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Retards, annulations… Perturbations à l'aéroport de Nice à cause d'un portique en panne
Retards, annulations… Perturbations à l'aéroport de Nice à cause d'un portique en panne

Le Parisien

time2 days ago

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Retards, annulations… Perturbations à l'aéroport de Nice à cause d'un portique en panne

Il a suffi d'une panne pour pénaliser de nombreux voyageurs. Lundi soir, vers 20 heures, une grosse perturbation a touché l'aéroport de Nice (Alpes-Maritimes). Un portique de sécurité, de ceux qui permettent de détecter la présence d'objets interdits dans les avions, a cessé de fonctionner. Résultat, comme l'a précisé l'aéroport auprès de Nice-Matin , « la police a demandé, par mesure de sécurité, de faire ressortir les passagers de la salle d'embarquement et de les faire passer de nouveau aux contrôles ». Il a donc fallu évacuer 2 000 personnes, pour les faire entrer de nouveau. De quoi causer « d'importants retards » sur les vols lundi soir, ainsi que des annulations, a précisé l'aéroport auprès du journal local. D'après BFMTV , en tout, six vols ont été annulés et 30 retardés. Selon RMC , certains voyageurs dont le vol a été supprimé ont même dû repartir sans leur valise , qui avait déjà été déposée à l'embarquement. L'aéroport a assuré mener une enquête pour éviter que cette panne ne se reproduise.

Orléans : des lettres arrivent avec plusieurs semaines de retard après la suppression de 16 tournées par La Poste
Orléans : des lettres arrivent avec plusieurs semaines de retard après la suppression de 16 tournées par La Poste

Le Parisien

time3 days ago

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Orléans : des lettres arrivent avec plusieurs semaines de retard après la suppression de 16 tournées par La Poste

Dans l'agglomération d'Orléans ( Loiret ), les retards de distribution du courrier se sont accumulés, ces dernières semaine. La situation s'est fortement dégradée avec la réorganisation du service en juin, après la suppression de 16 tournées. Les facteurs qui récupèrent la charge de travail s'épuisent, et des usagers attendent leur courrier pendant plusieurs semaines. « Les agents pleurent », rapporte d'un ton grave David Sempé, représentant syndical Sud PTT, pour qui le constat est sans appel. Selon lui, les agents sont à bout. « Certains ne parviennent plus à finir leur tournée, même en rognant sur leur pause méridienne », précise-t-il. « Psychologiquement, c'est très difficile pour eux. » Ces suppressions de tournées ne sont pas temporaires, indique-t-il : « Ce sont celles qui étaient jusqu'ici réalisées par des intérimaires ou des CDD. Elles ont été définitivement supprimées et réparties sur les tournées restantes. » La charge supplémentaire revient ainsi aux facteurs titulaires, qui doivent désormais couvrir des zones plus vastes en un temps identique. Derrière ces suppressions, se cacherait selon le syndicaliste une stratégie plus large. « Depuis l'arrivée des CSE à La Poste fin 2024, la direction a accéléré les réorganisations . Leur logique est simple : moins de courrier est égal à moins de postes. Ils suppriment donc à tour de bras les positions de travail, sans tenir compte de la réalité du terrain », dénonce-t-il. David Sempé est en colère car, pour lui, du courrier, il y en a toujours. Aux lettres s'ajoutent désormais les recommandés, les colis, la publicité non adressée, et même de nouveaux services. Mais, avec moins de personnel, les tournées deviennent intenables. « Une tournée qui comptait 700 boîtes passe à 1 000. C'est ingérable. Et à force, ça craque », s'alarme David Sempé. La Poste reconnaît une dégradation du service ces dernières semaines, mais nuance les causes et assure que les choses s'améliorent. « Oui, il y a eu des difficultés, mais la situation est en voie de stabilisation. Il y a eu un temps de rodage après la mise en place de la nouvelle organisation en juin, et la canicule début juillet a également perturbé la distribution », explique Gérald Thomas, directeur opérationnel de La Poste pour le Loiret et l'Eure-et-Loir. « Nous avions demandé aux facteurs d'arrêter la distribution l'après-midi pour des raisons de sécurité », précise-t-il, alors que le département du Loiret a été en alerte rouge canicule durant quelques jours. Il affirme que la situation est presque stabilisée : « Aujourd'hui, moins de 5 % du courrier d'une journée type reste à distribuer le lendemain. » Quant aux 16 tournées évoquées par le syndicat Sud PTT, Gérald Thomas parle de « réorganisation » liée à la forte baisse des volumes de courrier : « Sur le premier semestre 2025, on est à -8 % par rapport à 2024, ce qui représente l'équivalent d'un mois d'activité en moins. » Il souligne également qu'un accord social a été signé par 70 % des syndicats. Concernant l'état moral des agents, il tempère : « J'ai vu une cinquantaine de facteurs ce matin encore, et personne ne pleurait. Oui, il y a des difficultés, mais les équipes sont mobilisées. Ce genre de déclaration, c'est du Zola. » Enfin, il tient à adresser un message aux usagers : « Je comprends que ces désagréments aient pu affecter certains habitants. Je leur présente nos excuses pour les retards subis. » Il rappelle par ailleurs que La Poste investit actuellement dans la transformation de son site de Fleury-les-Aubrais (Loiret) pour développer la logistique des colis. Un chantier de 10 millions d'euros qui s'inscrit dans la stratégie de diversification du groupe.

