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Jannik Sinner et Novak Djokovic déclarent forfait

Jannik Sinner et Novak Djokovic déclarent forfait

La Presse6 days ago
Eugenie Bouchard vue par Sylvain Bruneau
« Elle a pavé la voie »
En 2014, lorsque Eugenie Bouchard a atteint la finale de Wimbledon ainsi que les demi-finales aux Internationaux d'Australie et à Roland-Garros, l'entraîneur Sylvain Bruneau accompagnait la Montréalaise. Il a été un témoin privilégié de son évolution, à différentes étapes de sa vie. Même s'il savait depuis quelque temps qu'elle annoncerait sa retraite sous peu, Bruneau était émotif dans les minutes qui ont suivi l'officialisation de la nouvelle.
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Eugenie Bouchard affrontera Emiliana Arango au premier tour
Eugenie Bouchard affrontera Emiliana Arango au premier tour

La Presse

time25 minutes ago

  • La Presse

Eugenie Bouchard affrontera Emiliana Arango au premier tour

Eugenie Bouchard a annoncé qu'elle prendra sa retraite du tennis au terme du tournoi de Montréal. (Montréal) Le dernier parcours d'Eugenie Bouchard dans le tennis professionnel commencera face à la Colombienne Emiliana Arango, à l'Omnium Banque Nationale. Alexis Bélanger-Champagne La Presse Canadienne Bouchard, finaliste à Wimbledon en 2014, a annoncé qu'elle prendra sa retraite du tennis au terme de l'évènement. L'athlète de Westmount âgée de 31 ans se concentrera ensuite sur sa carrière de pickleball. Arango est classée 81e au monde et est une spécialiste de la terre battue. Elle est âgée de 24 ans. Elle se retrouvera sous les projecteurs, alors que le parcours de Bouchard retiendra l'attention en début de tournoi à Montréal. Sept autres Canadiennes étaient inscrites au tableau principal avant les qualifications. La Québécoise Leylah Annie Fernandez a rendez-vous avec l'Américaine Maya Joint. Fernandez est en action en demi-finales au tournoi de Washington, samedi. PHOTO NICK WASS, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Leylah Annie Fernandez L'Ontarienne Bianca Andreescu affrontera la Tchèque Barbora Krejcikova, championne de deux titres majeurs. Andreescu a remporté le volet féminin de l'Omnium Banque Nationale en 2019, devenant la première Canadienne à gagner le tournoi depuis Faye Urban en 1969. Rebecca Marino et Kayla Cross joueront contre des joueuses issues des qualifications. La sensation Victoria Mboko a rendez-vous avec l'Australienne Kimberly Birrell. Carson Branstine jouera contre la Grecque Maria Sakkari, tandis que Marina Stakusic croisera le fer avec la Roumaine Jacqueline Cristian. La favorite Coco Gauff a un laissez-passer, tout comme la double championne en titre Jessica Pegula, troisième tête de série. Un tour de qualification était à l'horaire samedi. L'édition 2025 du tournoi est la première sous un nouveau format, avec un tableau principal composé de 96 joueuses et étendu sur une période de 12 jours.

