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Paul McCartney en spectacle deux soirs à Montréal en novembre

Paul McCartney en spectacle deux soirs à Montréal en novembre

La Presse5 days ago
La tournée Got Back de Paul McCartney s'est enrichie de 19 nouvelles dates jeudi, parmi lesquelles deux arrêts au Centre Bell à Montréal les 17 et 18 novembre prochains.
La tournée Got Back de Paul McCartney s'est enrichie de 19 nouvelles dates jeudi, parmi lesquelles deux arrêts au Centre Bell à Montréal les 17 et 18 novembre prochains.
Le légendaire ex-Beatles, qui a fêté ses 83 ans le 18 juin dernier, a inauguré cette tournée en 2022 et a donné 54 concerts depuis. Il y revisite les six dernières décennies de sa carrière, notamment avec ses classiques comme Hey Jude et Let It Be et ses premiers succès solos avec son groupe Wings comme Band on the Run.
Paul McCartney sera accompagné de ses collaborateurs de longue date sur la scène : Paul Wickens aux claviers, Brian Ray à la basse et à la guitare, Rusty Anderson à la guitare et Abe Laboriel Jr à la batterie.
Outre Montréal, les nouvelles dates annoncées jeudi incluent un autre arrêt au Canada, plus précisément à Hamilton, et 16 concerts aux États-Unis. La prévente et les forfaits VIP seront disponibles à compter du mardi 15 juillet à 10 heures (heure locale) avant la mise en vente au public le vendredi 18 juillet à 10 h.
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Votre regard sur les feux d'artifice
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time42 minutes ago

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Votre regard sur les feux d'artifice