Le coût de la grève des contrôleurs aériens français estimé à 120 millions d'euros
Le coût de la grève des contrôleurs aériens français estimé à 120 millions d'euros

Le Figaro

time10-07-2025

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Le coût de la grève des contrôleurs aériens français estimé à 120 millions d'euros

Le mouvement social des 3 et 4 juillet «a provoqué des coûts d'environ 47 millions d'euros pour des retards, et quelque 73 millions pour des annulations» de vols au secteur aérien européen, selon l'organisme de surveillance du trafic Eurocontrol. De lourdes conséquences financières. La grève des contrôleurs aériens français la semaine dernière a coûté environ 120 millions d'euros aux compagnies européennes, a estimé jeudi 10 juillet l'organisme de surveillance du trafic Eurocontrol. Ce mouvement social, les 3 et 4 juillet, «a provoqué des coûts d'environ 47 millions d'euros pour des retards, et quelque 73 millions pour des annulations» de vols au secteur aérien européen, a détaillé Eurocontrol dans un communiqué. La grève, déclenchée par deux syndicats minoritaires d'aiguilleurs du ciel français réclamant une amélioration des conditions de travail et des effectifs plus importants, a «touché plus d'un million de passagers, dont 200.000 n'ont pas pu voler comme ils l'avaient prévu en raison d'annulations», a ajouté Eurocontrol. L'organisme a relevé 1422 annulations de vols, soit 4,7% des trajets prévus, lors de chacun des deux jours de grève. En outre, chaque jour, des retards ont affecté 3713 vols en moyenne, soit 10,7% de l'ensemble des liaisons programmées. Publicité Une «mobilisation historique» Selon la Direction générale de l'aviation civile, 272 contrôleurs aériens ont participé à la grève jeudi et vendredi, sur un millier de personnels de service. Le deuxième syndicat d'aiguilleurs du ciel, l'Unsa-Icna (17% des voix aux dernières élections professionnelles), a lancé ce mouvement et a été rejoint par la troisième force syndicale de la profession, l'Usac-CGT (16%). Parmi les griefs de l'Unsa-Icna : «un sous-effectif entretenu et responsable des retards une bonne partie de l'été», des outils obsolètes et «un management toxique, incompatible avec les impératifs de sérénité et de sécurité exigés». Samedi, le syndicat a salué une «mobilisation historique» mais n'a pas donné d'indication sur la suite du mouvement, alors que le ministre chargé des Transports, Philippe Tabarot, a exclu de céder aux revendications «inacceptables» des grévistes. Une réforme contestée est en cours pour établir un pointage des contrôleurs à la prise de poste, après un «incident grave» à l'aéroport de Bordeaux fin 2022, quand deux avions avaient failli entrer en collision. Une enquête en avait fait peser la responsabilité sur une organisation défaillante du travail des aiguilleurs, en dehors du cadre légal et sans respect du tableau de service.