Il y a plus d'une forme de justice
Il y a plus d'une forme de justice

La Presse

time5 hours ago

  • La Presse

Il y a plus d'une forme de justice

Jeudi, cinq hockeyeurs professionnels, Michael McLeod, Carter Hart, Alex Formenton, Cal Foote et Dillon Dubé, ont été acquittés des accusations criminelles d'agression sexuelle qui pesaient sur eux, au terme de l'un des procès les plus médiatisés de la décennie au Canada. La juge de la Cour supérieure de l'Ontario a conclu que le témoignage de la plaignante n'était « ni crédible ni fiable », qu'il y a eu de la part de la plaignante « un consentement réel non vicié par la peur » et que la Couronne n'a prouvé aucune des accusations hors de tout doute raisonnable. Les cinq hockeyeurs d'Équipe Canada Junior 2018, qui étaient passibles de 10 ans de prison, sont donc libres. Ils ne retrouveront pas pour autant leur vie d'il y a 18 mois, avant le dépôt des accusations en janvier 2024. ILLUSTRATION ALEXANDRA NEWBOULD, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE Croquis d'audience des cinq anciens membres de l'équipe canadienne de hockey junior regardant la juge Maria Carroccia rendre sa décision dans leur procès pour agression sexuelle Il faut comprendre que l'objectif du droit criminel est d'interdire « les gestes qui vont contre les valeurs fondamentales de notre société1 ». C'est la Couronne qui poursuit, au nom de la société. Si les balises du droit criminel sont extrêmement strictes, si les Canadiens ont droit à la présomption d'innocence et à une défense pleine et entière aussi vigoureuse, c'est parce que la société peut vous enlever votre liberté. Nous vivons dans un État de droit. C'est extraordinairement précieux. Mais le droit et la justice ne se résument plus seulement à la justice criminelle. Il y a aussi la justice civile, où une personne peut poursuivre ceux qui l'ont lésée. Le plus souvent, elle obtient une indemnisation financière pour les dommages subis. Dans le dossier des hockeyeurs d'Équipe Canada Junior 2018, la victime alléguée a poursuivi Hockey Canada et huit joueurs anonymes pour 3,5 millions de dollars. Ce litige a rapidement été réglé à l'amiable (les joueurs impliqués n'ont pas été consultés dans la décision de Hockey Canada de régler, et les détails de ce règlement sont confidentiels). Il y a finalement la justice disciplinaire et le droit du travail. Un employé peut être sanctionné ou perdre son emploi pour un geste répréhensible qui n'est pas de nature criminelle. Dans leur contrat, les joueurs de la LNH ont une clause générale de bonne conduite sur la patinoire et hors de la patinoire. Selon leur contrat, ils doivent « suivre les normes les plus élevées d'honnêteté, de moralité » et « s'abstenir de tout comportement préjudiciable aux intérêts2 » de la LNH. C'est beaucoup plus exigeant que de simplement respecter le Code criminel, et avec raison. Aussitôt que ce règlement à l'amiable a été révélé au grand public par le journaliste de TSN Rick Westhead, en mai 2022, la LNH a lancé une enquête disciplinaire pour savoir si les joueurs en question avaient enfreint la clause de bonne conduite de leur contrat. (Les joueurs étaient sous contrat avec une équipe de la LNH au moment des faits allégués, à l'été 2018.) L'enquête de la LNH est terminée depuis longtemps. Avec sagesse, la ligue a choisi d'attendre la fin du processus criminel avant d'en dévoiler les conclusions. La LNH a toutefois donné un indice jeudi, déclarant que « les allégations formulées dans cette affaire, même si elles n'ont pas été jugées criminelles, étaient très troublantes et le comportement en question était inacceptable3 ». Pendant qu'elle étudie le jugement de la Cour supérieure de l'Ontario, les joueurs restent inadmissibles à jouer dans la LNH. On en saura sans doute plus à la fin août, après le délai d'appel de la Couronne. Les conclusions de l'enquête disciplinaire de la LNH pourraient être différentes de celle du tribunal criminel pour trois raisons : 1. On ne juge pas la même chose. En droit criminel, la juge tranche si une infraction d'agression sexuelle a été commise. En matière de discipline, la LNH tranche si les joueurs ont eu « les normes les plus élevées d'honnêteté, de moralité » ou un « comportement préjudiciable aux intérêts » de la LNH. La barre est beaucoup plus basse dans la cour de justice du commissaire de la LNH, Gary Bettman. 