Alexandre Sirois et Chantal Guy⁠1 ont débattu récemment des splendeurs et des désagréments des feux d'artifice. Voici maintenant quelques-uns de vos points de vue sur le sujet. Jeux de lumière Depuis le tout début des feux d'artifice, je les ai tous vus et même si parfois c'est tellement spectaculaire, je crois que la pollution engendrée devrait revenir à zéro. Nous avons ici chez nous de très grands spécialistes des jeux de lumière ne faisant aucune pollution qui pourraient nous concocter des soirées tout aussi explosives et colorées. Pourquoi pas… Michel Casaubon, Longueuil À petite dose Je suis d'accord pour le maintien des festivals de feux d'artifice, pourvu que ce ne soit pas trop fréquent ni sur une trop longue période. Deux fois par semaine, c'est trop. Comme n'importe quel évènement, ça a son lot d'inconvénients comme les fermetures de rues, l'achalandage élevé et le bruit. Cela étant dit, je suis totalement contre les résidants qui font exploser des pièces pyrotechniques au milieu de la nuit et qui réveillent tout le voisinage, sans compter les incendies et les blessures que ça peut causer. Nicolas Comtois, Montréal Points de vue privilégiés Il s'agit d'une belle façon de célébrer. Nous sommes allés aux célébrations du 24 juin et du 1er juillet où il y avait des feux. Nous sommes en désaccord avec ceux qui veulent les empêcher et imposer leur vision. Qu'on nous laisse choisir. Avec le bord de l'eau, Montréal bénéficie de points de vue particulièrement privilégiés. À La Ronde, l'an dernier, ils avaient ajouté des projections laser sur l'eau, c'était très réussi. Je suis plutôt préoccupée par les feux d'artifice improvisés par des citoyens avec des pièces vendues dans des commerces. Diane Vallée, Montréal Dangereux pour les bêtes Je suis contre les feux d'artifice, car j'ai perdu un chien et pourtant j'étais loin. Il a eu tellement peur qu'il est parti en courant, puis il est mort d'une crise cardiaque. Aussi, ces feux et pétards tuent des oiseaux. J'ai pu voir un hérisson agoniser à chaque feu d'artifice. Ève Samson, Québec Sombre allégorie Cela n'a plus sa place pour les multiples raisons évoquées, mais celle qui a été omise est la plus importante pour moi : c'est une allégorie militaire. Il y a assez de « bombes » qui tuent des innocents partout dans le monde : Gaza, Tel-Aviv, Kyiv… Normand Gravel, Granby Nuage de pollution Il y a plusieurs années, j'ai assisté sur place aux feux d'artifice, que j'ai relativement appréciés malgré la pollution générée. Mais sortir du stationnement fut ma pire expérience, et de loin, dans un espace quasi clos de grande pollution. Il nous a fallu plus de 90 minutes pour sortir de l'île au milieu de centaines de voitures au moteur en marche créant un nuage de pollution insupportable. Je n'ai jamais compris que cette activité puisse continuer sans que personne ne dénonce cette aberration. Je suis fortement contre. Nicole Leduc, Montréal Tant d'impacts Je suis contre. Bien sûr, les feux d'artifice sont magiques de par leurs effets de surprise, leurs couleurs, leurs agencements, leur grandiosité et leurs reflets dans l'eau. Cependant, il est dérangeant de penser à tous les impacts réels et potentiels qui y sont associés. Au lac Simon, pensons aux animaux qui doivent s'affoler en entendant les explosions suivies de leur écho, aux poissons qui doivent ressentir les vibrations sonores, aux résidus des explosifs qui tombent dans l'eau du lac… où plusieurs résidants de chalets ou roulottes s'approvisionnent. Heureusement, la municipalité a mis fin à l'évènement annuel. Il y aura toujours les feux d'artifice maison souvent peu sécuritaires qui risquent de se transformer en incendie de forêt. Valérie Dufresne, Lac-Simon L'heure de passer aux drones Avec les nouvelles technologies de drones miniatures, et la pollution créée par la pyrotechnie, je me demande si 2026 ne serait pas le temps de faire un virage écologique et aller de l'avant avec des spectacles similaires, mais en utilisant des drones. Yannick Picard, Toronto Voyez un spectacle de drones à Shenzhen Incompatible avec mes valeurs Nous vivons dans un monde paradoxal. D'un côté, nous croyons aux changements climatiques et d'un autre, les actions ne suivent pas. Les feux d'artifice n'ont plus aucune raison d'exister. Nous devons poser des gestes en fonction de nos valeurs. Je n'assiste plus depuis longtemps à ce genre d'évènement incompatible avec mes valeurs. Sylvie Gaudreault, Boucherville « J'ai vu près de 250 feux » D'entrée de jeu, je m'affiche clairement comme un amateur de longue date : près de 250 feux vus sur le site même du parc d'amusement de l'île Sainte-Hélène, deux fois membre du jury populaire et commentateur régulier de ces spectacles sur le web⁠2, 3. Il n'y a pas de mystère : je suis « pour ». Les préoccupations sociales et environnementales, soulevées principalement par Mme Guy, sont bien légitimes. Cependant, on peut avoir l'impression en lisant le texte que l'industrie de la pyrotechnie est peu ou pas encadrée. Il existe pourtant une réglementation fédérale à ce sujet, que plusieurs municipalités précisent à leur tour. Cet encadrement répond à des exigences de sécurité publique, bien sûr, mais aussi de protection de l'environnement. Par exemple, Ressources naturelles Canada interdit ou restreint l'usage de plusieurs produits chimiques. Aussi, cela fait déjà une quinzaine d'années que les organisateurs de la compétition de Montréal remettent un prix au concurrent qui, selon eux, se distingue le plus pour ses efforts en matière de protection de l'environnement. Une dernière chose. Depuis longtemps, un peu partout dans le monde, les feux d'artifice donnent lieu à des spectacles rassembleurs. Leur puissance ne réside pas seulement dans leur charge explosive, qui procure une expérience physique comme nulle autre forme artistique. Elle se trouve aussi dans leur capacité à réunir des gens de tous les groupes d'âge, de toutes les conditions sociales et économiques. Dans le monde fragmenté qui est le nôtre, cela est une denrée rare qu'il ne faut pas sous-estimer. Longue vie aux feux ! Frédérick Bastien, Montréal 1. Lisez « À quatre mains — pour ou contre les feux d'artifice ? » 2. Consultez la page du Mondial Loto-Québec 2025 3. Consultez la page MtlPYROmédia