Montréal poursuit deux entrepreneurs pour 14 millions
Montréal poursuit deux entrepreneurs pour 14 millions

La Presse

time10-07-2025

  • Politics
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Montréal poursuit deux entrepreneurs pour 14 millions

Montréal estime avoir perdu gros avec le chantier du nouveau pont de L'Île-Bizard, mis en service en novembre dernier avec un an de retard. La Ville poursuit pour 14 millions deux firmes d'ingénierie et d'architecture, les estimant responsables des retards et surcoûts. Dans la poursuite déposée cette semaine au palais de justice de Montréal, la municipalité indique avoir été obligée d'autoriser de nombreux changements et de demander des travaux additionnels durant le chantier. Elle dit y avoir été forcée en raison d'erreurs de conception de la firme d'ingénierie AtkinsRéalis, anciennement SNC-Lavalin, et de la compagnie d'architecture Provencher Roy durant la réalisation des plans et devis. Le projet, qui devait coûter environ 75 millions au départ, a plutôt entraîné une facture de 90 millions, apprend-on dans la poursuite. Le chantier a débuté au printemps 2022. L'infrastructure, qui devait à l'origine être livrée fin 2023, n'a été inaugurée qu'en novembre 2024, soit avec un an de retard. La Ville allègue notamment que les deux entrepreneurs ont utilisé des données géotechniques « en étant conscients qu'elles présentaient des incertitudes et imprécisions », sans chercher à y remédier durant la phase d'avant-projet. On reproche également aux deux firmes d'avoir choisi un mauvais type de fondation pour les piles, en plus d'avoir retenu un mode de construction inapproprié, sans avoir informé la Ville des risques de cette décision. Il était déjà connu que la découverte de problèmes dans les fondations situées dans la rivière avait considérablement retardé la construction du nouveau pont. Travaux ralentis, surveillance augmentée D'après la municipalité, la conception des fondations de la culée du pont, autrement dit la partie de la structure qui soutient le poids du tablier et des poutres, avait été faite « sans disposer de données au droit de cet axe », ce qui pourrait avoir allongé leur installation. Ces nombreuses défaillances ont contribué, selon la Ville, à un ralentissement généralisé « de la progression des travaux » et, surtout, à une augmentation des coûts en raison de « nombreuses réclamations » faites après coup par EBC. Il s'agit de la firme qui avait été chargée de construire le nouveau pont. La Ville estime enfin avoir fait face à une hausse des coûts de services professionnels de surveillance de travaux, ainsi qu'à une augmentation des coûts de main-d'œuvre interne surpassant les 350 000 $. Au bout du compte, les travaux de structures ont coûté 3,5 millions de plus que prévu et les travaux civils, plus de 1 million de dollars supplémentaires. À eux seuls, les travaux de chaussée et le maintien de la circulation engendrés par les retards ont coûté plus de 200 000 $. Divers coûts « indirects » attribuables au prolongement du chantier sont enfin évalués à plus de 8,5 millions de dollars, mais non ventilés. Un an après… un casse-tête Le retard dans les travaux n'a pas été sans conséquence. En septembre dernier, le tournoi de golf professionnel de la Coupe des Présidents, qui réunissait des milliers d'adeptes et de touristes dans le secteur, avait été fortement perturbé par la congestion à l'approche de l'ancien pont de L'Île-Bizard. Avec trois voies, le vieux pont avait été inauguré en 1966 et arrivait depuis plusieurs années à la fin de sa vie utile. Le nouveau pont, lui, dispose de quatre voies, de trottoirs plus larges, d'une piste cyclable bidirectionnelle et d'un belvédère au centre. Les conduites d'aqueduc et d'égout ainsi que les réseaux électriques et de câblages ont aussi été retapés sous le pont. 30 000 C'est le nombre de véhicules empruntant le corridor du pont de L'Île-Bizard sur une base quotidienne, selon les données les plus récentes de la Ville de Montréal. Peu d'options s'offraient par ailleurs en transport collectif, mis à part l'autobus. « Il devait y avoir le Réseau express métropolitain (REM) ici et on espérait que le pont serait réparé. Il y a toutefois eu des complications au niveau de l'instabilité des sols », avait alors reconnu la mairesse Valérie Plante en mêlée de presse, remerciant au passage les résidants « pour leur sacrifice ». Les acteurs impliqués dans cette poursuite n'ont pas souhaité commenter l'affaire, lorsqu'appelés à réagir, cette semaine. « Par respect pour le processus en cours, nous ne ferons pas de commentaires à ce stade-ci », nous a indiqué la directrice des communications de Provencher Roy, Nancy Mancini. Même son de cloche chez AtkinsRéalis et la Ville de Montréal, qui disent tous les deux vouloir laisser le processus judiciaire suivre son cours avant d'émettre plus de commentaires.