2. Le fardeau de preuve n'est pas le même. En droit criminel, il faut prouver une accusation hors de tout doute raisonnable. En droit disciplinaire, c'est la règle de la prépondérance de la preuve (la preuve 50 % + 1) qui permet de trancher. On choisit la version la plus probable entre celles des deux parties. 3. Il y aura davantage d'éléments de preuve dans l'enquête disciplinaire. Pour protéger les droits constitutionnels des accusés, le tribunal criminel a exclu certains éléments de preuve. Comme un texto troublant d'un témoin (Brett Howden, l'un de leurs coéquipiers) entré brièvement dans la chambre. M. Howden a aussi dit à l'enquêtrice de Hockey Canada avoir vu la plaignante pleurer pendant l'un des actes sexuels4. Au procès, M. Howden a dit ne pas s'en souvenir. Si l'enquête de la LNH conclut que certains des hockeyeurs ont agi de façon déplacée et ont enfreint leur contrat, la LNH pourra leur imposer des sanctions, par exemple une suspension. Le cas échéant, il faut espérer qu'elle impose une sanction sévère et proportionnelle à la gravité des gestes posés. Et que la sanction commence après le verdict, et non lors du dépôt des accusations en janvier 2024. (Toute sanction imposée par la LNH pourra être contestée devant un arbitre en vertu de la convention collective.) Ça enverrait un puissant message à toutes les sphères de la société que de tels comportements sont choquants et inacceptables. Jouer dans la LNH n'est pas un métier normal. Elle fait de vous un modèle pour les jeunes, avec des responsabilités sociales, vous gagnez des millions de dollars. Les joueurs sont tenus à un standard plus élevé que le simple respect du Code criminel. D'autres ligues de sport professionnel ont suspendu des athlètes pour des inconduites sexuelles, même si ceux-ci n'ont pas été condamnés au criminel. Au baseball majeur, le lanceur vedette des Dodgers Trevor Bauer a été suspendu sans solde un peu plus d'une saison (184 matchs) en 2022 pour des allégations d'agression sexuelle et de violence conjugale. Il avait enfreint la clause de bonne conduite de son contrat. Après sa suspension, les Dodgers ont libéré cet ancien gagnant du trophée Cy Young. Il n'a plus jamais joué dans le baseball majeur et a poursuivi sa carrière au Japon et au Mexique. Au football, le quart de la NFL Deshaun Watson a été suspendu 11 matchs (deux tiers d'une saison) et a payé 5 millions de dollars d'amende pour des inconduites sexuelles. Watson a réglé à l'amiable avec 23 des 24 femmes ayant intenté des poursuites civiles contre lui. Il est revenu au jeu pour Cleveland en 2023 après sa suspension. Dans les cas de Bauer et Watson, la poursuite n'avait pas déposé d'accusations criminelles, après avoir étudié les dossiers. Si un joueur de la LNH commet des inconduites sexuelles qui enfreignent son contrat, une suspension sévère (d'au moins une saison) serait appropriée. Elle faciliterait même la réhabilitation de la personne visée dans la société. Si un geste répréhensible est sanctionné adéquatement, la plupart des citoyens estiment que la personne a payé sa dette morale et qu'elle peut continuer sa vie. Évidemment, aucune équipe de hockey n'est obligée de l'engager. Aucun des cinq hockeyeurs acquittés n'est sous contrat avec une équipe de la LNH actuellement. Au moment du dépôt des accusations, quatre des cinq hockeyeurs acquittés étaient soit des joueurs de soutien dans la LNH, soit des joueurs qui faisaient la navette entre la LNH et la Ligue américaine. Ne soyez pas étonnés s'ils ont disputé leur dernier match dans la LNH et qu'ils terminent leur carrière en Russie ou en Europe. Le procès criminel des cinq hockeyeurs d'Équipe Canada Junior 2018 a suscité une discussion nationale sur le consentement en matière de rapports sexuels. Une discussion nécessaire et qui sera bénéfique à toute la société. Il faut toutefois espérer que ce verdict ne décourage pas les victimes d'agression sexuelle de porter plainte. À moins que la Couronne ne fasse appel du verdict, ce procès criminel est clos. Mais l'histoire n'est pas terminée. Elle se transporte dans le bureau de Gary Bettman. 1. Consultez l'article « Le droit criminel, c'est quoi ? » sur le site d'Éducaloi 2. Lisez l'article du Globe and Mail (en anglais ; abonnement requis) 3. Lisez la déclaration de la LNH (en anglais) 4. Lisez la chronique « Les trous de mémoire du témoin Howden » sur le site de Radio-Canada