Daniel Bélanger fébrile à la veille de la première
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La Presse

time4 hours ago

  • La Presse

Daniel Bélanger fébrile à la veille de la première

Dans quelques jours, l'univers de Daniel Bélanger vivra en musique, mais aussi en tableaux acrobatiques, à l'Amphithéâtre Cogeco de Trois-Rivières. Alors que le Cirque du Soleil peaufine son spectacle Les Incouchables en hommage à l'auteur-compositeur-interprète, le principal intéressé soutient que si le jeune Daniel avait eu vent de cet honneur, « il aurait probablement ri ». geneviève beaulieu-veilleux Le Nouvelliste « J'ai l'imagination fertile, mais je n'aurais vraiment pu imaginer cela… Jeune, j'étais vraiment dans le moment présent ! Ce qui m'importait, c'était de travailler la chanson que j'étais en train d'écrire », raconte l'artiste de 63 ans. Actif sur la scène musicale depuis le début des années 1980, le chanteur fait sa grande entrée en 1992 avec le marquant album Les insomniaques s'amusent et le succès Opium. Après plus de trois décennies et une demi-douzaine d'albums, l'œuvre de Bélanger jouit toujours de l'appui du public, qui l'a d'ailleurs consacré meilleur artiste masculin au plus récent gala de l'ADISQ. Le musicien, qui est aussi auteur de poésie et photographe, l'avoue d'emblée : il n'est pas un spécialiste du milieu circassien. Il reçoit tout de même cet hommage comme un honneur. « Je ne suis pas porté à aller voir du cirque, mais, un coup que j'y suis, j'en suis toujours ravi », résume-t-il. Si Daniel Bélanger se dit en mode ouverture en vue de la première de mercredi, il s'attend tout de même à une proposition de haut calibre. « Je n'ai pas d'attentes. En fait, oui, il y a l'attente que le Cirque offre toujours des spectacles de qualité : aussi spectaculaires que dangereux ! Sur cet aspect, vont-ils se casser la gueule sur mes chansons ? Je ne sais pas », laisse-t-il tomber, en riant. La nuit comme une « trêve » Avec une autoroute stellaire géante, le personnage de l'Homme qui ne dort jamais et des maquillages marqués par « le cerne comète », l'équipe du Cirque du Soleil a déjà signifié son intention d'exploiter la thématique de la nuit, qui s'inscrit dans l'œuvre de Daniel Bélanger. « Je pense que la thématique de la nuit est un monde qui a été idéalisé. C'est un monde de libertés qui fonctionne sans pression de la société et qui est très inspirant. La nuit, c'est une trêve ! » Je pense que je vais me retrouver à 8 ans et demi comme tout le monde devant des figures spectaculaires, périlleuses et poétiques. J'ai l'impression que je vais vivre une forme de détachement. Daniel Bélanger Le compositeur a pris plaisir à revisiter l'une de ses pièces – qui demeure secrète à ce jour – en compagnie du directeur musical Jean-Phi Goncalves. En revanche, on sait déjà que 12 de ses succès seront repris dans la production, dont Sèche tes pleurs, Dans un spoutnik, Rêver mieux ou encore La folie en quatre, dans une version réarrangée. « Je ne vais pas là pour travailler » À part la chanson qu'il a retravaillée, Daniel Bélanger ne sait à peu près rien du spectacle et est à l'aise avec la situation. « Quand j'ai su que c'était Jean-Phi Goncalves qui était à la direction musicale, j'étais en confiance. C'est quelqu'un que je connais depuis très longtemps. Je crois que je vais me trouver à l'extérieur de moi et regarder cela comme si je n'avais jamais fait ces chansons-là. C'est ce que j'aimerais ! » Devant la représentation, Bélanger souligne qu'il sera plutôt en état de sensation qu'en mode analyse. « Ce sera primaire : je veux ressentir quelque chose ! » Les Incouchables, à l'Amphithéâtre Cogeco du 16 juillet au 16 août Consultez la page du spectacle

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