Incendie à Marseille : la circulation des trains interrompue par la SNCF «au départ et à l'arrivée» de la ville
Incendie à Marseille : la circulation des trains interrompue par la SNCF «au départ et à l'arrivée» de la ville

Le Figaro

time08-07-2025

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  • Le Figaro

Incendie à Marseille : la circulation des trains interrompue par la SNCF «au départ et à l'arrivée» de la ville

«L'heure de reprise n'est pas encore envisagée», indique le groupe ferroviaire. Les passagers concernés peuvent obtenir le remboursement de leur billet. Les voyageurs se rendant dans le Sud de l'Hexagone devront faire preuve de patience. Ce mardi 8 juillet, la SNCF a indiqué que l'incendie violent qui fait rage autour de Marseille allait perturber «très fortement» la circulation de ses trains. Dans un message transmis à la presse, le groupe ferroviaire indique que «la circulation des trains est interrompue au départ et à l'arrivée de Marseille en direction du nord et de l'ouest, en raison d'un incendie aux abords des voies vers l'Estaque». «La circulation des trains est interrompue au départ et à l'arrivée de la gare de Marseille Saint-Charles. Certains trains empruntent un itinéraire de contournement via la ligne classique afin d'éviter la zone. Des modifications et suppressions de dessertes sont possibles», précise l'entreprise. Les voyageurs risquent de faire face à des «retards allant jusqu'à 4 heures» sur les TGV INOUI, OUIGO et INTERCITÉS circulant dans cette zone. La situation sur la ligne à grande vitesse Sud-Est est aggravée par un incident de personne, alors qu'un individu a été heurté par un train vers Vaumort (Yonne). Publicité La SNCF invite à reporter son voyage À la gare de Marseille, «l'heure de reprise n'est pas encore envisagée. Nous vous invitons dans la mesure du possible à reporter votre voyage et à ne pas vous rendre en gare. Vous avez la possibilité d'échanger ou de vous faire rembourser vos billets sans frais», ajoute la SNCF, sur son site. Les billets grandes lignes, plus particulièrement, «sont annulables et remboursables». Violent incendie à Marseille : le feu a atteint la ville, au moins 350 hectares parcourus La circulation des trains n'est pas la seule à être perturbée par le feu qui continue de faire des ravages autour de la cité phocéenne, et qui a même gagné la ville. L'aéroport Marseille-Provence, situé à Marignane (Bouches-du-Rhône), est également fermé depuis la mi-journée, et aucun vol ne s'y pose ni n'en décolle. La situation reste délicate, alors que le feu a déjà parcouru 350 hectares, et que «les conditions météo sont extrêmement défavorables», selon les sapeurs pompiers des Bouches-du-Rhône.

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