Les huit favorites sous la loupe
Les huit favorites sous la loupe

La Presse

time5 hours ago

  • La Presse

Les huit favorites sous la loupe

Les meilleures joueuses de tennis au monde s'amènent à Montréal. Du moins, presque toutes. Aryna Sabalenka, Qinwen Zheng et Paula Badosa, 3 membres du top 10, ont déclaré forfait. Voici les huit premières têtes de série présentes à l'Omnium Banque Nationale. 1. Coco Gauff (2e au classement WTA), États-Unis Elle a gagné à Roland-Garros. Elle a atteint la finale à Madrid et à Rome. Coco Gauff connaît une autre saison à la hauteur de son talent et de son potentiel. Elle a 21 ans et elle arrivera à Montréal en tant que favorite à cause du forfait de Sabalenka. À Wimbledon, elle a été sortie dès son match d'entrée. L'Américaine n'a pas joué depuis le 21 juillet. Elle ne pourra faire autrement que de rebondir. 2. Jessica Pegula (4e au classement WTA), États-Unis PHOTO NICK WASS, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Jessica Pegula Malgré sa position au classement, Pegula passe sous le radar. Allez savoir pourquoi. Peut-être parce que ses trois titres en 2025 ont été acquis dans des tournois de second ordre, soit à Austin, Charleston et Bad Hambourg. Qu'à cela ne tienne, seule Sabalenka revendique autant de titres en 2025. Et Pegula a remporté les deux dernières éditions de l'OBN. C'est pourquoi elle passe devant Iga Świątek dans l'ordre des têtes de série du tournoi. 3. Iga Świątek (3e au classement WTA), Pologne PHOTO KIN CHEUNG, ASSOCIATED PRESS Iga Swiatek Son triomphe à Wimbledon l'a ramenée plus près du sommet, au troisième rang mondial. Depuis le début de Roland-Garros, le 26 mai, elle a perdu 2 fois… en 17 matchs. La Polonaise a retrouvé ses repères. Avec le retrait de Sabalenka, il y a pour elle une occasion à saisir. Świątek peut battre n'importe qui n'importe quand. Elle a gagné 6 de ses 10 matchs contre des joueuses du top 10 cette saison. 4. Jasmine Paolini (9e au classement WTA), Italie PHOTO JOANNA CHAN, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Jasmine Paolini Vous n'avez pas encore vu jouer Paolini ? Quelle chance. Vous pourrez la découvrir. Les habitués savent que la joueuse de petite taille peut changer l'allure d'un match en un seul jeu. Tenace, téméraire et travaillante, l'Italienne a commencé la saison en lionne. Elle a gagné à Rome, chez elle, mais depuis, elle se cherche quelque peu. Elle a remporté 12 de ses 18 matchs sur dur en 2025. Montréal sera peut-être un tournant. 5. Mirra Andreeva (5e au classement WTA), Russie PHOTO GLYN KIRK, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Mirra Andreeva Elle a un peu de Maria Sharapova, un peu d'Aryna Sabalenka, un peu de Caroline Wozniacki. En fait, elle a presque tout. Andreeva a eu 18 ans en avril. Il y a des aspects de son jeu à polir, comme ses retours de service. Néanmoins, la Russe en a fait suffisamment cette saison pour grimper au cinquième rang. Peu de joueuses ont un potentiel aussi immense qu'Andreeva parmi les jeunes talents de la WTA. 6. Madison Keys (8e au classement WTA), États-Unis PHOTO KIRILL KUDRYAVTSEV, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Madison Keys Comme une étoile filante, Madison Keys a traversé le ciel de la WTA en scintillant en début d'année avant de s'éteindre et de disparaître. À 29 ans, elle a gagné en janvier son premier titre majeur, aux Internationaux d'Australie. Pour y arriver, elle a battu coup sur coup Iga Świątek et Aryna Sabalenka. Deux performances magistrales. Elle n'a refait aucune finale depuis. Quelques coups d'éclat, mais rien de comparable à son début d'année. 7. Emma Navarro (11e au classement WTA), États-Unis PHOTO KIN CHEUNG, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Emma Navarro Si on sondait l'amateur de tennis moyen et qu'on lui demandait quelle Américaine a le plus de chances de remporter l'OBN, le nom d'Emma Navarro serait très peu, voire jamais mentionné. Pourtant, la New-Yorkaise se maintient autour de la 10e place depuis un an. Elle peine cependant à progresser bien au-delà de ce rang. Elle a un titre à Mérida acquis en février et la liste de ses faits d'armes en 2025 s'arrête à celui-ci.

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