à un huitième mandat
Cameroun: le président Paul Biya se déclare candidat à un huitième mandat

Le Figaro

time13-07-2025

  • Politics
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Cameroun: le président Paul Biya se déclare candidat à un huitième mandat

Le président camerounais Paul Biya, âgé de 92 ans et au pouvoir depuis près de 43 ans, a annoncé dimanche sur X briguer un huitième septennat à la présidentielle d'octobre. «Je suis candidat à l'élection présidentielle du 12 octobre 2025. Soyez assurés que ma détermination à vous servir est à la mesure de l'acuité des défis auxquels nous sommes confrontés», a déclaré le chef de l'État. Publicité Plus d'informations à venir ...

Pierre-Édouard Stérin, tout ce que vous devez savoir sur ce milliardaire qui sponsorise l'extrême droite
Pierre-Édouard Stérin, tout ce que vous devez savoir sur ce milliardaire qui sponsorise l'extrême droite

Le HuffPost France

time11-07-2025

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Pierre-Édouard Stérin, tout ce que vous devez savoir sur ce milliardaire qui sponsorise l'extrême droite

POLITIQUE - Dans les coulisses du pouvoir, au Parlement ou dans les couloirs des ministères, son nom circule depuis de longs mois déjà. Que ce soit pour s'en inquiéter ou pour s'étonner de ses méthodes, visant à appliquer au milieu politique les codes de l'entreprise, guidés par la recherche de la rentabilité. Longtemps discret, Pierre-Édouard Stérin est désormais un acteur du combat électoral. Ce « saint patron des réacs » comme le décrivait le Nouvel Obs au mois de février roule ouvertement pour l'extrême droite, et oriente sa fortune pour la victoire des idées nationalistes. Ce jeudi 10 juillet, Le Monde a révélé que ce partisan du catholicisme identitaire fait l'objet d'une enquête judiciaire. Motif ? Des soupons de financement illégal de candidats du Rassemblement national entre 2020 et 2021. Jusqu'ici, le quinquagénaire était surtout connu pour ses aspirations métapolitiques. Cette obsession de l'extrême droite qui, selon une certaine perception de l'œuvre du théoricien italien Antonio Gramsci, consiste à remporter la bataille culturelle avant de gagner dans les urnes. Un combat incarné à la perfection par un autre milliardaire mû par les mêmes idées : Vincent Bolloré. Or, les révélations du Monde font basculer l'entrepreneur dans le jeu politique, le vrai. Raison pour laquelle Le HuffPost se résout à tirer son portrait, quelques semaines après son refus de répondre à la convocation des députés dans le cadre d'une commission d'enquête consacrée justement à « l'organisation des élections en France ». Voici donc tout ce qu'il faut savoir de celui qui ambitionne de faire gagner un candidat d'extrême droite à la prochaine présidentielle. Un « patriote » exilé fiscal Dans les divers portraits qui lui ont été consacrés dans la presse, le fondateur du groupe Smartbox est décrit comme un « ultralibéral », allergique à l'impôt et à la redistribution organisée par la force publique. « Je préfère éviter de payer l'impôt, et ainsi gagner plus d'argent, pour le redistribuer à bon escient, au profit de projets que nous sélectionnons, où l'euro dépensé sera beaucoup plus efficace que dans la grande machine de l'État », expliquait-il en 2022 dans Le Pèlerin (un hebdo chrétien), pour justifier son exil fiscal en Belgique. L'homme a pris la direction du plat pays avec femme et enfants en 2012, après l'élection de François Hollande, qui promettait de taxer les grandes fortunes à 75 %. « Je ne le cache pas, sur le plan fiscal, la Belgique et la France, c'est le jour et la nuit », expliquait-il au quotidien Le Soir deux ans plus tard, depuis sa résidence à Ohain, d'où il échappe à l'impôt sur les plus-values. C'est donc depuis ce pays voisin que Pierre-Édouard Stérin se pique de « sauver la France » en manœuvrant pour porter au pouvoir une personnalité fidèle à ses idées, identitaires et conservatrices. Projet Périclès C'était il y a quasiment un an. Le 19 juillet 2024, L'Humanité révèle l'existence du « Projet Périclès », piloté par ce père de cinq enfants. Périclès pour « Patriotes, Enracinés, Résistants, Identitaires, Chrétiens, Libéraux, Européens, Souverainistes ». Une sorte de business plan visant à « permettre la victoire idéologique, électorale et politique » de l'extrême droite. Ce qui passe par une « guérilla juridique » et « médiatique » à laquelle il compte bien évidemment prendre part, en sponsorisant notamment l'Institut libre de journalisme ou en finançant des médias en ligne proche de l'extrême droite, comme « Le Crayon ». Pierre-Édouard Stérin a tenté, en vain, de racheter Marianne pour prendre part à la croisade idéologique menée en parallèle par Vincent Bolloré à travers son empire médiatique. Méticuleux, l'entrepreneur ambitionne aussi à travers Périclès de prendre part à la campagne du Rassemblement national aux prochaines municipales. « Objectif de 300 villes à gagner absolument par le RN en 2026 », détaillait le document révélé par L'Huma. Ce plan comprend également le financement de plusieurs think-tanks et associations diffusant des idées conservatrices et anti-immigration. « Pour transformer durablement le paysage politique et social français, nous offrons aux décideurs et aux entrepreneurs de notre famille de pensée un soutien opérationnel et financier ainsi que les ressources technologiques et scientifiques nécessaires pour agir », note l'organisation sur son site Internet. C'est précisément cette activité qui lui a valu une convocation devant la représentation nationale. Une obligation à laquelle l'intéressé a préféré se soustraire, se cachant derrière le prétexte (assez peu convaincant) d'un risque lié à sa sécurité. « Ridicule », avait fustigé la présidente de l'Assemblée, Yaël Braun-Pivet. Fascination et méfiance Avec une fortune estimée à 1,4 milliard d'euros et une ambition politique de plus en plus ostentatoire, Pierre-Édouard Stérin a tout pour provoquer une forme de fascination au sein du microcosme. Raison pour laquelle, sans doute, ce catholique pratiquant a été invité sous les ors du ministère de l'Intérieur par Bruno Retailleau, comme l'avait révélé Le Nouvel Ob s. Le milliardaire compte parmi ses proches François Durvye, à la fois à la tête du fonds d'investissement de Pierre-Édouard Stérin (Otium capital) et conseiller économique de Marine Le Pen. De quoi faire de l'entrepreneur un compagnon de route du RN ? C'est (beaucoup) plus compliqué. Car si le milliardaire perçoit le RN comme proche de ses idées (notamment sur l'immigration) et considère que sa promotion est nécessaire à l'avènement d'une victoire du camp nationaliste, il juge en même temps le parti lepéniste comme trop étatiste. En outre, il n'est pas particulièrement acquis à Marine Le Pen, laquelle en a bien conscience. De quoi expliquer la méfiance que l'homme suscite au sein des fidèles marinistes, sceptiques quant aux ambitions réelles des milliardaires conservateurs. L'épisode du sondage commandé par un organisme financé par ses soins, et qui avait testé Jordan Bardella à la présidentielle (sans inclure Marine Le Pen), avait réveillé les soupçons au sein au RN, où beaucoup suspectent l'entrepreneur de jouer le dauphin (plus libéral sur le plan économique) contre la patronne. « Ces gens sont soi-disant là pour nous aider et passent une commande pour affaiblir Marine lors du 1er-Mai. Leur but, c'est de poignarder Marine Le Pen, puis d'affaiblir Jordan Bardella, pour propulser Retailleau », avait grondé Jean-Philippe Tanguy, cité par Le Monde. Le député de la Somme ne s'empêche pas de dire tout haut ce qu'il pense de celui qui, avec Vincent Bolloré, a financé le « Sommet des Libertés » le 24 juin au Casino de Paris auquel ont participé Jordan Bardella, Sarah Knafo et Éric Ciotti. Invité par franceinfo à réagir à l'enquête visant Pierre-Édouard Stérin au sujet de financements de candidats RN, Jean-Philippe Tanguy a répondu : « ça fait de longs mois, pour ne pas dire de longues années, que je dis que M. Stérin n'a rien à voir avec nos idées ». Avant d'ajouter : « le marinisme n'a aucun point commun avec cette personne ». Le déni, si profond, en devient presque touchant.

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