Smartphones, écouteurs, montres… Comment Google a réussi à imposer sa marque Pixel
Le géant californien lance la dixième génération de son téléphone, vitrine technologique de son savoir-faire. N'ayant pas à rougir de ses performances par rapport à des rivaux comme Apple ou Samsung, Pixel n'en reste pas moins à la croisée des chemins.
Un pari gagnant. En 2016, lorsque Google abandonnait sa marque de smartphones Nexus, développée par son partenaire taïwanais HTC, pour la remplacer par la gamme Pixel (dont l'activité de design du produit allait être internalisée à partir de 2017), les rares fidèles de la marque s'inquiétaient : Google, qui n'est pas un concepteur de « hardware », n'allait-il pas se brûler les ailes ? Dix ans plus tard, alors qu'il lance la 10e génération de Pixel (10, 10 Pro, 10 Pro XL et le pliable 10 Fold) ce mercredi soir, le géant californien a rassuré ses contempteurs.
À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech
La firme dirigée par Sundar Pichai n'a certes pas chamboulé le duopole d'Apple et Samsung dans le smartphone. Sa part de marché oscille, selon les lancements et les années, entre 0,5 % et 1 % des ventes à travers la planète. Mais l'essentiel est ailleurs : le groupe équipe les trois quarts des téléphones vendus dans le monde grâce à son système d'exploitation Android. Historiquement, Pixel était d'ailleurs vu comme…
Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes
Le Parisien
4 hours ago
- Le Parisien
Pixel 10 : comment Google a converti en 10 ans son savoir-faire logiciel en photophone de référence
Pour cette dixième itération, le géant du logiciel s'enorgueillit d'une transition réussie du logiciel au hardware en partant de quasiment zéro. « Le parcours de Google vers sa gamme Pixel et le marché des appareils mobiles n'a pas été sans embûches mais une aventure de 20 ans qui a débuté avec le rachat de la start-up Android à l'origine du système d'exploitation éponyme », rembobine Andrew Cornwall, analyste senior chez l'entreprise de conseils Forrester.
Le Parisien
5 hours ago
- Le Parisien
L'IA de WhatsApp s'invite-t-elle dans vos conversations privées ?
« Depuis quelques jours l'IA est disponible sur WhatsApp et peut donc accéder aux messages et aux informations personnelles… y compris depuis des discussions privées. » Un ami ou une collègue vous a peut-être transféré ce message en vous intimant d'activer l'option « Confidentialité avancée » pour chacune de vos conversations. En cause : le déploiement d'une IA signée Meta, la maison mère de l'application de messagerie. Une fonctionnalité pour résumer les conversations bientôt en France L'entreprise a annoncé fin juin l'arrivée de « Message Summaries » aux États-Unis. Une fonctionnalité qui utilise l'IA de Meta pour résumer les messages non lus dans une discussion. L'objectif : permettre aux utilisateurs de comprendre rapidement l'essentiel d'une conversation sans la parcourir en détail. La nouveauté toujours en cours de déploiement aux États-Unis, en anglais, devrait être étendue à d'autres pays et langues d'ici la fin de l'année. Meta assure que cette fonctionnalité ne trahit pas les données privées de ses utilisateurs. L'IA générerait un résumé sans que ni Meta ni WhatsApp n'aient accès aux messages ou aux synthèses produites. Le recours à cette option reste par ailleurs facultatif : il est désactivé par défaut et chaque utilisateur peut choisir les discussions à partager avec l'IA via les paramètres de confidentialité. En parallèle, WhatsApp a introduit en France fin avril une nouvelle option baptisée « confidentialité avancée de la discussion ». Ce paramètre permet de bloquer l'exportation des conversations, le téléchargement automatique de médias par d'autres participants, et surtout, elle empêche d'invoquer l'IA dans un message. Meta entraîne ses modèles d'IA grâce aux données publiées sur Facebook et Instagram
Le Figaro
5 hours ago
- Le Figaro
Smartphones, écouteurs, montres… Comment Google a réussi à imposer sa marque Pixel
Réservé aux abonnés Le géant californien lance la dixième génération de son téléphone, vitrine technologique de son savoir-faire. N'ayant pas à rougir de ses performances par rapport à des rivaux comme Apple ou Samsung, Pixel n'en reste pas moins à la croisée des chemins. Un pari gagnant. En 2016, lorsque Google abandonnait sa marque de smartphones Nexus, développée par son partenaire taïwanais HTC, pour la remplacer par la gamme Pixel (dont l'activité de design du produit allait être internalisée à partir de 2017), les rares fidèles de la marque s'inquiétaient : Google, qui n'est pas un concepteur de « hardware », n'allait-il pas se brûler les ailes ? Dix ans plus tard, alors qu'il lance la 10e génération de Pixel (10, 10 Pro, 10 Pro XL et le pliable 10 Fold) ce mercredi soir, le géant californien a rassuré ses contempteurs. À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech La firme dirigée par Sundar Pichai n'a certes pas chamboulé le duopole d'Apple et Samsung dans le smartphone. Sa part de marché oscille, selon les lancements et les années, entre 0,5 % et 1 % des ventes à travers la planète. Mais l'essentiel est ailleurs : le groupe équipe les trois quarts des téléphones vendus dans le monde grâce à son système d'exploitation Android. Historiquement, Pixel était d'ailleurs vu comme…
