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Sinner-Alcaraz : glissade, revers réflexe, foule en feu… l'énorme point de l'Espagnol pour gagner le 1er set

Sinner-Alcaraz : glissade, revers réflexe, foule en feu… l'énorme point de l'Espagnol pour gagner le 1er set

Le Parisien2 days ago
Ils sont partis sur les mêmes bases qu'à Roland-Garros. Un mois après une sublime finale sur le court Philippe-Chatrier, Jannik Sinner et Carlos Alcaraz se retrouvent ce dimanche pour
se disputer un autre titre : celui de Wimbledon
. Un nouveau duel immense qui s'annonçait alléchant.
Le premier set a déjà tenu toutes ses promesses. Alors que l'Italien avait fait le premier break,
l'Espagnol
a complètement inversé la tendance pour reprendre l'ascendant et s'offrir une première balle de set manquée. Ce n'était qu'une question de secondes, jusqu'à un superbe point à 5-4 et avantage pour Alcaraz, sur le service de Sinner.
Car l'Espagnol est un amoureux des points de légende, un tennisman rare qui ne sort ses meilleurs coups que dans les moments cruciaux. Bien installé dans l'échange, le n°2 mondial a d'abord dû s'employer défensivement avec une grande glissade sur sa droite. Agressé par son grand rival, Carlos Alcaraz a fini par sortir une défense de revers énorme qui a scotché
Jannik Sinner
sur place.
En délire, la foule ne pouvait qu'apprécier. Le Prince William, Kate Middleton et leurs enfants ont dû également goûter ce point. L'Espagnol ne s'est, lui, pas privé pour les mettre dans sa poche, le doigt sur l'oreille.
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« Le vélo est complémentaire de la voiture » : pourquoi Skoda renforce son partenariat avec le Tour de France
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timean hour ago

  • Le Parisien

« Le vélo est complémentaire de la voiture » : pourquoi Skoda renforce son partenariat avec le Tour de France

Difficile d'y échapper. Quand vous suivez le Tour de France , sur le bord des routes ou à la télé, Skoda est partout ou presque. Le constructeur de République tchèque, qui appartient au groupe Volkswagen, n'est pourtant qu'un petit Poucet dans le monde de l'automobile. A peine 3 % du marché français. Mais avec une notoriété et un taux de pénétration grandissant, ont assuré ses dirigeants, quelques jours avant le Grand Départ. Selon eux, leur partenariat avec le Tour de France y est pour quelque chose. « C'est la 22e édition que l'on est partenaires, et on est encore là au moins pour les 3 prochaines années. Cela en fait l'un des partenariats les plus anciens de l'histoire du sport », salue Julien Bessière, directeur de Skoda France. Cet engagement de long terme n'est pas étranger à la notoriété de Skoda, qui est la 2e marque spontanément citée comme étant associée au Tour, derrière Leclerc. Skoda sur le Tour, ce sont d'abord des voitures. Fournisseur officiel de véhicules de la Grande Boucle depuis 2004, le constructeur tchèque fournit plus de 250 véhicules cette année. Dont ceux de la direction de course, comme la célèbre voiture rouge du patron du Tour Christian Prudhomme. Un parc auto qui s'électrifie : les 100 voitures d'ASO, l'organisateur, dans la course sont toutes électriques ou hybrides. Et un parc auto qui grandit : outre l'organisation, de nombreux suiveurs sont équipés en Skoda. Et même plusieurs équipes (Visma, Uno-X…). La dernière en date étant une formation française Decathlon-AG2R. « C'est une nouveauté de cette année, nous sommes partenaires techniques de Decathlon-AG2R, explique Rodolphe Chevalier, directeur marketing de Skoda France. Nous leur fournissons 32 véhicules. Nous avons signé jusqu'en 2028. Dectahlon, c'est une marque avec laquelle on partage pas mal de valeurs. » Quel lien entre vélo et auto ? « Les créateurs tchèques de la marque, il y a 130 ans, ont commencé par créer une fabrique de vélos dans un garage, en 1985, dix ans avant leur première automobile, explique Julien Bessière. Et aujourd'hui plus que jamais, nous pensons que le vélo est complémentaire de la voiture. » L'engagement pour la petite reine va donc au-delà de ce partenariat avantageux avec la plus grande course cycliste du monde. D'où la volonté de Skoda de « soutenir tous les vélos », pas que les courses professionnelles. « Skoda We Love Cycling » est ainsi un programme qui fédère quelque 40 000 membres, qui se donne des rendez-vous réguliers pour des sorties vélos ou VTT. Une communauté qui vit sur les réseaux sociaux, animée par une vingtaine de capitaines, et accompagné parfois par quelques ambassadeurs de renom, dont Bernard Hinault. Le Tour de France, on y revient. Le sponsoring le plus emblématique de Skoda, c'est en effet celui du maillot vert, depuis 2015. Qui succédera à Biniam Girmay (Intermarché-Wanty), lauréat l'an dernier de ce classement par points grâce notamment à ses 3 victoires d'étape au sprint ? L'Erythréen est à nouveau là, mais ne semble pas dans la même forme que l'an dernier (aucune victoire jusqu'à présent). Au contraire de l'Italien Jonathan Milan (Lidl-Trek) ou du Belge Tim Merlier (Soudal). A moins qu'un baroudeur comme Mathieu Van der Poel, voire un favori du général qui gagnera sans doute beaucoup d'étapes, comme Tadej Pogacar (6 l'an dernier), ne rafle la mise. Une chose est sûre, le maillot vert sera très disputé. Et sa couleur devrait, encore être très discutée… Comme c'est le cas depuis 2023, quand Skoda avait opté pour un vert plus foncé , rendant le maillot plus conforme aux codes couleurs de la marque, mais moins visible dans le peloton. « C'est une question qui revient tous les ans, reconnaît Rodolphe Chevalier. On se pose la question de revenir à un vert plus flashy. Est-ce qu'on y reviendra ? Je l'espère. On cherche avec notre maison mère. On a testé notre vert électrique, plus clair. Mais ça ne passe pas bien à l'antenne. » C'est donc reparti pour le maillot vert foncé. La question de la bonne couleur du maillot vert reste entière. Mais celle de son sponsor, elle, est réglée pour les trois prochaines années, au moins.

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